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  1. Réaménagement de l'échangeur A-20/A-25/Rte-132 L’échangeur situé à la jonction de l’autoroute 20, de l’autoroute 25 et de la route 132 à Longueuil constitue une véritable plaque tournante pour le réseau routier supérieur de la Rive-Sud de Montréal. En plus de donner accès au pont-tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine, cet échangeur assure la continuité de l’autoroute 20 le long du fleuve Saint-Laurent, dans l’axe de la route 132, jusqu’au pont Champlain. L’échangeur a été construit dans les années 60 et sa configuration géométrique présente certaines déficiences qui limitent aujourd’hui la capacité des autoroutes 20 et 25. L’achalandage est très élevé sur ces deux grands axes, soit plus de 100 000 véhicules par jour, sans compter les quelque 620 déplacements quotidiens d’autobus. De plus, trois structures qui font partie de cet échangeur ont atteint leur durée de vie utile et nécessitent une reconstruction complète. C’est aussi le cas de la chaussée de l’autoroute 20/route 132 à Longueuil, sur un tronçon compris entre le boulevard Roland Therrien et l’échangeur. Plus d'information: http://www.longueuil.ca/vw/asp/gabarits/gabarit_popup.asp?ID_MESSAGE=29539&ID_ARROND_COMM=40 et http://www.mtq.gouv.qc.ca/portal/page/portal/regions/monteregie_est/reame_echan_a20_a25_r132
  2. http://journalmetro.com/local/sud-ouest/actualites/982657/legs-pour-le-375e-de-montreal-six-ponts-illumines-sur-le-canal/ 20/06/2016 Mise à jour : 20 juin 2016 | 16:09 Legs pour le 375e de Montréal: six ponts illuminés sur le canal Par André Desroches TC Media Photo Gracieuseté Six ponts et passerelles qui jalonnent sur 4,5 km le canal de Lachine, dont le pont Côte-Saint-Paul, seront illuminés. Le paysage du Sud-Ouest sera appelé à changer dans le cadre du 375e anniversaire de Montréal. L’arrondissement prévoit l’iIllumination de six ponts enjambant le canal de Lachine ainsi que la création d’un tableau du circuit Cité Mémoire avec deux artistes de renom, Michel Lemieux et Victor Pilon. «Le canal est un symbole très fort de notre arrondissement. À la tombée du jour, il va carrément changer de visage», annonce le maire Benoit Dorais. La réalisation du projet «Lumières sur le canal de Lachine!», qui verra le jour en 2017, a été confiée à l’organisme Montréal en Histoires. C’est lui qui signe le parcours de tableaux multimédias Cité Mémoire qui se déploie en images, en paroles et en musique dans le Vieux-Montréal depuis le 17 mai. Structures Les six structures qui jalonnent sur 4,5 km ce cours d’eau, berceau de l’industrialisation au pays, seront donc illuminées. Il s’agit des ponts CN-Du Port, Côte-Saint-Paul, des Seigneurs et Charlevoix ainsi que des passerelles Atwater et Sir-George-Étienne-Cartier. Certaines structures seront éclairées par des équipements statiques. D’autres seront illuminées par du matériel d’éclairage dynamique et programmable permettant notamment de varier l’intensité de la lumière selon la présence ou non de piétons. Célébrer en se souvenant «Ce projet va avoir un rayonnement plus large grâce à une collaboration avec Cité Mémoire», se réjouit Benoit Dorais. Le parcours créé par Michel Lemieux, Victor Pilon et le dramaturge Michel Marc Bouchard va s’enrichir d’un 24e tableau historique créé spécialement pour le Sud-Ouest sur un site qui n’a pas encore été choisi. «En se promenant dans le Sud-Ouest, on voit que c’est un lieu chargé d’histoire. C’est très riche comme endroit», constate Michel Lemieux. Le créateur bouillonne déjà d’idées pour ce tableau. «On va aller chercher des personnages connus qui sont passés à l’histoire mais aussi des personnes inconnues, explique-t-il. Nous voulons mettre les humains au centre de l’Histoire, pas seulement des lieux et des dates.» Michel Lemieux est emballé par ce volet du projet. «Le 375e anniversaire de Montréal, on a le devoir de le célébrer en se souvenant», estime-t-il. Les gens devront donc à aller un peu plus à l’ouest du Vieux-Montréal pour voir ce nouveau tableau. «Ça va faire découvrir les attraits de nos quartiers», anticipe le maire Dorais. Réalisé au coût de 1 M$, le projet de legs du Sud-Ouest sera financé par la Ville de Montréal.
  3. Sur l'autoroute 20, on peut apercevoir des annonces de travaux bientôt prévus pour l'échangeur A-20 / A-30, à la hauteur de Sainte-Julie. Savez-vous s'il s'agit de réparations, de remplacement de structures, où bien, est il question d'un plus grand projet, qui vise améliorer la configuration de l'échangeur, pour le rendre plus efficace?
  4. Publié le 08 mai 2009 à 07h50 | Mis à jour à 07h50 Réparer Montréal Nathalie Collard La Presse On dit que Montréal est ingouvernable. Que c'est une ville difficile à gérer parce qu'elle est dirigée par 19 maires. Que les arrondissements ont trop de pouvoirs. Ce sont des récriminations qu'on entend depuis plusieurs années déjà et qui expliqueraient l'immobilisme actuel de la métropole. Le temps est venu d'analyser la situation et de poser un diagnostic objectif sur les structures de gouvernance de Montréal. Dans les années récentes, plusieurs suggestions ont été émises. Du côté de Vision Montréal par exemple, Benoit Labonté propose entre autres de centraliser les services d'urbanisme et de déneigement et de retirer aux arrondissements le pouvoir d'imposer une surtaxe. Le maire de l'arrondissement Ville-Marie souhaite également rétablir l'équité entre les arrondissements. À Projet Montréal, on est plus radical. Dans un mémoire déposé dans le cadre du projet de loi 22, en novembre 2007, le parti dirigé par Richard Bergeron proposait l'abolition du conseil d'agglomération (qui serait remplacé par un conseil municipal élargi) ainsi que la disparition pure et simple du comité exécutif (qu'on remplacerait par des commissions comme dans certaines villes canadiennes). Certains, comme le conseiller Cosmo Maciocia ou le pdg de Juste pour rire, Gilbert Rozon, proposent de réduire le nombre d'arrondissements (M. Rozon est également adepte de la centralisation) alors que d'autres fantasment et rêvent de revenir à l'époque d'avant les fusions. On le voit, les solutions vont dans tous les sens. D'où l'urgence de mettre sur pied un groupe de travail qui étudierait la situation actuelle. Il n'est pas question de tout effacer et de recommencer à zéro, mais bien de proposer des modifications qui permettraient une meilleure gestion de la Ville ainsi qu'une meilleure prise de décision. Avant d'arriver à l'étape des solutions, il faut d'abord brosser un tableau clair de l'administration municipale. Qui comprend vraiment le fonctionnement de Montréal aujourd'hui? On ne sait plus qui est responsable et imputable au sein de cette administration. On entend souvent dire que personne n'a envie de se lancer dans un débat de structures, que les Montréalais n'ont pas envie d'entendre parler de gouvernance. Cette attitude est non seulement réductrice, elle est dommageable pour Montréal. S'il est vrai que les problèmes de gouvernance expliquent l'inertie actuelle, alors la métropole ne peut plus se payer le luxe de remettre ce débat à plus tard. Si l'absence de leadership montréalais est due, en partie, aux problèmes de structures, alors réglons-les. Pour pouvoir réparer Montréal, il faut que la ministre des Affaires municipales nomme rapidement un groupe de travail à qui on confierait le mandat d'examiner en profondeur la gouvernance de la Ville de Montréal et d'émettre une série de recommandations objectives et non-partisanes. La gouvernance doit également figurer au nombre des enjeux qui seront débattus durant la campagne électorale qui s'amorce. Les partis doivent s'engager à améliorer le fonctionnement de la Ville. L'équipe choisie pour diriger Montréal le 1er novembre prochain pourra s'appuyer sur les conclusions du groupe de travail pour apporter des changements. Louise Harel disait récemment qu'elle avait «mal à sa ville». Elle n'est pas la seule. Bon nombre de Montréalais ont l'impression de ne plus comprendre leur ville. Il est temps de se mettre à la tâche. nathalie.collard@lapresse.ca
  5. Avec ses bâtiments de brique et ses structures métalliques, l'ancienne société papetière Belgo se dresse tel un fantôme à l'entrée de Shawinigan. Pour en lire plus...
  6. The tallest of them all (in 1888) Little Giant It had electric lights, an elevator and mail chute where you could drop letters from any floor. More impressive, the New York Life Insurance Building at 511 Place d'Armes was Montreal's first skyscraper - at eight storeys high MARIAN SCOTT, The Gazette Published: 6 hours ago From the top floor of Montreal's first skyscraper, you can see ... Well, not much, to tell the truth. Crane your neck from the eighth floor of 511 Place d'Armes and you can make out the statue of Montreal founder Paul Chomedey sieur de Maisonneuve in the square, and the roof of the Vieux Séminaire, adjoining Notre Dame Basilica. But back in 1888, oh my! Eight storeys high was a dizzying height, indeed. The New York Life Insurance Building boasted the latest in modern conveniences. Electric lights! An elevator! And a mail chute where you could drop letters from any floor! Impressed? Perhaps not, but back in the gaslight era, these were state-of-the-art innovations. The New York Life had its own generator to provide power to the offices. Imagine a city where the only tall structures were church spires. Just the twin towers of Notre Dame soared higher than the clock tower that sits atop the New York Life. Rising to 40 metres, its facade of red sandstone - imported all the way from Dumfriesshire, Scotland - made a splash against the grey limestone buildings of Old Montreal. The arched doorway and upper windows evoke the Italian Renaissance. "Look, even the smallest detail is decorated," says Madeleine Forget, admiring the carved entrance, with its intricate wrought-iron grille. Forget is an architectural historian who wrote a history of the city's early high-rises (Les Gratte-ciel de Montréal, Éditions du Méridien, 1990). Sculptor Henri Beaumont created the intricate carvings of urns, garlands and masks in the doorway. When the New York Life was built, from 1887 to 1889, architects were just starting to figure out the secrets of high-rise construction. The first ingredient was the elevator. In 1852, Elisha Graves Otis invented the safety brake for elevators. He installed the world's first passenger lift in a New York department store in 1857. The second ingredient was steel. Traditionally, the walls of a building supported the structure. The taller the building, the thicker the walls needed to be. The walls of Chicago's 17-storey Monadnock Building, completed in 1893, are two metres thick at ground level. Steel-frame construction allowed buildings to reach for the sky. A steel skeleton supported the structure, with the exterior walls hanging from it, like curtains. Chicago's 11-storey Home Insurance Building, constructed in 1885, was the first to use this construction method. Montreal would have to wait until 1895 for its first steel-frame building, the Canada Life Assurance on St. Jacques St. Designed by New York architects Babb, Cook & Willard, the New York Life has supporting masonry walls and steel floors. "The New York Life Building," wrote a visitor, "is one of the most imposing in the City." Its construction ushered in Montreal's "office era," noted the late Gazette history columnist Edgar Andrew Collard. The lantern in the entrance is original, as are the beige marble walls and mosaic floor. The hall boasts a coffered ceiling and staircase with an elegant, filigreed banister. Inside, the building is surprisingly modest in scale. Grand lobbies with hordes of scurrying office workers would come later in the history of office buildings, Forget says. "It looks bigger (from the outside) than it is," says Guylaine Villeneuve, director of operations for the building. The New York Life Co. had its Canadian head office on the fourth floor and a library on the eighth. The other floors were rented out. The Quebec Bank, whose name is carved over the entrance, occupied the ground floor. It bought the building in 1909 and was absorbed into the Royal Bank in 1917. For 12 years, only three eight-storey buildings - the New York Life, Canada Life and Telegraph Chambers Buildings - would rise above the skyline. After 1900, 11-storey buildings began to dot the cityscape. In the 1920s, office buildings with towers set back from the street appeared. One is the art-deco Aldred Building next door to the New York Life. Last year, owner Bechara Helal built two penthouse apartments on the roof, one of which he occupies, Villeneuve says. Tourists sometimes stop to read the brass plaque identifying the building as Montreal's first skyscraper, but few come in, she says. Today, the New York Life barely rates a glance among the soaring structures cluttering the skyline. But what it lacks in stature, it gains in well-bred elegance. Dwarfed by modern high-rises, the building preserves a memory of the era when eight storeys was a dazzling height. mascot@thegazette.canwest.com http://www.canada.com/montrealgazette/news/story.html?id=199c1c3e-af3b-4bcf-a949-9b8f88c5c671
  7. Roads safe, Quebec insists AMY LUFT, The Gazette Published: 7 hours ago Quebec's Transport Department wants drivers to know the province's highways are safe, despite a metre-wide pothole found on the Turcot Interchange. Still, the road damage reminded some that action needs to be taken quickly to ensure the safety of motorists. "It definitely enforces the point that structures are in bad shape," said Laval Mayor Gilles Vaillancourt, head of a coalition that wants better funding of infrastructure in Quebec. "The bridges won't be demolished tomorrow, but we need to make sure what remains is not in a beautiful state but in a solid state." Engineers have confirmed that the pothole discovered Friday on Highway 15, just north of the exits for Highway 20 and the Ville Marie Expressway, was simply the result of deteriorating asphalt and concrete and was not a structural issue, like those plaguing many Quebec roadways. "Of course, we'd like to reassure people of the safety of the Turcot Interchange," Transport Quebec official Nicole Ste-Marie said. "What happened (Friday) was not related to roadwork on other access ramps." Highway 15 through the Turcot Interchange was reopened to traffic at 7 a.m. yesterday after overnight paving between the exits for Highways 20 and 720 (the Ville Marie Expressway) and the Décarie Expressway. Two lanes were closed about 8:45 a.m. Friday when a motorist drove into the pothole, which ran one metre deep straight through the span. The lanes were shut for about five hours. One lane was shut again Friday afternoon because repairs could not be completed. Structural repairs are to begin tomorrow on 10 of the 12 access ramps to the Turcot Interchange. The work had already been scheduled this week to take advantage of reduced traffic during Quebec's construction holiday. Highways 15, 20 and 720 converge on the Turcot Interchange, which carries an estimated 280,000 vehicles every day. As for the rest of the province's highways and structures, Ste-Marie urged motorists not to worry. "We'll eventually be doing some repairs (to structures), but if there's a problem or safety concern, Transport Quebec never neglects to tell the public." Vaillancourt said he is satisfied with the measures being taken to maintain the overpasses before they are replaced or repaired. "I've discussed the issue with engineers and I've been reassured the upkeep is good," he said, adding that rebuilding the spans "is not going to happen overnight." Vaillancourt is head of the Coalition pour le rénouvellement des infrastructures du Québec. Its members include the provincial federation of municipalities, the Conseil du Patronat employers lobby, and industry and professional associations. Repairs are to continue as planned on the rest of Quebec's troubled overpasses. After the collapse of the de la Concorde Blvd. overpass in Laval in September 2006, which killed five people, and the subsequent inspection of 135 overpasses deemed to be in questionable condition, Quebec has budgeted $2.7 billion for roadwork this year. The lion's share is to be spent to repair or replace overpasses. It's part of a four-year, $12-billion investment to upgrade Quebec's crumbling infrastructure. Transport Quebec said in April the province would replace 25 overpasses and tear down three others. Major repairs on 25 more spans began at that time. At least three of the overpasses to be replaced are in Montreal. They include two on Highway 138 over Monette St. at the Mercier Bridge, both scheduled to be replaced by 2013, and one on Gouin Blvd. over Highway 19, to be replaced in 2009. The Dorval Interchange is to be torn down, though no date has been set. Transport Quebec wants to assure drivers the span is well maintained. "While it will eventually be demolished, right now we are doing sporadic repairs ... to make sure safety is maintained," Ste-Marie said, adding the Dorval Circle is to be reconfigured to ease traffic woes in the area, not because it is unsafe. As for the current state of Quebec's overpasses, Vaillancourt said he's a little nervous, despite the progress. "It's easy to know when there's a hole in the pavement, but it's hard to know when a bridge will collapse," he said. "You never know." aluft@thegazette.canwest.com http://www.canada.com/montrealgazette/news/story.html?id=b45ac453-fbf9-45aa-8380-c55e10568c42&p=2
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