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  1. Je me disais que ce serait bon partir un thread traitant des restaurants qui ne coûtent pas cher à Montréal (et sa région). Ce que je recherche c'est surtout des choses originales, exotiques, ou du québécois mais de bonne qualité. Sans être dans le "pas cher" ça peut être simplement un coup de coeur. Ma suggestion? Un restaurant indien sur Parc, coin Beaumont. Je ne me souviens plus du nom, mais avec un slogan comme "100% excellente nourriture" on peut pas se tromper! Faut pas être regardant sur la propreté par contre... Dans le Vieux-Longueuil, sur St-Charles, j'adore chez Samar, un resto Libanais avec une belle ambiance intime, où le souper peut facilement durer 3 heures. On s'en sort pas en bas de 70$ pour 2 avec le vin par contre. Il y a peut-être moyen de payer moins cher, mais quand je vais là je veux tout essayer!
  2. C'est rien de nouveau, même chose à chaque année. Cependant, la ville accuse les citoyens, mais en revanche, les citoyens ne s'y retrouvent plus. Ils ont une amende parce qu'il ne nettoient pas le devant de chez eux, et s'ils nettoient, ils ont une amende pour vols de job de col bleu. La question est beaucoup plus : est-ce que les citoyens savent s'ils peuvent, ou non, nettoyer leur devant ? -------------------------------- À l'approche de la saison touristique De la saleté partout Sébastien Ménard Le Journal de Montréal 03/05/2009 06h31 Malgré toutes les campagnes de propreté et les promesses faites par la Ville de Montréal, le centre-ville est toujours aussi sale à l'aube de la nouvelle saison touristique. Le Journal a parcouru les rues du centre-ville, hier, et y a observé de la saleté partout. Des sacs à ordures entrouverts et déposés en bordure de la rue alors qu'il n'y a pas de collecte. Des poubelles qui débordent et dont les déchets volent au vent. Des mégots de cigarette, des verres vides, des cannettes et des débris de toutes sortes qui traînent sur la voie publique ou même dans des bacs à fleurs... La scène est bien loin de celle promise depuis plusieurs années par le maire de Montréal, Gérald Tremblay, qui répète avoir fait de la propreté sa «priorité.» La ville perd son cachet Rue de la Montagne, en début d'après-midi. Des sacs à ordures déchirés sont abandonnés devant un commerce, alors qu'aucune collecte n'est prévue. Patrick Lang et sa conjointe Marie, deux Américains résidant au New Hampshire, se désolent de la situation. Ils connaissent la métropole depuis plusieurs années et la visitent plus fréquemment depuis que leur fille étudie à McGill. «Montréal est une belle ville, mais quand il y a des choses comme ça, elle ressemble à une ville américaine ordinaire, juge Mme Lang. Elle perd son cachet européen», dit-elle. Son conjoint est du même avis. «Ce serait facile de régler la propreté dans cette ville, estime M. Lang. Quand on voit des verres de café ou des mégots de cigarette qui traînent partout, il faut dire aux gens de se ramasser.» Le message ne passe pas Au cours des dernières années, la Ville a lancé de nombreuses campagnes pour inviter les citoyens à améliorer la propreté de Montréal. Pas plus tard que vendredi, elle récividait avec l'opération «Ménage ton voisinage», qui vise à réduire la présence de déchets dans les rues. En tout, la Ville investira 10 M$, cette année, pour améliorer la propreté. Pourtant, le message ne passe pas, reconnaît le responsable de la propreté à la Ville de Montréal, Luis Miranda. «L'ouvrage est à recommencer continuellement», déplore-t-il. Une opinion partagée par Jean-Yves Duthel, de l'arrondissement Ville-Marie. «Il y a toujours des délinquants», dit-il. Les inspecteurs de cet arrondissement sont chargés de remettre des contraventions aux citoyens qui sortent leurs ordures dans la rue même lorsqu'il n'y a pas de collecte. «Il y a moins de récivistes que l'an dernier, assure M. Duthel. Ce sont souvent les mêmes. Par exemple, il se distribue beaucoup d'amendes dans le quartier chinois», souligne-t-il.
  3. Propreté de la ville: comparer Montréal et Québec? Émilie Bilodeau La Presse Décidément, la Ville de Québec a la cote par les temps qui courent. Alors que les touristes américains désertent Montréal pour participer à la grande fête de son 400e anniversaire, voilà qu’une nouvelle étude semble indiquer que Québec est beaucoup plus propre que la métropole. Les Montréalais sont deux fois plus nombreux que les gens de Québec à déplorer la présence de graffitis, vandalisme et déchets dans leur quartier. C’est ce que révèle une étude sur les incivilités dans les métropoles publiée hier par Statistique Canada. À Montréal, 17% des citoyens estiment que les ordures à la traîne, les bâtiments abandonnés, les graffitis ou la détérioration des biens publics représentent un problème dans leur quartier. À Québec, 8% de la population dénoncent ces nuisances. «Sans enlever ses grandes qualités à Québec, on ne peut pas comparer un village à une grande ville comme Montréal», s’exclame Marcel Tremblay, responsable des services aux citoyens de la Ville de Montréal. Selon lui, la propreté de Québec durant les festivités du 400e est due à un «budget astronomique» octroyé pour l’événement. L’étude démontre que le nombre de plaintes concernant les incivilités a tendance à augmenter lorsqu’on se rapproche des secteurs à densité de population élevée. La moitié des Montréalais situés à moins de cinq kilomètres du centre-ville sont témoins de certaines incivilités. Lorsqu’on s’éloigne à plus de 15 kilomètres du centre, 18 % des citoyens constatent des problèmes. Jacques Perron, porte-parole de la Ville de Québec, reconnaît que la concentration urbaine de Montréal rend le maintien de la propreté plus difficile qu’à Québec. Il incite les Montréalais à se responsabiliser. «Il n’y a pas une administration municipale qui va prendre le dessus sur les négligences des citoyens», explique-t-il. À Québec, pour vaincre les problèmes d’insalubrité des secteurs touristiques, une escouade de jeunes en réinsertion sociale est chargée d’effacer les graffitis et de maintenir la propreté. Les poutres de l’autoroute Dufferin ont été offertes aux artistes. Depuis, les graffitis sont remplacés par des murales. Par ailleurs, de Halifax à Vancouver, les habitants de 12 grandes villes ont tous considéré la vente et la consommation de drogue comme étant le problème le plus grave dans leur quartier. Cette statistique étonne le professeur Jean-Sébastien Fallu, de l’école de psychoéducation de l’Université de Montréal. «Ça me surprend puisque ces crimes ne s’attaquent ni aux personnes, ni aux biens publics», dit-il.
  4. Jeudi 15 Novembre 2007 " En 2008, nous franchirons une autre étape très importante: l'embellissement. Un fonds de 250 000 $ sera consacré uniquement à des projets d'embellissement. Nous voulons que nos propres installations soient non seulement propres, mais qu'elles soient jolies. Nous devons donner l'exemple ", a ajouté Marcel Tremblay, du comité exécutif de la Ville de Montréal. Les projets sont nombreux en 2008 : présence prolongée de la brigade de la propreté, harmonisation de la réglementation et mise en place d'un système de saisie des constats électroniques, sans compter un programme ambitieux de nettoyage des graffitis d'un million de dollars, dont une portion sera consacrée à la réalisation de murales de qualité.
  5. La PresseLe mercredi 30 mai 2007 La Ville de Montréal est incapable de respecter l'ambitieux plan de gestion de l'eau qu'elle a adopté il y a tout juste quatre ans. Le vérificateur général Michel Doyon a révélé hier un trou de 391 millions de dollars dans le budget d'exploitation prévu: la Ville a investi moitié moins que promis pour renouveler son réseau d'égouts et de distribution d'eau entre 2002 et 2006. Ainsi, alors que la Ville de Montréal s'était engagée en 2002 à investir 200 millions de dollars par année pendant 20 ans pour retaper ses infrastructures de l'eau, elle n'a versé que 100 millions en moyenne. Cet écart important «préoccupe» le vérificateur général: une proportion importante du réseau a déjà atteint ou est en voie d'atteindre sa durée de vie utile. «Plus on attend, plus les réparations risquent de coûter cher», a-t-il remarqué. Frank Zampino, président du comité exécutif de la Ville, a accusé Québec et Ottawa d'être responsables de la situation: «Les subventions disponibles entre 2002 et 2005 n'ont pas été aussi élevées que celles que nous avions anticipées au départ.» Mais quelle qu'en soit la cause, le vérificateur général remarque que ce retard obligera les gestionnaires à revoir leur stratégie d'ensemble, et peut-être même à en réévaluer les objectifs. Michel Doyon craint aussi que le plan d'évaluation ne soit plus à jour lorsque viendra le temps d'établir le plan d'intervention, dans trois ans. La Ville n'effectue d'ailleurs aucun rapport périodique des travaux effectués sur le réseau, ce qui complique le suivi. Des lacunes côté gestion Au moment où le maire Tremblay réclame un financement accru pour la métropole, le vérificateur général a ainsi révélé hier que plusieurs millions lui échappent alors que d'autres sont dépensés sans faire l'objet d'un suivi rigoureux. L'administration Tremblay tient dans ce cinquième rapport le rôle de l'élève qui, malgré sa bonne volonté, obtient des résultats décevants dans plusieurs matières. Du côté de la gestion, Michel Doyon s'inquiète de lacunes importantes observées au moment de l'attribution de contrats par les arrondissements. Le quart des 20 contrats étudiés ont été octroyés sans qu'aucune estimation détaillée des coûts n'ait été effectuée au préalable et autant l'ont été sans estimation sommaire. Dans ces conditions, il est très difficile d'évaluer objectivement les soumissions reçues à la suite de l'appel d'offres. «Cela dénote un sérieux manque de rigueur, a relevé hier Michel Doyon. Est-ce que c'est comme ça à l'échelle de la ville? Je ne suis pas en mesure de le dire, mais il y a visiblement de bons et de moins bons arrondissements.» Le bilan de la Ville est aussi entaché par la gestion du programme pour la propreté, si cher au maire Tremblay. En 2006, la Ville de Montréal a accordé 10 millions de plus aux arrondissements... dont près du tiers a été distribué sans qu'aucune indication sur les moyens de le dépenser ait été donnée, ou qu'aucune activité à privilégier n'ait été mentionnée. Pire encore, les informations reçues par l'Unité propreté et entretien Montréal (UPEM) sont insuffisantes pour évaluer le succès des actions prévues par les arrondissements. Bref, même si le vérificateur général ne doute pas que l'argent a bel et bien été dépensé pour nettoyer la ville, il est incapable savoir s'il le coup de balai a été efficace. Le rapport démontre également que la Ville de Montréal a laissé filer de ses coffres des centaines de millions de dollars en contraventions impayées, certaines remontant à 1980. Un peu plus de 200 000 ont été mal remplies par des agents distraits, une situation qui devrait toutefois être corrigée par l'implantation, sous peu, d'un nouveau gestion système d'émission des constats informatisés, a promis hier Frank Zampino. La Ville se félicite L'administration Tremblay a montré patte blanche, hier, au moment de la remise de ce bulletin et promis d'y «assurer un suivi rigoureux». Le vérificateur général a d'ailleurs souligné que 91% des recommandations de 2005 ont effectivement fait l'objet d'un suivi. Par contre, la Ville tarde à faire le ménage de ses logiciels informatiques, un engagement pourtant pris en 2003 à la suite du rapport d'un précédent rapport du VG. Hier, Michel Doyon a déploré l'état de «grande désuétude» d'une vingtaine de logiciels «d'une importance critique». Le service de courriels de la Ville est confus: il existe encore, cinq ans après les fusion, des adresses dont le domaine est CUM, du nom de l'ancienne Communauté urbaine de Montréal. Le chef de l'opposition, Noushig Eloyan, y a vu un signe de «l'incohérence» de la gestion de la ville. «C'est difficile de projeter une image forte quand nos constituantes ne veulent même pas s'identifier à leur ville.» Voici, en bref, les principaux constats du vérificateur général Propreté Montréal ignore comment trois des 10 millions ajoutés au budget de propreté en 2006 ont été dépensés par les arrondissements. Eau Les investissements prévus à la réfection des infrastructures de l'eau à Montréal accusent un retard de 50%. Réservoirs de produits pétroliers Le vérificateur général a étudié la sécurité des 79 réservoirs de produits pétroliers de la Ville. Les installations ne présentent qu'un «faible» risque de fuites pouvant causer des dommages à l'environnement. Santé et sécurité au travail La Ville, plus important employeur du Québec inscrit auprès de la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST) ne dispose d'aucune politique générale dans ce domaine. Un groupe de travail devra être mis sur pied «sans délai» pour corriger la situation. Attribution des contrats Des contrats de plusieurs dizaines de milliers de dollars ont été attribués sans qu'aucune estimation préalable ait été effectuée. Les mairies d'arrondissement ont de plus la mauvaise habitude de fournir dans leurs appels d'offres le montant prévu pour les dépenses contingentes, qui représentent généralement 10% de la dépense totale prévue. Les soumissionnaires peuvent ainsi facilement calculer le prix estimé pour le contrat visé, et y calquer leur proposition, plutôt que viser le plus faible coût possible. Constats d'infraction Plus de 400 000 constats d'infraction demeurent impayés depuis 1980, la plupart parce qu'ils ont été adressés à des résidants étrangers ou qu'ils ont été mal remplis. Le vérificateur général a aussi montré du doigt les délais dans le traitement des constats émis en 2005, qui oscille entre 7 et 13 jours. Plan directeur informatique Le plan directeur, recommandé par le vérificateur général en 2003, n'a toujours pas été approuvé par le comité exécutif de la Ville. Le réseau, vétuste, présente des lacunes importantes.
  6. (28 avril 2007 )L’arrondissement de Rosement plantera 350 arbres de rues d’ici la fin de l’année sur l’ensemble du territoire. Entre autres, sur la rue Beaubien, 49 arbres seront plantés entre la rue Saint-Denis et le boulevard Saint-Laurent. Ce qui complétera le réaménagement de cette artère. Reverdir les parcs de l’arrondissement Le programme horticole prévoit la plantation d’une cinquantaine d’arbres au parc Père-Marquette. En plus des 50 arbres ajoutés au parc Lafond, 31 arbres seront plantés au parc Molson. Par ailleurs, 39 arbres et 1000 arbustes et plantes vivaces seront plantés dans les parcs Cité-Jardin, Mozart, du Pélican et Sainte-Bernadette. Le programme prévoit aussi la plantation de 40 000 fleurs annuelles. Ces fleurs se retrouveront principalement dans les plates-bandes décoratives des parcs et des artères commerciales. L’arrondissement distribuera en plus 46 000 fleurs aux citoyens, le 26 mai, dans le cadre du volet embellissement de sa campagne de propreté. Programme d'élagage bonifié Cette année l'arrondissement investira 350 000 $ dans son programme d’élagage. Par ce programme, on vise à maintenir la qualité du domaine végétal public. En 2006, on a ainsi répondu à 800 appels d’urgence, ainsi que l’élagage de plus de 1600 arbres.
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