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  1. Je trouve cette réflexion bien articulée. Je peux vous confirmer que la gestion de programmes tel le Régime de Pension du Canada (RRQ au Qc), la pension de vieillesse (PV), le supplément du revenu, l’assurance emplois (si inclus dans le RAG) sont diablement complexes à gérer, et sont surement plus coûteux qu’une consolidation dans un programme universel de RAG. http://www.ledevoir.com/politique/canada/447214/serions-nous-enfin-murs-pour-le-revenu-annuel-garanti
  2. Des responsables dans l'industrie automobile s'attendent à ce que l'année soit marquée par un mouvement de concentration du secteur. Pour en lire plus...
  3. L'industrie du plastique garde un fort potentiel et fait preuve de créativité, mais le secteur au Canada accuse tout à coup de la surcapacité et fait face à une consolidation douloureuse. Pour en lire plus...
  4. La direction estime que cette structure permettra de profiter pleinement de circonstances uniques et de bien se positionner en vue d'une consolidation de l'industrie. Pour en lire plus...
  5. Vent de consolidation dans le génie-conseil 12 août 2008 - 06h28 La Presse Clément Sabourin En cinq ans, le nombre de sociétés québécoises spécialisées dans le génie-conseil est passé de 87 à 55, une baisse de 37%. Parallèlement, les recettes d'exploitation ont enregistré une croissance annuelle frôlant les 10%. Entre fusions et acquisitions, cette industrie hautement spécialisée est en pleine consolidation. Le 4 août dernier, Genivar a annoncé l'acquisition de l'entreprise Solmers, de Varennes. Trois jours plus tôt, le fonds de revenu dirigé par Pierre Shoiry avait racheté la société ontarienne Zenix Engineering. Le profil de ces deux entreprises résume parfaitement le mouvement de consolidation actuel. Elles sont de petite taille (54 et 40 employés) et détiennent une expertise dans un domaine extrêmement spécialisé: le confinement des déchets dans les secteurs municipal et industriel pour Solmers; la conception d'enveloppes et de toitures de bâtiment pour Zenix. En 20 mois, Genivar a acquis 20 sociétés. Un record, certes, mais un phénomène généralisé dans ce secteur en croissance constante. Entre 1999 et 2006, les revenus des services de génie au Québec sont passés de 1,9 à 3,2 milliards de dollars, une croissance de 48%. Parallèlement, le nombre de bureaux de génie-conseil a connu un mouvement de consolidation qui est actuellement à son paroxysme. Selon l'Association des ingénieurs-conseils du Québec (AICQ, qui représente 95% des sociétés du secteur), le nombre de sociétés spécialisées est passé de 280 à 55 entre 1987 et 2008. Et depuis cinq ans, le nombre de firmes recensées a baissé de 37%. Stratification de l'industrie Selon Louis Hébert, spécialiste des fusions-acquisitions à HEC Montréal, ce mouvement de consolidation a eu pour effet de diviser l'industrie québécoise du génie-conseil en deux strates claires: «D'un côté, on a les très petites entreprises et, de l'autre, les très grandes. Toutes celles de taille moyenne sont en voie de disparition. Soit elles deviennent grandes en avalant les petites, soit elles se font avaler.» Du point de vue des grandes sociétés comme Genivar ou SNC-Lavalin, il y a là un impératif de croissance. Pour répondre aux nouveaux besoins de leurs clients, elles doivent offrir un éventail de services le plus multidisciplinaires possible. «Les clients de ces entreprises deviennent de plus en plus gros et donc leurs projets aussi. Il leur faut de grandes firmes qui leur donnent accès à l'ensemble des compétences dont ils ont besoin», poursuit M. Hébert. C'est donc la course aux expertises et aux procédés industriels ultraspécialisés. Or, explique Pierre Shoiry, président de Genivar, la simple croissance interne d'une entreprise ne permet pas d'atteindre rapidement ces objectifs. «Pour pénétrer un nouveau marché, on préfère y aller par acquisition parce qu'on a une entrée instantanée.» L'achat de petites sociétés est donc la meilleure des solutions. D'autant plus que le secteur connaît une pénurie de main-d'oeuvre généralisée. Cette année, le taux de chômage chez les ingénieurs est de 3,5%; il est de 6,8% en moyenne au Québec. En devenant la filiale d'un groupe d'envergure, les petites entreprises obtiennent de nouveaux contrats grâce aux réseaux déjà établis. «En restant une petite firme, on se contente des miettes», dit M. Hébert. Michel Marcotte, président de Solmers, indique que, avant que Genivar lui fasse sa proposition, lui-même avait déjà fait deux offres d'acquisition. «Genivar est dans un mouvement de dynamisme, ce qui est entraînant pour nous au plan de la croissance», estime-t-il. Il explique que l'expansion de Solmers passe par l'étranger, ce qui oblige à «des moyens qu'une firme de 50 employés n'a pas nécessairement». Pas près de s'arrêter De l'avis de Johanne Desrochers, présidente de l'AICQ, il serait étonnant que ce mouvement ne continue pas. «Quand on regarde les groupes importants un peu partout au Canada et dans le monde, on voit qu'ils n'ont pas le choix de grandir.» «C'est un phénomène que l'on voit ailleurs. La fin n'est pas pour demain», confirme Pierre Shoiry. Louis Hébert partage ce point de vue. Il souligne que toutes les entreprises connaissent actuellement une phase de transformation technologique. «Elles subissent beaucoup de pression pour être concurrentielles, ce qui augmente leur besoin d'investir en technologie et en ingénierie.» Reste que, pour soutenir ce mouvement, les entreprises québécoises de génie-conseil n'auront pas le choix: elles devront s'implanter au Canada et à l'étranger. Car, comme le fait remarquer Mme Desrochers, «plus on grandit, plus on doit grandir.»
  6. En cinq ans, le nombre de sociétés québécoises spécialisées dans le génie-conseil est passé de 87 à 55, une baisse de 37%. Pour en lire plus...
  7. Montréal, le 13 décembre 2007 - Le maire de Montréal, monsieur Gérald Tremblay, et le maire de l'arrondissement de Rosemont—La Petite-Patrie, monsieur André Lavallée, sont heureux d'annoncer qu'une nouvelle bibliothèque publique sera construite sur les terrains des anciens ateliers municipaux Rosemont. Il s'agit d'un investissement total de 12,5 M$. « Les bibliothèques représentent en quelque sorte le cœur d'un quartier. Véritables lieux de rencontre, elles donnent à ceux qui les fréquentent accès à la culture et au savoir. Ces lieux de convergence sont une porte d'entrée sur le monde et sur toute l'histoire de l'humanité. Quand on entre dans une bibliothèque, les frontières du monde et du temps tombent. La construction de cette nouvelle bibliothèque démontre, encore une fois, que notre administration est résolue à consolider Montréal comme ville de savoir et comme métropole culturelle », a déclaré le maire Tremblay. Après avoir augmenté de façon significative les heures d'ouverture des 44 bibliothèques publiques puis procédé à l'harmonisation des systèmes informatiques, cette nouvelle bibliothèque représente un pas de plus dans la réalisation du plan de consolidation du réseau de bibliothèques publiques de Montréal, mis de l'avant depuis 2005. « Ce projet répond à un besoin clairement exprimé par la population de Rosemont—La Petite-Patrie, soit celui d'avoir accès à des lieux de savoir et de culture dans leur quartier. La future bibliothèque qui sera érigée dans l'environnement immédiat du métro Rosemont, pourra ainsi desservir un important bassin de population, et plus particulièrement les familles du quartier. Cette annonce constitue un pas en avant très significatif par rapport au plan de développement culturel de l'arrondissement adopté l'an dernier », de se réjouir monsieur Lavallée. Une bibliothèque adaptée aux familles Le concept de famille guidera la conception de cette bibliothèque, ses aménagements et ses services. La vocation familiale sera perceptible dans plusieurs choix de la bibliothèque : des espaces spécifiques seront aménagés pour les adultes, les adolescents et les enfants; une répartition différente accordera une importance particulière aux enfants et l'aménagement sera adapté aux besoins de la clientèle famille (tables à langer, emplacement pour les poussettes). Quant aux adultes et adolescents, ils pourront profiter de salons de lecture, de sections d'écoute et de petites salles fermées pour le travail en équipe. Une salle multimédia sera également aménagée. Finalement, les programmes d'animation et de médiation culturelle seront adaptés à la clientèle. Plan de consolidation des bibliothèques publiques de Montréal Depuis 2005, la Ville de Montréal a entamé un important plan de consolidation des bibliothèques publiques. Ainsi, la gratuité a été instaurée partout et 4,7 M$ sont investis de façon récurrente afin d'augmenter les heures d'ouverture jusqu'à un minimum de 53 heures par semaine dans chacune des 44 bibliothèques publiques de Montréal. De plus, la Ville a investi quelque 4,5 M$ pour l'harmonisation des systèmes informatiques. Récemment, la Ville lançait un site Internet amélioré comprenant le catalogue Nelligan qui permet désormais aux citoyens d'accéder aux plus récentes technologies de l'information, et ce, à partir de leur bibliothèque de quartier.
  8. Thursday, August 23rd, 2007 Areva T&D Canada adding 94 jobs as it consolidates operations near Montreal Canadian Press MONTREAL (CP) - Areva T&D Canada is adding nearly 100 new jobs as it consolidates its Canadian operations in La Prairie, Que., southwest of Montreal. The energy company said the plant will be expanded by March 2008, primarily to meet the new needs of its systems business unit. "The consolidation will make it possible to better meet the needs of our clients, present and potential, and increase of commercial synergies in a market where reaction and response time are essential to success," president Greg Farthing said in a release. "Furthermore, this reorganization will help us to respond to a growing number of clients who want integrated turnkey solutions consisting of products manufactured by several business units." The Quebec plant will eventually house more than 300 employees. A facility in nearby St-Leonard will be closed. The company said the consolidation follows the launch of its new systems group business unit, HT shop layout, acquisition of new tools for the production of high-tension circuit breakers and disconnectors, implementation of new manufacturing software and the strengthening of its sales force in Canada. Areva provides technological solutions for carbon dioxide-free power generation and electricity transmission and distribution. The Canadian company is a division of French nuclear giant Areva.
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