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Merci booboohome pour nous avoir ressorti ces articles.

 

Ça fait depuis l'histoire de l'îlot voyageur que je me suis mis à douter des "activitées" de Busac, car je connaissais aussi l'histoire de la tour Olympique. Ces articles confirment qu'ils sont croches. Il y a quelque chose de pas sain.

 

Watch out la salle de l'OSM si ils ont le PPP.

 

Selon les dernières nouvelles Busac s'est retiré du consortium soumissionaire pour l'OSM. Je pense que SNC a du réaliser que cela allait pénaliser leur proposition.

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Selon les dernières nouvelles Busac s'est retiré du consortium soumissionaire pour l'OSM. Je pense que SNC a du réaliser que cela allait pénaliser leur proposition.

 

Bonne nouvelle, je pense pas que le gouvernement aurait été assez cave pour signer une entente avec les bandits de Busac!

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ok Y a qqchose de très très croche avec ce busac et le gouvernement en place...y a une (GROSSE) anguille sous roche.

 

Combien de compagnies au quebec connaissez vous qui ont fait autant de manipulations directement avec de l'argent public de manière répétée?

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  • Administrateur
Est-ce que quelqu'un peut me dire ce qui en est du terminus d'autobus ? Est-il complété ? Est-il opérationnel ?

 

Il est complété, mais il ne sera pas fonctionnel, car le lien avec le metro n'est pas fait et le sera quand le reste du projet sera complété...

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Ce que je trouve étrange dans cette histoire, c'est qu'il ne manque probablement que 100 à 300 mètres à ce fameux tunnel, parce qu'ils se rendaient déjà au moins à la moitié du défunt palais du commerce de l'autre côté de la rue. Quand ils ont construit la grande bibliothèque, ils ont créer un nouveau lien directement du centre de la station Berri, on voit toujours cette partie du tunnel placardé quand on se dirige verse l'actuelle station d'autobus, je pense qu'il y a beaucoup de mauvaise volonté dans le dossier.

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  • 2 semaines plus tard...

Îlot Voyageur: la Caisse de dépôt est liée au projet

 

Le Devoir

Kathleen Lévesque

Édition du mardi 17 juin 2008

 

Mots clés : UQAM, Caisse de dépôt et placement du Québec, Îlot Voyageur, Construction, Investissement, Québec (province), Montréal

 

La Caisse de dépôt et placement du Québec participe depuis 2006 à l'administration du contrat de construction de l'îlot Voyageur, un projet immobilier qui a entraîné l'Université du Québec à Montréal (UQAM) dans un gouffre financier de plusieurs centaines de millions de dollars.

 

Comme l'a appris Le Devoir, la société MCAP, propriété à 75 % de la Caisse par sa division immobilière CADIM, a un mandat, toujours en vigueur, d'agent d'administration des débours. À ce titre, MCAP a la responsabilité d'autoriser les avances de fonds, ce qui permet d'effectuer les paiements pour le chantier de l'îlot Voyageur.

 

La participation de la Caisse de dépôt et placement dans ce projet immobilier controversé constitue un autre indice possible indiquant que le gouvernement avait pleine connaissance du développement de l'îlot Voyageur avant que n'éclate la crise de l'UQAM sur la place publique à l'automne 2006. Les services de MCAP ont été retenus environ six mois auparavant, c'est-à-dire au printemps 2006.

 

C'est d'ailleurs à cette époque que le ministère des Finances a racheté les 269 millions d'obligations émises pour le financement de l'îlot Voyageur et entièrement garanties par l'UQAM. L'intervention du ministère visait à éviter une hausse des coûts d'emprunt futurs du gouvernement et de l'ensemble du secteur public. Selon le vérificateur général du Québec, qui a rendu publique la deuxième partie de son rapport particulier sur l'UQAM il y a deux semaines, en faisant cela, le ministère des Finances «a agi correctement».

 

Une fois les 269 millions devenus disponibles, le promoteur Busac, partenaire de l'UQAM pour la construction de l'îlot Voyageur, pouvait aller de l'avant. C'est à ce moment que MCAP est entrée en scène. Il s'agit d'un aspect que le vérificateur général n'a toutefois pas analysé.

 

MCAP n'a rien à voir avec l'émission des obligations comme telle. Ce n'est qu'après cette opération que la société affiliée à la Caisse a été impliquée. MCAP s'est alors assurée que l'argent était utilisé pour le projet auquel il était destiné.

 

«Son rôle est de veiller aux intérêts du prêteur et d'effectuer des demandes de paiements en s'appuyant notamment sur des opinions externes, telles que les rapports d'un consultant en coûts, d'un architecte, d'ingénieurs. [...] Il n'a pas de pouvoir discrétionnaire si des demandes débordent du cadre de l'entente. Advenant un tel cas, il doit obtenir les autorisations nécessaires pour pouvoir procéder à la demande de paiement», a expliqué France Bouffard, porte-parole de la Caisse.

 

Le prêteur dont il est question est le gouvernement qui est devenu propriétaire du prêt hypothécaire en rachetant les obligations University Finance Trust 2006. Quant au consultant en coûts, il s'agit de la firme Altus.

 

Mme Bouffard a refusé de dévoiler qui a donné le contrat à MCAP, quelle en est la nature exacte et à quel tarif. «C'est une entente privée», a-t-elle répété. «Il est par ailleurs exact d'affirmer que la Caisse ou certaines de ses filiales ont eu et ont des relations d'affaires avec Busac», a ajouté France Bouffard.

 

Les documents accompagnant la vente des obligations donnent un certain éclairage. La «notice d'offre» spécifiait que MCAP deviendrait l'administrateur des débours ce que le gouvernement ne pouvait ignorer lorsqu'il a fait l'acquisition des obligations. Au ministère des Finances, on disait il y a quelques jours ignorer tout de la participation de MCAP dans le dossier.

 

Du côté de la Caisse, on s'est borné à préciser que le mandat de MCAP concerne trois des cinq composantes prévues initialement à l'îlot Voyageur.

 

Or, ce projet se composait, d'une part, d'un stationnement souterrain et de résidences étudiantes qui devaient appartenir en propre à l'UQAM une fois le chantier terminé, ce qui n'est toujours pas le cas. D'autre part, Busac contrôlait l'autre portion de l'îlot Voyageur, c'est-à-dire la gare d'autobus, la tour de bureaux ainsi que le pavillon universitaire.

 

Selon toute vraisemblance, c'est l'administration du contrat de construction de ces trois édifices qui relève de MCAP. La Caisse a refusé de le confirmer.

 

Dans son rapport, le Vérificateur général présente les coûts engagés au 31 janvier 2008 dans l'îlot Voyageur. Ainsi, pour les trois composantes relevant de Busac et pour lesquelles l'UQAM doit payer une emphytéose de 30 ans, les coûts engagés totalisent 112,7 millions. À cette somme, il faut ajouter 24,6 millions qui sont des honoraires professionnels supplémentaires et une partie de la rémunération de Busac qui s'appliquent toutefois à l'ensemble de l'îlot Voyageur.

 

Ce chantier est aujourd'hui complètement arrêté. L'UQAM a entrepris des négociations avec Busac afin de revoir les termes du contrat. Le gouvernement a annoncé qu'il prendrait à sa charge l'îlot Voyageur, mais les modalités ne sont pas toujours pas connues. Il avait toutefois indiqué qu'il souhaitait que le développement de ce site du centre-ville soit repris par un nouveau promoteur.

 

Ainsi, la Société immobilière Trans-Québec (SITQ), une filiale de la Caisse de dépôt et placement analyse la possibilité de mettre la main sur l'îlot Voyageur. Depuis l'hiver dernier, la SITQ est en pourparlers avec de «gros locataires» potentiels. Mais si l'intérêt de la SITQ devait se concrétiser, il ne resterait que peu de choses du projet d'origine de l'UQAM et de Busac. Le pavillon universitaire et la tour de bureaux semblent écartés de tout futur développement.

 

http://www.ledevoir.com/2008/06/17/194347.html (17/06/2008 6H26)

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  • Administrateur

Une partie a noter dans l'article :

 

Ainsi' date=' la Société immobilière Trans-Québec (SITQ), une filiale de la Caisse de dépôt et placement analyse la possibilité de mettre la main sur l'îlot Voyageur. Depuis l'hiver dernier, la SITQ est en pourparlers avec de «gros locataires» potentiels. [b']Mais si l'intérêt de la SITQ devait se concrétiser, il ne resterait que peu de choses du projet d'origine de l'UQAM et de Busac. Le pavillon universitaire et la tour de bureaux semblent écartés de tout futur développement.[/b]

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C'est plate que la tour à bureau est écarté du développement car cela aurait très bien encadré le parc actuel et aurait donné un sentiment de finition au square. (La tour planifiée était située sur l'actuel terminus d'autobus si je ne m'abuse). Donc, si ils complètent seulement ce qui est présentement le squelette de béton, ça veut dire que le bâtiment vétuste abritant le terminus face à la Grande Bibliothèque va demeurer, vide et sans vocation! Quel gâchi. :(

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C'est plate que la tour à bureau est écarté du développement car cela aurait très bien encadré le parc actuel et aurait donné un sentiment de finition au square. (La tour planifiée était située sur l'actuel terminus d'autobus si je ne m'abuse). Donc, si ils complètent seulement ce qui est présentement le squelette de béton, ça veut dire que le bâtiment vétuste abritant le terminus face à la Grande Bibliothèque va demeurer, vide et sans vocation! Quel gâchi. :(

 

Quand on voit de tels résusltats, on comprend mieux pourquoi on a peur des projets au Québec. Ça prend ensuite plusieurs succès pour faire oublier un échec comme celui-là.

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