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CHUM - 17, 20 étages (2021)


monctezuma

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Lio Je crois que c'est juste le slogan qu'ils ont gardé, mais le CHUM est pour 2013 ou 2014, ne te réjouis pas trop! ;)

 

Le pavillon principal sera complètement emménagé en 2016. Source fiable.

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Centre de recherches du CHUM

 

 

La construction du nouveau Centre de recherche du Centre hospitalier universitaire de Montréal (CHUM) s'amorcera à l'été 2009 pour se terminer en 2011, a-t-on appris lundi.

 

Quelque 150 chercheurs, qui sont actuellement disséminés sur 7 sites différents, seront regroupés sous un même toit. Le regroupement de tous les centres de recherches permettra de maximiser les équipements qui peuvent être utilisés par plusieurs équipes. Cette rationalisation permettra ainsi d'investir dans l'achat de différents équipements plutôt que d'acheter deux ou trois appareils du même type pour des sites différents.

 

Le directeur du Centre de recherche, Jacques Turgeon, estime que ce regroupement de chercheurs évitera la multiplication des mêmes équipements, mais aussi permettra de créer un environnement de travail qui dynamisera et décloisonnera la recherche.

 

L'idée c'est, plutôt que d'avoir des équipes isolées qui travaillent sur des choses souvent semblables - pour lesquelles on a une duplication des équipements et moins de synergie entre nos équipes - si on est capable de les regrouper ensemble, on fait en sorte que nous pourrons progresser beaucoup plus rapidement. — Le directeur général du Centre de recherche du CHUM, Jacques Turgeon

 

La gestion des fonds de recherche sera également facilitée, selon M. Turgeon, en regroupant toutes les équipes de recherches au même endroit.

 

Le nouveau centre de recherche, qui sera situé à l'angle des rues Saint-Antoine et Saint-Denis, sera donc inauguré avant l'hôpital auquel il sera rattaché. Une situation qui n'occasionnera aucun inconvénient dans le fonctionnement, selon M. Turgeon.

 

« Le Centre de recherche a commencé ses opérations en 1997, tout comme le CHUM lui-même, a déclaré M. Turgeon. Il y a plusieurs aspects de la recherche qui peuvent se faire, qui peuvent s'amorcer[...] c'est une étape tout à fait logique. »

 

 

sur le site de Radio-Canada

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Le mardi 01 avril 2008

 

CHUM: un premier volet à l'été 2009

André Noël

 

La Presse

 

La construction du centre de recherche du CHUM commencera au cours de l'été 2009 le long de la rue Saint-Denis, entre l'avenue Viger et la rue Saint-Antoine, au coût approximatif de 280 millions de dollars en comptant les équipements, ont indiqué hier les responsables du projet au Centre hospitalier de l'Université de Montréal.

 

Il s'agira de la première étape de construction du nouveau CHUM, qui sera érigé juste au nord, de l'autre côté de l'avenue Viger, et qui intégrera les bâtiments existants de l'hôpital Saint-Luc. Le projet total, qui sera réalisé en partenariat public privé, coûtera environ 1,5 milliard de dollars.

 

Le centre de recherche aura une superficie de 46 500 m2 et réunira dans un même lieu les chercheurs actuellement dispersés dans six lieux différents: l'Hôtel-Dieu, l'hôpital Notre-Dame, l'hôpital Saint-Luc, le Technopôle Angus, un bâtiment de la rue Saint-Urbain et MDS Pharma.

 

Il sera en bonne partie construit au-dessus de l'autoroute Ville-Marie et de la ligne de métro numéro 2, mais des experts ont déjà assuré que le problème des vibrations pouvait être surmonté, a indiqué le directeur de la construction du CHUM 2010, Marc Saint-Cyr. Une étude préliminaire, qui sera disponible bientôt, a montré qu'il était possible d'empêcher les vibrations d'affecter les appareils de laboratoire ultrasensibles, a-t-il dit.

 

L'édifice connu sous le nom de Vidéotron, en bordure de l'avenue Viger, appartient déjà au CHUM et sera utilisé pour l'enseignement, a dit le Dr Jacques Turgeon, directeur du centre de recherche. L'édifice des Coopérants, en bordure de la rue Saint-Antoine, sera démoli pour faire place à un nouveau bâtiment. Le nombre d'étages de cet édifice n'est pas encore déterminé, mais il sera inférieur à 18 étages, afin de respecter les règles de zonage municipal. Le verre dominera sur les façades.

 

Près de 1300 personnes travailleront au centre, soit quelque 300 chercheurs cliniciens (des médecins), une centaine de chercheurs formés dans d'autres disciplines que la médecine, des ingénieurs, une centaine de coordonnateurs de recherche, quelque 500 professionnels, techniciens de recherche et employés de bureau, ainsi qu'environ 400 étudiants des niveaux de la maîtrise, du doctorat et du post-doctorat.

 

Le financement des activités du centre de recherche du CHUM a déjà doublé depuis les 10 dernières années. S'élevant désormais à 60 millions de dollars par année, il connaîtra une croissance exponentielle après la construction du nouveau bâtiment, ce qui en fera un des centres de recherche en santé très importants en Amérique du Nord, a dit le Dr Turgeon.

 

Les recherches portent surtout sur six thèmes: le cancer, le syndrome cardio-métabolique; l'infection, l'immunité, l'inflammation; les neurosciences; la santé publique; les maladies musculo-squelettiques.

 

Les contrats en partenariat public privé nécessitent des milliers de pages et des milliers d'heures de discussion. Les firmes de professionnels qui pilotent le projet sont SNC-Lavalin pour la gestion de projet; Bouthillette, Parizeau et associés/Teknika-HBÀ pour le génie mécanique et électrique; CIMA+/Tecsult pour le génie civil et de structure et d'architecture.

 

Le président du conseil du Technopôle Ville-Marie, Me Pierre Marc Johnson, a indiqué il y a deux semaines que trois institutions pourraient s'installer dans ce nouveau Quartier de la santé, soit l'École de santé publique de l'Université de Montréal, les bureaux montréalais de l'Institut national de santé publique du Québec et la Direction de la santé publique du Montréal métropolitain. Me Johnson souhaite que des compagnies privées viennent aussi s'établir près du nouveau CHUM.

 

Source: http://www.cyberpresse.ca/article/20080401/CPACTUALITES/804010638/5077/CPACTUALITES

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CHUM: le Centre de recherche verra le jour le premier

 

Louise-Maude Rioux Soucy

Édition du mardi 01 avril 2008

 

Mots clés : Centre hospitalier de l'Université de Montréal, Centre de recherche, santé, Hôpital, Québec (province)

 

La première pelletée de terre qui viendra lancer les travaux du grand Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) aura finalement lieu à l'été 2009. Prudente, la direction a choisi de commencer les travaux modestement en concentrant son énergie autour de son Centre de recherche, qui n'accapare que le cinquième du budget de 1,5 milliard consacré au mégahôpital francophone. Sur le plan de la recherche toutefois, l'affaire aura des airs de révolution, promet son directeur, qui parle d'«un véritable saut quantique».

 

Le CHUM compte présentement six sites destinés à la recherche pour un total de 28 000 m2 d'espace de laboratoire. Les 1290 chercheurs du CHUM travaillent donc en solo et en silo, ce qui donne lieu à de nombreux dédoublements, pour certains très coûteux. Quant à la synergie, elle passe difficilement, admet le directeur du futur Centre de recherche du CHUM, le Dr Jacques Turgeon. «Présentement, on a des équipes qui travaillent sur un même sujet sans se concerter. Réunies dans un même espace, elles gagneront en temps et en expertise.»

 

Le CHUM pourra aussi économiser sur le matériel de pointe qu'il doit présentement acheter en double, en triple, sinon davantage pour que toutes ses équipes soient fonctionnelles. Déjà, un rapprochement des activités de recherche qui ont lieu dans ses trois hôpitaux a permis au CHUM de voir ses activités économiques croître sans discontinuer au cours des dernières années. «Il s'agit ici d'une progression linéaire, mais, avec le regroupement des six sites, nous visons carrément le saut quantique», a résumé le Dr Turgeon.

 

Les devis de performance qui viennent donner son âme au centre sont déjà prêts. Ils prévoient 75 laboratoires de 75 m2 chacun pour une superficie totale de 46 500 m2. Coût prévu: 215 millions pour la construction seulement. Avec les équipements, le CHUM évalue que son centre de recherche coûtera au bas mot 280 millions. Mais les coûts définitifs ne seront connus que plus tard au printemps 2009, quand l'entente avec le maître d'oeuvre aura été conclue.

 

Comme le futur hôpital, le centre de recherche sera en effet construit en partenariat public-privé (PPP). C'est donc un des deux consortiums retenus (Axor/Dalkia et Accès recherche) qui tiendront les rênes architecturales. Ceux-ci devront toutefois répondre aux devis de performance déposés par le CHUM. Les esquisses présentées hier le sont donc à titre indicatif seulement. Le futur Centre de comptera-t-il douze, dix ou huit étages? Chose certaine, il en aura moins de 18 selon le voeu exprimé par la Ville de Montréal.

 

Pour le reste, le maître d'oeuvre aura carte blanche ou presque, a admis Marc Saint-Cyr, directeur, construction CHUM 2010. «Les esquisses présentent en fait la texture architecturale du centre que l'on veut transparente avec beaucoup de lumière naturelle.» Quant à la manière d'y donner forme, le consortium retenu agira à sa guise, pour autant qu'il respecte les devis de performance du CHUM et les balises fixées par la Ville.

 

Même la délicate question des vibrations de l'autoroute Ville-Marie, difficile à concilier avec les instruments extrêmement précis d'un centre de recherche, sera de son ressort. Le consortium devra toutefois faire la preuve que la technologie qu'il a retenu réussit le test du réel. Celui-ci pourra s'inspirer d'une étude que le CHUM se prépare à publier et qui montre que les vibrations de l'autoroute ne «sont pas incompatibles avec la mission d'un centre de recherche d'envergure internationale», a dit M. Turgeon sans donner plus de détails.

 

Si tout va bien, les chercheurs pourront intégrer leurs nouveaux locaux à la fin de 2011. Quant à l'hôpital lui-même, il sera prêt en 2013, a répété hier le directeur général du CHUM, le Dr Denis R. Roy. «Le CHUM 2010 est prévu pour 2013 et, à la manière dont les choses vont, nous serons en temps», a dit le Dr Roy, en précisant que des rencontres seront désormais organisées toutes les quatre à six semaines afin de tenir la population et la presse au courant des plus récentes avancées.

 

http://www.ledevoir.com/2008/04/01/183059.html (01/04/2008 19H10)

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