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CHUM - 17, 20 étages (2021)


monctezuma

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ce qui me frustre le plus, c'est de voir des centaines de milliers de dollars, voir quelques millions flambés dans une campagne de promotion intitulée CHUM 2010. Des dessins, des conférences, des sites internet, des publicités, des logos etc.

 

Tout ça pour rien du tout !! 2010 approche dangereusement et on ne sait même pas ce qui sera construit.

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ce qui me frustre le plus, c'est de voir des centaines de milliers de dollars, voir quelques millions flambés dans une campagne de promotion intitulée CHUM 2010. Des dessins, des conférences, des sites internet, des publicités, des logos etc.

 

Tout ça pour rien du tout !! 2010 approche dangereusement et on ne sait même pas ce qui sera construit.

 

 

J'aimerais te souhaiter la bienvenue dans le club des frustrés!!!;):thumbsup:

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ce qui me frustre le plus, c'est de voir des centaines de milliers de dollars, voir quelques millions flambés dans une campagne de promotion intitulée CHUM 2010. Des dessins, des conférences, des sites internet, des publicités, des logos etc.

 

Tout ça pour rien du tout !! 2010 approche dangereusement et on ne sait même pas ce qui sera construit.

Probablement rien !!

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Je connais bien le projet, et les choses ne sont pas aussi désastreuses que les médias peuvent le laisser suggérer. La révision du plan clinique consistera selon moi à augmenter l'envergure du projet mais les plans et devis déjà réalisés restent valides.

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Voici encore un article que m'a fait arreter de croire ce qu'on écrit dans les journaux.

 

Hôpitaux universitaires: la facture gonfle, le projet rétrécit

 

Réunis hier soir en assemblée extraordinaire, les médecins spécialistes ont décidé de monter au front et de relancer le débat sur le CHUM.

 

André Noël

 

La Presse

 

Le budget de modernisation des trois centres hospitaliers universitaires de Montréal - CHUM, McGill et Sainte-Justine - a été fixé à 3,6 milliards, mais les coûts atteindront les 4 milliards en raison de l'augmentation des prix de la construction non résidentielle, selon les dernières données fournies par Statistique Canada. Ce dépassement de 400 millions n'a pas été prévu dans les budgets, établis il y deux ans et maintenus tels quels depuis.

 

Le ministère de la Santé trompe la population lorsqu'il présente de faux coûts d'inflation, affirme un comptable agréé à qui La Presse a soumis les documents de planification. «La réalité est là, et les responsables du Ministère la nient, a dit ce gestionnaire d'un important hôpital, qui a demandé de taire son nom. Ou bien les budgets seront défoncés ou, plus vraisemblablement, les services seront réduits.»

 

Dans un document envoyé aux députés le printemps dernier, le bureau de modernisation des trois CHU, qui relève du ministère de la Santé, continue d'affirmer que les trois projets coûteront 3,6 milliards de dollars, soit 1,51 milliard pour le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM), 1,58 milliard pour le Centre de santé McGill (CUSM) et 503 millions pour l'hôpital Sainte-Justine. Les chiffres sont exprimés en dollars de 2004.

 

«Compte tenu de la tendance à la baisse de la courbe inflationniste en 2006, un taux d'inflation annuel moyen de 2,5% a été utilisé pour calculer la provision (pour inflation)» entre 2004 et 2008, écrit Clermont Gignac, directeur exécutif du bureau de modernisation, dans ce document adressé aux députés membres de la Commission permanente de l'administration publique, à la fin du mois de mai.

 

En vérité, au premier trimestre 2008, les prix ont grimpé de 6,2% (et non de 2,5%) dans la construction non résidentielle à Montréal. Selon les calculs faits par une économiste de Statistique Canada, à la demande de La Presse, la provision budgétaire pour l'augmentation des coûts des trois CHU depuis 2004 devrait être de 700 millions, et non de 308 millions.

 

C'est le député Bernard Drainville, critique du Parti québécois en matière de santé, qui a posé le plus de questions à M. Gignac concernant les calculs de l'inflation lors de la commission de l'administration publique, en avril. «Est-ce qu'on peut parler d'un projet de 4 milliards?» avait-il demandé.

 

«Vous voulez me faire dire que le projet va coûter plus que 3,6 (milliards), puis je ne vous le dirai pas», a répondu M. Gignac, qui reconnaissait pourtant que «on a des taux d'indexation ici qui sont autour de 4% dans la construction» et non de 2,5% comme il l'affirme dans ses propres documents budgétaires.

 

«On se demande pourquoi le gouvernement Charest continue à soutenir que les trois hôpitaux ne coûteront pas plus cher, alors qu'ils dépasseront largement les 4 milliards», a dit M. Drainville, au cours d'un entretien hier, en rappelant que l'inflation va continuer à courir d'ici à la première pelletée de terre.

 

«Je ne sais pas pourquoi le gouvernement nous trompe de cette façon-là. Craint-il que l'opinion publique lâche le projet de modernisation, de crainte que ça devienne un énorme éléphant blanc? De deux choses l'une: ou Yves Bolduc (ministre de la Santé) nous explique où il va trouver l'argent, ou encore qu'il nous dise quels services il va enlever. S'il a l'intention de confier au secteur privé une partie des soins qui devait être au CHUM, qu'il ait donc l'honnêteté de nous le dire.»

 

La preuve est en train de se faire que le gouvernement ne profite d'aucune économie en réalisant ces énormes projets selon le mode du partenariat public privé (PPP), dit-il. «Le ministère de la Santé du Royaume-Uni a indiqué aux dirigeants du CHUM et du CUSM qu'il ne faut pas aller en PPP pour des projets d'hôpitaux qui dépassent le milliard de dollars, parce que c'est beaucoup trop complexe. Pourtant, c'est la voie qu'a choisie le gouvernement québécois. Il joue gros avec les deniers publics.»

 

Le bureau de modernisation des trois CHU continue-t-il de prévoir des dépenses de 3,6 milliards malgré une inflation beaucoup plus importante que prévu? «Ce sont toujours nos cibles budgétaires, a répondu la porte-parole, Julie Masse. Bien sûr, l'inflation est un élément qu'on ne contrôle pas... Au moment où l'inflation a été calculée, c'était en prévision qu'on fasse les projets en mode conventionnel (en régie publique). Maintenant qu'on va en PPP, la donne est un peu différente.»

 

Est-ce que les budgets vont être augmentés ou y aura-t-il une diminution des constructions? «Ça peut être un peu de tout», a-t-elle répondu

 

Marie-Ève Bédard, porte-parole du ministre Yves Bolduc, a dit qu'il faudra attendre le lancement des appels de propositions en PPP pour connaître le coût final. «Aussi longtemps que le partenaire privé n'a pas ouvert l'enveloppe, on ne peut pas arrêter le montant total d'un projet... Le coût total n'est pas déterminé de façon absolue. On parle d'estimations.»

 

L'inflation a été sous-estimée

Les prévisions budgétaires du ministère de la Santé pour la modernisation des trois centres hospitaliers universitaires de Montréal, établies à 3,6 milliards, sont fixées en dollars de 2004. Les planificateurs ont inclus une provision pour inflation de 308 millions en calculant un taux d'inflation annuel moyen de 2,5% de 2004 à 2008. En vérité, il aurait fallu calculer une provision de 700 millions.

 

Voici l'évolution des prix de la construction de bâtiments non résidentiels à Montréal à chaque premier trimestre depuis la fin de 2004 :

5,5% en 2005

4,6% en 2006

2,6% en 2007

6,2% en 2008

 

Source : Statistique Canada

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New critic for CHUM plans

Patients rights activist Paul Brunet says it would be better to spread services around

 

MAX HARROLD, The Gazette

Published: 6 hours ago

 

Patients might benefit from some dispersal of services at one of Montreal's planned superhospitals, a patients' advocate says.

 

Responding to comments by Quebec Health Minister Yves Bolduc's spokesperson in the media yesterday, Paul Brunet, head of the Conseil pour la protection des malades, said the suggestion that the Centre hospitalier de l'Université de Montréal may be broken up into different buildings is a good one.

 

"It could provide patients with services on a more human scale," Brunet said.

 

The $1.5-billion superhospital is to replace the Hôtel Dieu, Notre Dame and St. Luc hospitals at the downtown St. Luc site.

 

But the CHUM's plan for 700 beds does not augur well for quality services, he said, as current hospitals "have many problems with just 200 or 300 beds."

 

Such large hospitals often don't work well when it comes to quality patient care, he said.

 

But a somewhat increased concentration of beds is worth it if it comes with better equipment and upgraded research facilities, as has been promised, he said.

 

Health Minister Yves Bolduc will meet with CHUM officials tomorrow to discuss the project, Marie-Ève Bédard, a spokesperson for Bolduc, told The Gazette yesterday.

 

How many beds, the number of operating rooms and whether private clinics will be counted as part of the health centre's campus are "all up for discussion."

 

Opthalmology and psychiatry are services that may end up being moved around, she added.

 

The meeting between Bolduc and CHUM comes after blistering criticism last month from Gaétan Barrette, the head of the 8,000-member federation of medical specialists.

 

Barrette's critique zeroed in on five areas: the anticipated 700 beds vs. the 900 or more he said are required; predicted problems in attracting and keeping staff; difficulties in providing proper access for patients; dilution of CHUM's teaching-hospital vocation; and restricted capacity for physical expansion.

 

Bédard said Barrette and Bolduc both agree on the basic goals of the CHUM - that is should be a world-calibre institution placing patients at the heart of its mission and where doctors' roles are highlighted.

 

mharrold@thegazette.canwest.com

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Où est le capitaine ?

 

Jean-Robert Sansfaçon

Éditorial - Le Devoir

mercredi 10 septembre 2008

 

La rencontre de lundi dernier entre le président de la Fédération des médecins spécialistes, Gaétan Barrette, et le nouveau ministre de la Santé, Yves Bolduc, a amené ce dernier à répéter qu’il était prêt à revoir les paramètres du futur grand hôpital universitaire francophone de Montréal. Mais comment expliquer qu’après tant d’années, les plans de ce projet milliardaire ne soient toujours pas plus clairs ?

 

La montée de lait du président des médecins spécialistes, il y a une dizaine de jours, avait surpris tout le monde tant elle était émotive et peu détaillée. Depuis ce temps, Le Devoir a révélé l’existence de quelques projets de cliniques privées, dont celle du chanteur Garou et une autre de la firme Sedna présidée par l’ancien ministre Michel Clair, qui laisse croire que des négociations très sérieuses sont en cours dans le but de confier une partie des responsabilités du CHUM au secteur privé.

 

Ces faits donnent à penser que le président des médecins spécialistes avait raison de s’inquiéter, même si une partie de son argumentation concernant l’emplacement du futur CHUM sent le réchauffé.

 

Depuis longtemps, il a été prévu que les deux grands hôpitaux universitaires montréalais auraient 700 lits chacun. Ce nombre est moins élevé que la somme des lits existants, mais cela ne tient pas compte des centaines de lits qui seront maintenus à Notre-Dame pour desservir la population locale. En revanche, le nombre de salles d’opération et l’envergure du projet en ce qui a trait au nombre d’interventions annuelles semblent de plus en plus incertains à mesure que le temps passe, ce qui est très troublant.

 

Comment expliquer, par exemple, que des négociations soient en cours entre la direction du CHUM et une entreprise comme Sedna afin que les soins d’ophtalmologie, l’enseignement et la recherche aient lieu dans ses propres locaux ? Pourquoi cela, sinon parce que le budget du CHUM tel qu’il a été établi par Québec ne permettrait pas d’offrir l’espace, les salles d’opération, les laboratoires et le personnel nécessaires pour remplir la totalité du mandat d’un grand hôpital universitaire ? Ce n’est pourtant pas le mandat des cliniques associées prévues par la loi de jouer le rôle d’un établissement de soins ultraspécialisés et d’enseignement universitaire !

 

***

 

Ce qui surprend et qui choque le plus dans cette histoire abracadabrante, c’est que l’on en soit arrivé là sans que personne soit au courant dans la population, voire même au ministère de la Santé. C’est du moins l’impression qui ressort des propos tenus par le président des médecins spécialistes à la sortie de sa rencontre avec le ministre, lundi dernier. Est-il possible que M. Bolduc ne sache rien des négociations en cours entre le CHUM et des groupes d’intérêts privés comme ceux du chanteur Garou et du groupe Sedna ? À moins qu’il le soit, mais refuse de l’admettre ?

 

Autre élément important dans ce débat : les spécialistes semblent craindre qu’une partie d’entre eux soient forcés de rester à Notre-Dame après l’ouverture du CHUM Saint-Luc. Pourtant, il est entendu depuis longtemps que Notre-Dame survivra pour être transformé en établissement local. D’où proviendront les spécialistes de cet hôpital sinon du CHUM actuel ? On ne va quand même pas embaucher une toute nouvelle équipe de spécialistes et de personnel médical ? Est-ce aussi à cela que fait allusion le Dr Barrette quand il dit craindre la division du CHUM sur deux lieux différents ? Et pendant ce temps, au CUSM, comment a-t-on prévu procéder à la répartition des médecins entre le campus Glen et le General Hospital situé sur la montagne ?

 

Depuis que l’on a dilué les responsabilités des deux grands projets entre plusieurs intervenants (ministère, Agence de la santé de Montréal, Agence des PPP, conseil d’administration du CHUM et directeur des projets CHUM et CUSM), on ne sait plus qui est le capitaine. Pas une semaine ne passe sans qu’une nouvelle tuile vienne semer le doute au sujet de la détermination du gouvernement à réaliser ce projet d’envergure. Budget de recherche refusé, congédiement du directeur général, négociations avec le secteur privé... Assez ! Maintenant, c’est au ministre de la Santé de reprendre les rênes de ce projet pour le mener à bon port dans les délais prévus... et en toute transparence.

 

***

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