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CHUM - 17, 20 étages (2021)


monctezuma

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Que diriez vous si on décidait de démolir l'hotel St. James aux vieux Montréal, c'est carrément pareil... vraiment absurde...

 

Comment est ce pareil?

 

OursNoir dis tout haut ce que tout le monde pense tout bas!

 

Moi aussi je n'ai aucuns problèmes si ils décident de démolir cette église. Il y a des centaines et peut être même s des milliers d'églises à Montréal. Celle là n'a rien de particulier et semble être dans un état lamentable. Pourquoi la protéger?

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Comment est ce pareil?

 

 

 

Moi aussi je n'ai aucuns problèmes si ils décident de démolir cette église. Il y a des centaines et peut être même s des milliers d'églises à Montréal. Celle là n'a rien de particulier et semble être dans un état lamentable. Pourquoi la protéger?

 

:pessimist: Malheureusement cette église se trouve au mauvais endroit et n'a jamais été considérée sérieusement dans l'ensemble du projet. Il y a déjà suffisamment de contraintes dans le développement du CHUM sans en ajouter en cours de route.

 

De plus elle occupe ici une surface précieuse de terrain qui peut accueillir plusieurs étages de services à un projet déjà fort limité en espace dans son quadrilatère. Dommage mais parfois il faut faire des choix déchirants, c'est un monument longtemps négligé qui a perdu sa décoration intérieure et qui couterait certainement une fortune à renforcer et pour en faire quoi après?

 

On pourrait certainement avec un peu d'imagination intégrer certains éléments ou reproduire une partie de sa volumétrie rappelant sa présence. Il y a d'ailleurs plusieurs exemples à Montréal de ce genre de rappel. Le musée d'archéologie et d'histoire de la Pointe à Callières en est un qui redessine les contours d'un immeuble qui avait existé au même endroit au siècle dernier.

 

D'une façon ou d'une autre je crains que l'on doive en faire notre deuil, elle ne semble pas être dans les plans du gouvernement. Un/zéro pour l'histoire...

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Selon les derniers plan, le clocher sera préserver, ils vont le déposer sur le coin de St-Denis et Viger.

 

L'architecture du clocher pourra être mieux apprécier car il sera au niveau du sol. C'est un bon compromis et un clin d'oeil au passé!

 

XplorateUrbain

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Selon les derniers plan, le clocher sera préserver, ils vont le déposer sur le coin de St-Denis et Viger.

 

L'architecture du clocher pourra être mieux apprécier car il sera au niveau du sol. C'est un bon compromis et un clin d'oeil au passé!

 

XplorateUrbain

 

:highfive: Super! C'est une bonne nouvelle et un compromis acceptable qui ne minera pas le budget du CHUM.

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Un coup de pouce d'Yvon Deschamps

 

Mise à jour le mardi 3 mars 2009 à 9 h 17

 

Le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) a recruté l'humoriste Yvon Deschamps pour insuffler un nouveau souffle à la campagne de financement de sa fondation, rapporte La Presse.

 

La campagne de financement, dont l'objectif est d'amasser 300 millions de dollars, piétine depuis plusieurs mois. L'ajout d'une personnalité appréciée du public donnera un visage humain au projet, selon le président de la Fondation du CHUM, Ekram Rabbat.

 

M. Rabbat soutient qu'il est difficile de convaincre des donateurs de puiser au fond de leurs poches pour envoyer de l'argent dans un projet qui tarde à se concrétiser. La division des dirigeants sur le choix du site, les délais et les incertitudes sur la forme du projet (partenariat public-privé) a miné la progression du dossier.

 

La fondation n'avait amassé que 24 millions de dollars l'été dernier, mais des donateurs se seraient manifestés depuis. Sans vouloir avancer de chiffres, le président de la fondation est optimiste. Il estime que l'appui d'Yvon Deschamps à la campagne réussira à mobiliser la population, malgré la crise économique qui sévit, dans cette campagne.

 

L'humoriste participera d'ailleurs à l'émission Tout le monde en parle à Radio-Canada pour faire connaître la campagne de financement, dont les fonds serviront à l'achat d'équipement médical et de matériel de pointe.

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Publié le 05 mars 2009 à 23h39 | Mis à jour le 05 mars 2009 à 23h47

PPP du CHUM: le privé veut une garantie financière

 

 

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Début de la démolition de l'immeuble du 333 St-Antoine est, qui sera remplacé par un pavillon du CHUM.

Photo: Robert Mailloux, La Presse

Ariane Lacoursière et André Noël

La Presse

Les consortiums en lice pour la construction du Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM) demandent une garantie financière de plusieurs centaines de millions de dollars au gouvernement, sous peine d'abandonner le projet.

 

Si Québec se plie à cette demande, le principe de transfert de risques des partenariats public-privé (PPP) disparaîtra, selon le président du comité des politiques publiques de l'Association des économistes du Québec, Jean-Pierre Aubry. Dans ce contexte, M. Aubry se demande si le CHUM devrait vraiment être construit en PPP .

 

Avec la crise économique, les consortiums impliqués dans la construction du CHUM sont incapables d'emprunter à long terme. Les compagnies d'assurances refusent d'assurer des prêts aussi considérables. «C'est absolument impossible d'emprunter sur 30 ans», a dit à La Presse un haut placé d'une société impliquée dans un consortium du CHUM.

 

Pour protéger leur viabilité financière, les consortiums veulent que Québec leur paye une bonne partie des coûts de construction du CHUM dès la fin des travaux.

 

La semaine dernière, le gouvernement a annoncé qu'il s'endettera de 75 millions pour payer le tiers des coûts de construction de la nouvelle salle de l'Orchestre symphonique de Montréal (OSM) dès la fin des travaux.

 

Dans le cas du CHUM, un hôpital de 772 lits dont les coûts de construction sont évalués à 1,1 milliard de dollars, les sommes à emprunter seront bien plus considérables. En Ontario et en Colombie-Britannique, le gouvernement a déjà payé de 20% à 50% du coût final. Québec pourrait donc devoir emprunter entre 240 et 600 millions de dollars pour payer le CHUM.

 

Le ministre de la Santé, Yves Bolduc, affirme que le gouvernement n'a pas l'intention pour l'instant de se plier aux demandes des consortiums. «Mais dans la vie, il faut savoir s'adapter. Donc il est toujours possible qu'il puisse arriver des événements qui fassent qu'on doive revoir notre projet, comme j'ai revu le projet au niveau de la construction. (...) Moi, je dis que tant qu'on n'a pas commencé à construire, il est possible de revoir les affaires», dit-il.

 

L'économiste Pierre Hamel, de l'Institut national de recherche scientifique (INRS), explique toutefois que le gouvernement n'a «pas de pouvoir de négociation devant les consortiums». «Les consortiums ne sont pas de mauvaise foi. Ils ne peuvent tout simplement pas emprunter. Ils vont abandonner le projet si le gouvernement ne paie pas», dit-il.

 

Déjà, la compagnie Babcock and Brown s'est retirée du projet du CHUM à cause de difficultés financières. Aucun remplaçant n'a encore été trouvé.

 

En Grande-Bretagne, le gouvernement a annoncé cette semaine qu'il versera 13 milliards de livres en garantie dans le cadre de différents projets de PPP. La crise économique ayant affaibli les compagnies, le gouvernement est dans l'obligation de financer les projets, sous peine de les voir avorter.

 

Un PPP inutile

 

La ministre des Finances du Québec, Monique Jérôme-Forget, a toujours plaidé que l'un des principaux avantages des PPP est que le gouvernement n'a pas à emprunter et que le risque est transféré au privé.

 

«Mais si le gouvernement accepte d'emprunter et de faire un paiement au consortium à la fin des travaux, le principe du transfert de risque tombe», dit M. Aubry.

 

Vu la complexité du projet, décider de construire le CHUM en PPP est une erreur magistrale, selon plusieurs intervenants questionnés par La Presse. «Ça n'a pas de bon sens. Le risque qui est transmis au privé est bien trop gros», confie notre source.

 

Pour M. Hamel, un autre argument allant contre le projet du CHUM en PPP est le manque d'adaptabilité du futur hôpital.

 

Le PPP du CHUM prévoit qu'un consortium privé emprunte de l'argent et construise l'hôpital. «Le consortium reste ensuite propriétaire pour 30 ans et le gouvernement paye un loyer sur cette durée», dit M. Aubry.

 

Durant cette période de location, le gouvernement aura beaucoup de peine à effectuer des améliorations dans le bâtiment. «On devra demander la permission au consortium. Le gouvernement sera dépendant et pourrait en payer le prix», dit M. Hamel.

 

«On aurait dû apprivoiser les PPP avec des projets plus petits», ajoute notre source.

 

Pour M. Hamel, «il n'est pas trop tard pour abandonner le mode de construction en PPP». «Le chantier serait déjà lancé si on était en mode conventionnel, dit-il. Et si on change d'idée, le CHUM sera construit plus vite que si on reste en PPP.»

 

La grogne contre la construction du CHUM en PPP commence à voir le jour au Québec. La Dre Marie Goulet, du groupe Médecins québécois pour un régime public (MQRP), a annoncé à La Presse qu'une coalition formée de plusieurs syndicats et de groupes de pression tiendra une conférence de presse dimanche pour dénoncer le PPP du CHUM.

 

- Avec la collaboration de Pascale Breton

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Photo: Site du centre hospitalier

Maquette du CHUM

 

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Mise à jour le vendredi 6 mars 2009 à 9 h 59

 

 

Au Québec, des voix s'élèvent à nouveau pour remettre en question le bien-fondé de recourir à une formule de partenariat public-privé (PPP) pour construire le futur Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM), un projet évalué à 1,1 milliard de dollars.

 

 

 

Selon l'organisme Médecins québécois pour le régime public et l'Association des économistes du Québec, la situation économique actuelle doit entraîner une remise en cause de ce choix, que défend vigoureusement la ministre des Finances du Québec, Monique Jérôme-Forget.

 

Ces questions sont soulevées au moment où les membres du conseil d'administration du CHUM doivent se réunir à huis clos lundi prochain pour autoriser le lancement de l'appel des propositions pour la réalisation du futur centre hospitalier, comme le révélait Le Devoir cette semaine.

 

Dans son édition de vendredi, le quotidien La Presse affirme que les consortiums en lice pour la construction du CHUM demandent maintenant une garantie financière de plusieurs centaines de millions de dollars au gouvernement du Québec, sous peine d'abandonner le projet.

 

Aux prises avec le resserrement du crédit engendré par la crise financière, ces consortiums sont incapables d'emprunter des sommes gigantesques à long terme, et demandent donc à Québec de leur payer une bonne partie des coûts de construction du CHUM dès la fin des travaux.

 

Jusqu'à nouvel ordre, il reviendra au consortium sélectionné de financer, concevoir, construire et administrer le centre hospitalier. Le gouvernement doit louer l'espace pour les 30 prochaines années, ce qui permettra au consortium de récupérer ses billes.

 

Si le gouvernement Charest devait accéder à la demande des consortiums, a affirmé à La Presse le président du comité des politiques publiques de l'Association des économistes du Québec, Jean-Pierre Aubry, il renierait le principe du transfert de risques en vertu duquel se justifie le recours au PPP.

 

Dans une lettre publiée plus tôt cette semaine dans son site Internet, l'organisme Médecins québécois pour le régime public soutenait lui aussi que la notion de transfert du risque financier ne tient plus la route dans le contexte actuel.

 

« Les événements récents démontrent plutôt l'effet inverse: avec la crise financière, plusieurs sociétés privées ont d'énormes difficultés financières et ne peuvent aisément contracter des emprunts. Récemment, les actions de la société australienne Babcock et Brown [NDLR: membre du consortium Accès santé CHUM], acteur majeur dans le projet de PPP du CHUM, ont même été suspendues en bourse », écrivent les docteurs Marie-Claude Goulet et Alain Vadeboncoeur.

 

« Conséquence? Comme chez les Britanniques, le secteur public assumera les risques de sociétés en situation de faillite et d'endettement, ce qu'il prévoit d'ailleurs dans le projet PPP de la salle de concert de l'OSM, alors que les coûts et les risques associés à un mégahôpital sont bien plus élevés », écrivent les médecins membres dans leur lettre, que publie vendredi Le Devoir.

 

Interrogé par La Presse, le ministre de la Santé, Yves Bolduc, se montre évasif. S'il dit ne pas avoir l'intention de se plier aux requêtes des consortiums, il ajoute: « Mais dans la vie, il faut savoir s'adapter. Donc, il est toujours possible qu'il puisse arriver des événements qui fassent qu'on doive revoir notre projet, comme j'ai revu le projet au niveau de la construction. [...] Moi je dis que, tant qu'on n'a pas commencé à construire, il est possible de revoir les affaires », dit-il.

 

Radio-Canada.ca avec

La Presse et Le Devoir

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Québec doit renoncer au PPP pour le CHUM, dit le PQ

 

Le Devoir

Lisa-Marie Gervais

Édition du samedi 07 et du dimanche 08 mars 2009

 

Mots clés : Parti québécois, Partenariat Public Privé, CHUM, santé, Hôpital, Québec (province), Montréal

 

Ajoutant sa voix aux récentes critiques touchant les partenariats public-privé pour la construction du nouveau CHUM, Bernard Drainville, député du Parti québécois, a exhorté hier la ministre des Finances à laisser tomber le processus de partenariat public-privé pour construire le nouveau CHUM. «Je pense que le gouvernement ferait une très, très grave erreur s'il allait de l'avant avec cet appel de propositions», a-t-il déclaré en évoquant le risque que le Québec se retrouve avec «un éléphant blanc».

 

Selon les plus récentes informations, ne pouvant plus assumer seuls le risque financier de la construction du nouvel hôpital, les partenaires privés du nouveau CHUM auraient demandé au gouvernement de se porter garant du prêt de plusieurs centaines de millions de dollars qui leur serait consenti. «Avec les PPP, le gouvernement libéral voulait pouvoir transférer le risque de dépassements de coûts et de délais au secteur privé lui-même. Mais à partir du moment où ce sont les Québécois qui financent le projet, ce sont eux qui prennent les risques», a souligné le porte-parole de l'opposition officielle en matière de santé.

 

Et en cette période de crise financière, il craint que la facture soit salée. «Une entreprise privée qui a du mal à se faire prêter ne va pas vouloir emprunter à des taux d'intérêt de 10-12-14 % sans vouloir refiler la facture aux contribuables», a-t-il dit. «Si le gouvernement est obligé de garantir, aussi bien que ce soit lui qui finance le projet. Sinon, les Québécois vont payer deux fois: pour la garantie du financement et ensuite, ils vont payer un loyer au partenaire privé qui, lui, va aller se chercher une partie en profits», a soutenu le député péquiste.

 

Au cabinet de la ministre des Finances, on assure que tout est mis en oeuvre pour que le risque ne soit pas transféré aux contribuables québécois. Des nouvelles «orientations» seront annoncées dans les prochaines semaines. «Les risques seront transférés au secteur privé. On travaille là-dessus depuis un moment et on veut éviter les coûts en double», a indiqué Catherine Poulin, l'attachée de presse de Monique Jérôme-Forget.

 

Lundi, les membres du conseil d'administration devaient se réunir à huis clos pour lancer l'appel de propositions, mais le cabinet du ministre de la Santé, Yves Bolduc, a indiqué que ce ne serait pas le cas. Une conférence de presse de l'organisme Médecins québécois pour un régime public, qui dénonce le PPP dans le cas du CHUM, devrait avoir lieu demain.

 

 

http://www.ledevoir.com/2009/03/07/237837.html (8/3/2009 15H04)

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Bon... l'avantage du PPP c'était le partage du risque.

 

Maintenant, le privé dit au gouvernement, tu prends le risque ou on s'en va.

 

Reste-t-il encore des avantages au PPP pour le CHUM ?

 

C'est un peu caricatural. Premièrement, il peut y avoir des paiements de construction qui réduisent le montant à financer pour le partenaire sans pour autant influencer substantiellement le transfert de risque, ça s'est fait pour la plupart des projets PPP au québec (A25, A30 et bientôt OSM). Deuxièment, il y a toujours les transferts de risque liés au contrat "design-build" à prix fixe.

 

En effet, même sans financement long terme, un "design-build" présente un important transfert de risque par rapport au mode conventionnel. C'est l'approche qui a été choisi pour le projet Portmann au B.C. suite à l'echec de la négociation avec le consortium sélectionné (le projet devait se faire en PPP i.e. design-build-finance-operate).

 

De plus, rien ne permet d'affirmer que le CHUM serait déjà en construction si la voie du conventionnel avait été adoptée. Les retards ne sont en effet principalement à un désaccord sur le choix du site et du plan clinique proposé. De plus, en conventionnel, la conception devrait être conduite à 100 % puis approuvé avant que les travaux ne puissent commencer.

 

M. Pierre Hamel est un "économiste" bien connu pour être vendu à la cause syndicale.

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