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Économie de Montréal


Normand Hamel

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Il y a 7 heures, Né entre les rapides a dit :

Montréal affiche une croissance économique remarquable malgré un fardeau fiscal globalement plus élevé que celui de ses principales concurrentes.

Voilà un indice que le revirement est profond et durable.

Il y a 7 heures, Né entre les rapides a dit :

il doit bien y avoir d'autres facteurs en jeu

Comme plusieurs ici l'ont noté je crois que la transformation industrielle de Montréal est très avancée, pour ne pas dire achevée. J'attribue également une bonne part de la performance économique de Montréal au dynamisme de la nouvelle génération d'entrepreneurs.

Un autre point, et non le moindre, c'est que Montréal a retrouvé sa sérénité et cela fait ressortir plus que jamais ses principaux atouts: ville universitaire, lieu de création et d'innovation, cosmopolitisme, multilinguisme et internationalisme, etc.

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Il y a 7 heures, steve_36 a dit :

Mais comme je crois fortement que chaque chose a un mauvais et un bon coté, si les turbulences politiques de l'époque ont été mauvais....et bien aujourd'hui ils sont un sérieux coup de pouce.

En fait Montréal est en mode rattrapage et cela a eu un effet d'entrainement sur le reste l'économie. Il y avait tellement à faire en même temps et c'est ce qui explique l'apparition soudaine de tous ces chantiers de construction. Tout cela est contagieux et redonne confiance aux principaux acteurs. Et comme l'économie repose sur la confiance cela explique le dynamisme actuel.

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Il y a 9 heures, andre md a dit :

Quasi personne  n a vue venir la críse de 2008. Et j attend parler d’une éventuelle récession depuis plus d’un an. Je en sáis país quand cela va arriver. Ca va arriver mais quand.?

Certains économistes ont compris ce qui se passait dès 2005-2006 et ont prévu ce qui s'en venait. Cela semble encore le cas aujourd'hui sauf qu'au lieu de pointer du doigt la bulle des subprimes ils pointent aujourd'hui du doigt la bulle de la dette et particulièrement celle des États.

Cela dit, Montréal est bien positionnée pour faire face à une nouvelle crise car son économie est très diversifiée et est présentement sur une lancée qui sera difficile à arrêter. À moins bien sûr que la prochaine crise financière dure particulièrement longtemps. Ce qui n'est pas à exclure car plusieurs économistes parlent de "japonisation" de l'économie. C'est à dire une économie qui stagne durablement.

Cela est bien possible à mon avis car les taux d'intérêts sont déjà tellement bas qu'advenant une crise les baisser encore davantage serait sans doute insuffisant pour relancer l'économie et elle pourrait donc stagner très longtemps comme on le voit au Japon depuis plus de 20 ans maintenant.

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  • 1 mois plus tard...

Montréal parmi les meilleures métropoles nord-américaines pour la croissance de l'emploi

La ville de Montréal peut se targuer d'afficher l'une des plus fortes croissances de l'emploi en Amérique du Nord au cours des dernières années, montrent des données recensées par l'organisme Montréal international dévoilées jeudi.

Selon ce palmarès, Montréal et sa banlieue se hissent au troisième rang des métropoles nord-américaines avec un taux de croissance de l'emploi de 5,6 % entre 2016 et 2018.

Seules Phoenix, en Arizona (5,6 %), et Riverside, en Californie (6,8 %), ont affiché un meilleur résultat.

La seule autre ville canadienne étudiée, Toronto, a dû se contenter d'un taux de croissance de 4,3 %.

La vigueur du marché de l'emploi montréalais s'explique tout particulièrement par le secteur de la haute technologie, qui a engrangé une augmentation du taux d'emploi de 9,1 % au cours de la même période. Seule Boston, avec une croissance de 14,5 %, a fait mieux de 2016 à 2018.

Pour sa part, Toronto a perdu 2,3 % de ses postes dans le milieu des hautes technologies, qui recoupe plusieurs domaines incluant l'aérospatiale, les sciences de la vie et les technologies de l'information.

En 2018, pas moins de 7,9 % des emplois disponibles à Montréal et dans les environs se trouvaient dans le domaine des hautes technologies. Il s'agit du 6e plus haut taux parmi les 20 métropoles étudiées, loin derrière Seattle (13 %) et San Francisco (11,2 %), reconnues pour leurs nombreuses entreprises du secteur numérique.

Les observations de Montréal international font suite à une autre, publiée au début septembre qui démontrait que la région métropolitaine se classait au premier rang au pays pour la croissance du PIB en 2019, devant Vancouver, Toronto, Ottawa-Gatineau et Calgary.

La bonne tenue de l'emploi et du PIB de la métropole fait écho à la santé économique du Québec. Plus tôt cette semaine, l'Institut de la statistique a dévoilé que la province a enregistré une croissance de 2,8 % de son PIB pour les sept premiers mois de 2019, un taux deux fois plus important que pour le Canada pris dans son ensemble.

https://www.tvanouvelles.ca/private/2019/10/31/montreal-parmi-les-meilleures-metropoles-nord-americaines-pour-la-croissance-de-lemploi-1

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  • 2 semaines plus tard...

https://www.theglobeandmail.com/business/article-brookfield-returns-to-its-roots-turns-focus-to-canadian-investments/

No mention of any concrete plans in Montreal but I wonder if this means that Brookfield will try and be more active here in acquiring and developing projects?

Brookfield returns to its roots, turns focus to Canadian investments

RACHELLE YOUNGLAI

PUBLISHED 2 HOURS AGO; UPDATED NOVEMBER 10, 2019

FOR SUBSCRIBERS

Brookfield Property Partners LP is putting renewed focus on its roots in Canada after spending years building a huge portfolio of foreign real estate holdings, saying it is now seeking investments in Canadian hotels, apartments, offices and large-scale development projects.

The Toronto-based company has appointed Ashley Lawrence to lead that effort, which will see Brookfield join a crowded field of deep-pocketed investors all chasing similar assets in the country’s booming regions of Toronto, Vancouver, Montreal and Ottawa.

“My mandate was to grow and to expand, especially in sectors that we are not in," said Mr. Lawrence, a 43-year-old Canadian who returned to Toronto in June, 2018, to fill a new position as regional head of Canada after managing Brookfield’s retail property division in New York for two years.

“We have certain things we are looking for. Not every deal has them. In order to find them, you have to evaluate a lot of deals in the market,” he said.

Brookfield has about US$194-billion in assets under management around the world. Its Canadian assets total US$9-billion – just 4.6 per cent of its portfolio – consisting mostly of two dozen offices in Ottawa, Calgary and Toronto, including First Canadian Place, a 72-storey tower in Toronto’s financial district and the tallest office building in the country.

Mr. Lawrence wants to add to that, and the company is currently constructing a third tower to its Bay-Adelaide office complex in downtown Toronto.

In comparison, Brookfield has US$137-billion in assets under management in the United States, US$31-billion in Europe and the Middle East, US$14-billion in the Asia-Pacific region and US$3-billion in Brazil, according to its most recent investor presentation. That includes a significant collection of malls and rental apartments throughout the United States, part of the Canary Wharf business hub in London and a sizable office and residential development in Dubai.

“As we have grown globally, we have gone into a lot of sectors that we are not in in Canada,” Mr. Lawrence said.

Brookfield had always planned to increase its Canadian footprint, according to the company, but did not find the right openings. Since he has taken the new job, Mr. Lawrence has doubled the size of the Canadian investment team to cover more ground and find exclusive deals.

“In order to do that you have to spend a lot of time out in the market, talking to people, making relationships,” he said. “It takes time and effort.”

But as Brookfield seeks to move into other property types, especially in rental housing, it will be competing with pension funds, real-estate investment trusts, as well as local and global developers for a piece of the action. A flurry of multi-residential development is taking place in Toronto and Vancouver and their nearby suburbs, due to a housing shortage and soaring home prices.

However, Mr. Lawrence believes Brookfield will make a big mark in the country’s urban centres.

“It takes a long time to get these developments out. These are not coming in the next 24 months. This is 10-15 year horizons,” he said. “We are relatively patient in terms of finding the right opportunity.”

With corporate headquarters moving to downtown Toronto along with the growth of tech companies, the city’s commercial property market has been on fire for nearly a decade. That has driven up land prices and spurred interest in large patches of land such as Bombardier’s airport property, which was sold to a Canadian pension fund in 2018 for just over $800-million.

Recently, Brookfield was a contender for East Harbour, 38 acres of mostly vacant land east of Toronto’s financial core, according to a source, who was granted anonymity because they were not authorized to speak publicly. But it lost to Cadillac Fairview, which plans to build 10 million square feet of office space.

Mr. Lawrence would not comment directly on Brookfield’s interest in East Harbour but said: “Any large parcel of land that comes up, we would be interested. We are a long-term believer in the city of Toronto and its growth.”

Mr. Lawrence said there there isn’t a specific amount of capital dedicated to Canadian acquisitions. But given Canada’s smaller commercial property market, he said Brookfield is willing to do deals in the US$30-million to US$40-million range. On the flip side, Mr. Lawrence suggested there are no limits.

Brookfield Property can use its own capital, as well as financing from parent company Brookfield Asset Management’s third global real-estate fund, which raised US$15-billion earlier this year.

“We like to put out larger amounts of capital,” he said. “That being said, we do like building businesses where the initial amount of capital may not be as sizable. But over time, as you build out that business, as you add assets, they get to that scale that makes sense to us or strategically.”

 

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Le Québec construira des dirigeables

Investissement Québec a convaincu la société française Flying Whales de s'installer dans la Belle Province.

Le dirigeable de Flying Whales est développé dans le cadre du projet LCA60T.

Photo : Image fournie par Flying Whales

Radio-Canada

7 h 00 | Mis à jour à 7 h 45

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1387949/partenariat-flying-whales-investissement-quebec-annonce-fitzgibbon

Une usine de « baleines volantes » verra le jour dans le Grand Montréal.

Le ministre québécois de l'Économie, Pierre Fitzgibbon, confirmera à 8 h ce matin un investissement de 30 millions de dollars dans le capital-actions de l'entreprise française Flying Whales et de sa filiale québécoise – les dirigeables Flying Whales Québec – par le biais d'Investissement Québec.

Il annoncera aussi l'implantation d'une usine de production au Québec, qui aura l'exclusivité du marché américain.

Selon nos informations, l'usine en question sera établie dans le Grand Montréal, probablement à Mirabel. Elle devrait s'accompagner de la création d'une centaine d'emplois bien rémunérés au cours des quatre prochaines années, prévoit le gouvernement du Québec.

Concrètement, Investissement injectera 22 M$ dans Flying Whales et 8 M$ dans sa nouvelle filiale québécoise. La part du capital de l'entreprise qui sera ainsi contrôlée par Québec n'a pas été précisée.

Le projet de Flying Whales – évalué pour l'instant à environ 265 M$ – vise à développer, concevoir, industrialiser, commercialiser et exploiter les activités de ballons dirigeables développés dans le cadre du programme LCA60T.

Ces « baleines volantes » seront destinées au transport de charges lourdes et surdimensionnées en territoires éloignés, dépourvus de routes et d'autres infrastructures de transport, comme le Nord québécois.

Cet appareil d'une capacité de 60 tonnes pourra être construit à faible coût, promet Flying Whales, qui ajoute que son empreinte environnementale sera très faible.

Le ministre de l'Économie, Pierre Fitzgibbon (à gauche), et le premier ministre, François Legault (à droite).

Photo : Radio-Canada / Charles Contant

L'entente de principe entre le gouvernement Legault et la société française avait été annoncée en juin dernier au Salon aéronautique du Bourget.

Depuis, le ministre Fitzgibbon a dû se défendre sa décision d'investir 30 M$ dans le projet, notamment parce que Flying Whales compte parmi ses actionnaires Avic General, une compagnie chinoise visée par des soupçons d'espionnage industriel aux États-Unis.

Le mois dernier, il avait notamment affirmé que les Chinois n'auront pas d'implication ici au Québec, minimisant au passage les risques entourant, par exemple, le vol de brevets.

Le communiqué qui sera publié ce matin précisera en outre que le partenariat d’affaires entre Québec et Flying Whales mènera à la réalisation, dès 2020, d’un volet de recherche et développementdont la propriété intellectuelle demeurera au sein de la filiale québécoise.

Flying Whales prévoit pour l'instant construire des dirigeables LCA60T en Chine, en France et au Québec. Fondée en 2012, l'entreprise est basée en Nouvelle-Aquitaine, dans le sud-ouest de l'Hexagone.

Avec les informations de Mathieu Dion

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