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Métro de Montréal - Discussion générale


Chuck-A

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Il y a 8 heures, Dominic723 a dit :

Je vois pas vraiment la raison pour cette demande, mais bon la sortie de Vélo Québec.. allez mettre un vélo quand les gens doivent rester sur le quai c'est vraiment être stupide... Quand l'avantage du vélo c'est que tu peux l'utiliser hors du métro... c'est pas une nécessité d'embarquer avec on s'entend. Déjà que certains ne respectent pas la règle qui dit d'embarquer seulement dans le premier wagon. Donc s'il vous plait laisser le métro aux piétons.

Tu es à côté de la plaque. L’organisme convient que le métro n’a pas toujours l’espace pour accueillir les vélos et ne réclame pas non plus d’autoriser les vélos en hyperpointe. Tout ce qui est demandé ici est simplement une ouverture à repenser les heures d’accès, où et quand possible. Pour ce qui est de l’avantage d’utiliser le vélo hors métro, c’est assumer que les deux modes sont équivalents, et ce dans toutes circonstances. Par exemple pour les gens qui ne peuvent pas faire de longues distances/fortes pentes à vélo, des heures d’accès au métro plus flexible leur enlève un obstacle pour conserver le vélo comme transport complémentaire. Ça fait bien la différence pour les transferts et le dernier kilomètre. La STM pourrait simplement donner une réponse comme : « Nous avons étudié les possibilités d’étendre les périodes d’accès à tous les vélos  bla-bla-bla, mais nous ne pouvons pas dans l’immédiat prolonger les heures d’accès bla-bla-bla, seul les vélos pliants bien pliés sont permis en tout temps pour le moment bla-bla-bla-bla. Alternativement nous travaillons avec Bixi et Car2go bla-bla-bla  ». Bref, ça pourrait être le statu quo, mais la STM pourrait quand même démontrer plus d’ouverture pour les possibilités d’optimiser les options de transport dans la ville.

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1 hour ago, mk.ndrsn said:

Tu es à côté de la plaque. L’organisme convient que le métro n’a pas toujours l’espace pour accueillir les vélos et ne réclame pas non plus d’autoriser les vélos en hyperpointe. Tout ce qui est demandé ici est simplement une ouverture à repenser les heures d’accès, où et quand possible. Pour ce qui est de l’avantage d’utiliser le vélo hors métro, c’est assumer que les deux modes sont équivalents, et ce dans toutes circonstances. Par exemple pour les gens qui ne peuvent pas faire de longues distances/fortes pentes à vélo, des heures d’accès au métro plus flexible leur enlève un obstacle pour conserver le vélo comme transport complémentaire. Ça fait bien la différence pour les transferts et le dernier kilomètre. La STM pourrait simplement donner une réponse comme : « Nous avons étudié les possibilités d’étendre les périodes d’accès à tous les vélos  bla-bla-bla, mais nous ne pouvons pas dans l’immédiat prolonger les heures d’accès bla-bla-bla, seul les vélos pliants bien pliés sont permis en tout temps pour le moment bla-bla-bla-bla. Alternativement nous travaillons avec Bixi et Car2go bla-bla-bla  ». Bref, ça pourrait être le statu quo, mais la STM pourrait quand même démontrer plus d’ouverture pour les possibilités d’optimiser les options de transport dans la ville.

Ça permettrait aux résidents de la rive-sud de pouvoir se rendre à Montréal avec leur vélo. Présentement, tous les ponts qui lient l'agglomération de Longueuil à Montréal ferment leur piste cyclable en hiver et aucun bus de la RTL ne fournit de support à vélo. Ça a pour résultat qu'il est essentiellement impossible de faire un déplacement à vélo entre Montréal et Longueuil en hiver. Plusieurs résidents sont forcés de soit arrêter le vélo, soit en acheter un spécifiquement pour l'île.

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Il y a 5 heures, mk.ndrsn a dit :

Tu es à côté de la plaque. L’organisme convient que le métro n’a pas toujours l’espace pour accueillir les vélos et ne réclame pas non plus d’autoriser les vélos en hyperpointe. Tout ce qui est demandé ici est simplement une ouverture à repenser les heures d’accès, où et quand possible. Pour ce qui est de l’avantage d’utiliser le vélo hors métro, c’est assumer que les deux modes sont équivalents, et ce dans toutes circonstances. Par exemple pour les gens qui ne peuvent pas faire de longues distances/fortes pentes à vélo, des heures d’accès au métro plus flexible leur enlève un obstacle pour conserver le vélo comme transport complémentaire. Ça fait bien la différence pour les transferts et le dernier kilomètre. La STM pourrait simplement donner une réponse comme : « Nous avons étudié les possibilités d’étendre les périodes d’accès à tous les vélos  bla-bla-bla, mais nous ne pouvons pas dans l’immédiat prolonger les heures d’accès bla-bla-bla, seul les vélos pliants bien pliés sont permis en tout temps pour le moment bla-bla-bla-bla. Alternativement nous travaillons avec Bixi et Car2go bla-bla-bla  ». Bref, ça pourrait être le statu quo, mais la STM pourrait quand même démontrer plus d’ouverture pour les possibilités d’optimiser les options de transport dans la ville.

Étendre comment ? les heures de pointes c'est pas fixes, à 9:15 le métro est pas vide, ça se remplis graduellement et ce vide graduellement. Donc réduire le temps d'interdiction c'est trop hypothétique. En été il a moins de gens, quand il pleut, neige y a plus de gens, etc. Un gros événement en ville apporte aussi son lot de voyageurs. Je ne vois pas comment la STM pourrait être plus flexible, les heures de points sont jamais pareilles durant l'années et même durant la semaine, le vendredi matin c'est toujours plus tranquille d'un jeudi, donc ça deviendrait un casse-tête de gestion au jour le jour et ligne par ligne ? Avoir une tranche d'heure fixe pour toutes les lignes est la meilleure solution car si j'interdis sur la ligne orange, et pas sur la bleue, qui dit que la personne avec son vélo sur la bleue ira pas sur la orange avec...

Je comprend pourquoi certaines personnes prennent le métro avec leur vélo, mais on s'entend que c'est pas une obligation, ça reste déplacer son mode de transport dans un mode de transport.

Et même quand c'est interdits y a des gens qui embarque quand même leur vélo dans le métro quand même (soirée de forte achalandage & festival), de plus les se permettent aussi de rentré dans la première porte devant eux et non dans l'espace réserver.

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D'une ligne Orange... à une autre (mais cette fois, à Boston).

Quand on se compare, on se console... :/

New cars and new promises, but it’s the same old Orange Line

By Adam Vaccaro and Matt Stout Globe Staff,December 5, 2019, 7:34 p.m.

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It was a tight squeeze Thursday on the Orange Line at Downtown Crossing. Breakdowns and delays have been common all week. JESSICA RINALDI/GLOBE STAFF

At a celebratory event in Medford just four months ago, Governor Charlie Baker pledged a new era of transit service as his administration introduced the first Orange Line cars since 1981.

“It’s about time,” Baker said, boasting that the long-awaited new trains will “dramatically improve the system’s reliability.”

Try telling that to riders this week.

In the first snowy period of the season, Orange Line passengers have been besieged by breakdowns and service interruptions: five trains suffered mechanical failures over Wednesday and Thursday, leading to delays of nearly a half-hour between trains one morning and causing considerable overcrowding; on Tuesday, part of the line was shut for an hour midmorning due to power problems.

As for those flashy new trains that Baker promised would begin solving the line’s many problems? So far, only two six-car sets have been deployed since August — and neither has been seen for 17 days. In the second problem to surface in their short tenure, the trains were taken out of service because of an issue in the way the subway cars’ two main structural components interact. It’s likely a short-term issue, officials say, but they have not given a timeline for when the cars will return to service.

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The glitches with both generations of Orange Line cars alike have some riders worried that they’re stuck in a time warp between the old and the new.

“It’s becoming really obvious that the current fleet is on its last legs,” said Matthew Lawlor, a regular Orange Line rider from Roslindale. He urged the T to bring as many of the new cars into service as quickly as possible: “The Orange Line is disintegrating before our eyes.”

On Thursday, Baker said that he, too, is “frustrated” by the recent Orange Line breakdowns, but stuck to a familiar line that riders will eventually see years of work result in better service.

“The bottom line is, the T needs to perform and people need it to perform,” Baker said. “And over the course of the next several years, as those new trains come in, they’re going to add 100,000 seats to the system, which we desperately need. And those seats better be there for people.”

MBTA officials have said they expect all 152 new Orange Line cars to be in service by the end of 2022, their rollout rate increasing over time. However, MBTA spokesman Joe Pesaturo said there is no scheduled date for the next six-car set to serve passengers. Baker added that he expects all Orange Line cars to arrive by the end of 2022, even with the recent glitches.

The Red Line, which has even older subway cars, is also due for a full fleet replacement by the end of 2023. The 404 cars between both lines are being assembled by the Chinese company CRRC at a factory in Springfield, for about $1 billion.

Also Thursday, MBTA general manager Steve Poftak said the agency will take a close look at problems with the current Orange Line trains, which are approaching their fifth decade of use, to determine how to better maintain them until they are replaced. T officials said they do not believe the recent problems with the old trains are weather-related.

“We’re going to take a look at the last 30 days at the various failures in service to try and find out if there are some common threads here,” Poftak said.

Poftak stressed that it’s better for the MBTA to address the issues rather than rush the new cars into service, for reasons both of safety and the long-term durability of those vehicles.

“I know it’s frustrating because we got a taste of the new cars,” he said.

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The MBTA said it will take a close look at problems with the Orange Line trains, which are approaching their fifth decade.JESSICA RINALDI/GLOBE STAFF

Indeed, the problems this week have only made it more apparent how badly the Orange Line needs those new cars. At least one-third of some 4,500 service alerts on the Orange Line between July 2013 and July 2019 were about disabled trains, according to agency data analyzed by the Globe.

“I’ve lived in Boston for almost 10 years now and I’ve noticed a huge decrease in the MBTA’s ability to function,” Orange Line rider Kate Dillon said Thursday. “I have to wait for two to three cars to pass when I head to Forest Hills in the morning.”

The delays also highlight how long it is taking to modernize a system virtually from one end to the other, after decades of neglect.

Boston commuters are now nearly five years removed from the miserable winter of 2015, when subway and commuter rail service seized up under the weight of historic snowfall — a cataclysmic event that prompted the freshly elected Baker to launch a series of reforms at the T. While the T has raised fares twice since then, service has improved only incrementally, largely on the handful of bus routes that now have dedicated lanes, and on several commuter rail lines.

The new Orange Line trains were ordered before that winter breakdown, back in 2014 under former governor Deval Patrick.

“They promised the trains would be running by this year but they keep having issues,” said Jamaica Plain resident Ben Gregg, who is still unhappy the T raised fares on July 1 by about 6 percent. “For what little service we are offered, it doesn’t seem that the fare hike is justified. We have a price increase and a service decrease.”

Some activists understand why the T is being cautious with the new cars, but wish officials would be more forthcoming with information.

Stacy Thompson, director of the transportation advocacy group Livable Streets Alliance, said the event with Baker back in August may have raised expectations on how quickly — and frequently — the new trains would provide service. Moreover, officials only acknowledged they had removed the new trains from service after the Globe asked about them.

“If the T thought this would be a testing phase, they should have said it over the summer. They should have said we may put these on the tracks and need to take them off,” Thompson said. “Just tell the public. . . . Without really clear and consistent communication, it’s easy to be frustrated.”

Similarly, the T offered little warning to riders that they would experience temporary speed restrictions on the Orange Line after underground tracks were replaced earlier this fall. The restrictions have since been lifted except for one stretch of rail, according to the MBTA.

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Rail car experts say it is not unusual for new trains to be temporarily pulled from service to address issues that wouldn’t be noticeable until they are regularly serving passengers. When it brought out the second set of new cars in September, the T did note that the trains would not run full time while the agency monitors their early performance.

But this is the second time the new cars have been pulled from service; they were out briefly in September to fix a component after a door on one unexpectedly opened midtrip.

The current outage is owed to a problem with a pad that fits between the upper and lower parts of the train car. The small rubber pad has been “wearing irregularly,” officials say, causing a strange noise that alarmed inspectors.

The situation has prompted some activists to question the state’s decision, under Patrick, to require the winner of the T contract to build a factory for the new cars in Massachusetts.

CRRC spent $95 million building the Springfield facility before it could assemble and deliver new Orange Line cars. Ted Pyne, who is a board member of the advocacy group Transit Matters, wondered how much faster new trains could have been put into service if that didn’t have to happen first.

“Getting the new cars a year earlier would make a huge difference,” Pyne said. “A single day of delays is hundreds of hours of lost time, of people being late for their jobs. That’s really bad.”

https://www.bostonglobe.com/metro/2019/12/05/the-old-orange-line-trains-keep-breaking-down-and-new-ones-are-out-service/DeoiMTakNtUMWZNnDbYCmJ/story.html

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Ils étaient optimistes en 1983.. Mais la plupart de ces prolongements sont en voie de se réaliser, quelques décennies plus tard... Dommage pour la ligne de métro 7 Pie-IX qui devient un SRB, mais ça reste dans l'esprit.. Ligne 5: tcheck, un train léger vers PAT, on parle maintenant du prolongement possible du REM vers l'est de Montréal selon les rumeurs.. comme quoi ça ne date pas d'hier.

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Vous imaginez la spéculation et l’embourgeoisement dans Hochelaga-Maisonneuve, dans le cas d’un REM sur  Notre-Dame où tout le quartier serait  peut-être à moins de 700-900 m d’une station de métro? Les groupes communautaires feraient une syncope.

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2 hours ago, mk.ndrsn said:

Vous imaginez la spéculation et l’embourgeoisement dans Hochelaga-Maisonneuve, dans le cas d’un REM sur  Notre-Dame où tout le quartier serait  peut-être à moins de 700-900 m d’une station de métro? Les groupes communautaires feraient une syncope.

Il y aura effectivement une question de l'accéleration de l'embourgeoisement que l'arrondissement de Mercier Hochelaga-Maisonneuve devra prendre en compte le plus vite possible. Le but du métro est de débloquer de nouvelles zones où les résidents peuvent s'établir tout en espérant un déplacement efficace vers leurs différentes destinations (école, travail, loisirs, etc). L'est de Sainte-Catherine risque effectivement de voir les mêmes tensions monter que Ontario Est en ce qui concerne l'abordabilité des logements et de l'offre commerciale.

L'arrondissement devrait, dès maintenant, commencer à travailler avec la Ville centre pour s'assurer que les organismes communautaires existants puissent rester là où ils sont et réserver des terrains pour les infrastructures municipales et le logement social qu'ils devront mettre en place dans les prochaines années.

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Tout est possible mais j'ai beaucoup de difficultés à imaginer que les environs de la rue Notre-Dame (entre Moreau et Pie-IX, disons) puissent se gentrifier à court et moyen terme, REM ou pas. Ce qui a facilité l'embourgeoisement dans les environs de la rue Ontario, c'est qu'il y a toujours eu un sentiment de sécurité, malgré la pauvreté. Faudrait vraiment une transformation extrême pour que Sainte-Catherine et les environs immédiats ne soient plus 'louches'.

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