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ICI Radio-Canada Info

 

Un toit sur le stade Uniprix?

Mise à jour le jeudi 13 août 2015 à 17 h 06

 

Le directeur de la Coupe Rogers, Eugène Lapierre

 

Le directeur de la Coupe Rogers, Eugène Lapierre

Toit et stade, deux mots qu'il vaut mieux ne pas associer à Montréal, voire au Québec.

 

Un texte de Manon GilbertTwitterCourriel

Près de 40 ans après les Jeux olympiques de Montréal, l'interminable saga du toit du Stade olympique, qui tarde à trouver un dénouement permanent, hante encore les Québécois.

 

Pourtant, un autre projet de toit est dans l'air dans la métropole, mais au stade Uniprix.

 

Le directeur de la Coupe Rogers, Eugène Lapierre, s'est bien gardé de confirmer l'information jeudi.

 

« On commence à regarder. On réfléchit chaque fois qu'il y a de la mauvaise température. On regarde ce qui se passe ailleurs aussi. C'est à peu près là où on en est, affirme-t-il. On regarde la tendance internationale et ça semble s'en aller vers ça pour les grands tournois après les grands chelems. »

 

Justement, les Internationaux des États-Unis ont commencé l'été dernier à construire une structure géante pour soutenir le futur toit du stade Arthur-Ashe, qui devrait être prêt en 2016, après un investissement de 150 millions de dollars.

 

wimbledontoitLe toit rétractable du court central de Wimbledon Photo : AFP/CARL DE SOUZA

Après un toit rétractable sur le central de Wimbledon en 2009, l'All England Club recouvrira aussi le court numéro 1 pour 2019.

 

Depuis cette année, les Internationaux d'Australie comptent trois stades couverts. Du jamais vu!

 

Reste les Internationaux de France, dont le projet d'agrandissement de Roland-Garros se bute à des craintes environnementales et locales. Mais selon les organisateurs, le court principal, le Philippe-Chatrier, devrait être doté d'un toit en 2020.

 

Donc, tendance il y a dans les quatre tournois majeurs. En ce qui concerne les Masters, seuls Shanghai et Madrid peuvent narguer la pluie grâce à des installations entièrement financées par les deux villes.

 

Organisme à but non lucratif, Tennis Canada a payé la majeure partie de ses plus récents travaux en 2011 : la rénovation de la passerelle de presse et l'ajout de courts en terre battue... sur le toit du complexe du Centre national d'entraînement.

 

Pas encore la norme dans les Masters

 

Eugène Lapierre estime à quelques centaines de milliers de dollars les pertes en revenus en raison du mauvais temps cette semaine. Et pourtant, aucune séance n'a été annulée. Sauf que les amateurs se sont montrés frileux devant la météo incertaine et ont préféré regarder les matchs bien au sec à la maison.

 

Le stade UniprixLe stade Uniprix Photo : GI/Streeter Lecka

En 2010, les demi-finales et la finale féminines avaient dû être reportées au lundi. De 2008 à 2012, la finale masculine des Internationaux des États-Unis a été remise au lundi en raison des pluies trop fréquentes, tellement qu'en 2013 et 2014, les organisateurs ont volontairement placé la finale le lundi.

 

Mais avant d'investir plusieurs millions de dollars, pas autant qu'à New York toutefois, le grand manitou de la Coupe Rogers tient à obtenir des réponses à certaines de ses questions.

 

« Est-ce que c'est bon pour Montréal? Est-ce qu'il y a des retombées intéressantes? Est-ce que le retour sur l'investissement vaut le coup? »

 

M. Lapierre assure qu'à part la recommandation de certaines améliorations, l'ATP (Association of Tennis Professionals) et la WTA (Women's Tennis Association) ne mettent aucune pression sur lui pour que la Coupe Rogers imite les tournois du grand chelem.

 

« Les tournois veulent améliorer leurs installations. À travers le monde, les installations deviennent un peu la clé pour maintenir le tournoi et améliorer sa présentation pour les joueurs et les spectateurs. Ils (ATP et WTA) adorent le stade et la ville. »

 

Pour l'ancien joueur québécois Frédéric Niemeyer, il ne fait aucun doute que la Coupe Rogers devra suivre cette tendance si elle veut garder son statut de tournoi Masters 1000, juste sous les grands chelems.

 

« C'est définitivement l'avenir du tennis. Je pense que tous les tournois vont, d'ici quelques années, se doter de toits. [...] C'est sûr que ça demande un certain financement. Mais il y a beaucoup d'avantages, autant pour les fans, les joueurs et les organisateurs. D'après moi, à part le financement, il y a juste de bons points », estime l'ex-entraîneur de Vasek Pospisil.

 

Évidemment, quand tout le monde est assuré que le match commence à l'heure, ça évite bien des soucis.

 

Un projet pour la collectivité montréalaise

 

Un toit « coulissant », comme l'a mentionné M. Lapierre, permettrait aussi à Tennis Canada de garantir la présentation d'autres événements sportifs ou culturels. Des galas de boxe et des spectacles ont déjà eu lieu dans l'enceinte du stade Uniprix, mais M. Lapierre reconnaît que certains organisateurs reculent devant l'incertitude économique que représente l'absence d'un toit.

 

D'où l'importance du fait que le projet de toit bénéficie à toute la collectivité montréalaise.

 

À plus court terme, dans les cartons de la Coupe Rogers se trouve la diffusion de tous les matchs de la WTA présentés sur les cinq terrains montréalais, contrairement à deux maintenant. Alors, si une Allemande affronte une Argentine, le signal sera vendu aux pays concernés.

 

« Ça va demander certaines améliorations des installations autour des terrains. C'est le genre de truc où le circuit veut s'améliorer pour augmenter la visibilité internationale du sport », soutient le directeur de la Coupe Rogers.

 

Un petit projet avec le grand?

 

sent via Tapatalk

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  • 2 années plus tard...

Publié le 27 février 2018 à 00h00 | Mis à jour à 00h00

http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201802/26/01-5155375-stade-uniprix-tennis-canada-cherche-des-appuis-pour-son-toit-retractable.php

Stade Uniprix: Tennis Canada cherche des appuis pour son toit rétractable

Tennis Canada évalue que la facture d'un toit... (PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE)

Tennis Canada évalue que la facture d'un toit rétractable pour le stade Uniprix pourrait aller jusqu'à 70 millions.

PHOTO BERNARD BRAULT, ARCHIVES LA PRESSE

Tennis Canada réclame l'appui d'Ottawa, de Québec et de Montréal pour financer un projet de 70 millions afin d'aménager un toit rétractable au stade Uniprix. L'organisation soutient que le recouvrement du court central permettrait d'y tenir davantage d'événements, en plus d'assurer la place de la Coupe Rogers sur la scène internationale.

L'idée de recouvrir le stade du parc Jarry est évoquée depuis plusieurs années, mais devient de plus en plus sérieuse. Tennis Canada vient de s'inscrire au Registre des lobbyistes du Québec afin de convaincre les différents ordres de gouvernement d'y contribuer. L'organisation dit ainsi caresser un projet pour la «construction d'un toit ouvrant sur le court central du stade du parc Jarry de Montréal».

Le projet n'en est qu'aux balbutiements, mais Tennis Canada évalue que la facture d'un toit rétractable pourrait aller jusqu'à 70 millions.

«Dans tous les travaux depuis la création du stade en 1995-1996, on n'a jamais eu de dépassement de coûts et on est responsable de tout dépassement, alors on fait bien attention», affirme Eugène Lapierre, directeur du tournoi de la Coupe Rogers.

 

M. Lapierre espère que le projet aille de l'avant «le plus vite possible», soit entre 2021 et 2023.

Soutien réclamé

Devant l'ampleur de l'investissement requis, Tennis Canada dit toutefois avoir «besoin du soutien des trois paliers de gouvernement pour réaliser cet important projet d'infrastructure qui répond aux besoins d'un marché international de plus en plus concurrentiel». L'organisation réclame notamment du financement au fédéral en vertu de la deuxième phase du programme d'Infrastructures Canada.

C'est à ce sujet que Tennis Canada a rencontré l'administration Plante, la semaine dernière, afin d'obtenir une lettre de soutien. L'ancienne administration Coderre avait signé une telle lettre, mais le changement de garde à la suite de l'élection de novembre dernier incite l'organisation à revenir à la charge.

«Nos services sont à faire l'évaluation actuellement. On veut s'assurer que c'est le bon projet», a indiqué à La Presse l'élu Hadrien Parizeau. Le nouveau conseiller associé aux sports au sein de l'administration Plante a toutefois souligné que la Coupe Rogers est perçue comme un événement important pour la Ville de Montréal. Celui-ci génère d'importantes retombées sociales, notamment en encourageant l'accessibilité de ce sport aux jeunes Montréalais.

Tendance internationale

Le stade Uniprix a été inauguré en 1996, mais on n'avait pas prévu de toit ouvrant à l'époque. «Ce n'était pas dans l'air du temps, aucun grand tournoi n'avait de toit», relate M. Lapierre.

La situation a bien changé depuis. Trois des tournois du Grand Chelem sont couverts - Wimbledon, les Internationaux d'Australie et les Internationaux des États-Unis - tandis que le dernier, Roland-Garros, prévoit se doter en 2020 d'un toit rétractable en 15 minutes. Sur le circuit Masters, dont fait partie la Coupe Rogers, Madrid dispose de trois courts couverts, et Rome vient d'annoncer qu'elle comptait recouvrir son court central en 2019.

«On voit le reste du monde avancer dans notre sphère d'industrie, et les tournois majeurs se dotent de courts couverts. On devra y arriver un jour», constate Eugène Lapierre.

L'ajout d'un toit couvert permettrait d'éviter les reports et les annulations. «On veut s'assurer que, quand on présente un match diffusé dans 180 pays à des dizaines ou des centaines de millions de spectateurs, il ait lieu», dit M. Lapierre.

Consolider la place de Montréal

Bien qu'aucune menace directe ne plane sur l'avenir de la Coupe Rogers, Tennis Canada dit que le projet permettrait à Montréal de consolider sa place sur la scène internationale. «La pression est constante pour maintenir ces deux [tournois masculin et féminin que Toronto et Montréal présentent en alternance] au sommet de la hiérarchie internationale face à l'essor de la popularité du tennis dans le monde, notamment en Asie et au Moyen-Orient», détaille le projet. 

Le Qatar a notamment tenté de convaincre l'Association des joueurs de tennis professionnels (ATP) et la Women's Tennis Association (WTA), il y a deux ans, de l'ajouter au calendrier, mais l'offre a été refusée.

Tennis Canada évalue que le recouvrement du stade permettrait d'accroître l'achalandage du tournoi et de diversifier les activités présentées au stade du parc Jarry. «On aimerait faire beaucoup plus de choses à longueur d'année», explique M. Lapierre. Il pourrait s'agir de spectacles ou d'autres événements sportifs, pas exclusivement du tennis.

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  • 5 mois plus tard...

Toit au stade IGA: Les négociations continuent

Par François CarabinMétro
gettyimages-1015122342.jpg?w=618&h=408&c Minas Panagiotakis/Getty Images

Des épisodes de pluie ont de nouveau dérangé le déroulement de la Coupe Rogers cette année, ramenant à l’avant-plan l’idée d’installer un toit rétractable au stade IGA. Selon la Ville de Montréal, les négociations pour réaliser ce projet sur le court central vont bon train.

Lors de sa traditionnelle conférence de presse de fin de tournoi, dimanche, le directeur du tournoi montréalais, Eugène Lapierre, a affirmé que des lignes avaient déjà été lancées aux gouvernements.

«On a présenté un plan d’affaire aux différents paliers de gouvernement, a-t-il lancé. Donc, ils connaissent notre opinion là-dessus, et ça va commencer avec la Ville de Montréal. Je pense qu’on a une bonne oreille [de leur part].»

«On verra dans les prochains mois, a-t-il ajouté. Moi, j’ai bon espoir que, d’ici quelques années, on puisse arriver au bout de ce projet.»

Contacté à ce sujet, l’attaché de presse du cabinet exécutif, Youssef Amane, a confirmé le soutien de la Ville par rapport au toit. «Notre administration a discuté du projet avec M. Lapierre, a-t-il indiqué. Nous avons eu d’excellents contacts avec Tennis Canada et le projet suit son cours. Nous appuyons évidemment la démarche sérieuse de Tennis Canada avec l’ensemble de ses partenaires.»

M. Amane n’a pas pu préciser si l’appui de Montréal serait politique ou financier. «C’est ce qu’on regarde avec Tennis Canada, a-t-il dit. Mais la communication est très bonne.»

Pour ce qui est de l’engagement des administrations fédérale et provinciale, M. Lapierre a soutenu qu’il n’y avait pas encore eu de réponse concrète. «Il n’y a pas eu de réponse parce que c’est le genre de projet qui va toucher la Ville, a-t-il expliqué. Il faut que la Ville embarque. Les autres paliers ne viendront pas [s’immiscer là-dedans avant].»

La Ville verse chaque année une somme d’environ 1,6M$ à Tennis Canada pour le stade IGA. Cela inclut une somme de 86 000 dollars par année pour des travaux d’entretien majeur.En entrevue au Journal de Montréal il ya quelques jours, M. Lapierre a estimé le coût d’un toit à environ 70M$.

La pluie a fait des dommages en début de tournoi, cette année, forçant les organisateurs de la Coupe Rogers à reporter plusieurs matchs. Certaines joueuses ont même dû jouer plusieurs fois dans la même journée, à des intervalles très serrés.

Très peu de tournois de la Women’s Tennis Association (WTA) offrent actuellement des toits rétractables. Si Montréal se dotait d’une structure du genre, son tournoi deviendrait le premier de sa catégorie, la catégorie Premier 5, à le faire. Dans la catégorie supérieure, Premier mandatory, seuls les tournois de Madrid et Pékin ont fait le choix de poser des toits.

Le tournoi majeur de Roland-Garros deviendra le dernier du Grand Chelem à faire de même lorsque son nouveau toit rétractable sera inauguré, en 2020.

 

http://journalmetro.com/actualites/montreal/1724838/toit-au-stade-iga-les-negociations-continuent/

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  • 3 mois plus tard...
  • 8 mois plus tard...

NIMBYs?

https://www.cbc.ca/news/canada/montreal/retractable-roof-iga-stadium-causes-stir-1.5230681

Tennis Canada's $70M roof project not worth it, say Jarry Park advocates

 

But the national tennis body says a new roof will help Rogers Cup bring in more money

CBC News · Posted: Jul 31, 2019 4:00 AM ET | Last Updated: 10 hours ago

 

As Montreal's Jarry Park prepares to host the Rogers Cup this weekend, a citizens group is speaking out against efforts by Tennis Canada to install a retractable roof on the stadium.

Tennis Canada has been lobbying government agencies for several years to help pay for a new $70-million roof above IGA Stadium, which it wants in place by 2022 or 2023. 

The national tennis body says a retractable roof would make the annual tournament, which attracts leading professional players from around the world, more profitable. 

Rain delays mean less money from television advertising, Tennis Canada says. It also says the "trend among tournaments around the world [is] to have retractable roofs over their tennis stadiums."

But in a letter published Tuesday in Le Devoir, the Coalition des amis du parc Jarry argued the roof would be a waste of public funds.

They worry too about Tennis Canada renting out the stadium for cultural events, like concerts.

Those kind of large-scale events would disturb the park's purpose of providing peaceful green space to an area already lacking parks, Michel Lafleur, the coalition's spokesperson, wrote in the letter.

"We believe that the development of event facilities in a public park owned by taxpayers is a quality of life issue," the letter reads.  

'A quality of life issue'

Most of the other nine cities that host Masters 1000 tennis tournaments, which includes the Rogers Cup, do not have retractable roofs, Lafleur said.

Rain is "part of the game," he said in an interview with CBC News, adding: "I think a competent sports organization is able to handle this type of thing that is unavoidable with Mother Nature."

In a statement to CBC News, Tennis Canada said its "mission is not to host events." It also said the roof "will not compromise the park."

Tennis Canada will reveal more details about the project at news conference to be held Thursday morning. 

On its website, the IGA Stadium advertises the venue being used for medium to large-scale events, from fundraising events to concerts.

Lafleur points to that as proof Tennis Canada would take advantage of a retractable roof to host even more events at the stadium.

More than 210,000 people usually attend the Rogers Cup over 10 days of tennis. The noise and litter that comes with the crowds takes enough of a toll on the park, Lafleur said. 

"We're not against the Rogers Cup. We don't want the Rogers Cup to leave the park. But what we don't want is that the stadium becomes a place for events like we have in Parc Jean-Drapeau," Lafleur said, referring to the site of the city's big summer music festivals.

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Ce n'est probablement pas une option réaliste, mais je serais tout de même curieux de connaître le coût de construire entièrement un nouveau stade avec un toit intégré, plutôt que d'intégrer un toit à un stade existant.

Gageons qu'en cours de travaux, on découvrira pleins de nouveaux "défis" qui vont faire exploser la facture. De toute façon, juste à voir la surface à couvrir, je doute que 70 millions soit un chiffre réaliste.

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https://ici.radio-canada.ca/sports/1244563/tennis-toit-stade-iga-perennite-coupe-rogers-eugene-lapierre

Un toit au stade IGA, un projet « pour la pérennité de la Coupe Rogers »

 

Jean-François Chabot

Publié à 12 h 23

C’est pour assurer la pérennité de la Coupe Rogers à Montréal, et pour rien d'autre, que Tennis Canada souhaite construire un toit rétractable sur le stade IGA du parc Jarry.

Eugene Lapierre, vice-président de Tennis Canada et directeur du tournoi montréalais, est formel. L’événement a besoin d'un stade avec un toit, outil dont se sont déjà dotés des tournois de même catégorie dans le monde.

« Nous voulons assurer la pérennité de la Coupe Rogers et la présence du tennis professionnel à Montréal pour de nombreuses années à venir », a déclaré M. Lapierre en conférence de presse jeudi.

Ce toit sur le central ne servira qu'au tennis et à la Coupe Rogers, et Tennis Canada respectera la volonté des résidents du voisinage et de la Ville de Montréal de limiter la quantité d’événements, autre que le tennis, qui pourrait être tenue à l’intérieur du stade, a-t-il insisté.

Le directeur a souligné les retombées économiques annuelles de 15 millions de dollars générées par le tournoi et les 16 millions réinvestis dans le développement du tennis au pays grâce aux revenus générés par les tournois montréalais et torontois.

Coût et financement

Insistant sur le fait que la Coupe Rogers est un organisme sans but lucratif qui s’autofinance à 95 % et qui bénéficie en tout et partout de moins de 1 million de dollars en subventions des paliers de gouvernement, Eugène Lapierre a mentionné que les pourparlers étaient en cours afin de définir la part de chacun dans le financement du toit.

Il évalue à 70 millions de dollars les coûts de construction. Dans le meilleur des scénarios, il estime qu’il pourrait être en place en 2023.

Dans la mesure où les trois paliers de gouvernement (fédéral, provincial, municipal) et Tennis Canada s’entendent rapidement sur le partage de la facture, la construction pourrait s’étaler sur une période de deux ans.

Eugène Lapierre ajoute que Tennis Canada n’était soumis à aucune pression de la part de l’ATP ou de la WTA pour la réalisation du projet.

Évidemment, ils ne seront pas contre. Le tennis est en compétition avec tellement d’autres sports. On est dans la business de vendre le tennis le mieux possible. Chaque fois qu’un nouveau tournoi pourra garantir le show, ce sera une bonne nouvelle pour les circuits. 

— Eugène Lapierre

Eugène Lapierre promet aussi de limiter l’empreinte environnementale de l’installation au sein du parc Jarry.

« Le stade IGA n’altérera en rien le parc Jarry d’un point de vue environnemental. Nous avons consulté le Conseil régional de l’environnement (CRE) au sujet des îlots de chaleur et il est d’avis que cela ne risque pas de les augmenter. Au contraire, le choix de matériaux de couleurs blanches devrait les diminuer. »

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Avec tout ce qui se passe ces temps-ci avec les discussions sur le retour des expos, la recherche d'un nouveau proprio pour les Alouettes et le désir d'un toit pour le stade IGA.....Je me demande si ca ne serait pas possible de tout orienter cela dans le même secteur ?  Si un stade de baseball, avec toit, ne pourrait pas servir pour le tennis ?  Ou si un nouveau stade de Football dans le même secteur ne pourrait servir aussi pour le tennis et.....et éventuellement pour le soccer !!!

Oui je sais, c'est beaucoup demandé. Mais bon sens que ca serait bien de regrouper tout cela dans un ou deux stades.

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