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Transports en commun - Discussion générale


mtlurb

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Not really.

 

Congestion charge should reduce congestion ;)

 

Reduction du traffic automobile, mission accomplie.

Un echec aurait ete de ne pas voir de reduction du transport en auto au centre-ville.

 

Bon plan. Malheureusement, le nouveau bozo de maire de Londres va le bousiller... Oh well...

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relis le texte, y a pas de réduction de traffic automobile... ça prends toujours autant de temps pour circuler.

 

En passant, vouloir éliminer la congestion, c'est comme vouloir tuer tous les rats d'une ville.

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Même les prix élevés de carburants ne découragent pas les automobilistes au Canada....................................... duh.

 

No let-up in driving in Canada

 

Gasoline demand up 0.5% in first five months of '08

 

Nicolas Van Praet, Financial Post Published: Friday, August 15, 2008

Related Topics

 

So much for feeling pinched by higher gasoline prices or guilty about polluting the environment.

 

Canadians are not cutting back on their driving, Statistics Canada says. At least, not yet.

 

Demand as measured by the volume of retail gasoline sales was 0.5% higher during the first five months this year compared with the same period last year, a Statistics Canada report released yesterday shows. The increase came despite a 23% jump in gas prices during the period, from a national average of $1.07 per litre of regular unleaded in early January to $1.32 by the end of May.

 

The situation is in sharp contrast to that in the United States. Americans have steadily cut back on their driving in a trend that began last November, according to the U. S. Department of Transportation.

 

"People see it in the news every day that U. S. gasoline consumption is down and it clearly is," said Philip Cross, chief of economic analysis for Statistics Canada. "They tend to assume that it's happening in this country, and it's not the case. It's a different country with a much different economy and a different housing market. All these things contribute to different behaviour by Canadians."

 

Nowhere is that difference more acute than in booming Alberta, where Drumheller's annual demolition derby is taking place this weekend. Patty Richardson, who has organized mud-bog events in the city in which competitors plow gas-thirsty 4X4 vehicles through pits of wet dirt, said off-road motorsport fans are well aware of the price of gas and are not deterred by it.

 

"If you're a four-wheelin' enthusiast like we are, you just go," she said. "It doesn't slow you down. You're spending thousands of dollars on tires. You spend thousands of dollars on parts. And a few more bucks on fuel, it really doesn't make a difference."

 

Late last year, there was a sharp spike in retail gasoline sales in Canada, Statistics Canada's research shows. Since then, sales have retreated to more normal levels, Mr. Cross said. "People took that drop as signifying some sea change in the way people are behaving. And I don't think the data says that," the analyst said. "Are we on pace for a drop in annual gasoline consumption? No. It's basically flat. It could very well happen. But this is the data we've got so far."

 

Canadian driving and commuting habits have been slow to change since 2002, partly because people are earning more money and paying less for cars and other goods overall, Statistics Canada says. Although gasoline prices have gone up, so have incomes. At the same time, the price of automobiles has gone down.

 

The portion of income consumers are paying for gasoline rose 0.9 percentage points, to 3.8% in the first quarter of 2008 from 2.9% in 2002, according to Statistics Canada.

 

Over that same period, the share of income earmarked for buying a vehicle fell by the same amount, to 5.3% from 6.2%.

 

"For the majority of people, being on the road today costs more than last year," Mr. Cross said.

 

"For the admittedly small percentage of people who have bought a car over the last couple of years, what they've saved on the drop in vehicle prices buys an awful lot of gasoline."

 

http://www.financialpost.com/story.html?id=725969

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  • 3 semaines plus tard...

Un Canadien sur cinq songe à délaisser son auto

 

bilde?Site=CP&Date=20080902&Category=CPENVIRONNEMENT&ArtNo=809020535&Ref=AR&Profile=6108&MaxW=700

L’utilisation des transports en commun pourrait tripler au cours des prochains mois puisque les Canadiens semblent croire dans une proportion de 83% que le prix de l’essence ne redescendra pas de façon marquée. (Photo David Boily, Archives La Presse)

 

Violaine Ballivy

La Presse

 

La hausse croissante du prix de l'essence pourrait avoir raison de l'engouement des Canadiens pour leur voiture. Un sondage publié hier révèle qu'une personne sur cinq envisage de se convertir bientôt au métro, à l'autobus ou au train pour soulager son portefeuille.

 

L'utilisation des transports en commun pourrait ainsi tripler au cours des prochains mois puisque les Canadiens semblent croire dans une proportion de 83% que le prix de l'essence ne redescendra pas de façon marquée. Il est vrai que les mines sont longues dans les stations-service depuis plusieurs mois déjà. «Cela va encore me coûter 80$», s'est plaint hier Daniel Tremblay, la main appuyée sur le capot de sa voiture sport.

 

Les métros bondés, les gares mal desservies et les bus trop peu nombreux pourraient toutefois rebuter bien des automobilistes qui se disent mûrs pour un changement, estiment la Fédération canadienne des municipalités (FCM) et l'Association canadienne du transport urbain qui ont commandé le sondage publié hier.

 

«Les Canadiens en sont à un tournant, a insisté Jean Perrault, président de la FCM lors d'une conférence de presse. L'essence est hors de prix, et ils sont prêts à adopter les transports en commun. Le problème, c'est que la plupart des réseaux de transports urbains fonctionnent déjà à pleine capacité.»

 

Au moins 40 milliards

 

La FCM et l'ACTU évaluent que le gouvernement fédéral devrait investir au moins 40 milliards de plus sur cinq ans pour arriver à maintenir et à améliorer le réseau de transports en commun canadien afin d'accueillir tous ces nouveaux usagers.

 

«Nous avons deux options, a affirmé M. Perrault: saisir cette occasion d'appuyer une transition vers les transports urbains en augmentant le parc d'autobus et en offrant de meilleurs services de train; ou ne rien faire, auquel cas les Canadiens n'auront d'autre choix que de continuer d'endurer une situation pénible.»

 

«Je voudrais bien aller au travail sans ma voiture, ce serait mieux pour l'environnement et mon portefeuille, mais c'est tout simplement impossible en ce moment», a dit hier Johanne Dumais, résidante de Sainte-Catherine qui travaille à Longueuil. «Il n'y a aucune liaison entre ma maison et mon bureau.»

 

Carole Pépin, elle, continuera de se déplacer en auto pour des raisons de confort, quitte à réduire le budget de ses sorties. «Le métro est toujours plein à craquer. Je ne m'y sens pas à l'aise.»

 

La FCM tient visiblement à profiter de l'imminence des élections générales fédérales pour faire avancer sa cause.

 

«Nos politiciens devront débattre de cet enjeu au cours de la campagne électorale, a relevé M. Perrault, hier. Les Canadiens veulent des réponses à des questions simples: comment puis-je me rendre à mon travail? Que fait-on pour contrer la hausse du prix de l'essence? On attend leurs réponses.»

 

Le sondage a été réalisé du 14 au 22 août derniers auprès d'un échantillon de 1100 personnes par le Strategic Counsel. Sa marge d'erreur est de 3 points de pourcentage.

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un canadien sur trois songe à perdre du poids.

un sur deux songe à donner de l'argent à une oeuvre charitable.

3 canadiens sur 4 songe à faire du bénévolat.

un canadien sur deux songe à faire plus d'exercice.

5 albertains sur 6 trouvent que l'environnement est important.

etc.

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Le métro en échange du péage

 

Louis-Mathieu Gagné

Le Journal de Montréal

12/09/2008 08h18 - Mise à jour 12/09/2008 11h45

 

Le maire de Brossard privilégie le prolongement du métro pour désengorger la Rive-Sud. On évalue le débit de circulation sur le pont Champlain à 57,1 millions de véhicules par année.

 

Le maire de Brossard est prêt à tout pour voir le métro se prolonger jusqu'à sa ville, non loin du Quartier DIX30. Ce souhait est si fort qu'il serait même prêt à donner son accord à un péage sur le pont Champlain.

 

«J'ai toujours été contre le péage par souci d'équité. Par contre, si des postes de péage sont installés sur l'île, je peux l'envisager si ça rentre dans le cadre d'un grand développement routier dans la région métropolitaine», a indiqué au Journal hier Jean-Marc Pelletier.

 

«Les gens de l'est et de l'ouest de l'île comme Pointe-Claire parcourent une plus grande distance que ceux de Brossard pour aller au centre-ville, a-t-il plaidé. Pourquoi ce seraient seulement les Brossardois qui paieraient pour y accéder.»

 

Pour le maire Pelletier, il y a une seule solution aux incessants bouchons de circulation du pont Champlain : le prolongement du métro de l'île de Montréal jusqu'à Brossard dans un tunnel à deux niveaux, l'un pour le métro, l'autre pour les véhicules.

 

L'idée n'est pas nouvelle. Elle avait été soulevée en 2002 lors de la commission Nicolet chargée d'étudier la circulation entre Montréal et la Rive-Sud. Le consortium Novaroute l'a relancée l'automne der nier dans les pages du Journal.

 

Vers le DIX30

 

Le maire propose donc de prolonger le métro de huit kilomètres entre sa ville et la station LaSalle, sur la ligne verte. Il y aurait deux stations de métro : l'une au stationnement incitatif Panama, sur le boulevard Taschereau, l'autre au stationnement Chevrier, non loin du Quartier DIX30, un endroit en pleine expansion résidentielle et commerciale.

 

À 150 millions de dollars par kilomètre, l'opération coûterait de 1,2 à 1,5 milliard, estime-t-il. «(Le projet) pourrait être réalisé en partenariat public-privé», suggère-t-il.

 

Le tunnel à deux niveaux est très avantageux, dit-il. «Ça règle les problèmes de circulation de deux façons en favorisant le transport en commun et en ajoutant un lien entre l'île et la Rive-Sud pour les véhicules des banlieues.»

 

Il répond mieux aux besoins que le système de train léger sur rail (SLR) favorisé par Québec, qui coûterait le même prix, a affirmé le maire Pelletier. «Le métro a fait ses preuves. Moi, c'est ce que je choisis.»

(Journal de Montreal)

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