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Stade Olympique et site adjacent - Discussion générale


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http://www.journaldemontreal.com/2013/03/14/la-tour-eiffel-de-montreal

 

La tour du Stade Olympique sera illuminée dès cet été aux couleurs des événements de la métropole

 

SARAH BÉLISLE @

JOURNAL DE MONTRÉAL, PUBLIÉ LE: JEUDI 14 MARS 2013, 21H56 | MISE À JOUR: JEUDI 14 MARS 2013, 23H31

 

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Montréal verra son emblème illuminé. À l’image de la tour Eiffel de Paris et de l’Empire State Building de New York, la tour du Stade Olympique sera drapée d’un éclairage tout en *couleurs sous peu.

 

Le Canadien joue à Montréal ce soir? La tour prendra les couleurs de la Sainte-*Flanelle en scintillant bleu blanc rouge. On célèbre la Saint-Patrick? Elle sera illuminée tout de vert. C’est le défilé de la fierté gaie dans les rues de Montréal? Le mât arborera les couleurs de l’arc-en-ciel du drapeau de la fierté gaie.

 

«Ce sera un beau phare pour la Ville (...) Ce sera vraiment quelque chose qui *reproduit ce qui se passe à Montréal», explique David Heurtel, PDG de la Régie des installations olympiques (RIO).

 

«Il va y avoir des couleurs différentes dont on va pouvoir *moduler le rythme et la fréquence. L’éclairage va avoir des pulsions», poursuit-il avec enthousiasme.

 

«La tour du Stade, c’est notre tour Eiffel. Comme n’importe quel emblème, il faut s’en occuper. Et il faut qu’elle soit éclairée», plaide-t-il.

 

La tour Eiffel, l’Empire State Building et d’autres symboles des métropoles du monde le sont bien, fait valoir celui qui veut *montrer au monde la fierté qu’ont les *Montréalais pour leur Stade.

 

Tout un défi

 

Il n’est toutefois pas si simple d’éclairer de bas en haut les 165 m de la tour du Stade Olympique, souligne M. Heurtel.

 

«Elle est originale et unique (de par l’angle qu’elle forme avec le sol). Et la surface n’est pas uniforme : elle est en béton, en acier, en verre. Bien l’éclairer, ce n’est pas évident», insiste M. Heurtel.

 

Après des années de recherche, le concept est arrêté et le contrat sera accordé sous peu. Les travaux débuteront durant les prochains mois.

 

Peau neuve

 

Et la tour ne sera pas seulement illuminée. Des travaux de réfection du toit seront aussi entrepris.

 

«On n’y échappe pas, nous! Tous les toits sont à refaire», lance le PDG en riant.

 

De plus, la RIO songe sérieusement à *installer un restaurant au sommet de la tour, ainsi qu’à faire une large place aux technologies, afin de renouveler la visite de la tour.

 

Près de 5 M$ sont prévus pour mener à terme l’ensemble de ces projets pour la tour. Sa rénovation s’inscrit dans un plan de *relance des installations olympiques.

 

«L’objectif est clair : on veut un parc *urbain et moderne, explique M. Heurtel. On veut raviver la flamme du Stade, si vous me permettez l’expression.»

 

 

ANNEXE DU CENTRE BELL ?

 

Le salut du Stade Olympique passe néces*sairement par la *tenue d’événements d’envergure, croit son *dirigeant. D’autant plus que les *besoins se font sentir de ce côté.

 

Alors que l’on est à la recherche d’une nouvelle vocation pour les installations olympiques, le PDG de la Régie des installations olympiques (RIO) David Heurtel demeure assuré qu’elles se prêtent bien à une telle mission événementielle.

 

«Il y a un marché en croissance. Le téléphone sonne», ajoute-t-il.

 

«On ne veut pas être un nouveau Centre Bell. Mais il est très occupé (...) Ce n’est pas tous les événements qui peuvent y aller», laisse-t-il tomber.

 

Il voit plutôt les installations olympiques comme complémentaires aux autres services *offerts.

 

«La minute qu’on *dépasse la capacité du Centre Bell ou qu’il y a un conflit d’horaire (ça pourrait avoir lieu dans les installations olympiques)», propose le PDG.

 

Dans sa configuration d’amphithéâtre, le Stade peut *accueillir jusqu’à deux fois plus de spectateurs que le Centre Bell.

 

L’esplanade, quant à elle, fait près de quatre fois la Place des spectacles.

 

La RIO souhaite attirer des événements de tout acabit : spectacles, compétitions sportives, etc.

 

Les spectacles tenus jusqu’à maintenant dans l’enceinte du Stade se sont révélés un succès, assure M. Heurtel.

 

«On a répondu à tous les détracteurs du Stade par rapport au son», fait-il valoir.

 

Et avec un toit...

 

Un nouveau toit *permettrait de passer d’au plus 15 gros événements par année à 40, souligne-t-il.

 

«La situation du toit nous empêche d’utiliser le Stade à son plein potentiel», regrette le PDG.

 

• Dans sa configuration d’amphithéâtre, le Stade Olympique peut accueillir 35 000 personnes. Le Centre Bell, près de 15 000.

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UN AUTRE CHAPITRE DE LA SAGA DU STADE OLYMPIQUE

 

http://www.lapresse.ca/actualites/regional/montreal/201303/20/01-4633028-toit-du-stade-berube-contredit-lisee.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_BO2_quebec_canada_178_accueil_POS1

 

Toit du stade : Bérubé contredit Lisée

 

(Québec) Le gouvernement Marois ne prendra pas de décision sur l'avenir de la toiture du stade olympique avant l'été, contrairement à ce qu'a affirmé le ministre responsable de la métropole, Jean-François Lisée.

 

Le titulaire du dossier, le ministre du Tourisme Pascal Bérubé, a contredit son collègue mercredi. Selon lui, M. Lisée a eu un excès « d'enthousiasme ». Il affirmait à La Presse la semaine dernière qu'une décision devrait être prise avant l'été.

 

« C'est davantage un souhait qu'une réalité », a précisé M. Bérubé. « Comme ministre titulaire du dossier, je ne m'avancerais pas sur juin. Je vais me laisser plus de temps pour bien faire les choses ».

 

Pascal Bérubé n'a pas confirmé qu'une décision sera prise cette année. « Il y a beaucoup de choses à valider. Il y a une question financière aussi. Et on a des priorités présentement qui sont ailleurs. Mais en 2013, on va être en mouvement » dans ce dossier, a-t-il affirmé.

 

Selon Jean-François Lisée, le 375e anniversaire de la fondation de Montréal, célébré en 2017, milite en faveur d'une nouvelle toiture. Pascal Bérubé croit toutefois que « d'y arriver pour 2017, ce serait serré ».

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http://www.journaldemontreal.com/2013/03/14/la-tour-eiffel-de-montreal

 

La tour du Stade Olympique sera illuminée dès cet été aux couleurs des événements de la métropole

 

C'est une bonne nouvelle, mais malheureusement, très peu de gens pourront voir cet éclairage.

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Réflexion sur l'avenir du parc

 

***

 

Publié le 19 mars 2013 à 09h13 | Mis à jour le 19 mars 2013 à 09h13 | Commentaires (3)

 

 

Le planétarium et la vie sur terre

 

 

 

Nathalie Petrowski

La Presse

 

 

 

Vu du ciel par le hublot d'un avion, le nouveau Planétarium Rio Tinto Alcan doit être spectaculaire. Il doit ressembler à un bras surmonté de deux cônes argentés qui aurait poussé à gauche du Stade olympique, à un bras futuriste et parfaitement raccordé avec un stade érigé il y a pourtant 37 ans.

 

 

Vu de terre ou, plus précisément, de l'esplanade en béton menant à son entrée, le Planétarium, dont l'aluminium scintille au soleil, est beau et impressionnant. Mais on le sent aussi un peu à l'étroit, coincé entre deux stades, l'olympique et le Saputo, et cherchant une respiration ou un dégagement dont il a été privé.

 

Sans doute que le plus regrettable de ce nouveau Planétarium, c'est la contrainte géographique qui lui a été imposée. Contrainte qui rend l'édifice à peine visible de la rue alors qu'il mériterait d'être au milieu d'une vaste étendue nue, tel un diamant dans une vitrine.

 

Qu'à cela ne tienne, ce Planétarium qui, pour les dix prochaines années, portera le nom de Rio Tinto Alcan - qui a déboursé 3,8 millions pour ce privilège - est une bonne nouvelle pour Montréal et pour son architecture.

 

 

Non seulement le bâtiment de 48 millions est beau, mais il porte la marque d'une réelle signature architecturale, chose que l'on croyait impossible chez nous depuis qu'une sympathique ministre libérale a déclaré et je cite: «La signature, on a essayé ça et ça marche pas.»

 

Désolée, madame l'ex-ministre, mais une signature, ça marche. À preuve, la foule de Montréalais qui se pressait samedi matin à la première visite libre du Planétarium et qui semblait presque aussi heureuse de fouler ce nouveau lieu que le premier homme qui a marché sur la Lune.

 

L'autre bonne nouvelle, c'est que le Planétarium est né d'un concours international remporté à l'aveugle par une petite firme montréalaise, Cardin Ramirez Julien, et AEdifica, une firme plutôt férue de caisses populaires, de centres communautaires et de CHSLD, mais qui, grâce à ce projet ambitieux, a pu faire valoir son envergure, son audace et sa maîtrise de la technologie écolo LEED.

 

Leur savoir-faire ne se limite pas à l'enveloppe extérieure du Planétarium, il se prolonge aussi à l'intérieur. Ici, l'espace s'articule avec élégance autour de deux immenses dômes, l'un dédié au jour; l'autre, à la nuit. Le premier, le théâtre de la Voie lactée, présente la projection scientifique d'un ciel étoilé, de Montréal ou d'ailleurs, commenté par un astronome. Dans le théâtre du Chaos, à côté, Michel Lemieux et Victor Pilon nous offrent une vision artistique de l'astronomie sous la forme d'un spectacle multimédia qui sera présenté dès l'ouverture officielle, le 6 avril.

 

Le théâtre du Chaos ne contient que 98 places, moitié moins que dans le Théâtre scientifique. On s'y installe sur des chaises Adirondack disposées en cercle au milieu de ce qui se muera en lac pendant la projection. En levant la tête vers la voûte étoilée, on pense immédiatement au dôme de la Société des arts technologiques (SAT). Ce n'est pas un hasard puisqu'au fil du temps, des artistes de la SAT seront appelés à imaginer des projections à la place de celles du duo Lemieux-Pilon. Excellente idée.

 

Contrairement au Planétarium Dow, celui de Rio Tinto n'est pas seul dans son île. Il s'inscrit dans un nouvel espace, l'Espace pour la vie. Avec le Jardin botanique, l'Insectarium et le Biodôme, cet espace constitue le plus important complexe consacré aux sciences de la nature au Canada. Au cours des quatre prochaines années, des travaux de réfection et d'aménagement y seront effectués pour un coût total de 190 millions. Fort bien.

 

Il reste que ce n'est pas le béton ni l'aluminium ni même les millions qui rendent un lieu accueillant, agréable, animé - vivant, en somme. Or, ce qui manque à cet Espace pour la vie, c'est précisément... la vie, une vie humaine, urbaine, où l'on a envie de flâner, de prendre l'air, d'aller manger un morceau ou d'aller prendre un verre. Pour l'instant, l'Espace pour la vie ne le permet pas. Une fois terminée l'observation des étoiles, des insectes, des plantes et des écosystèmes, il ne reste plus rien à faire sinon fuir. Trente-sept années après les Olympiques, ce coin de la ville ressemble toujours à la planète Mars: une planète déserte, un peu glauque, abandonnée par les êtres humains.

 

Pourtant, il s'en faudrait de peu pour que ce coin verdoyant de Montréal devienne un pôle culturel et un lieu réellement fréquentable. Quelques bistros, quelques bars, quelques terrasses, et le tour serait joué. C'est aussi ce que croit le directeur de l'Espace pour la vie, Charles-Mathieu Brunelle, celui à qui l'on doit le miracle de la TOHU, cette oasis de couleur née au milieu d'une des plus grosses poubelles de l'Amérique du Nord.

 

Dernièrement, à la chambre de commerce de Montréal, Brunelle a approché le milieu des affaires, lui demandant ce qu'il attendait pour investir dans ce coin méconnu de la ville. J'espère que sa voix sera entendue. C'est bien beau de regarder les étoiles, mais à un moment, il faut pouvoir redescendre sur Terre.

 

Le Parc olympique a coûté très cher aux Montréalais. Maintenant qu'il est payé, le moment est peut-être venu d'en profiter.

Modifié par monctezuma
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Et pourquoi donc? Cette tour est visible de loin.

 

Je parle de la portion du téléphérique, l'échine. Cette section fait dos à Montréal. Elle sera visible que de l'est, ce n'est pas là que vivent 90% des montréalais. Lorsqu'on voit des photos du stade, la quasi totalité du temps, elle sont prises de l'ouest et non de l'est.

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  • 4 semaines plus tard...

http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2013/04/12/002-stade-olympique-toile-dechirures.shtml

 

 

L'état de la toile du Stade olympique continue de se dégrader, à en croire les constats établis dans le rapport annuel 2012 de la Régie des installations olympiques (RIO).

 

La RIO a en effet recensé 826 nouveaux défauts ou déchirures sur la toile, à la suite de l'inspection automnale de 2012, et ce, en plus des 414 dénombrés au printemps. En tout, 1240 réparations ont été effectuées pendant cette année au coût de 316 000 $.

 

« Ces essais ont révélé la fragilité de la toile en ce qui a trait à la rupture ainsi qu'une réduction de ses performances structurales (dégradation cumulative de plus de 59 %). » — Rapport annuel de la RIO

« Les dégradations des propriétés mécaniques de la toile sont non négligeables et son vieillissement est plus significatif qu'anticipé », lit-on dans le rapport annuel de la RIO.

 

En 2010, la RIO relevait que la toile se déchirait 50 à 60 fois par année, perdant 45 % de sa résistance. La situation était telle qu'en 2009, le Service de sécurité incendie de Montréal avait signifié à la RIO qu'il était impératif de revoir le protocole de sécurité pour s'assurer que le public ne risquait rien dans l'enceinte du stade.

 

Plus récemment, début avril, le comité-conseil sur l'avenir du Parc olympique de Montréal a jugé nécessaire le remplacement du toit du Stade olympique.

 

En 2011 et 2012, la RIO a dépensé 1,4 million de dollars pour le dossier du remplacement de la toiture du Stade olympique.

Depuis la déchirure de la toile du stade en 1999, aucune activité ne peut se dérouler sur le terrain pendant l'hiver.

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Agreed!

 

If it weren't so damned expensive...maybe the government could get a private sponsor and name the roof it after them.

 

What about TROJAN? Works on a few levels, including the stadium theme.

They could promote shows in the stadium and wouldn't even have to change their slogan:

''AN INTENSIFIED EXPERIENCE FROM BEGINNING TO END''

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Modifié par IluvMTL
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