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Limite de hauteur à 200m, pour ou contre ?


KOOL

Pour ou contre la limite à 200m ?  

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  1. 1. Pour ou contre la limite à 200m ?

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Il y a 17 heures, yarabundi a dit :

Et une tour n'a pas besoin d'avoir beaucoup de hauteur pour être impressionnante ou exceptionnelle image.thumb.png.b194174b4fc4aa583c1310d7c5334f0d.png

30 St-Mary's Axe fait 180 mètres et tout le monde peut l'identifier à Londres.

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Rarement vu un bâtiment de forme phallique aussi excitant ! :D

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il y a une heure, santana99 a dit :

Quand je suis sur le belvédère du Mont-Royal, ce qui m'arrive parfois, je trouve ça complètement ridicule ce piquet de clôture, ça fait ville de quêteux qui n'a pas les moyens de densifier son centre-ville.

C'est dans ta tête tout ça !! À force de te le répéter, tu finis par y croire. La prochaine fois que tu iras au belvédère Kondiaronk, fais l'effort de t'imaginer que tu es un touriste et que c'est la première fois que tu y mets les pieds !! Tu verras le panorama d'un autre œil !! Si jamais ton imagination fait défaut, mets-toi à regarder les réactions des touristes à mesure qu'il s'approche du bord de la falaise et tu verras qu'ils sont impressionnés parce que c'est toujours formidable de pouvoir observer une ville du haut d'un point de vue. Certaine ville doivent construire des tours pour y arriver (CN à Toronto, Sky Tree à Tokyo, Ostankino à Moscou) et d'autres comme Montréal (ou Rio avec le Pain de Sucre) peuvent bénéficier d'un attrait naturel. Quel serait l'attrait d'un belvédère comme le Kondiaronk si on avait des gratte-ciel si haut que l'observateur devrait lever la tête pour en voir les sommets ? 

Cela étant dit, la tour de la BN et le VSLP aurait très bien pu avoir quelques dizaines de mètres de plus sans compromettre ce aspect du belvédère étant donné leurs positions dans une des parties les plus basses du centre-ville. Ces deux tours-là aurait pu faire 210/220 mètres sans problème !! Du moins, il me semble. Des tours de 210/225 mètres pourraient éventuellement être envisagées sur les terrains de Molson. Ces terrains sont suffisamment loin du cœur du centre-ville pour atténuer l'effet d'écrasement qu'elles pourraient avoir sur les vues à partir du Kondiaronk. Longueuil pourrait autoriser des tours de 200/250 mètres dans le secteur entourant le métro !!

Un jour viendra où les terrains de Blue Bonnets trouveront un investisseur qui aura les reins assez solides pour les développer. Là aussi, il y a une belle occasion d'ériger de belles tours -jusqu'à 300 mètres s'il le faut !! Plus au nord, qu'est-ce que Laval attend pour autoriser des tours -je veux dire des vraies tours ? Y a-t-il une limite de hauteur dans cette ville ? S'il n'y a pas de limite, pourquoi n'y a-t-il pas plus de de tours en hauteur ?  

Par contre, pour autoriser des tours un peu plus haute, il faudrait que ce soit des projets qui soient percutant, dont l'architecture soit un témoignage du savoir-faire montréalais et de sa réputation de «ville internationale du design». Autrement, si c'est pour nous pondre des tours insipides du genre des appartements Dorchester ou du projet du Children, aussi bien en rester là avec la limite de hauteur. 

Et surtout, sauvegarder l'effet de domination à partir de Kondiaronk. 

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il y a 17 minutes, yarabundi a dit :

C'est dans ta tête tout ça !! À force de te le répéter, tu finis par y croire. La prochaine fois que tu iras au belvédère Kondiaronk, fais l'effort de t'imaginer que tu es un touriste et que c'est la première fois que tu y mets les pieds !! Tu verras le panorama d'un autre œil !! Si jamais ton imagination fait défaut, mets-toi à regarder les réactions des touristes à mesure qu'il s'approche du bord de la falaise et tu verras qu'ils sont impressionnés parce que c'est toujours formidable de pouvoir observer une ville du haut d'un point de vue. Certaine ville doivent construire des tours pour y arriver (CN à Toronto, Sky Tree à Tokyo, Ostankino à Moscou) et d'autres comme Montréal (ou Rio avec le Pain de Sucre) peuvent bénéficier d'un attrait naturel. Quel serait l'attrait d'un belvédère comme le Kondiaronk si on avait des gratte-ciel si haut que l'observateur devrait lever la tête pour en voir les sommets ? 

Cela étant dit, la tour de la BN et le VSLP aurait très bien pu avoir quelques dizaines de mètres de plus sans compromettre ce aspect du belvédère étant donné leurs positions dans une des parties les plus basses du centre-ville. Ces deux tours-là aurait pu faire 210/220 mètres sans problème !! Du moins, il me semble. Des tours de 210/225 mètres pourraient éventuellement être envisagées sur les terrains de Molson. Ces terrains sont suffisamment loin du cœur du centre-ville pour atténuer l'effet d'écrasement qu'elles pourraient avoir sur les vues à partir du Kondiaronk. Longueuil pourrait autoriser des tours de 200/250 mètres dans le secteur entourant le métro !!

Un jour viendra où les terrains de Blue Bonnets trouveront un investisseur qui aura les reins assez solides pour les développer. Là aussi, il y a une belle occasion d'ériger de belles tours -jusqu'à 300 mètres s'il le faut !! Plus au nord, qu'est-ce que Laval attend pour autoriser des tours -je veux dire des vraies tours ? Y a-t-il une limite de hauteur dans cette ville ? S'il n'y a pas de limite, pourquoi n'y a-t-il pas plus de de tours en hauteur ?  

Par contre, pour autoriser des tours un peu plus haute, il faudrait que ce soit des projets qui soient percutant, dont l'architecture soit un témoignage du savoir-faire montréalais et de sa réputation de «ville internationale du design». Autrement, si c'est pour nous pondre des tours insipides du genre des appartements Dorchester ou du projet du Children, aussi bien en rester là avec la limite de hauteur. 

Et surtout, sauvegarder l'effet de domination à partir de Kondiaronk. 

J'abonde dans le même sens que toi quant à la nécessité de projets de très grande qualité sur le plan architectural. Il ne s'agit pas de construire de hautes tours génériques pour densifier le centre-ville. Ce serait idiot ! Autant ne rien faire alors !

Quant à l'effet piquet de clôture, ce n'est pas du tout dans la tête, une illusion d'optique. L'effet est bien réel et irritant. C'est avant tout un problème "d'équilibre", de concentration des gratte-ciels les plus visibles, surtout dans le secteur du centre Bell et visibles à partir du Mont-Royal.

Chaque grande ville a ses particularités. À Londres, les gratte-ciels au centre-ville, ils ne sont pas si nombreux, se marient avec les bâtiments anciens ; à Paris ils sont concentrés à La Défense.

À Montréal, il faut trouver un meilleur équilibre : il y a une concentration d'édifices en hauteur plus à l'ouest du cv, et de grands trous à l'est, et un manque d'édifices au nord, d'où l'effet piquet de clôture.

Tout ça n'est pas dans la tête, mais est bien visible !

On pourrait parfaitement construire quelques tours de plus grandes tailles et de très grande qualité, "rééquilibrer" le cv, sans nuire au point de vue à partir de la "montagne".

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il y a 42 minutes, yarabundi a dit :

Cela étant dit, la tour de la BN et le VSLP aurait très bien pu avoir quelques dizaines de mètres de plus sans compromettre ce aspect du belvédère étant donné leurs positions dans une des parties les plus basses du centre-ville. Ces deux tours-là aurait pu faire 210/220 mètres sans problème !! Du moins, il me semble.

Parfaitement d'accord avec toi et ça aurait été tout à fait possible avec le règlement d'origine  232 max à partir du niveau de la mer. 

J'ai appris il y a seulement quelques années que ce règlement avait été changé pour 200 max ou 232 max à partir du niveau de la mer, le plus bas des deux ayant préséance sur l'autre. Je crois que les terrains BN/VLSP auraient pu accueillir du 118m environ car situés « en bas de la côte ». Quelqu'un pourrait-il me dire en quelle année exactement ce règlement a été modifié ? 

 

 

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Il y a 4 heures, yarabundi a dit :

ça fait ville de quêteux qui n'a pas les moyens de densifier son centre-ville.

Je faisais surtout référence à ce commentaire -pas au fait qu'il y ait un «piquet de clôture» !!

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https://www.ledevoir.com/politique/montreal/599110/montreal-adopte-une-declaration-pour-proteger-les-vues-sur-le-mont-royal

Montréal adopte une déclaration pour protéger les vues sur le mont Royal

[Montréal]

Photo: Marie-France Coallier Archives Le Devoir Les règles urbanistiques font en sorte qu’à Montréal, aucun immeuble ne peut dépasser le sommet de la montagne.

Jeanne Corriveau

19 h 44

Montréal

Les élus montréalais ont approuvé, lundi, une déclaration soumise par la mairesse Valérie Plante afin de protéger les vues vers le mont Royal et limiter les hauteurs des immeubles au centre-ville. Le parti d’opposition Ensemble Montréal a cependant refusé d’entériner la proposition perçue comme une manœuvre électorale visant à attaquer la suggestion de Denis Coderre de permettre la construction d’immeubles plus hauts que le mont Royal.

La déclaration proposée par Valérie Plante signale que le mont Royal est un « symbole identitaire puissant de Montréal » et que sa préservation était inscrite dans le plan d’urbanisme de 1992 et dans celui de 2004. Ces documents soulignaient l’importance de protéger et de mettre en valeur les perspectives visuelles et les vues entre la montagne et le fleuve Saint-Laurent, a-t-elle fait valoir. Les règles urbanistiques font en sorte qu’à Montréal, aucun immeuble ne peut dépasser le sommet de la montagne.

« En aucun cas, la privatisation des vues, tant du mont Royal que du fleuve Saint-Laurent, ne devrait être envisagée. Ce n’est pas une avenue souhaitable pour le bien commun de la population montréalaise », a expliqué la mairesse lors de l’assemblée virtuelle du conseil municipal.

Elle a rappelé que plusieurs défenseurs du patrimoine s’étaient récemment portés à la défense de la montagne. « Nous n’entendons pas augmenter les limites de hauteurs actuelles et nous sommes en désaccord avec toute tentative d’obstruer la vue vers le mont Royal au profit d’un développement privé qui ferait de Montréal une ville comme n’importe quelle autre », a dit Valérie Plante.

Le chef de l’opposition, Lionel Perez, a accusé l’administration Plante d’utiliser sa majorité au conseil municipal pour faire adopter une proposition qui attaque son adversaire Denis Coderre. « Cette déclaration n’est rien d’autre qu’une tentative politique pour essayer de viser directement notre nouveau chef et candidat à la mairie, Denis Coderre. Projet Montréal prend une ou deux pages d’un livre de 300 pages et on fait les gymnastiques et les interprétations voulues », a-t-il dit.

Rappelons que dans son récent livre, Retrouver Montréal, Denis Coderre avait suggéré que la règle limitant les hauteurs des édifices au centre-ville de Montréal soit revue afin de permettre une plus grande densification. « Si nous souhaitons un centre-ville de classe mondiale, grandissant d’année en année, nous devrons dépasser la hauteur de la croix du mont Royal avec nos gratte-ciel », avait-il écrit. « Je suis conscient que c’est un débat sensible au niveau de l’impact sur la qualité de vie ou de vue, mais je crois qu’il est nécessaire d’aborder ce sujet aujourd’hui. »

Lionel Perez estime que les élus doivent voir « grand » et envisager des immeubles plus hauts au centre-ville. « Les constructeurs trouvent plus avantageux de construire en banlieue et ainsi contribuer à l’étalement urbain. Le refus de l’administration de même évoquer un changement dans notre vision de la ville contribue à cet étalement urbain. »

Certains élus indépendants comme la mairesse de Villeray-Saint-Michel-Parc-Extension, Giuliana Fumagalli, ont appuyé la déclaration, mais d’autres, comme Marvin Rotrand et les élus d’Anjou, ont préféré voté contre.

Le golf d’Anjou

L’administration a soumis au vote plusieurs autres déclarations lors de l’assemblée du conseil municipal lundi. L’une d’elles visait à reconnaître l’importance de préserver la vocation d’espaces verts de deux terrains de golf du territoire montréalais, soit ceux de Dorval et d’Anjou, et de maintenir l’affectation d’espace vert du Club de golf d’Anjou dans le Schéma d’aménagement.

Cette proposition a suscité le mécontentement du maire d’Anjou, Luis Miranda, qui souhaite justement que l’administration montréalaise modifie le zonage d’une partie du golf afin de permettre la construction d’un bâtiment industriel destiné à accueillir une entreprise de haute technologie. Ce projet de 650 millions $ est susceptible de créer, à terme, jusqu’à 3000 emplois à temps plein, a fait valoir M. Miranda. Il comportera par ailleurs jusqu’à 1200 places de stationnement pour les employés et 500 places pour des camions. « Pour avoir joué sur une base régulière à tous les matins [au Club de golf], jamais je n’y ai vu une couleuvre ou quoi que ce soit », a expliqué M. Miranda. Celui-ci a précisé que le Boisé d’Anjou, qui borde le site convoité, sera préservé. La déclaration a été adoptée par la majorité du conseil

La Fête nationale

Les élus ont par ailleurs entériné à l’unanimité une déclaration demandant à Québec de « garantir » que le grand spectacle de la Fête nationale à Montréal pourra revenir en 2022. Rappelons qu’en 2020, la pandémie avait incité le gouvernement à ne proposer qu’un seul spectacle de la Fête nationale. Celui-ci a été enregistré à Trois-Rivières l’an dernier. Cette année, le spectacle sera enregistré dans Charlevoix. L’administration et le Comité de la Fête nationale de la Saint-Jean (CFN), craignent que cette formule exceptionnelle perdure au-delà de la pandémie et que Montréal perde cette fête.

Défendre les locataires

Une déclaration demandant au gouvernement du Québec de créer un registre public des loyers « afin de limiter les hausses de loyer abusives lors de changements de locataires » a aussi été adoptée. La Ville réclame aussi une révision du Code civil du Québec pour mieux protéger les locataires dans le contexte d’une multiplication des cas d’expulsions.

Une autre déclaration approuvée par le conseil municipal demande par ailleurs la mise en place, par Québec, d’un bail type pour les locaux commerciaux. Cette motion suggère l’enregistrement obligatoire des baux commerciaux d’un an et plus au Registre foncier du Québec afin de mieux protéger les locataires commerciaux, ainsi que des mesures de contrôle pour limiter les hausses de loyer.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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