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Présentement on peut apprécier la Biosphère de Buckminster Fuller en sortant du Métro Papineau, à partir de la rue Sainte-Catherine. On a juste à regarder au bout de la rue Dorion. C'est assez spectaculaire !

Si on construit sur le terrain vacant de U-Haul sur la rue Notre-Dame, à coté du pont Jacques-Cartier, comme il est question, nous allons perdre cette vue sur une icône importante de Montréal. Puis le timing est bizarre, car nous allons bientôt célébrer le 50ème d'Expo 67....

 

 

2014-08-24

 

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C'est sûr que si quelque chose est construit sur ce terrain, il cachera la vue quelque part. On voudrait bien conserver ces fenêtres sur le St-Laurent, il faudrait cependant une volonté politique et probablement un budget assez important pour financer l'achat de ces précieux espaces.

 

On ne mentionne pas la hauteur du futur bâtiment, mais sa vocation est commerciale, donc ce peut être des bureaux; un entrepôt; un ou plusieurs commerces, succursales, boutiques ou magasins spécialisés?

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Exactement !

 

Ça ne prend pas beaucoup de vision pour comprendre que ce n'est pas un 'simple' fenêtre sur le fleuve, mais une fenêtre avec des vues impressionnantes, à deux pas du centre-ville ! Montréal ne se dispose pas de tant de panoramas que ça, et il s'agit ici des icônes de Montréal...

 

L'arrondissement peut émettre un réserve temporaire sur ce terrain, pour bien réfléchir sur sa meilleur vocation. Le terrain n'est pas si grand que ça, mais son placement est stratégique. Il faut arrêter de pensez courte terme et continuer de répéter les erreurs du passé...D'un côté on parle d’illuminer le pont Jacques-Cartier et le Biosphère, puis de l'autre côté on enlève des points de vue importants....Dans ma photo, on voit que l'arrondissement a déjà permis l'installation d'un panneau géant dans cette perspective. Cela démontre aucun sensibilité ou appréciation pour les vues de nos icônes.

 

Il y a plein d'emplacements ailleurs pour construire un entrepôt. Ici une construction va obstruer une vue superbe sur le pont Jacques-Cartier et cacher les éléments historiques et patrimoniales qui sont sur l’Île Sainte-Hélène. Quant à la hauteur permise, je crois que c'est 25m (actuellement...), mais même s'ils construisaient un bungalow, nous perdrons...

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Le terrain vacant d’ U-Haul est juste en face de la station de pompage Craig. Il faut convaincre nos élus que le secteur patrimonial du pied-du-courant, et surtout ce site en face du fleuve, n’est pas l’endroit pour permettre la construction d’un entrepôt.

 

Voici un projet étudiant de Marie-Gil Blanchette qui parle de l'historique de la station de pompage et sa proposition pour le site.

 

http://www.arch.mcgill.ca/prof/davies/arch671/winter2007/students/blanchette/projet1.htm

 

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[TD]Watercycle est un projet qui cherche à révéler par son architecture et son programme une nouvelle dimension de la gestion de l’eau dans le contexte spécifique de la Ville de Montréal. Il s’agit d’une intervention créant un lien entre le côté fonctionnel, souvent invisible aux yeux du public, du traitement des eaux usées et la célébration poétique de l’eau. Le projet est un prototype qui traite la neige, récupère et recycle l’eau grise pour créer un nouveau type de parc urbain. L’espace s’anime et raconte l’histoire du cycle des saisons, du cycle de l’eau. Le site de ce projet est la Station de pompage Craig située sur la rue Notre-Dame Est à l’ombre du pont Jacques-Cartier. Abandonné depuis une trentaine d’années, le bâtiment fut érigé en 1887 afin de prévenir des inondations majeures qui se répétaient chaque année à Montréal au début du printemps.1 Ce nouveau programme ajouté au site est une réinterprétation de l’ancien programme puisqu’il s’agit aussi de contrôler un type d’inondation. La neige inonde Montréal durant l’hiver. Elle est à peine tombée sur le sol qu’elle est rapidement ramassée pour libérer les rues. L’enlèvement de la neige est géré par la ville depuis 1905. Entre 1905 et 1999, la neige n’était pas traitée, une partie était rejetée directement dans le fleuve St-Laurent. Ce procédé est désormais interdit pour des raisons environnementales. Aujourd’hui, la neige est éliminée par diverses méthodes dont le cycle se termine à la station d’épuration située à l’extrémité Est de l’île de Montréal.2 Le projet devient une alternative à ce processus en modifiant le cycle existant de l’eau et en s’intégrant à la ville. De plus, le projet vise à créer un geste pour la revitalisation du quartier ainsi que pour la réappropriation progressive des rives du St-Laurent qui sont de moins en moins utilisées suite au déclin de l’ère industrielle.[/TD]

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[TD=width: 572]L’intervention architecturale

L’intervention architecturale divise physiquement le site en deux composantes principales : un large espace de dépôt et un parc longitudinal qui s’étend dans l’axe de la rue Notre-Dame. Un centre d’interprétation joue le rôle de filtre conceptuellement et fonctionnellement entre ces deux composantes principales puisqu’il sert à purifier par décantation l’eau récupérée lors de la fonte de la neige. L’espace de dépôt est formé par une tranchée creusée dans le sol autour de la Station de Pompage. La tranchée met en valeur l’apparence patrimoniale de ce bâtiment dont la fonction d’origine est désuète en le détachant du sol. La Station de Pompage devient l’accès principal du site et du centre d’interprétation. Le parc urbain se transforme en promenade : il est ponctué par divers types de fontaines, bassins et jardins irrigués alimentés par l’eau grise. Les divers éléments s’adaptent aux saisons et permet au parc d’être aussi intéressant l’été que l’hiver. Le flot des fontaines fluctue en fonction de la vitesse à laquelle la neige fond. Durant l’hiver, lors des redoux, la neige fond légèrement : les fontaines deviennent des sculptures de glaces. Aux conditions existantes du site, aucune connexion visuelle avec le fleuve n’est possible. La topographie changeante de la promenade permet d’établir différentes relations visuelles avec le Fleuve St-Laurent en modifiant la ligne d’horizon pour le visiteur. Des passerelles transverses à l’espace de dépôt créent des connexions piétonnes entre la ville et le parc. Elles permettent aussi aux visiteurs de passer au dessus de la tranchée et de ressentir l’ampleur du projet.

Le centre d’interprétation s’intègre architecturalement à la tranchée et devient de façon conceptuelle le mur de soutènement du dépôt. Il comporte quatre niveaux dont trois sont submergés sous terre. Le niveau le plus profond repose sur le socle rocheux. Ce niveau contient des grilles et des bassins de décantation qui permettant de purifier l’eau de neige des gros débris, des abrasifs et des hydrocarbures. L’eau est ensuite pompée vers la surface et déversée à travers un mur poreux le long du parc. Le centre d’interprétation comporte des espaces pour des expositions temporaires et permanentes. Des espaces d’observations dispersés sur les trois autres niveaux. À certains endroits dans le bâtiment il est possible d’avoir une vue sur l’espace de dépôt parfois vide parfois plein. Un petit auditorium est construit sous la Station de Pompage. Les visiteurs s’y rendent pour comprendre le fonctionnement général du site. Dans le centre d’interprétation y est aussi aménagé un laboratoire pour analyser l’eau purifiée, des bureaux administratifs pour les employés ainsi qu’un café. Ce dernier se trouve à l’étage supérieur donnant sur la place publique à l’extrémité Est du site. Cette place est conçue de façon à pouvoir recevoir les visiteurs pour les feux d’artifices durant l’été.

En conclusion, l’architecture du prototype s’intègre au contexte urbain, met en valeur la Station de pompage et révèle son fonctionnement au public par son architecture. Le site devient le laboratoire intérieur et extérieur d’un procédé alternatif aux procédés existants de l’élimination de la neige. Il s’agit d’un prototype aménagé pour le contexte spécifique du site de la Station de Pompage Craig, mais dont les composantes fonctionnelles de bases pourraient aussi être reproduites ailleurs sur l’île de Montréal.

Référence :

1. Champ Libre 3 Avril 2007, La station de Pompage Craig. <http: www.champlibre.com>

2. Communauté urbaine de Montréal, Réseau d’interception et Étapes de construction, Station d’épuration des eaux usées.

3. Informations reçues en septembre 2007 du Bureau Stratégie Neige de la Ville de Montréal.

4. Libre 3 Avril 2007, La station de Pompage Craig. <http: www.champlibre.com>

5. Ville de Montréal / Transport Québec, Projet de modernisation de la rue Notre-Dame, concept conjoint (2005)

Référence des images non produites par l’auteure :

1) Programme (image du bas) : Archives numériques de la bibliothèque Nationale du Québec, Album Massicotes.

2) Intervention architecturale (image de l’inondation de 1886) : Archives photographique du musée McCord.[/TD]

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[TD=width: 572]Le programme : une alternative aux procédés existants d’élimination de la neige à Montréal.

Entre 1905 et 1999, la neige était en partie rejetée dans le fleuve St-Laurent à partir d’un quai sous le pont Jacques-Cartier ainsi qu’à partir du pont de la Concorde. Depuis 2001, cette pratique est totalement interdite pour des raisons environnementales. Trois méthodes sont présentement utilisées pour éliminer la neige: les dépôts extérieurs, la carrière St-Michel et les chutes à neige. Près de la Station de Pompage Craig se trouvent les chutes à Neige Fullum. Parmi les quatorze sites de chutes à neige de Montréal, ce sont celles qui reçoivent la plus grande quantité de neige par hiver. En 2007, 302 063 m3 de neige y ont été déversés.3 La neige se mélange au contenu des rejets d’égout tièdes et fond. L’eau de neige est alors acheminé à la station d’épuration située à la pointe Est de l’île de Montréal et traitée tels des rejets d’égout. Selon le bureau Stratégie Neige de la Ville de Montréal, en 2006, 4178 km de rue et 6295 km de trottoir ont été déneigés. Un total de 13 500 000 m3 de neige a été ramassés. Il s’agit d’un énorme volume qui vient surcharger la station d’épuration durant l’hiver.[/TD]

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Watercycle est un projet qui cherche à révéler par son architecture et son programme une nouvelle dimension de la gestion de l’eau dans le contexte spécifique de la Ville de Montréal. Il s’agit d’une intervention créant un lien entre le côté fonctionnel, souvent invisible aux yeux du public, du traitement des eaux usées et la célébration poétique de l’eau. Le projet est un prototype qui traite la neige, récupère et recycle l’eau grise pour créer un nouveau type de parc urbain. L’architecture du projet plonge le visiteur dans une promenade où il peut comprendre peu à peu le projet. L’espace s’anime et raconte l’histoire du cycle de l’eau au fil des saisons.

Le site de ce projet est la Station de pompage Craig située sur la rue Notre-Dame Est à l’ombre du pont Jacques-Cartier. Ce bâtiment abandonné depuis une trentaine d’années fut érigé en 1887 afin de prévenir des inondations majeures qui se répétaient chaque année à Montréal au début du printemps. Ce nouveau programme ajouté au site est une réinterprétation de l’ancien programme puisqu’il s’agit aussi de contrôler un type d’inondation : la neige inonde Montréal durant l’hiver. Elle est à peine tombée sur le sol qu’elle est rapidement ramassée pour libérer les rues. L’enlèvement de la neige est géré par la Ville depuis 1905. Entre 1905 et 1999, elle n’était pas traitée. Une partie était rejetée directement dans le fleuve St-Laurent. Ce procédé est désormais interdit pour des raisons environnementales. Aujourd’hui, la neige est éliminée par diverses méthodes qui dans tous le cas termine leur cycle à la station d’épuration située à l’extrémité Est de l’île de Montréal. Le projet devient une alternative à ce processus en modifiant le cycle existant de l’eau et en s’intégrant à la ville. De plus, le projet vise à créer un geste pour la revitalisation du quartier ainsi que pour la réappropriation progressive des rives du St-Laurent qui sont de moins en moins utilisées suite au déclin de l’ère industrielle.

L’intervention architecturale divise physiquement le site en deux composantes principales : un large espace de dépôt et un parc longitudinal qui s’étend dans l’axe de la rue Notre-Dame. L’espace de dépôt est formé par une tranchée creusée dans le sol. Il dégage la Station de Pompage du sol et met en valeur l’apparence patrimoniale du bâtiment. La Station devient l’accès principal du centre d’interprétation qui contient des espaces d’exposition temporaires et permanentes. Le parc urbain se transforme en une promenade ponctuée par divers types de fontaines, bassins et jardins irrigués alimentés par l’eau grise. Le projet s’adapte aux saisons et permet au parc urbain d’être aussi intéressant l’été que l’hiver. La topographie changeante de la promenade permet d’établir différentes relations visuelles avec le Fleuve St-Laurent. Aux conditions actuelles du site, aucune relation visuelle n'est pas possible à la hauteur du sol. Le centre d’interprétation joue le rôle de filtre conceptuellement et fonctionnellement entre ces deux composantes principales puisqu’il sert à purifier par décantation l’eau récupérée lors de la fonte de la neige.[/TD]

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2014-08-30

 

Photo panoramique incorporant la Station de pompage Craig et le pont. Quelques percées à travers des wagons de train nous permetteront de voir des éléments intéressants et iconiques qui se trouvent à l'ouest: La Tour de Lévis sur Ile Sainte-Hélène, le pont Victoria, le parc de la Cité-du-Havre, l’ile des Sœurs, la Tour de l'Horloge et de l’autre côté de la rue, l’Église Sainte-Brigide de Kildare et même la croix sur Mont-Royal.

 

P1000288.JPG

 

Mont Royal  P1000291.jpg

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Document de 2005 de l'arrondissement Ville-Marie sur l'implantation du CHUM au centre-ville.

 

Même à cet époque on disait que le secteur extrême est était le plus susceptible à bénéficier des effets de l'implantation du CHUM dans le secteur.

 

Section 3.3.4 Le Secteur de Radio-Canada le Square Papineau (8 sur la carte).

Il parle également de la Station de pompage Craig, le Pied-du-courant (10 sur la carte) et les abords du pont Jacques-Cartier et l'avenue de Lorimier (11).

 

Image du Rapport VM - CHUM 2005.jpg

 

http://www.ctarchitecte.com/images/CTAchumRAPPORT.pdf

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  • 3 semaines plus tard...
  • 4 mois plus tard...
Aujourd'hui: la rue Papineau vers le sud

 

La vue du coté nord du tunnel qui passe en dessous les voies ferroviaires.

Ceci représente une porte d'entrée éventuelle aux quais du fleuve et à la Promenade du Vieux-Port à l'ouest.

 

20130615_142056.jpg

 

J'ai fait un croquis d'un concept pour une Terrasse de la Distillerie avec un accès aux quais.

 

Terrasse de la Distillerie (Papineau au sud de N-D)_2_1_1.jpg

 

Terrasse de la Distillerie (Papineau au sud de N-D)PLAN_1_1_1.jpg

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