ville-marie Îlot Voyageur Nord - 8, 10, 10 étages

[Joelb]

7 juillet ... ils semblent rajouter des étages

 

[ATTACH]22180[/ATTACH]

 

Est-ce que c'est normal que les «moules» pour les colonnes de l'étage ajouté ne semble pas du tout alignés avec les colonnes des étages inférieurs?

 

J'imagine que c'est seulement parce qu'ils ne sont pas placés encore, mais il semblent tous alignés ... lol

[ToxiK]

Je suis presque nostalgique parce que quand je suis arrivé au Québec, le chantier venait de s'arrêter. Le temps passe vite... Haha

 

Tu es arrivé à Montréal avec De Maisonneuve et Jeanne Mance?

 

[uqam+]

Je passe là à pied tous les matins et je n'osais plus y croire. D'ailleurs, je n'ose toujours pas y croire tout à fait... comme si tout ce béton avait été mis là pour aller avec le viaduc et confirmer le côté trash du quartier.

[Feanaro]

Tu es arrivé à Montréal avec De Maisonneuve et Jeanne Mance?

 

 

Hahaha non.

[MtlMan]

Je suis presque nostalgique parce que quand je suis arrivé au Québec, le chantier venait de s'arrêter. Le temps passe vite... Haha

 

haha. Ce squelette est presque devenu du patrimoine!

[Rocco]

C'est vraiment reparti, presque 10 plus tard.. wow

[Boosterfire]

Est-ce que l'armature a été là assez longtemps pour être considérée par certains comme une œuvre d'art? Gros truc de béton pas immensément beau. Ça me rappelle quelque chose... Certains pourraient crier au meurtre!

Modifié 9 juillet 2015 par Boosterfire

[acpnc]

Si on peut ressusciter l'ilot Voyageur, alors on peut certainement accomplir le même miracle au square Viger. Quant à Feanaro, tu pourras dire que tu es arrivé ici au moyen-âge et tu es maintenant témoin du début de la renaissance à Montréal.

:thumbsup:

[Nameless_1]

tu es maintenant témoin du début de la renaissance à Montréal.

:thumbsup:

 

J'aime ce point de vu.

[Mokita]

ÎLOT VOYAGEUR

Le projet domiciliaire progresse… enfin

9 juillet 2015 |Philippe Orfali | Actualités en société

 

Pendant que le projet gouvernemental sur la partie sud du site montréalais tarde à se concrétiser, le promoteur immobilier ayant racheté la nouvelle gare et le squelette de béton qui la surplombe, sur la partie nord, a repris la construction du bâtiment il y a quelques semaines.

 

Québec a vendu l’édifice inachevé au Groupe Aquilini en juillet 2013 pour une somme de 45,5 millions. Après quelques accrocs, les étages supérieurs de l’édifice seront transformés en logements locatifs abordables et devraient accueillir leurs premiers occupants le 1er juillet 2016, a indiqué mercredi au Devoir un dirigeant de l’entreprise britanno-colombienne.

 

Exposés aux intempéries depuis près de dix ans, les six étages supérieurs de l’édifice seront bientôt surmontés de deux étages additionnels et le projet accueillera 376 logements locatifs, a indiqué le vice-président aux opérations du Groupe Aquilini, Jocelyn Lafond.

 

« La première phase, celle au coin Ontario et Berri, comptera 376 unités. Il nous reste à préparer la seconde phase du projet [du côté de la rue Saint-Hubert], qui sera prête en juillet 2017 » et comptera 250 unités, pour un total de 625 unités sur le site.

 

Les travaux de cette seconde phase devraient être entrepris à l’automne.

 

Le Groupe Aquilini avait d’abord voulu vendre en copropriété les logements de l’îlot Voyageur, mais la faible hauteur des plafonds de l’édifice, qui devait à l’origine abriter des résidences de l’UQAM, pose problème.

 

« Le marché aurait mal répondu, et en plus, le marché de la copropriété est très tranquille ces jours-ci », affirme M. Lafond, dont l’entreprise détient quelque 3000 logements locatifs dans la région de Montréal.

 

Valeur en forte baisse

 

Quant à la société de gestion du terminus d’autocars situé au rez-de-chaussée, rachetée par Québec au coût de 25,5 millions en 2010, elle ne vaudrait plus que 6,6 millions aujourd’hui, selon le plus récent rapport annuel de l’Agence métropolitaine de transport (AMT), qui en a hérité.

 

Les revenus de la société fondent comme neige au soleil, notamment en raison de la baisse en popularité du transport par autocar. Les contribuables ont payé pas moins de 300 millions pour ce projet d’îlot Voyageur, qui devait à l’origine s’auto-financer.