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Îlot Voyageur Nord - 8, 10, 10 étages


Mokita

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Une autre raison pourquoi en grêce il y a autant de bâtiments non terminés c'est que selon la loi tant que la maison n'est pas terminée les propriétaires ne payent pas de taxes d'habitation. Et pour les projets en pauses presque l'europe toute entière connait ce malheur, pas juste la grêce et l'espagne. Sa roule au Qc si on compare avec là bas.

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  • 2 mois plus tard...

l’îlot Voyageur en chantier au printemps

 

Les appels d’offres ont été lancés et voilà que le groupe d’investissement Aquilini s’apprête à signer son contrat pour la première phase de travaux avec l’entrepreneur choisi, mais non encore dévoilé. Cette phase consiste à ajouter deux étages au bâtiment existant angle Berri et Ontario Est, déjà haut de huit niveaux.

 

Côté chantier, Jocelyn Lafond, vice-président des opérations du groupe d’investissement Aquilini, s’attend à ce que l’essentiel des travaux débute au printemps. Et la construction de ces 376 premières unités de logement devrait durer 14 mois.

 

« En parement, affirme-t-il, on prévoit installer des murs-rideaux de même que de la brique pour la majeure partie du bâtiment. Le toit plat sera quant à lui une membrane inversée. » Outre les travaux de finition intérieure, le projet inclut aussi l’ajout d’une cage d’escalier, d’une chute à déchets de même que d’ascenseurs.

 

Parmi les défis relevés jusqu’à présent, Jocelyn Lafond s’exclame qu’ils sont multiples. Il s’avance toutefois à mentionner que la construction d’une chute à déchets n’était pas prévue à l’origine et que les puits d’ascenseur posent quelques problèmes techniques. « En fait, dit-il, ce n’est jamais facile de travailler avec de l’existant. »

 

En ce qui a trait à la seconde phase du projet, pour laquelle les perspectives sont toujours sur les tables à dessin, on prévoit terminer la conception au cours de l’hiver pour ensuite publier un appel d’offres vers janvier ou février 2015. Les travaux pour la construction des 250 unités restantes pourraient débuter l’été prochain, si l’échéancier actuel est respecté, et ils s’étendront sur environ 12 mois.

 

L’équipe de professionnels attitrés à la tâche est composée de l’Atelier Chaloub + Beaulieu (architecture), de Blondin Fortin & associés (génie électromécanique) et de SDK (génie civil/structural).

 

Si on exclut les coûts d’acquisition, M. Jocelyn Lafond stipule que l’ensemble du projet représente un investissement total de 85 millions $, incluant la construction et les frais professionnels. Une fois complétées, Aquilini estime que ces nouvelles unités devraient rapporter plus de 1 million $ en taxes foncières à la Ville de Montréal.

 

Toujours dans le secteur de l’îlot Voyageur, un autre projet est en préparation, celui de l’édifice de bureaux pour la Société québécoise des infrastructures (SQI). Cette dernière prévoit construire un immeuble, au coin des rues Berri et de Maisonneuve, là où est situé l’ancien terminus d’autobus d’Orléans Express. Le bâtiment à construire offrira une superficie locative d’environ 58 000 pieds carrés, ce qui veut dire qu’il pourra accueillir environ 2 500 employés.

 

Pour ce projet, la SQI a sélectionné le consortium formé de Ædifica et Daoust Lestage pour les services en architecture, le consortium Bouthillette Parizeau - Pageau Morel pour les services en génie mécanique et électrique, puis la firme SDK pour les services en génie civil et en structure. On vise le printemps 2016 pour la publication de l’appel d’offres aux constructeurs.

 

http://www.portailconstructo.com/actualites/montreal_ilot_voyageur_chantier_au_printemps

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C'est quand la membrane d'étanchéité se trouve en-dessous de l'isolant, ce qui empêche se détériorer à cause du soleil ou de la glace et il doit avoir du lestage sur l'isolant, comme du gravier. Une toiture à membrane conventionnelle c'est quand elle se trouve au-dessus de l'isolant, donc dans ce cas, il doit y avoir une membrane de finition sur la membrane d'étanchéité.

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C'est quand la membrane d'étanchéité se trouve en-dessous de l'isolant, ce qui empêche se détériorer à cause du soleil ou de la glace et il doit avoir du lestage sur l'isolant, comme du gravier. Une toiture à membrane conventionnelle c'est quand elle se trouve au-dessus de l'isolant, donc dans ce cas, il doit y avoir une membrane de finition sur la membrane d'étanchéité.

 

Merci cher ami!

 

Mais quel est l'avantage? Et dans quels cas spécifiques est-ce préférable d'utiliser cette option?

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Personnellement je trouve qu'il n'y a pas de meilleure méthode, car chacune ont leur défaut et leur avantage. Cependant pour l'inversée la membrane est protégée par l'isolant et le lestage, donc moins de risque de déchirures et d'infiltration d'eau par la toiture, tandis que pour une conventionnelle, elle n'a pas besoin de lestage, et est moins compliquée à construire, car il y a une membrane en moins, mais comme disait un de mes profs au cégep, c'est risqué si on a des enfants qui s'amuse avec des couteaux sur la toiture, sinon c'est un système de toiture comme un autre :rotfl:

Modifié par Dominic723
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C'est quand la membrane d'étanchéité se trouve en-dessous de l'isolant, ce qui empêche se détériorer à cause du soleil ou de la glace et il doit avoir du lestage sur l'isolant, comme du gravier. Une toiture à membrane conventionnelle c'est quand elle se trouve au-dessus de l'isolant, donc dans ce cas, il doit y avoir une membrane de finition sur la membrane d'étanchéité.

J'imagine que la membrane inversée convient bien pour les toits verts. Le jardinage nécessaire pour l'entretien de la végétation ne risque pas de l'endommager.

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Pour une toiture vert, en-dessous du substrat terreux, il y a d'autres membranes, comme un géotextile qui sert de membrane anti racine, tout dépendant de ce que l'on plante, car une toiture peut avoir des herbages, des arbustes ou même des arbres et il y a une membrane de drainage en plastique. Ces membranes protèges la membrane d'étanchéité et l'isolant.

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  • 2 mois plus tard...

Latest News from Journal de Montreal (January 5th 2015)

 

Les Montréalais qui espéraient voir l’îlot Voyageur se fondre enfin dans le décor devront prendre leur mal en patience. Les travaux de parachèvement de la «verrue de Montréal» débuteront avec plus de sept mois de retard, a appris Le Journal.

L’entreprise privée qui a acquis en 2013 ce squelette de béton surplombant le centre-ville avait confirmé aux médias l’été dernier que les travaux de construction reprendraient dès la mi-août.

Ceux-ci avaient été stoppés il y a plus de sept ans dans la foulée du scandale qui a secoué l’UQAM. En effet, le projet immobilier initié par l’Université à l’îlot Voyageur s’est retrouvé au cœur d’un fiasco où 300 M$ de fonds publics ont été engloutis. L’immeuble avait été laissé inachevé depuis 2007.

 

La reprise des travaux, prévue pour août dernier, est «beaucoup plus complexe qu’anticipé, mais on va y arriver», a écrit dans un courriel au Journal Jocelyn Lafond, vice-président aux opérations du Groupe Aquilini.

Ainsi, «nous poursuivons nos efforts pour débuter la construction dès le printemps 2015», assure M. Lafond.

Dix ans après le lancement du projet par l’UQAM, l’entreprise y construira 650 unités d’habitation, en majeure partie locatives.

Elle prévoit que 18 mois de construction seront nécessaires pour compléter les résidences.

Outre le déménagement de la gare d’autocars au rez-de-chaussée de l’îlot Voyageur, le squelette de béton vide n’a en rien changé depuis 2006.

 

Pour ce qui est de l’ancien emplacement de la gare d’autocars, à l’intersection de Maisonneuve et Berri, une tour qui abritera notamment les locaux de l’Agence du revenu devrait y être érigée dans les prochaines années.

«C’est un projet qui est en planification. Nous sommes à compléter un dossier d’affaires qui sera soumis pour approbation au gouvernement au début de 2015», a indiqué le porte-parole de la Société québécoise des infrastructures (SQI), Martin Roy.

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