L'Économie du Québec

[andre md]

Let me doing an analogy. Just take a look to all the scandinavian countries with their immigrants. Sweden or Norway.Even if you speak english in those countries you have to speak the native language or you will get low skill jobs in warehouse or restaurant.

 

I could show you many articles of spaniard who immigrate to norway or sweden or germany dreaming of a better future. They thought that they could work there having university degrees and knowing english would be sufficiant They came back with a lot of deception.

 

The ones who succeed in those countries learned the natives languages.

 

To be very honest (and without any disrespect), the majority of people outside Quebec don't see the need to speak French or undertake the effort to speak French in an ever growing anglo international business world.

 

I'm not sure what the solution is. If our language laws were perhaps a little more lenient, and there was more career opportunity, we could hold on to the brains we train here in Montreal.

Modifié 21 avril 2015 par andre md

[vivreenrégion]

que les étudiants étrangers ne restent pas c'est normal, si je vais étudier en Californie, tu peux être sûr que je vais revenir après. Faut être réaliste et comprendre qu'on ne peut jamais retenir tous les talents, peu importe le nom de la ville que tu as. Outre l'attirance par l'argent, les futurs professionnels recherchent maintenant un coût de la vie pas trop cher, c'est ce qui pénalise Vancouver et Toronto. Il y a aussi le facteur météo. Je sais pas si vous avez vu les stats mais Toronto perd des jobs, contrairement à Montréal.

 

http://dailycommercialnews.com/Economic/News/2015/4/Metro-area-job-growth--still-positive-in-Alberta-much-stronger-in-Ontario-1006856W/

[andre md]

La meteo est un gros turn off ca c'est vrai. La Californie ca coute cher vivre la-bas mais il ya tellement un bon climat pour compenser.

[vivreenrégion]

La meteo est un gros turn off ca c'est vrai. La Californie ca coute cher vivre la-bas mais il ya tellement un bon climat pour compenser.

 

bin oui mais ce n'est pas assez québécois à mon goût, et ils sont dans la pire sècheresse des 1200 dernières années. 1 an qui leur reste de réserve. Ce n'est plus un paradis.

[andre md]

Then mark speak in a context of north america not a globalized world. Just try to work for exemple for a long period in south america if you don't speak spanish good luck my friend.

I really don't like the Scandinavia comparisons because the European Union is a mishmash of different languages and cultures. In the North America context, nearly 350Million speak English and do business in English - vs. 8 million in Quebec. I'm not trying to penalize or defame French - in pure numbers knowing French in the North American context is not that important.

[andre md]

Il y a toujours l'etat de washington ou l'oregon qui sont pas si pire.

bin oui mais ce n'est pas assez québécois à mon goût, et ils sont dans la pire sècheresse des 1200 dernières années. 1 an qui leur reste de réserve. Ce n'est plus un paradis.

[vivreenrégion]

I really don't like the Scandinavia comparisons because the European Union is a mishmash of different languages and cultures. In the North America context, nearly 350Million speak English and do business in English - vs. 8 million in Quebec. I'm not trying to penalize or defame French - in pure numbers knowing French in the North American context is not that important.

c'est vrai, il n'y a aucune région dans le monde qui se compare à notre situation. Alors aucune comparaison n'est possible. On est situé à côté du blob aka the US. C'est eux qui font vivre le Canada. L'Euro tombe comme une brique, bear market... le safe haven sera le US$ lors du prochain crash. Pour la première fois depuis des lunes, tout ce qui est en Europe va avoir perdu 45% de sa valeur d'ici 1 an, comparé à 2014. et au US$.

[Rotax]

Bingo the crux of the problem - Montreal has a tough told holding on to top talent to poor job prospects, and onerous linguistic requirements. Interesting that students come to our city only to leave.

 

Ça ne représente pourtant pas ce qu'on peut voir à Polytechnique. Enfin, surtout en génie mécanique (le programme que j'ai fait), j'ai observé que la majorité des étudiants étrangers (sauf ceux en échange, bien sûr) choisissent de demeurer à Montréal. Beaucoup sont des français qui voient un meilleur avenir au Québec qu'en France. Y'a aussi tout un lot de maghrébins, libanais et sénégalais. J'ai rencontré aussi une bonne poignée d'iraniens à la maîtrise qui prévoient demeurer à Montréal également.

 

Enfin, y'en a aussi qui n'ont pas de préférence et qui cherchent un emploi tant en Europe qu'en Amérique du Nord. Ceux qui se sont habitués à aller loin pour leurs études ne voient généralement pas d'inconvénients à se relocaliser pour un travail, dépendamment des opportunités qui s'offrent à eux.

[ToxiK]

Le problème c'est qu'on a des Carrés rouges (pas tous, mais souvent ce sont ceux qui crient le plus fort) qui veulent que leurs études ne leur coutent rien, pas qu'on attire les étudiant étrangers ou qu'on finance la recherche. C'est comme pour le système de santé: ce n'est pas grave qu'on ne soit pas cabable d'avoir un médecin de famille, qu'on attendent des heures à l'urgence ou des mois pour une opération, en autant qu'on ne paye rien pour utiliser les services (ou plutôt que quelqu'un d'autre paye pour nous...).

[vivreenrégion]

C'est seulement une question de temps, car les gens croient qu'on vit dans un système linéaire mais ce n'est pas le cas du tout. Une fois que la démographie des boomers aura quitté, tout reviendra à la normale. D'ici 30 ans.