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Canadiens de Montréal


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Regarder les games du canadiens sont rendus presque plattes ;) y a pas de challenge!! hehehe

 

For most of the year the games have been exciting but what do you expect when the Habs play Florida. For some unexplained reason, Florida brings out the worst in Montreal.

Kovalev is worrying me a bit. He was terrible yesterday. He does not have that drive he had last year. I know it's early in the season to be judgemental but I would rather fix this potential problem now than later. Bob needs to have another chat with him and at the same time grow his hair.

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^^ c'est facile de blamer Kovalev quand meme ses compagnons de trio font pas grand chose en ce moment, tout leur jeu est décousu, c'est comme s'ils n'y avait plus la chimie entre eux qu'il y avait l'an dernier. Tout comme la relance entre ce trio et les défenseur est couci couca, ca aide pas a compter des buts

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^^ c'est facile de blamer Kovalev quand meme ses compagnons de trio font pas grand chose en ce moment, tout leur jeu est décousu, c'est comme s'ils n'y avait plus la chimie entre eux qu'il y avait l'an dernier. Tout comme la relance entre ce trio et les défenseur est couci couca, ca aide pas a compter des buts

 

 

JE ne suis pas inquiet à propos de Kovy. Il va se replacer. CE ne sont pas les chances qui manquent(je crois qu'il a frappé 3 ou 4 poteaux jusqu'à présent) Il ne faut pas oublier que Plekanec a des difficultés en début de saison. Quand Andrei K. reviendra de sa blessure, je suis persuadé que ce trio va retrouver le bon chemin!

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  • 2 semaines plus tard...
NHL: Leafs worth US$448-million: Forbes

Posted: October 29, 2008, 9:31 PM by Noah Love

 

 

The Toronto Maple Leafs held down top spot in Forbes’ list of the most valuable NHL franchises released Wednesday.

 

The business magazine judges the Leafs to be worth $448-million (all figures US), based on a formula which values the team at about 2.4 times annual revenue. The New York Rangers are second at $411-million and the Montreal Canadiens are third at $334-million.

 

All in all, 2007-08 was a great year for the NHL with attendance, revenues and team values all increasing. The increase in the value of the Canadian dollar last season helped all the clubs north of the border. All the Canadian teams, with the exception of the Leafs, increased in value at a higher rate compared to the rest of the league.

 

The Vancouver Canucks are rated at the eighth most valuable team at $236-million; the Ottawa Senators are No. 13 at $207-million; the Calgary Flames are No. 15 at $203-million and the Edmonton Oilers are 20th overall at $175-million.

 

At the bottom end, the Phoenix Coyotes are ranked 30th, worth only $142-million. Forbes reported the Coyotes lost $9.7-million last season.

 

— Canwest News Service

Ranking: http://www.forbes.com/sports/lists/2008/31/nhl08_NHL-Team-Valuations_Rank.html

 

Habs: http://www.forbes.com/sports/lists/2008/31/nhl08_Montreal-Canadiens_314528.html

 

Habs value increased 18% from 283 million to 334 million.

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Très bonne nouvelle pour M. Gilette.

 

Dommage que personne du "Québec Inc." a eu le guts de se lever et d'acheter le CH quand Molson cherchait à vendre.

 

Aujourd'hui cette personne(ou compagnie) serait un héro au Québec!

 

La preuve qu'il FAUT DÉPENSER de l'argent pour en faire!!

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Très bonne nouvelle pour M. Gilette.

 

Dommage que personne du "Québec Inc." a eu le guts de se lever et d'acheter le CH quand Molson cherchait à vendre.

 

Aujourd'hui cette personne(ou compagnie) serait un héro au Québec!

 

La preuve qu'il FAUT DÉPENSER de l'argent pour en faire!!

 

Tu as pas lu l'article de Rejean Tremblay dans la Presse de ce Matin.. je te sors ca et ca va expliquer en partie pourquoi certains du Quebec Inc. ne se sont pas levé

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De l'or en barre

 

Donc le Canadien et le Centre Bell valent une fortune. Une énorme fortune. C'est Forbes qui le dit. De l'or en barre, même si le prix de l'or a baissé un peu depuis quelques semaines.

 

Le Canadien vaut une fortune même si le dollar canadien a pris une descente vertigineuse depuis un mois et que les dépenses en dollars américains risquent d'être plus lourdes à amortir pour l'organisation. Mais George Gillett est un brillant homme d'affaires, je présume, et il doit savoir que le dollar canadien, selon les spécialistes, devrait retrouver dans la prochaine année sa valeur réelle, autour de 90 cents pour un dollar américain. Il va suivre le prix du baril de pétrole...

 

Le Canadien et le Centre Bell valent donc une fortune. C'est d'autant plus génial que M. Gillett a reçu un des deux en cadeau. Soit, il n'a pas payé le club, soit il n'a pas payé le Centre Bell.

 

À l'époque, la vente à M. Gillett a pris plusieurs observateurs par surprise. On savait que des entreprises canadiennes et des hommes d'affaires québécois étaient intéressés par l'équipe et l'édifice ultra moderne qui avait coûté280 millions. BCE avait négocié plusieurs mois et un autre groupe formé de Steven Bronfman et de René Angélil et Dennis Wood avait également rencontré les dirigeants du Canadien.

 

Il y a deux ans, René Angélil m'avait confirmé qu'il avait été mêlé à ces négociations. En souriant, il avait ajouté: «Des fois, quand je lis les journaux, je me dis que j'ai bien fait de ne pas y aller».

 

C'était évidemment une boutade. La première offre faite à Angélil et Bronfman avait été qualifiée «de pas intéressante» par Angélil. Ce qu'on a toujours ignoré, c'est que plus tard, Molson et le Canadien sont revenus à lui, personnellement, pour lui offrir un marché semblable à celui accepté sur-le-champ par George Gillett. Angélil a déjà confié à mon confrère Alain de Repentigny que cette fois, l'offre était alléchante: «Mais mon idée était faite. J'en avais parlé avec ma femme et mes amis et me connaissant, j'aurais été toujours à Montréal, proche de l'équipe», lui avait-il dit.

 

***

 

Steven Bronfman m'a déjà expliqué comment une partie des choses s'était passée. On était au sommet du Mont-Tremblant pour les 24 Heures de Tremblant organisées par Craig Pollock et son épouse avec Jacques Villeneuve. Je connaissais l'histoire parce qu'un ami me l'avait racontée.

 

Steven est un fan du Canadien. Son père, Charles Bronfman, avait dépanné le maire Jean Drapeau qui était à court d'investisseurs pour acheter la nouvelle concession de baseball pour Montréal. En achetant le Canadien, Steven imitait son père et renforçait encore plus sa présence dans le Grand Montréal.

 

Un samedi frisquet du mois de décembre, avec ses lunettes de ski sur les yeux, le jeune Bronfman s'était installé dans une cabine montant les skieurs au sommet de la montagne. Une randonnée de huit minutes. Les deux hommes, qui étaient assis avec lui, s'étaient mis à jaser du Canadien qui, à l'époque, faisait tristement dur.

 

Tout y était passé. Du soigneur au propriétaire. Des tatas, des exploiteurs qui mettaient l'argent dans leur poche et qui se foutaient du monde ordinaire. Bronfman écoutait et à chaque minute, il se disait que bientôt, c'est de lui qu'ils parleraient.

 

Encore ébranlé, il s'était élancé sur la piste... et rendu en bas, sa décision était prise. Il mettait fin à toutes négociations avec Molson et le Canadien pour l'achat de l'organisation.

 

Tous ceux qui ont raconté l'histoire ont fini par enjoliver le récit. Peut-être que ce n'est que quelques semaines plus tard que Steven a vraiment pris sa décision. Peut-être que c'est l'étude froide des chiffres qui l'a décidé de laisser passer son tour. Peut-être que c'est René Angélil qui lui a dit que ça ne l'intéressait plus. Mais chose certaine, Steven Bronfman, quelques années plus tard, se rappelait encore cette discussion du samedi matin de décembre entre deux «connaisseurs» qui se vidaient le coeur.

 

***

 

Les années ont passé. Oncle George fait une fortune. Le Canadien joue bien, Madonna et Céline remplissent le Centre Bell, à qui il ne manque plus que la Coupe Stanley pour avoir une grande âme de hockey, et les fans sont heureux.

 

L'équipe appartient maintenant à un Américain fort gentil et Molson est diluée dans une grande multinationale américaine. Et le tout a été financé par votre Caisse de dépôt.

 

Les deux gars dans la cabine de ski auraient pas pu se la fermer!

 

DANS LE CALEPIN - Quand même, le baseball est un beau sport d'hiver. Ça se joue fort bien avec une balle de neige et un gros glaçon comme bâton. Tout comme le baseball est un beau passe-temps pour la nuit. Pourquoi courir les bars à 2h de la nuit quand on peut suivre un match de la Série mondiale?

 

Les enfants qui aimeraient voir leurs favoris disputer les matchs les plus importants de l'année n'ont qu'à ne pas dormir. Ils se coucheront à 3h, eux aussi. Ils somnoleront le lendemain dans les classes à l'école. De toute façon, l'école qu'ossa donne?

 

http://www.cyberpresse.ca/opinions/chroniqueurs/rejean-tremblay/200810/30/01-34345-de-lor-en-barre.php

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Oui j'avais bien lu l'article ce matin...Dommage que M. Bronfman s'est retrouvé dans cette cabine avec deux imbéciles qui ne connaissent probablement rien du Hockey(il y en a pleins des fe-fans du Ch...comme Tremblay aime les appelers!) Des gens qui se disent des "fans", mais qui ne font que répéter ce qu'ils entendent à 110% sans vraiment savoir de quoi ils parlent!

 

Juste PCQ Bronfman/Angelil et BCE ont parlé avec Molson, ça ne veut pas dire qu'ils étaient vraiment sérieux...MOlson a fait la m^me offre au groups Bronfman/ Angélil qu'il a fait à M. Gilette, M Gilette n'a pas hésitée une seconde...tandis que nos soit disant "hommes D'affaires" ont hésité et ont finalement décidé que ça ne valait pas la peine. Je me demande que c'est passé des négociations entre Molson et BCE...pourquoi est ce que ça échoué?

 

EN tout cas, je suis bein heureux que M. Gilette soit le proprio du CH. Il a prouvé au courant des 7 dernières années, qu'il a le CH près de son coeur. Saviez vous que M. Gilette s'est acheté un condo au C-V de Montréal. Il passe beaucoup plus de temps en ville qu'on pourrais le penser!

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«L'équipe est à vendre», a-t-il insisté en marge d'une entrevue accordée à La Presse au siège social de RIM à Waterloo, en Ontario.

 

Voilà plus de deux ans que Jim Balsillie remue ciel et terre pour acquérir une équipe de la Ligue nationale de hockey, dans le but à peine dissimulé de la déménager dans le sud de l'Ontario, au Copps Coliseum de Hamilton. Mais jusqu'ici, le conseil des gouverneurs de la LNH a contrecarré les projets de l'homme d'affaires d'acquérir les Penguins de Pittsburgh puis les Predators de Nashville.

 

Joint au téléphone, le propriétaire du Canadien, George Gillett, a nié avec véhémence l'affirmation de Balsillie. «Au fil des ans, nous avons été contactés plusieurs fois par des gens intéressés à acheter le Canadien de Montréal. Jamais, jamais, que ce soit dans le passé ou maintenant, n'avons-nous envisagé de vendre ou entretenu des discussions au sujet de la vente de l'équipe. En cette année du centenaire, alors que nous nous préparons à présenter le match des Étoiles et que nous avons les meilleurs partisans du monde et une équipe extraordinaire, j'ignore pourquoi quelqu'un voudrait inventer une telle histoire.»

 

Les allégations de Balsillie ont à ce point dérangé Gillett qu'il a demandé au commissaire de la LNH, Gary Bettman, de téléphoner à La Presse. «Je confirme ce que George vous a dit. Cette franchise n'est absolument pas à vendre», a déclaré le commissaire.

 

Fan fini de hockey - son idole de jeunesse était Guy Lafleur -, Jim Balsillie était au 327e rang des hommes les plus riches de la planète, le printemps dernier, selon le palmarès de la revue américaine Forbes, qui a estimé sa fortune personnelle à 3,4 milliards US.

 

En raison de la crise financière et de la promotion coûteuse de nouveaux appareils qui gruge les marges de profits, le titre de RIM a toutefois perdu plus de la moitié de sa valeur depuis le sommet de 150,30 $ touché le 19 juin à la Bourse de Toronto. Malgré tout, les 34 millions d'actions de RIM que Jim Balsillie détenait en date du 10 octobre valaient encore plus de 1,9 milliard de dollars canadiens, hier.

 

«J'ai les moyens d'acheter plusieurs équipes de hockey », a-t-il observé en souriant lorsque La Presse a cherché à faire le point sur son intérêt envers les Predators de Nashville. Il a refusé d'en discuter lors de l'entrevue formelle (dont le compte rendu paraîtra demain dans La Presse Affaires), qui portait sur l'environnement concurrentiel et turbulent dans lequel navigue RIM. «Je ne peux pas en parler en ce moment», a-t-il dit.

 

À la toute fin de l'entrevue, alors qu'il se faisait photographier, il s'est toutefois mis à discuter de hockey à bâtons rompus. À une attachée de presse à qui il demandait si elle avait déjà assisté à un match au Centre Bell, Jim Balsillie a parlé de l'ambiance extraordinaire qui régnait dans l'amphithéâtre de «George» (Gillett, bien sûr). C'est lorsqu'on lui a fait remarquer à la blague que le Canadien de Montréal n'était pas à vendre qu'il nous a contredits, en pesant ses mots.

 

«L'équipe est à vendre», a-t-il insisté.

 

Vous déménageriez le Tricolore, avons-nous poursuivi? «Bien sûr que non, ce serait pure folie que de sortir l'équipe de Montréal», a-t-il précisé.

 

Puis, sans qu'on le lui demande, il est allé chercher le logo du Canadien sur son BlackBerry et s'est fait prendre en photo avec le CH en évidence. Il a même fallu insister pour le photographier sans son téléphone et le logo du Tricolore.

 

Jim Balsillie est reparti avant qu'on ne puisse l'interroger plus longuement sur ses intentions envers le Canadien, une équipe dont il dit être un «fan pur et dur», selon le Globe & Mail, même si sa mère raconte que, garçon, il affectionnait plutôt les Maple Leafs de Toronto. Invité à préciser sa pensée par courriel, Jim Balsillie a refusé d'épiloguer sur le hockey.

 

Investissement personnel

 

À l'évidence, tout investissement de sa part serait fait à titre personnel, comme cela aurait été le cas pour les Penguins et les Predators si ses tentatives d'acquisition avaient abouti. Jusqu'ici, il n'a jamais été question que RIM investisse dans une équipe de hockey et un amphithéâtre à des fins de marketing, même si l'entreprise trime dur depuis deux ans pour conquérir le marché, plus vaste, des utilisateurs particuliers de sans-fil.

 

Rappelons qu'à l'été 2007, le grand patron de RIM avait commencé la prévente de billets de saison à Hamilton avant même d'avoir officiellement acquis les Predators. Selon certains observateurs, le commissaire de la LNH, Gary Bettman, aurait alors incité le propriétaire des Predators, Craig Leipold, à préférer une offre d'achat concurrente d'une valeur inférieure à celle déposée par Jim Balsillie.

 

Bettman n'a pas voulu commenter, hier, mais en entrevue à CKAC, la veille, il avait soutenu que Balsillie avait retiré son offre. «Je n'ai rien contre lui. Ceux qui disent le contraire ont tort, a-t-il dit à CKAC mercredi. Il a eu deux chances d'acheter une franchise (Pittsburgh et Nashville) et a quitté la table avant de clore l'affaire.»

 

Quoi qu'il en soit, c'est un groupe d'investisseurs locaux associés à l'homme d'affaires William (Boots) Del Biaggio III qui a finalement racheté les Predators en 2007. Or, Del Biaggio a fait faillite en juin, après avoir été accusé d'avoir dérobé 10 millions US à la banque new-yorkaise Modern Bank pour acquérir les Predators.

 

Un tribunal de faillite est en voie de liquider ses éléments d'actif, dont sa participation de 27 % dans les Predators. Participation que Jim Balsilie lorgnerait.

 

Que Balsillie soit intéressé ou non par le Tricolore - et en tout cas, il ne serait pas seul -, il reste que la vente possible du club montréalais suscite invariablement des remous. Ne touche pas qui veut à la sainte Flanelle, si on se rappelle la commotion créée il y a sept ans, lorsque l'Américain Gillett a mis la main sur le Centre Bell et 80,1 % du club (Molson détient les 19,9 % restants) en offrant 275 millions CAN.

 

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Jim Balsillie - 1.6 Million $ - quotient intellectuel de 1.6

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