Né entre les rapides

Évidemment, mais c'était facile à identifier, à partir du moment où il était dûment noté que l'industrie pharmaceutique montréalaise n'était pas confinée sur l'Île de Montréal. Seul un souci de ne pas heurter de front les susceptibilités île-de-montréalaises avait empêché de nommer la Cité du Biotech à Laval. Je ne sais pas si le passé récent des nouvelles implantations et des fermetures constitue un indice valable pour supputer l'emplacement de Moderna.

... which inspires me the following... Just now suddenly for the first time I wonder if my parents ever regretted not being 20 year old during the Roaring Twenties! They were born during that decade, but were obviously much too young to join in the fun. But then, may be they were given birth just because their own parents were having this much fun! A certain guy that we all know sang Born in the U.S.A. Another guy, not the same, might have been singing "Born in the Fifties", just in time to admire the eccentric car models of the late 50's/early 60's, listen to the Beatles, the Stones, etc. in their beginnings and for ever, inaugurate the Montreal Metro, spend the whole summer of '67 at the Expo, graduate at an early age, get a great job soon after, buy a nice house before reaching the age of 25. Oh yeah! Perfect timing it was! 😄 Yet another guy had been singing All Things Must Pass (but unfortunately...). And finally, just about when this one above was having his heydays heretofore, came the song entitled Dust in the Wind (Kansas). He (the guy singing "Born in the Fifties") could not foresee all that was to come subsequently. By now, he finds himself unable to set a lofty goal such as yours -- Getting a season pass to Six Flags next year.😩 written solely for your reading pleasure

Il n'y a rien de vraiment nouveau dans l'analyse. Ce sont des considérations très pesantes de politique partisane qui ont obscurci la prise de décisions. Ou devrai-je dire dire les prises de positions? -- car je ne suis pas encore convaincu que celles-ci se concrétiseront au-delà des premières étapes de "réalisations" qui ne consistent réellement qu'en des études de faisabilité qui peuvent être facilement rangées sur les tablettes plus tard, avant l'octroi des contrats de construction plus coûteux à résilier. L'analyse fondamentale, c'est qu'un TGV est une condition nécessaire pour concurrencer efficacement le transport aérien intense entre Toronto et Montréal, et contribuer ainsi significativement à la réduction des gaz à effet de serre. Quand on a acquiescé à la prémisse selon laquelle la Ville de Québec devait être également incluse dans le même projet (i.e. un TGV Québec-Toronto desservant au passage Trois-Rivières, Montréal et Ottawa), on s'est buté à des coûts estimés qui apparurent prohibitifs; le projet de TGV s'est donc graduellement "muté" en TGF moins coûteux, supprimant selon plusieurs tout l'attrait concurrentiel de la liaison ferroviaire rapide entre Montréal et Toronto. TGF donc ça serait. On prétendit et on affirme encore que ça constituerait une "amélioration", digne d'être poursuivie. Mais l'histoire ne se termine pas là. On prend conscience des complications associées à l'accès de la Gare Centrale à Montréal en provenance de Québec, puisque le tunnel du Mont-Royal est monopolisé par le REM de la CDPQ-i. Aucune des alternatives avancées (suggérées) ne plaît véritablement. Et à Québec, on découvre que la Gare du Palais ne sera pas desservie par le Tramway -- le "Réseau Structurant". Qu'à cela ne tienne! -- Vraiment? C'est à voir.

Le prix plus élevé (qui est explicable) est un facteur, mais il n'explique pas tout. Ce qui reste de terrains constructibles à Laval (compte tenu des limitations déjà mentionnées comme le zonage agricole et l'affectation d'importantes superficies à d'autres usages --routes, lignes de transmission, commerce et industrie-- serait absolument insuffisant pour satisfaire la demande qui se manifeste sur la Rive-Nord. Déjà, cette dernière est sensiblement plus peuplée que Laval, et le déploiement de nouveaux emplois, notamment industriels, y est plus imposant. La transformation de l'Île Jésus, d'abord à prédominance agricole puis résidentielle pour ensuite constituer un bassin majeur d'emplois (commerces, industries, services), cette transformation dis-je est apte à se reproduire sur la Rive-Nord. Aussi, l'offre de nouveaux logements à Laval se concentre de plus en plus dans des immeubles autres que des unifamiliales (isolées, jumelées ou en rangée): ce sont des condos et des logements locatifs. C'est beaucoup plus facile, indépendamment du prix, de trouver des unifamiliales neuves sur la Rive-Nord, et ça demeure le choix préféré de nombreux ménages. Mais il ne faut pas imaginer pour autant que la Rive-Nord continue de s'étaler sans limites et qu'elle n'accueille que des unifamiliales. Là aussi, le PMAD de la CMM et le zonage agricole affectent fortement la typologie des nouveaux développements qui peuvent (encore) s'y déployer. C'est pourquoi je pense qu'à l'heure actuelle, la préoccupation à l'égard de l'étalement urbain doit en toute priorité porter son attention sur les zones limitrophes (extérieures) de la CMM, là où le PMAD ne s'applique pas. Le potentiel de dispersion spatiale y est encore plus grand, tandis que l'espoir d'une éventuelle consolidation (proximité des lieux de résidence et d'emplois et viabilité d'un réseau de TEC) y est bien moindre. Notons que les dirigeants de la CMM en ont pris conscience, et qu'on peut s'attendre à des revendications plus appuyées de leur part auprès du Gouvernement du Québec, qui détient le pouvoir d'infléchir des tendances jugées non souhaitables.

Même si je ne suis pas particulièrement favorable à un rehaussement de la limite de hauteur sur la portion centrale du territoire de la Ville de Montréal, j'ai accepté de me prêter au jeu, et j'ai opté pour 2023-2025, pour les considérations suivantes: - J'accorde à Denis Coderre une chance sur deux de remporter les élections du 7 novembre. - S'il est élu, je m'attends à ce que ce soit un objectif qu'il poursuive, si je me fie aux allusions qu'il a faites précédemment. Mais il ne voudra pas donner l'impression de décider tout seul en bon autocrate; il optera plutôt pour des consultations ayant lieu au cours de la première ou la seconde année de son mandat, pour ensuite s'appuyer sur celles-ci pour prendre une décision --"en bon démocrate". - Lesdites consultations ne prendront pas la forme d'un référendum avec pour seules réponses possibles un oui ou un non. Au lieu de cela, un éventail d'options portant sur les différentes hauteurs autorisées et les distances par rapport au Mont-Royal seront présentées. La gamme des réponses reçues accordera probablement un degré de flexibilité intéressante sur laquelle s'appuyer. Sans qu'il y ait un consensus au sens strict, une éventuelle décision d'autoriser certains rehaussements pourra être vue comme un compromis raisonnable. -Une décision prise au plus tard en 2025 (mais préférablement en 2023 ou 2024) laissera le temps apaiser les critiques les plus virulentes des opposants irréductibles, de telle sorte que l'élection de 2026 n'en serait pas perturbée immodérément.

La sélection du site n'est pas très importante, en autant que ce soit dans la région de Montréal. Mais je note que l'industrie pharmaceutique "montréalaise" n'est pas confinée sur l'île homonyme. Même chose quand on parle de l'industrie aéronautique montréalaise.

A venir: Lascaux-sous-le-Mont-Royal. A découvrir par une civilisation future.

I agree. Your point about "a normal perspective with normal human vision" is particularly relevant. As far as the idea or perception that "the catenary system itself is ugly", I would suggest that all of us broaden and improve our awareness and understanding of the physical manifestations of human life on Earth. Humanity can and does create beauty; but humanity must also conduct activities and build structures+infrastructures that are not inherently beautiful-- on the contrary the human eyes tend to view many of them as "ugly"--, but are serving a valued purpose. In a nutshell, in these cases, utility wins over aesthetics. Interestingly, because beauty/aesthetics are also highly valued, persons in position of power will seek to physically separate beautiful sites/buildings from their opposite. Areas/regions that are/were "rich" in coal and/or iron attracted mines, steel mills and a variety of industrial plants polluting the air, the land and water; workers in these plants were poorly lodged etc. Of course, there was and still is a sort of middle ground between the above extremes. But let us remember or become more acutely aware that much of the extreme ugliness that characterized the industrial Western World has migrated to poorer regions /countries. Industrial ugliness has simply moved out of (our) sight. Still, much ugliness remains in rich countries/cities. A few are remnants of previously less glorious eras. Others are cases which, while not being the epitome of ugliness, exhibit basic drabness and/or illustrate poor taste. But others are none of that: typically, they exist because they provide essential goods or services and because no economic alternatives exist. Endless wheat or corn fields planted on flat land may not provide the most beautiful sceneries (such as the spectacular views afforded in Charlevoix, the Austrian Tyrol and numerous others), but they represent the most fundamental form of wealth, whereas mountainous regions had been endemically poor until tourism finally brought them the good life. In cities, some infrastructures, eg. railroads and highways, as well as some industrial, commercial and distribution establishments are unsighty, but again they are essential to the prosperity, perhaps even the survival of the overall urban agglomeration. You can have a beautiful Westmount and Plateau, but you can't survive without the others. Now, what about the "catenary system"? -- Not beautiful, but useful. Come to like it, when you consider the benefits it brings to the community. Come to like it even more when, after examining alternatives, you discover that they would either be a) too expensive, and/or b) less reliable. And if this not enough to convince you, consider the fine example provided by @SameGuy: if a city such as Sydney felt secure enough in her standing to adopt the catenary solution, Montreal has no reason to reject it out of hand. Put beauty where it makes sense. Minimize ugliness wherever feasible. The overall picture will have achieved the high standards that we are hoping for. The less-than-beautiful aspects will be perfectly understood as being inherent to its large size. Nous ne vivons pas dans une maquette format géant où "tout n'est que calme et volupté" (Beaudelaire).

"Une référence architecturale": tu ne crois pas si bien dire! (en d'autres mots: c'est exact, mais c'est plus encore) Form folgt Function! Si la station dans son état actuel est déjà apte à jouer son rôle, qu'on la laisse telle quelle! Point besoin de rajouter une "finition" qui dissimulerait les éléments qui font sa force. La vérité exposée sans complexe. Le symbole ne serait-il pas particulièrement approprié dans les entrailles d'une institution de haut savoir!

Si on fait abstraction du tronçon reconnu comme étant problématique dès l'annonce du projet (il s'agit bien sûr du tracé aérien dans le terrre-plein central du boulevard René-Lévesque au centre-ville), vous attendez-vous à ce que: - le reste du projet sera réalisé comme prévu? ou - il sera réduit, limité à un tracé en forme d'équerre, allant de Pointe-aux-Trembles jusqu'à la future station de métro "Anjou"de la ligne bleue, y compris une correspondance avec la ligne verte à Honoré-Beaugrand? ou encore - le projet en entier sera reporté à une date ultérieure indéterminée? Ce qu'on sait présentement, c'est qu'une décision de procéder (ou non) est prévue pour la fin de 2022, tout juste après les prochaines élections provinciales. Mais d'ici là, d'autres éléments importants deviendront apparents/connus: - les résultats des prochaines élections municipales le 7 novembre prochain: je n'ai pas une connaissance suffisante de l'attachement respectif (ou inversement, des réticences) des deux principaux candidats envers des aspects du projet dans sa forme actuelle. - la version "finale" du projet qui sera présentée par la CDPQ-i. - l'évolution de la demande de déplacements vers le centre-ville après la fin des limitations imposées par le COVID. - l'état de l'économie dans un an (septembre 2022). - les négociations portant sur le financement. - les positions des partis politiques provinciaux à l'aube des élections de 2022; par exemple ça pourrait être un appui inconditionnel unanime, ou un appui subordonné à des conditions qui ne sont pas remplies dans le projet de la CDPQ-i, ou encore diverses propositions alternatives, modulées notamment par les clientèles distinctes des partis en lice. - et évidemment, les résultats des élections de 2022. urant la période entre Ce qu'on saura d'ici la fin de la campagne électorale, c'est la position

Le 31 mai dernier, @LeTravailleurparlait d'un agrandissement de la place publique du métro. Notez que le site en question, à l'angle sud-ouest du boulevard de la Concorde et de l'avenue Ampère, n'est pas celui du 1200, rue de Royan, un peu plus au nord dans le même secteur.

J'ai déjà écrit sur la signification de cette désignation. Tu peux effectuer tes propres recherches, mais en résumé, c'est un encouragement à mieux faire en la matière, et nullement une consécration. l'UNESCO a reconnu le potentiel de Montréal. Certains cheerleaders montréalais, profitant d'une possible ambiguïté, se sont servis de cette désignation pour laisser entendre que Montréal s'était particulièrement distinguée. On espère juste que ça viendra.

Pour les premiers acheteurs: oui par définition ils ont conscience du "design original", mais ça ne veut pas dire qu'ils n'auraient pas préféré autre chose: ça influencera les prix qu'ils seront prêts à payer. Pour la revente: on peut raisonnablement supposer que certains acheteurs potentiels aimeront, et que d'autres détesteront. Au minimum, cela restreint le marché potentiel. Quand on achète une propriété résidentielle, c'est toujours important de considérer le potentiel de revente, et pas seulement nos goûts personnels, surtout s'ils sont excentriques. Typiquement, un expert en immobilier conseillera au vendeur de faire en sorte que sa propriété attire le plus large bassin d'acheteurs possible.

J'aurais pensé que les cyclistes du 514 seraient autant sinon plus nombreux que ceux du (plus dispersé) 450 à faire ce parcours. Voila pour l'équité. Aussi, pour pleinement apprécier la vue, il faut pouvoir s'arrêter, ce qui n'est pas possible en voiture. Les Montréalais d'une rive ou l'autre, cyclistes ou automobilistes, ont l'occasion de revoir la vue qui s'offre à de nombreuses occasions, peut-être même quotidiennement. Les touristes? -- Une fois ou deux. L'alternative -- la piste de l'autre côté, aurait presque complètement privé les cyclistes d'une vue sur le skyline, à cause des six voies routières et du REM. La rambarde? -- Il faut apprendre à voir (lire) entre les lignes, et laisser un peu de place à l'imagination, ce qui ne devrait pas être si difficile, quand les espaces libres dessous et dessus sont beaucoup plus grands que les lignes. La vue demeure très intéressante. C'est pas mal mieux que d'entrer par un tunnel. Quand l'intention de mettre la piste cyclable du côté nord a été annoncée, est-ce que des représentants de l'industrie touristique montréalaise se sont élevés contre ce choix, soulignant un effet dissuasif pour les touristes "qui arrivent en voiture de l'Est des Etats-Unis" ? -- Pas que je me souvienne. Aussi, est-ce que ces touristes Américains viennent à Montréal pour son skyline? -- Jamais entendu parler.

A condition de ne pas être handicapé visuel ou auditif. Mais la toute première condition, c'est de parvenir à trouver un de ces téléphones répertoriés dans la catégorie des espèces en voie de disparition.

Je comprends que la Biélorussie (Belarus en anglais) a mauvaise réputation ces temps-ci, mais il ne faut pas imaginer sa capitale Minsk comme n'étant qu'un amas de structures bétonnées répulsives. C'était une belle ville jusqu'aux destructions des deux guerres mondiales (surtout la deuxième), et la reconstruction hâtive a probablement donné lieu à la grisaille que tu évoques. Malgré tout, la ville recèle de forts jolies perspectives, même si elles sont peut-être trop "monumentales". Et beaucoup de beaux bâtiments anciens ont été reconstruits, ce qui ajoute des couleurs à l'ensemble un peu partout. En tout cas, ça ne ressemble pas à l'entassement uniforme de Griffintown.

D'accord que la plus belle vue du skyline est en direction nord (franc ouest), mais elle s'offre en priorité aux cyclistes sans empêcher les automobilistes roulant sur la voie de droite dans cette même direction d'obtenir une vue intéressante. Si au contraire la piste cyclable avait été de l'autre côté, leur (cycliste) vue du skyline aurait été obstruée par six voies automobiles + les voies/trains du REM.

Le fait que le choix de la CDPQ-i prévale m'importera peu, indépendamment de la possibilité que la consultation sur le sujet ait été conduite improprement ou pas. Ce qui retiens mon attention, c'est que des exercices de consultation comme celle-ci portent sur des enjeux accessoires (très peu importants), agissant comme une distraction de l'unique véritable enjeu actuel -- le projet du REM de l'Est. La faute, c'est de donner l'impression qu'on est pleinement ouvert à la consultation populaire. Pour ma part, il reste très peu à dire* du REM (ligne A) en tant que "projet": c'est décidé, planifié, financé, et en stade avancé de construction. On en reparlera lorsqu'il sera en exploitation. * "dire" au sens de participer à des consultations portant sur des enjeux sérieux, et qui sont susceptibles d'entraîner des modifications importantes au projet initial, y compris son mode de financement et son tracé. Autrement, c'est comme avoir décidé d'acheter une voiture sport haute performance et très coûteuse, puis de "consulter" son conjoint sur le choix de la couleur...

Fort bien, mais que faites-vous des handicapés auditifs? Au moins les handicapés visuels avaient (avant l'ère des téléphones cellulaires) et ont toujours la possibilité de demander à un passager voisin de les avertir à temps. Je poursuis cette discussion non pas dans l'espoir qu'on me donne raison (ce serait enfantin), mais simplement pour qu'on explore la question plus à fond. Mais ultimement, je conviens que "faire comme ailleurs" n'est pas et ne serait pas si grave). Prenez donc à la légère une suggestion qui débordait les cadres de la normalité.

Je ne les avais pas oubliés -- le bip bib pré-programmé sur le téléphone portable allait servir à cette fin.

Il m'aurait manqué une dizaine d'années pour avoir cette possibilité.. Cependant, à titre de passager, je crois me souvenir que c'était fonctionnel, plaisant, supérieur même à l'éclairage traditionnel. (Peut-être pas toutefois en cas de pluie, je ne m'en souviens pas) Malheureusement, assez rapidement, la qualité de l'éclairage s'est détériorée -- néons brûlés non remplacés et saleté assombrissante (on avait oublié l'hiver!), de sorte que le "système" a été démantelé, et des lampadaires ont été subséquemment installés. P.S. Aussi longtemps que je fréquente avec intrépidité des pistes de vélos de montagne particulièrement difficiles (challenging), coiffé d'un casque qui dissimule habilement le crane, on pourrait aussi bien me prendre pour celui que j'étais à Expo 67 (pas sûr que ma douce moitié serait d'accord, mais puisque qu'elle ne me connaissait dans l'temps, elle n'a pas de preuve...)

Je mets une bouteille du Champagne des Ginger Ales (m.d.) dans le frigo, dans l'attente d'une célébration rafraîchissante. Je m'imagine déjà rire de moi-même en songeant que mon alter ego infiniment plus jeune avait gobé le message accompagnant la photo, et avait été encore plus impressionné en effectuant le parcours en soirée (mon père conduisait). Les goodies pleuvaient littéralement durant ces années (Pont Champlain, PVM, métro, Turcot et autoroute Bonaventure, pont-tunnel L-H Lafontaine, Expo 67) . Tanon, for the hardcore serious person: of course I am aware that things turned out not to be so nice afterwards, and that not everything was glorious during those years, but still, the feeling was exilarating as long as it lasted --never to be forgotten. Hopefully, my message enhances this Series of old photos of Montreal that I enjoy so much.

Si quelqu'un (toi-même peut-être) pouvait dénicher un article de journal de l'époque, où ce type d'éclairage était décrit comme étant le nec plus ultra de la modernité, ce serait amusant (surtout quand on connaît la suite de l'histoire...)

Ma préférence serait sans doute trop innovatrice pour être adoptée, mais je la pense quand même techniquement réalisable. Elle comporterait l'immense avantage d'être dispensé d'entendre jour après jour la même litanie de courts messages --"prochaine station: A; puis prochaine station: B etc." Au bout d'un an, on devient fou, ou bien sourd. Ma préférence va donc pour: pas de message, pas de voix, rien de sonore. Le passager normal est sensé connaître la station à laquelle il doit descendre, et celle qui la précède, afin de s'y préparer. Et pour les passagers occasionnels, un téléphone portable pré-programmé pour émettre un bip au moment où il faut s'apprêter à descendre conviendrait parfaitement. 😇

La mise en service du segment du REM de la Rive-Sud jusqu'à la Gare Centrale est prévue pour printemps-été 2022. Avril 2022 se trouve tout juste au début: pas impossible mais pas certain, quoique ce n'est pas une question de vie ou de mort. Quelques semaines de plus ne changeraient rien. Les projets comme Victoria sur le Parc ont probablement été motivés en partie par le projet du REM, mais je suis persuadé qu'ils auraient été construits même sans celui-ci. En général, je m'attends à ce que les "transformations" suscitées par le REM se manifestent autant sinon plus aux alentours des stations périphériques qu'au centre-ville. Quant au "début de la ligne bleue" (début des travaux?), ce sera peut-être l'occasion de célébrations dans le secteur concerné, mais je serais surpris que cela touche les occupants futurs du Victoria sur le Parc. Mais "bon", tout peut être prétexte à la fête! S'il doit y avoir une "grosse transformation de Montréal" dans les prochains mois, la première chose que j'ai en tête se produira plutôt en novembre de cette année...