Aller au contenu
publicité

Né entre les rapides

Membre
  • Compteur de contenus

    7 429
  • Inscription

  • Dernière visite

  • Jours gagnés

    11

Tout ce qui a été posté par Né entre les rapides

  1. Rivalise d'originalité de la prise de vue.
  2. Une chance, parce que si c'était "plein", ça ne servirait à rien d'autre qu'à orner le skyline. 😆
  3. C'est incontestablement épouvantable, mais incroyablement, pour ceux qui comme moi étaient jeunes durant les années 1970, c'était certes une triste réalité dont nous avions conscience (et même participé à des manifestations contre les démolitions), mais ce n'était pas la préoccupation dominante. Ça faisait partie du paysage, au sens propre comme au figuré. Ce n'était pas comme si toute la ville était détruite. Les entreprises, les magasins, les universités, les écoles, les hôpitaux, les parcs, les cinémas, les bars, les boîtes à chanson et les discothèques, etc., tout fonctionnait. A certains égards c'était même mieux qu'aujourd'hui. Les pénuries ne faisaient pas partie du langage. (Mais la pollution oui). Et puis la population était beaucoup plus jeune. Malgré les difficultés économiques, l'atmosphère était plus dynamique. Aujourd'hui, 40-50 ans plus tard, le tissu urbain du centre-ville a été substantiellement reconstruit, sous une forme différente de ce qu'elle avait avant avant les démolitions des années 60-70. C'est signe de progrès. Mais en marge de celui-ci, des problèmes nouveaux ont fait leur apparition. La confiance dans l'avenir est vacillante, parce que ces problèmes "nouveaux" n'appellent pas des solutions aussi simples que ceux du passé. "Différent" est le mot simple qui résume le mieux la comparaison entre les deux époques. Pour qui est jeune aujourd'hui, la comparaison entre les images des années 60 et 70 et celles de 2022 est certainement à l'avantage de ces dernières. Ce qui se cache derrière est moins visible. Mais on n'a pas à choisir entre les deux; le passé est révolu; c'est l'avenir qui compte. Autrement dit, relever avec succès les défis du présent et ceux qui se profilent dans le proche avenir. L'architecture et l'urbanisme ont leur rôle à jouer dans la poursuite de solutions durables.
  4. Je ne peux pas faire autrement que d'être impressionné par la quantité et la variété de photos prises! Ça ne veut pas dire que je suis impressionné par l'aménagement, mais de cela tu n'es pas responsable.😄
  5. C'est exact. Il faut aussi voir mon commentaire ci-dessous sur un extrait de l'article cité par @acpnc. Le titre de l'article mentionne bien le revenu médian, mais l'auteur semble ne pas faire de distinction entre "revenu moyen" (terme qu'il emploie au premier paragraphe), et "revenu médian" (terme qu'il reprend par la suite). J'ai déjà expliqué la différence entre ces deux indices. Aucun des deux n'est parfait, aucun des deux ne parvient à capturer adéquatement la réalité dans sa totalité. Le "revenu moyen" est typiquement gonflé par les revenus des plus riches, tandis que le "revenu médian" se contente d'observer le revenu de l'individu qui se trouve au beau milieu de la distribution (la moitié gagne moins, l'autre moitié gagne plus). Dans pratiquement tous les cas observés (dans tous les pays, toutes les provinces, toutes les circonscriptions électorales etc.) vous verrez que le revenu moyen est plus élevé que le revenu médian -- ce qui ne doit pas nous surprendre. Si comme dans l'article on s'affaire à comparer les données pour le Québec et l'Ontario, ce qui ressort incontestablement c'est la progression québécoise. Mais une analyse plus poussée (qu'on n'a pas ici) devrait commencer par montrer la distribution du revenu par tranches (déciles); ce qui a pu (à vérifier) contribuer à abaisser (relativement) le score ontarien pour le revenu médian est (serait) un accroissement plus élevé (ou une diminution moindre) de la proportion d'individus se situant dans les tranches inférieures -- autrement dit les bas salaires. Ensuite, pour approfondir encore plus l'analyse, il faudrait découvrir où (dans quelles catégories d'emplois) la croissance ontarienne a été la plus forte dernièrement; si c'est dans les occupations mal rémunérées, ça pèserait lourd dans la courbe de distribution: les très riches et les personnes à revenus moyens ne seraient pas disparus pour autant; c'est juste qu'il y aurait plus de "pauvres". Au Québec, le mouvement serait allé dans le sens contraire, notamment parce que la pénurie de main-d'œuvre, plus aigue, aurait eu tendance à faire diminuer les emplois mal rémunérés. Dernier point: si on voulait vraiment mesurer l'impact des garderies d'enfants plus accessibles et moins coûteuses au Québec, on devrait plutôt considérer les revenus des ménages, pas ceux des individus.
  6. Il m'est soudainement venu à l'esprit que la question naguère si populaire et si controversée à la fois du "Retour des Expos à Montréal" n'a pas été évoquée ne serait-ce qu'une fois durant l'actuelle campagne électorale provinciale qui s'achève. Pourtant, les campagnes électorales constituent généralement une excellente occasion de parler de projets accrocheurs et de faire des promesses. Au Québec on a une expression qui signifie que tous les espoirs sont perdus: SON CHIEN EST MORT. En réalité, peut-être pas, mais il ne faudrait plus compter sur un quelconque appui gouvernemental. On dirait que c'est rendu toxique d'évoquer cette possibilité, quels que soient les arguments avancés. Est-ce qu'un éventuel adversaire à la présente mairie de Montréal oserait en faire un cheval de bataille? Autrement, est-ce qu'un investisseur privé pourrait y trouver son compte sans dépendre d'une aide publique? -- Pas facile, surtout qu'il ne suffirait pas de rassembler les fonds nécessaires, mais il faudrait aussi trouver un (autre) site adéquat: où? (Je pose cette dernière question en supposant que la première condition serait satisfaite).
  7. "ÇA" étant un campus: - bien situé et répondant aux besoins; - réalisé à coûts moindres que si on avait consenti à payer les prix exorbitants présumément exigés par les propriétaires récalcitrants; - d'une architecture originale; - une bonne leçon pour les propriétaires récalcitrants qui se retrouvent avec des lots de valeur bien moindre que les prix qu'ils auraient obtenu s'ils avaient été moins gourmands; - une leçon aussi pour les propriétaires d'autres lots qui seraient tentés d'abuser à leur tour de leur position de force, car celle-ci n'est pas illimitée. Il restera pour longtemps un symbole très visible des conséquences des luttes que se livrent propriétaires et promoteurs dans une société de droit.
  8. (ci-dessus un extrait de l'article complet cité par acpnc) "Trouver une manière" est plus facile quand on veut construire ou reconstruire sur un site dégagé, par exemple l'écoquartier Vauban susmentionné. L'insertion dans un milieu densément construit est plus délicat. Sur le territoire de Montréal, les vastes espaces qui étaient disponibles dans Rivière-des-Prairies constituaient une belle occasion qui a été manquée, puisqu'on a construit selon le mode traditionnel de banlieue. Ça peut vouloir dire que pour l'essentiel, il faudra s'en remettre à l'art de l'insertion réussie. Cependant, quelques grands sites sont encore disponibles pour réaliser des projets de type "écoquartiers" d'envergure; pourquoi pas Blue Bonnets? Le potentiel d'insertions demeure important, à commencer par le remplacement des centres commerciaux désuets et leurs stationnements en surface, mais ça concerne plus la banlieue que le territoire central de Montréal. Naturellement, il y a aussi les édicules des stations de métro, plus nombreux à Montréal. Tout cela pourra contribuer à la densification et à l'augmentation du nombre de logements, mais ce ne sera pas suffisant si la population de Montréal et de ses banlieues continue d'augmenter autant. Des sites supplémentaires seront nécessaires.
  9. Tout juste à l'Est de Bleury, plutôt dans un prolongement du centre, pas dans le Far-East, pas un effet comparable à Canary Wharf.
  10. Et alors? Quel idiot va s'imaginer que le fleuve disparaît sous terre parce qu'il est caché sur une partie de son cours? La réalité, c'est que les tours les plus hautes le cachaient déjà par intervalles. Ce n'est pas comme si une seule tour venait briser une vue entièrement dégagée -- ce qui aurait été beaucoup plus grave en termes de préservation du paysage.
  11. La localisation moins prestigieuse est censée correspondre à un prix moindre pour le terrain, d'où un coût total moins élevé par unité de superficie. Les prix des logements seront obligatoirement plus abordables que dans le centre des affaires, mais ce ne veut pas dire modique. J'ai bien peur que le coût des constructions neuves, même des plus ordinaires, dépasse largement les moyens des personnes à revenu modeste. Logiquement, ce projet devrait s'adresser à des personnes à revenu "moyen" -- pas riche pas pauvre. C'est quand même un segment important de la population, à ne pas négliger. En ce qui a trait à l'apparence, il me semble qu'elle aura pu être beaucoup mieux sans qu'il n'en coûte tellement plus cher. Regrettable.
  12. Pas si différent de ce qu'il est aujourd'hui, si je me fie à l'évolution des abords de la ligne orange Est au nord de la Métropolitaine. Pas de changements à proximité de la station Sauvé, et beaucoup de temps avant que les abords de la station Henri-Bourassa ne finissent tardivement par se densifier (un peu). Pour Cartierville, les riches demeures le long de la rivière des Prairies n'auraient pas été remplacées par des immeubles en hauteur. Puis à l'intérieur en direction sud, il y avait et il y a encore des sites qui pourraient être revalorisés, mais je doute que l'environnement plutôt médiocre aurait été propice à des constructions prestigieuses; au mieux, juste plus dense, en remplacement des stationnements et des établissements commerciaux grands consommateurs d'espace urbain. Tu sembles penser le contraire, et je serais heureux d'accueillir positivement tes arguments. Ce que je reconnais, c'est que la rareté des terrains constructibles à Montréal et un bien plus grand engouement maintenant (moins il y a 40 ans) pour de l'habitation à proximité d'une station de métro auraient un plus grand impact si le métro était finalement prolongé dans les prochaines années.
  13. Diantre! To obtiens des rdv promptement toi! Pour ma part j'aurais été plus susceptible de subir un décrochage de la mâchoire, pour cause d'excès de rire. Mais je me suis retenu, sagesse oblige.🤣
  14. Causes ou effets? Ou se renforçant mutuellement? Par où commence-t-on? -- Je pense qu'on doit agir simultanément sur tous les fronts, Bravo pour avoir établi ces liens!🙂
  15. Montréal n'est plus une bourgade. Il y a des millions de citoyens et de visiteurs qui pourraient se plaindre. Mais alors se plaindre à qui et comment? 1) La personne qui occupe le poste de maire/mairesse peut être interpellée, surtout par des journalistes et des représentants de l'opposition, mais seulement sur l'état général, certainement pas sur des cas spécifiques, sauf à titre d'exemples. On ne peut absolument pas s'attendre à ce qu'il/elle s'occupe personnellement de chaque cas. Il y a des employés municipaux qui pourraient s'en charger. Les "plaies urbaines" ne sont qu'un élément parmi d'autres qui réclament de l'attention. Manifestement ce sont d'autres préoccupations, par exemple la crise du logement, la pénurie de logements abordables, la montée de la criminalité etc. occupent le devant de la scène. Ce n'est évidemment pas une excuse pour négliger l'apparence de la ville, mais on peut déplorer que ça semble être le cas. C'est comme si on fermait les yeux, et qu'on s'intéressait seulement aux quelques améliorations apportées ça et là. 2) Les plaintes ne sont pas uniquement formulées aux autorités municipales. Beaucoup (de plaintes) prennent plutôt la forme de commentaires défavorables discutés entre les citoyens concernés, de même que les visiteurs, qui les répandront dans leurs milieux, que ce soit à Québec, Toronto, New York ou partout ailleurs d'où ils viennent; dans ce cas c'est la réputation de la ville qui en souffre. Si c'était si grave, les représentants de l'industrie touristique montréalaise se feraient entendre. Les groupes de citoyens aussi. Or je n'entends (presque) rien.
  16. Peut-être, mais pourquoi ne pas l'avoir fait avant? Parce que ça ne paraissait pas? -- Non. Ou parce que ça pourrait endommager le revêtement? -- Je ne sais pas. Ou encore parce qu'ils n'avaient pas les moyens financiers? -- Dans ce cas, pourquoi en auraient-ils plus maintenant?
  17. La force, tout comme la faiblesse, est relative à celle de l'adversaire ou du concurrent. Silver lining: nos avoirs libellés en USD viennent de gagner l'inverse lorsque convertis en CAD.
  18. Mettez-en! Mettez-en! Pas seulement cet exemple, mais tous les exemples précédents et futurs d'entretien déficient et de délabrement parfois avancét. Tu dis "la STM", mais c'est aussi, par extension, la Ville de Montréal. Le dossier s'épaissit. Un jour la VDM, armée de ce dossier, ira crier famine à Québec, demandant plus d'aide. Quelle serait votre réponse si vous étiez en position d'autorité?
  19. Premier point: c'est bien clair. (Tu dois te souvenir que j'ai écrit sur le forum, il n'y a pas longtemps, que l'Euro se dévaluerait; les raisons que j'avais gardé en tête apparaissent simplement plus évidentes maintenant) Deuxième point: il ne s'agirait pas pour la B du C d'essayer de manipuler le taux de change; je suggère seulement qu'elle suive les traces de la Fed (mon message d'il y a deux heures explique pourquoi). C'est le Japon qui cherche (vainement je pense) à soutenir sa monnaie par des interventions sur les marchés de change, tout en se refusant à hausser son taux directeur. Quant à l'Euro, des experts sont d'avis que même une hausse du taux directeur serait insuffisante -- parce que les fondamentaux des économies de l'UE sont gravement détériorés, et que même la fin de la guerre en Ukraine n'y changerait pas grand chose. J'estime que les fondamentaux de l'économie canadienne sont aussi "bons" que ceux des USA. La différence est évidemment que le USD est la valeur refuge par excellence, ce qui n'est pas le cas du CAD. Ce rôle de valeur refuge pousse à la hausse le USD; le CAD en est privé, d'où une dévaluation, mais quand même bien moins forte que celle de la plupart des autres monnaies.
  20. Ce soir dimanche le 25 septembre 2022, je vous fait part d'un concept qui n'apparaîtra probablement pas dans les média canadiens/québécois, mais qui est sûrement pris en compte par la Banque du Canada. Il s'agit du taux de change effectif (en anglais trade-weighted effective exchange rate index). Je vous explique brièvement en quoi il consiste, et pourquoi c'est important d'en tenir compte. 1) Ce taux est la somme pondérée des taux de change avec nos principaux partenaires commerciaux. 2) Ces temps-ci, le dollar canadien (CAD) se déprécie par rapport au dollar américain (USD), mais il s'apprécie par rapport à la plupart des autres monnaies nationales. Est-ce un heureux milieu? -- Pas vraiment, parce que nos relations commerciales avec les USA sont dominantes; autrement dit c'est ce qui importe. Un taux CAD/USD plus bas entraîne une hausse des prix au Canada, mesurés en CAD. Evidemment, prix plus élevés = pressions inflationnistes (encore plus!) La B du C ne peut pas pas endiguer complètement la dépréciation du CAD par rapport au USD, pour des raisons que je n'exposerai pas ici, mais elle peut la ralentir sensiblement. La première et plus évidente méthode consiste à ajuster les taux d'intérêts à la hausse pour au moins égaler les taux américains. Je pense qu'elle devrait le faire, même si les conditions économiques domestiques ne le justifieraient pas.
  21. Hallucinant? (au sens de "mind-blowing" en anglais, sinon le risque de dérapage est élevé). Mais alors quoi? -- Ce n'est qu'un exemple parmi la multitude. C'est généralisé. Et ça confirme ma crainte maintes fois formulée à l'effet qu'il ne suffit pas d'échafauder des projets sur papier et de les inscrire dans un soi-disant programme triennal ou décennal, pour qu'ils se réalisent dans ce cadre. En deux mots, la capacité de l'industrie montréalaise de la construction d'infrastructures est inadéquate (dans sa composition) et insuffisante (dans son envergure); et les appels d'offre sont "complaisants". Ce n'est toutefois pas l'apanage exclusif de Montréal au Québec; les petits projets qui traînent en longueur sont légions ailleurs aussi, mais pas partout. Ceci dit, nous avons quand même quelques exemples positifs, par exemple le nouveau pont Samuel-de-Champlain, dont la construction a exigé le recours à des fournisseurs hors-Montréal et même étrangers. Aussi, le transformation radicale de la route 175 entre Québec et Saguenay s'est déroulée rondement, compte tenu de l'ampleur du projet. Pas comme la route 117...
  22. Je réalise qu'on continue de dévier du sujet (Stations en décrépitude), mais je tiens à souligner que "l'appropriation culturelle", un terme à connotation négative, n'a pas été et n'est pas univoque (allant dans un sens unique). Il faudrait plutôt parler, positivement, "d'échanges culturels" -- qui ne se limitent d'ailleurs pas à l'Europe et aux Amériques, mais qui concernent également tous les continents.
  23. And I'm from Missouri. --no proof of that, but it would be fun! I was born, bred and educated in Montreal, so I must be from this place. But what I know and think of Missouri and Montreal, except perhaps the "M", is no guarantee that anyone there shares my feelings. So, Toronto loves the Centra. What's wrong with that? Does the Centra loves Toronto? Hey@SameGuy, how do you like my mixture of apples, oranges, cheese and chocolate!
  24. Pas de surprise là. Mais il y a une différence entre ce que laisse entendre le titre de l'article, et le bref paragraphe explicatif qui suit. Le titre évoque seulement les craintes grandissantes de récession mondiale. Dans le texte, on explique succinctement que les hausses de taux d'intérêt et la tourmente (subie par) des monnaies étrangères accroissent les risques de récession. C'est exact en soi. Mais quand on veut expliquer la chute de l'indice boursier Dow Jones (alias Dow) les anticipations de récession ne sont que l'une des deux principales variables l'affectant. L'autre, c'est l'effet des hausses de taux d'intérêt, non pas sur l'activité économique (une considération déjà prise en compte), mais aussi sur le calcul des investisseurs en bourse: en termes simples, on compare le rendement sur le capital investi avec le taux d'intérêt. Ceci dit, malgré les mauvaises nouvelles qui s'accumulent, j'estime que la plus récente baisse n'est pas aussi dramatique qu'on le dit. L'indice a certes atteint son niveau le plus bas depuis le début de l'année, à 29 590,41, en baisse de 19,12% par rapport au niveau du 3 janvier dernier, mais c'est à peine plus bas que le niveau du 17 juin, à 29 888,78, quand les taux d'intérêts n'étaient pas si hauts et que les perspectives économiques n'étaient pas aussi mauvaises. Pour rappel, il y a 5 ans, l'indice était à 22 405,09. Il y a 40 ans, c'était 907,74.
  25. (ci-dessus un extrait du message complet; j'ai délibérément laissé de côté ce qui concerne la foresterie urbaine) Je ne crois pas que pour la majorité des citoyens de Québec, la quasi-absence de construction "moindrement" élevée dans ce que vous appelez le "Vieux centre-ville" depuis le milieu des années 1970 soit vue comme une "traversée du désert". Je pense plutôt que c'est un soulagement, plusieurs ont même trouvé que les développements à proximité du Parlement étaient inappropriés. Ce n'est nullement une question d'être "anti-développement". C'est plutôt une forte préférence pour orienter le "développement" ailleurs, principalement à Sainte-Foy, mais aussi, un peu plus tard, pour revaloriser des secteurs de la "Basse-Ville" qui avaient déjà été au cœur des activités commerciales, notamment Saint-Roch. Et plus récemment encore, des efforts ont été entrepris du côté de D'Estimauville. La Ville de Québec est polycentrique -- ce qui a effectivement des implications, bonnes et moins bonnes, pour le déploiement d'un réseau de TEC efficace. La préservation des abords du Parlement et du quartier intra-muros tout près vers l'est est plus importante.
×
×
  • Créer...