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Chuck-A

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Tout ce qui a été posté par Chuck-A

  1. Il ne faut surtout pas le crier sur tous les toits... Surtout les toits situés entre les rues William et Ottawa, au-dessus d'un certain bâtiment-pont ferroviaire...
  2. Enfin ! "Mieux vaut tard, que ja...." À suivre sur le FB de Valérie Plante, à partir de 15h... Avis aux médias - Dévoilement de l'emplacement de la dernière station de la phase actuelle du REM Nouvelle fournie par | Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif | Juin 22, 2020, 07:00 ET MONTRÉAL, le 22 juin 2020 /CNW Telbec/ - La mairesse de Montréal, Valérie Plante, la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la métropole et de la région de Montréal, Chantal Rouleau, le directeur exécutif, Affaires corporatives et développement de la CDPQ Infra, Harout Chitilian, invitent les médias au dévoilement de l'emplacement de la dernière station de la phase actuelle du REM. Date : Le lundi 22 juin 2020 Heure : 15 h Endroit : Hall d'honneur - Hôtel de ville de Montréal (édifice Lucien-Saulnier) - 155, rue Notre-Dame Est Le point de presse sera diffusé en Facebook live et les médias qui participent à distance pourront envoyer leurs questions par message texte à l'attachée de presse de la mairesse, Geneviève Jutras. Facebook live : https://www.facebook.com/MTL.ValeriePlante/ Les médias qui souhaitent se déplacer sur place sont invités à porter un couvre-visage. SOURCE Ville de Montréal - Cabinet de la mairesse et du comité exécutif https://www.newswire.ca/fr/news-releases/avis-aux-medias-devoilement-de-l-emplacement-de-la-derniere-station-de-la-phase-actuelle-du-rem-880598869.html
  3. https://www.iabse.org/IABSE/Press_Releases/OStrA2020.aspx
  4. Le projet de métro Bois-Franc encore remis Journaldesvoisins.com | Publié le19 juin 2020 | Stéphane Desjardins | Journaliste de l'Initiative de journalisme local (IJL) Le lien de couleur orange souligne la partie manquante pour relier la ligne orange du Métro à la future station Bois-Franc du REM (Source : carte du site Web du REM, lien de couleur orange – jdv) Le prolongement de la ligne orange du métro jusqu’à la station Bois-Franc, attendu depuis 50 ans, est désormais une priorité régionale, mais pas pour le gouvernement Legault, même dans un contexte de relance de l’économie post-Covid-19. Il relierait l’actuel terminus ouest de cette ligne, la station Côte-Vertu, dans le secteur Décarie, à Saint-Laurent, à la gare Bois-Franc du futur REM (l’ancienne ligne de train de banlieue vers Deux-Montagnes), angle Grenet et Dudemaine. Le prolongement, qui implique également une station angle Poirier et Grenet, figure au Plan de transport de l’arrondissement de Saint-Laurent 2018-2021. Le 11 novembre 2019, la conseillère d’Ahuntsic-Cartierville, Effie Giannou, proposait une résolution d’appui au prolongement du métro vers Bois-Franc au conseil d’arrondissement, qui fut adoptée à l’unanimité. Journaldesvoisins.com rapportait alors que le prolongement est l’un des sujets qui revenait le plus dans les échanges entre la conseillère et les citoyens du secteur. En décembre 2019, plusieurs organismes de défense de l’environnement et du transport collectif estimaient que le prolongement vers Bois-Franc était urgent, dont Trajectoire Québec et Équiterre. Le projet a spectaculairement rebondi dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Le 26 février, la mairesse de Montréal, Valérie Plante, en a fait une priorité de son administration. Le 5 mai, il a franchi une nouvelle étape : l’Autorité régionale de transport de Montréal (ARTM) l’a inclus dans son plan d’investissement de trois ans et de 9,2 milliards de dollars, qu’elle a soumis à Québec dans le cadre de la relance de l’économie post-pandémie. Le prolongement de la ligne orange est une des priorités de ce plan, fruit d’intenses négociations entre les maires de la région métropolitaine. Selon ce plan, l’ARTM indique qu’on pourrait lancer les études d’ingénierie et les appels d’offres dès cette année, pour un chantier qui pourrait être lancé l’an prochain! Il n’en fallait pas plus pour que la conseillère de Bordeaux-Cartierville, Effie Giannou, se réjouisse de cette décision, qu’elle considérait comme une avancée majeure, au conseil d’arrondissement du 11 mai dernier. Déception Le 18 juin, le gouvernement Legault a tenté sans succès de faire adopter à l’Assemblée nationale son Projet de loi 61 visant la relance de l’économie du Québec dans le contexte de la pandémie de Covid-19. Le gouvernement et les partis d’opposition ne se sont pas entendus sur l’adoption du controversé projet de loi, qui accordait des pouvoirs exceptionnels à Québec lui permettant de contourner plusieurs lois en matière de protection de l’environnement et d’adjudication de contrats. L’adoption du projet de loi nécessitait l’appui unanime des partis d’opposition parce qu’il fut déposé tardivement à la fin de la session. Le vote sera repris à l’automne. Cette loi incluait une liste de 202 projets d’infrastructures jugés prioritaires. Le prolongement du métro vers Bois-Franc n’y figurait pas. Il n’est pas non plus indiqué au Plan quinquennal d’investissement du gouvernement. « C’est pourtant un lien essentiel dans le réseau de transport collectif de la région de Montréal, commente François Pépin, président du conseil de Trajectoire Québec. On trouve ça étrange, vu que la région de Montréal en a fait une priorité. D’autant plus que les études sont terminées : on ne part pas de zéro dans ce dossier. Et c’est un projet logique quand on sait que le REM desservira bientôt ce secteur. » La conseillère Effie Giannou n’a pas commenté ce revirement, malgré nos nombreuses demandes d’entrevue. Plusieurs avantages Le projet Bois-Franc présente plusieurs avantages, comparé aux autres projets de prolongement du métro proposés dans le passé, car le tunnel du métro ne s’arrête pas à la station Côte-Vertu. Il se prolonge sous la forme d’un garage sous-terrain actuellement en construction, un projet titanesque de 439 millions de $ mené par la STM, qui devrait être achevé en septembre. Il ne reste donc que 2,3 km de tunnel à creuser des 3,5 km séparant la station Côte-Vertu à la future station Bois-Franc. D’autre part, le prolongement permet une interconnexion avec la future station du REM, dont le chantier a commencé il y a quelques semaines et qui devrait rouvrir en 2020. Construction de la station Bois-Franc (Photo : jdv – Philippe Rachiele) Cette gare comprend 742 places de stationnement automobile et 21 places de stationnement vélo. Elle est desservie par les lignes de bus 64, 126, 164, 170, 171, 215, 263, 468, 964 de la STM et les lignes 55, 144, 151 et 902 de la STL. Le prolongement permettrait de désengorger le tronçon est de la ligne orange, qui est saturée depuis des années, ainsi que le réseau routier dans le secteur Décarie, où passent 360 000 véhicules par jour et où 25% des déplacements proviennent d’un rayon de 7 km ou moins, selon une présentation du Service de l’urbanisme de Montréal datant de février. Enfin, le prolongement permettrait de desservir l’un des secteurs les plus pauvres de l’arrondissement. De fait, le quartier comprend la RUI Laurentien-Grenet, où habite un citoyen de Cartierville sur cinq, soit 11 000 habitants sur 1 km carré, une des densités les plus élevées au pays. La plus grande part du territoire de la RUI s’étend le long de la ligne du futur REM, entre les boulevards O’Brien, Lachapelle et Salaberry, et les rues Saint-Évariste et Michel-Sarrazin. Selon le CLIC de Bordeaux-Cartierville, ce secteur compte une majorité d’immigrants (65% des résidants sont nés hors du Canada) et 58% des ménages sont à faible revenu. Les jeunes et les familles monoparentales (38,6% des ménages) sont surreprésentés comparativement à la moyenne de Montréal ou de l’arrondissement. Le territoire est surtout composé d’immeubles à appartements multiples, dont plusieurs sont dans un état de détérioration avancé, voire insalubres. Le coût du prolongement n’a toutefois pas été estimé par les autorités. Mais le prolongement du métro vers Laval en 2007 avait coûté 154 millions du kilomètre, et celui de la ligne bleue vers Anjou est estimé à 1,4 milliard du kilomètre (cette dernière faisant débat). Ça ne date pas d’hier Le prolongement de la ligne orange vers Cartierville remonte aux années 1970. À l’époque, on envisageait que le métro se rende jusqu’au bouevard Gouin, dans le secteur des rues Lachapelle ou Grenet. Dans les années 2000, le maire déchu de Laval, Gilles Vaillancourt, fort d’avoir attiré le métro dans sa ville, s’est fait le promoteur d’un prolongement de la ligne orange à l’ouest, pour la compléter en une boucle se prolongeant sur le territoire de l’île Jésus jusqu’au Carrefour Laval. En 2013, ce projet de 11 km de tunnels comprenant sept stations, y compris celle du boulevard Gouin, avait été évalué à quatre milliards de dollars. Petit clin d’œil à l’histoire, le prolongement du métro vers Gouin reprend le tracé du train de banlieue électrique du CN, implanté à la fin de la Première Guerre mondiale, en 1918, et qui a été abandonné en 1982. La gare de Cartierville, rebaptisée Val-Royal dans les années 1920, se branchait à la ligne de train de banlieue Deux-Montagnes/Gare Centrale (future ligne du REM). Jusqu’en 1959, l’ancienne ligne de tramway 17 empruntait aussi le même itinéraire, entre Dudemaine et Gouin, où se situait son terminus nord. L’effet de la Covid-19 En attendant que les gens reprennent confiance au transport collectif, la Covid-19 affecte lourdement les finances des sociétés de transport en commun de la région métropolitaine, qui sont aux prises avec une baisse de leur achalandage de 90% depuis le début du confinement. La STM parle d’une baisse de 75% à bord de ses autobus et de 80% pour le métro à l’heure de pointe. L’ARTM estime à 165 millions les pertes de revenus des sociétés de transport de la région de Montréal, liées à la Covid-19, pour les mois de mars à mai. Le 18 juin, l’agence prévoyait devoir composer avec un déficit de 500 millions pour 2020. Elle n’a pas été en mesure de nous livrer les chiffres précis pour la STM ou pour l’arrondissement. https://journaldesvoisins.com/le-projet-de-metro-bois-franc-encore-remis/
  5. C'est juste ! https://www.quebec511.info/Carte/Fenetres/camera.ashx?id=3327&format=mp4
  6. Merci @MHV17 d'avoir posé la question si on pouvait ajouter des caméras à celles existantes. Bien content de savoir que les caméras seront relocalisées ailleurs sur d'autres chantiers du REM lorsque les travaux de la station où elles se trouvaient sont pratiquement complétés. Dommage par contre qu'on pourra "moins aisément" assister à l'arrivée des rames du REM au centre d'entretien.
  7. Bonne lecture ! 2 articles de La Presse sur la refonte tarifaire et le manque à gagner de l'ARTM. Refonte tarifaire en vue pour les transports en commun PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE | On ne prévoit pas de hausse des tarifs cette année dans les transports en commun de toute la région de Montréal. Le conseil d’administration de l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) donne son aval à la reprise du processus de consultation publique de la refonte tarifaire, malgré les impacts financiers de la pandémie sur le réseau de transport. Publié le 18 juin 2020 à 17h11 | MAYSSA FERAH | LA PRESSE Une nouvelle grille tarifaire métropolitaine simplifiée et intégrée de l’ARTM entrerait donc en vigueur le 1er juillet 2021, comme le mentionnait La Presse jeudi matin. Le projet sera soumis à la consultation publique en septembre et en octobre via internet et l’adoption définitive est prévue en décembre prochain. « La simplification de la grille tarifaire est un des dossiers majeurs, affirme Daniel Bergeron, directeur en planification des transports et mobilité de l’ARTM. On annonce donc un projet assez ambitieux élaboré avec tous les partenaires qui intègrera le REM, le métro, le train, les autobus ainsi que le transport adapté. » L’uniformisation des modes de paiement font partie du plan proposé à la population, ajoute-t-il. L’ARTM chapeaute les services offerts par les quatre principales sociétés de transports, soit la STM, RTL, STL et exo et en fixe les tarifs. Avec plus de 700 titres de transport toujours actifs dans les réseaux de transports de la région métropolitaine, le très attendu plan de refonte tarifaire vise à élargir et uniformiser l’accessibilité au transport collectif. En parallèle au remaniement des tarifs, la question de la tarification sociale est à l’étude. En effet, la refonte et l’harmonisation des tarifs sont l’occasion de penser aux personnes les plus démunies, mentionne M. Bergeron. Un tarif réduit basé sur les différents seuils de revenus fait partie des scénarios pour permettre la mobilité de tous. Baisse d’achalandage marquée Les effets de la pandémie sur les réseaux de transport sont indéniables et affectent la fréquence des services. Par contre, on ne prévoit pas de hausse des tarifs cette année dans les transports en commun de toute la région de Montréal. Il faudra malgré tout attendre deux ou trois ans pour revenir à l’achalandage pré-pandémique, estime-t-on. Les entreprises considèrent désormais le télétravail comme une option à maintenir à long terme et plusieurs universités envisagent des cours à distance l’automne prochain. La diminution de perception des tarifs depuis trois mois dans les transports collectifs a engendré un manque à gagner de 77 millions de dollars par mois en avril et en mai, a précisé Benoît Gendron, directeur général de l’ARTM. https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/2020-06-18/refonte-tarifaire-en-vue-pour-les-transports-en-commun -------------------------- Le manque à gagner de l'ARTM pourrait atteindre 500 millions en 2020 PHOTO ROBERT SKINNER, ARCHIVES LA PRESSE | L’effondrement de l’achalandage habituel dans les autobus, les trains et le métro, et l’absence de perception des tarifs depuis trois mois dans les transports collectifs pourraient faire disparaître plus de la moitié des revenus en provenance des passagers qu’attendait l’ARTM, en 2020. Au moment où elle s’apprêtait à ouvrir une porte sur l’avenir avec la présentation du premier projet concret de refonte tarifaire, l’Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM) devra composer avec un manque à gagner qui pourrait atteindre 500 millions pour le financement des réseaux de transports collectifs d’ici la fin de 2020, a appris La Presse. Publié le 18 juin 2020 à 5h00 | BRUNO BISSON | LA PRESSE L’effondrement de l’achalandage habituel dans les autobus, les trains et le métro, et l’absence de perception des tarifs depuis trois mois dans les transports collectifs, pour prévenir la transmission de la COVID-19, pourraient ainsi faire disparaître plus de la moitié des revenus en provenance des passagers qu’attendait l’ARTM, en 2020, pour financer les activités des quatre grands réseaux de transports collectifs de la métropole. De plus, selon un dirigeant de l’ARTM, en tenant compte du recours beaucoup plus large au télétravail prévu dans l’avenir immédiat, de la possibilité que les cégeps et les universités tiennent leurs sessions à distance en septembre prochain, et en prévoyant un retour lent et graduel de la clientèle d’antan dans les transports collectifs, ce manque à gagner pourrait grimper jusqu’à 1 milliard en trois ans, selon des scénarios étudiés par l’ARTM. À l’occasion de sa seule assemblée publique de l’année, qui sera diffusée ce jeudi sur la page Facebook de l’Autorité, pandémie oblige, le conseil d’administration de l’ARTM fera le point sur l’effet financier de la COVID-19, qui pourrait amputer l’ARTM de presque 20 % de son budget. Depuis 2017, l’ARTM finance les services offerts par les quatre grandes sociétés de transports (STM, RTL, STL et exo) de la région métropolitaine en vertu de contrats de service annuels conclus avec chaque transporteur. C’est donc l’ARTM qui touche tous les revenus en provenance des usagers des quatre réseaux et qui a l’autorité exclusive pour fixer les tarifs du métro, des trains de banlieue et des réseaux de bus, à l’échelle du territoire métropolitain. Dans ses projections budgétaires annuelles adoptées bien avant la pandémie, à la fin de 2019, l’ARTM prévoyait encaisser des revenus en provenance des usagers de presque 969 millions, au cours de l’année 2020, sur un budget total de 2,7 milliards. Un manque à gagner de 500 millions représenterait ainsi environ 18 % du budget total de l’Autorité, pour l’année en cours. Ou la totalité du budget d’exploitation 2020 du réseau exo, responsable des trains de banlieue et des autobus métropolitains. L’ARTM présente enfin sa refonte tarifaire L’incidence désastreuse de la pandémie sur le financement des réseaux de transports en commun survient au moment précis où l’ARTM prévoyait enfin présenter un projet de refonte des tarifs dans les transports collectifs, attendu depuis plus d’un an par tous les intervenants du transport urbain. Ce serait un euphémisme de dire que la refonte des tarifs dans les réseaux de transports collectifs métropolitains est une urgence. Les dirigeants des grands réseaux de transports de la métropole la considéraient déjà comme une priorité au milieu des années 2010, bien avant la création de l’ARTM. Au moment de sa création, en 2017, l’ARTM a hérité d’un gigantesque casse-tête formé de plus de 600 pièces provenant des grilles tarifaires élaborées au fil des ans sur leur territoire propre par les trois sociétés de transports de Montréal, de Laval et de Longueuil, une agence provinciale (l’Agence métropolitaine de transport) et 14 réseaux locaux des couronnes de la banlieue (aujourd’hui regroupés sous l’enseigne d’exo). Trois ans plus tard, il y a toujours plus de 700 titres de transport en vigueur dans les réseaux de transports de la région métropolitaine chapeautés par l’ARTM, même si l’Autorité a maintes fois répété que la refonte était l’une de ses plus hautes priorités. Souvent incompatibles d’un réseau à l’autre, parfois inéquitables entre usagers de différents secteurs, les modes d’opération cloisonnés entre les anciens réseaux et leurs grilles de tarifs multiples ont même donné naissance à des situations absurdes qui persistent toujours aujourd’hui. Pourquoi, par exemple, peut-on prendre le métro jusqu’à Laval ou Longueuil avec un titre mensuel de la Société de transport de Montréal (STM), mais ne peut-on pas en revenir sans payer un passage supplémentaire de 3,50 $ ? Pourquoi un autobus arrivant de Varennes par la route 132 ne pourrait-il pas faire monter à bord un usager d’une autre société de transport qui poireaute sous la neige à Boucherville, en raison d’un bus en retard, alors qu’il se rend au même endroit que le bus de Varennes ? Jusqu’en 2030 Selon nos informations, le conseil d’administration de l’organisme, composé de 5 élus municipaux et de 10 spécialistes non élus, adoptera ce jeudi un premier projet de refonte tarifaire, qui sera soumis à la consultation publique en septembre et en octobre, par l’internet, avant de cheminer jusqu’à son adoption définitive, en décembre prochain. La nouvelle grille tarifaire métropolitaine simplifiée et intégrée de l’ARTM pourrait donc entrer en vigueur le 1er juillet 2021, juste à temps pour intégrer le futur Réseau express métropolitain, qui doit se mettre en route à la fin de l’année prochaine. La présentation d’un projet de plan stratégique de développement (PSD) devrait suivre le même cheminement que le projet de refonte tarifaire quelques mois plus tard. Les consultations publiques sur ce projet de PSD, dont l’adoption est prévue cet été, auront lieu entre octobre et décembre. La forme précise que prendra cette consultation reste à confirmer, en raison des aléas de la pandémie. Mais, selon les informations fournies, elle prévoit un appel public aux personnes et aux groupes intéressés ainsi que des auditions de mémoires qui s’étendront jusqu’en décembre, par vidéoconférence ou autrement. Si tout va comme prévu, ce plan de développement, qui déterminera les projets et les investissements prioritaires dans les réseaux de transports collectifs de la région de Montréal jusqu’en 2030, pourrait être entériné dès janvier prochain par le conseil de l’ARTM, pour entrer officiellement en vigueur dans un an. Il s’agira du premier plan de transports collectifs intégré à l’échelle métropolitaine depuis la publication de la Vision 2020, proposée par la défunte AMT en novembre 2011. https://www.lapresse.ca/covid-19/2020-06-18/le-manque-a-gagner-de-l-artm-pourrait-atteindre-500-millions-en-2020
  8. La caméra sur le centre d'entretien du REM à Brossard ne semble plus être accessible sur Devisubox depuis cet après-midi (18 juin). Aura-t-ton la belle surprise de la voir relocalisée sur la construction de la station terminale... ou sur le lave-wagon ? Ou est-ce seulement pour une maintenance de celle-ci ? Je ne crie pas au complot; j'ai juste tellement hâte de voir enfin les nouvelles rames circulées sur la Rive-Sud. (Je n'ai pas été en mesure de capturer l'image de la caméra nous montrant les 3 voies de gauche complétées; la dernière que j'ai date du 9 juin...) https://www.devisubox.com/dv/dv.php5?pgl=Project/interface&dv_pjv_sPjvName=Reseau Express Metropolitain
  9. Et deux autres sur le fil Twitter et la page FB du REM:
  10. De belles images de la démolition du pont Cornwall (gracieuseté du REM), ayant eu lieu samedi dernier, dans les médias de QMI. Mont-Royal: démolition du pont Cornwall PHOTO COURTOISIE/REM GUILLAUME PELLETIER | Jeudi, 18 juin 2020 16:30 | MISE À JOUR Jeudi, 18 juin 2020 16:30 MONT-ROYAL – Les travaux de démolition du pont Cornwall, qui enjambe la voie ferrée dans la ville de Mont-Royal, ont été exécutés le 13 juin dernier. Construit en 1918, le pont Cornwall sera entièrement réaménagé dans le cadre des travaux d'installation du Réseau express métropolitain (REM). Trois pelles mécaniques se sont affairées de part et d’autre du pont ainsi que sur les rails afin de démolir entièrement la structure, qui était déjà dans un état de dégradation avancée. PHOTO COURTOISIE/REM Ces travaux marquaient une première étape dans la transformation complète de la ligne de train Deux-Montagnes en métro léger automatisé. La mise en service progressive de cette section du REM est prévue pour 2022 et 2023. Elle viendra remplacer la ligne de train qui relie la Rive-Nord au centre-ville de Montréal. Depuis le 11 mai, l'interruption de la ligne de train Deux-Montagnes entre la gare Bois-Franc et la gare Centrale force les usagers à descendre du train à Bois-Franc et à prendre un autobus jusqu'à la branche ouest de la ligne orange du métro. https://www.journaldemontreal.com/2020/06/18/mont-royal-demolition-du-pont-cornwall https://www.tvanouvelles.ca/2020/06/18/demolition-du-pont-cornwall-a-mont-royal
  11. Wow ! Tout droit sorti des boules à mites ! Il y aura reprise des travaux dans le rond-point Dorval. Avec le trafic (aérien) au ralenti à YUL en raison de la situation actuelle, ce n'est pas une mauvais idée. L'échangeur Dorval (dans l'axe Nord>Sud) sera donc à éviter cet été. SVP prévoir un futur passage (ou issue) pour le tunnelier Alice, afin qu'on puisse aménager une station du REM à la gare de VIA. Réaménagement de l'échangeur Dorval - Fermetures de longue durée dans le secteur de l'autoroute 520 Nouvelle fournie par le Ministère des Transports | Juin 18, 2020, 10:49 ET MONTRÉAL, le 18 juin 2020 /CNW Telbec/ - Le ministère des Transports procédera, dans le cadre du projet de réaménagement de l'échangeur Dorval, à la mise en place de fermetures majeures de longue durée sur l'autoroute 520 dans le secteur de l'aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau du 22 juin jusqu'à la mi-août. Des entraves de nuit seront aussi mises en place durant la fin de semaine du 20 juin. Ces fermetures sont requises pour finaliser les travaux routiers. Échangeur Dorval - Fermetures de longue durée du 22 juin jusqu’à la mi-août (Groupe CNW/Ministère des Transports) Fermetures de longue durée - du 22 juin jusqu'à la mi-août Fermeture de la bretelle menant du boulevard Roméo-Vachon (aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau) à l'autoroute 520 en direction ouest Fermeture de la bretelle menant du boulevard McMillan à l'autoroute 520 en direction ouest Mise en place d'un contresens d'une voie par direction sur l'autoroute 520 entre le rond-point Dorval et l'entrée en provenance du boulevard Roméo-Vachon (aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau) Note pour le camionnage Voie réduite à 3,2 mètres dans le tronçon à contresens de l'autoroute 520. Un détour balisé sera mis en place. Échangeur Dorval - Fermetures de nuit durant la fin de semaine du 20 juin (Groupe CNW/Ministère des Transports) Fermetures de nuit sur le réseau autoroutier durant la fin de semaine du 20 juin Fermeture de l'autoroute 520 est entre le rond-point Dorval et l'entrée en provenance du boulevard Roméo-Vachon (aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau) - de samedi 21 h à dimanche 6 h et de dimanche 21 h à lundi 5 h Fermeture de la bretelle menant de l'autoroute 520 en direction est aux avenues Michel-Jasmin et Cardinal. Fermeture de la bretelle menant de l'autoroute 520 en direction est à l'aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau Fermeture de l'autoroute 520 ouest entre la sortie n°2 - 43e avenue / 55e avenue et le rond-point Dorval - de dimanche 23 h 59 à lundi 5 h Fermeture de la sortie n°1-E - Avenue Cardinal Fermeture de la sortie n°1-O - aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau Fermeture de la bretelle menant du boulevard Roméo-Vachon (aéroport international Pierre-Elliott-Trudeau) à l'autoroute 520 en direction ouest Fermeture de la bretelle menant du boulevard McMillan à l'autoroute 520 en direction ouest Le Ministère recommande aux usagers de la route de planifier leurs déplacements et d'éviter le secteur. En cas de conditions météorologiques défavorables ou de contraintes opérationnelles, les fermetures pourraient être annulées ou modifiées. Notez que les accès aux commerces, résidences et hôtels seront maintenus en tout temps. Composer le 511 ou encore consulter le Québec511.info pour tous les détails sur ces entraves. SOURCE Ministère des Transports https://www.newswire.ca/fr/news-releases/reamenagement-de-l-echangeur-dorval-fermetures-de-longue-duree-dans-le-secteur-de-l-autoroute-520-848501220.html
  12. Résumé de l'équipe du REM des travaux réalisés et à venir, tel qu'annoncé lors de la rencontre d'information de la Ville de Montréal pour Griffintown, tenue virtuellement le 19 mai dernier: https://rem.info/sites/default/files/2020-06/REM_rencontre information Grifffintown_19 mai 2020_Final web.pdf Voici le lien vers la présentation et le Q&A de la participation du REM à la rencontre d’information de la Ville de Montréal pour présenter les travaux réalisés et à venir pour le secteur Griffintown. ------------------------------- Et tel que l'a mentionné @ScarletCoral, on n'indique toujours pas "officiellement" l'endroit où se trouvera la future station dans Griffintown (même si on en a déjà une bonne idée). Question de M. Goyer-Desrosiers Quel est l'emplacement de la station du REM Bassin Peel ? Depuis février 2018, on mentionne que ce sera annoncé sous peu. La station du “Bassin Peel”, qui fait partie du projet de base, est prévue à Griffintown. La Ville de Montréal et le REM travaillent toujours à finaliser les études techniques qui permettront de déterminer son emplacement exact. Depuis le début des discussions, le souhait du REM est de s’arrimer à la vision d’aménagement de la Ville pour la localisation de cette station. https://sites.google.com/montreal.ca/questionsetreponses/rem
  13. Cela aidera, mais ne comblera malheureusement pas toutes les pertes (comme dans bien des secteurs de l'économie). Le gouvernement du Québec annonce une aide d'urgence de 400 M$ pour le transport collectif QUÉBEC, le 18 juin 2020 /CNW Telbec/ - Afin de soutenir les organismes et les sociétés de transport collectif et de leur permettre d'assurer la continuité de leurs services malgré la pandémie de COVID-19, le gouvernement du Québec leur accorde une aide financière d'urgence de 400 millions de dollars. La moitié de ce montant pourrait provenir du gouvernement fédéral à la suite du versement, au Québec, des sommes annoncées récemment par Ottawa. Le ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie, M. François Bonnardel, la ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Chantal Rouleau, et le ministre des Finances et ministre responsable de la région de Laval, M. Eric Girard, en font l'annonce aujourd'hui. Ce montant s'ajoute aux 614 millions de dollars devancés au Plan québécois des infrastructures 2020-2030 pour la réalisation de projets de transport en commun. À cet effet, les sociétés de transport de plusieurs villes du Québec sont invitées à soumettre leurs propositions au gouvernement. Citations « Depuis le début de la pandémie de COVID-19, l'ensemble des sociétés et des organismes de transport collectif de la province ont maintenu leurs activités malgré une forte baisse de clientèle, et ce, tout en respectant les règles sanitaires en vigueur. Cette aide financière d'urgence est un geste concret qui favorisera un retour à la normale en matière de transport collectif. » François Bonnardel, ministre des Transports et ministre responsable de la région de l'Estrie « La crise que nous traversons nous démontre que le transport collectif est essentiel au bon fonctionnement de notre société, notamment pour les déplacements des travailleurs de la santé et des travailleurs essentiels. En cette période de relance économique, nous devons soutenir les sociétés et les organismes de transport afin qu'ils puissent offrir pleinement leurs services à la population et favoriser le retour en grand nombre des usagers dans les différents modes de transport collectif. » Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal « L'appui financier annoncé aujourd'hui permettra d'aider les sociétés et les organismes de transport à traverser cette crise sans précédent. Notre gouvernement est conscient des défis actuels en transport collectif, et nous souhaitons soutenir ce secteur d'activité afin d'en faire un élément clé de la relance économique. » Eric Girard, ministre des Finances et ministre responsable de la région de Laval Faits saillants Les organismes admissibles à l'aide financière sont : l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM); les sociétés de transport en commun, constituées en vertu de la Loi sur les sociétés de transport en commun, qui ne sont pas situées sur le territoire de l'ARTM; les organisations municipales ou intermunicipales de transport (OMIT) qui assurent les services de transport collectif; les municipalités régionales de comté (MRC) qui organisent des services de transport collectif régional et qui contribuent à leur financement; les organismes de transport adapté. Lien connexe Suivez-nous sur Twitter et sur Facebook. SOURCE Cabinet du ministre des Transports https://www.lelezard.com/communique-19301715.html
  14. Dans le même lien de l'article partagé par @ScarletCoral, voici celui de Radio-Canada. Prendre note que la station du REM fait partie du projet de réaménagement de l'aéroport, dont le coût total est évalué à 2,5 milliards de dollars (et non 2,5 millions de dollars, tel que mentionné dans La Presse). La station du REM de l'aéroport Montréal-Trudeau compromise par la crise Selon ADM, le trafic aérien est actuellement en baisse de 97 % par rapport à la même date l'an dernier. | PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS Radio-Canada | François Messier | Publié à 8 h 35 L’impact de la crise de la crise de la COVID-19 sur le transport aérien est si important qu’il compromet la construction de la station du REM qui doit desservir l’aéroport Montréal-Trudeau, allègue le président-directeur général d’Aéroports de Montréal (ADM), Philippe Rainville. Dans une lettre ouverte distribuée aux médias, il demande à Québec et à Ottawa d’accorder à ADM un prêt assorti de conditions de remboursement souples en fonction du rétablissement de [ses] revenus pour que le projet puisse aller de l’avant. On lève la main pour dire qu'on a besoin d’un petit coup de pouce, d’un pont financier, pour nous permettre de faire ces travaux, de réaliser la station pour qu’en sortie de crise, les Montréalais puissent avoir leur station prête à les servir , a-t-il expliqué en entrevue à Tout un matin. [...] Contrairement aux autres stations du REM, la gare YUL-Aéroport-Montréal-Trudeau doit être financée par ADM, qui veut arrimer le tout avec son projet de réaménagement complet des accès à l’aéroport, estimé à 2,5 milliards de dollars. Or la fermeture des frontières vient chambouler toutes les perspectives financières de la corporation à but non lucratif. À l’heure actuelle, 97 % du trafic aérien a disparu, estime M. Rainville, et la reprise s’annonce longue et difficile. Selon lui, ADM aura probablement perdu 60 % de ses revenus au cours de l’année actuelle, une chute beaucoup plus dramatique que celle de 14 % enregistrée dans la foulée des attentats du 11 septembre 2001, qui avaient aussi entraîné une baisse significative du trafic aérien. Donc on n’a pas de revenus, et à cause de ça, on se creuse un creux financier qui ne nous permettra pas, malheureusement, de payer pour la station qu’on avait décidé de payer d’un commun accord avec la Caisse de dépôt et placement , affirme-t-il. Plus de détails à venir. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1713082/coronavirus-trafic-aerien-qubec-ottawa-station-rem
  15. Pictures, please ! It is currently impossible to have a view of this crossing, via the MTQ's camera on the Boul. St. Charles over the A-40. https://www.quebec511.info/Carte/Fenetres/camera.ashx?id=3853&format=mp4
  16. Après le télétravail, l'avenir des congrès semble de plus en plus se diriger vers des événements hybrides, misant sur le... virtuel. Le Palais des congrès de Montréal mise sur les événements hybrides PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE | Le Palais des congrès de Montréal mise sur de rigoureuses mesures sanitaires et des événements hybrides pour ramener les clients derrière ses célèbres fenêtres colorées. Après avoir perdu 100 millions de dollars en retombées économiques avec 41 annulations d’événements d’affaires, le Palais des congrès de Montréal se prépare à l’après COVID-19 et poursuit les transformations déjà amorcées avant la crise. Son tout premier événement hybride sera d’ailleurs lancé les 26 et 27 août. Publié le 17 juin 2020 à 17h30 | ISABELLE DUBÉ | LA PRESSE Le Palais des congrès de Montréal mise sur de rigoureuses mesures sanitaires et des événements hybrides pour ramener les clients derrière ses célèbres fenêtres colorées. Les congressistes et conférenciers pourront donc participer en toute sécurité physiquement ou virtuellement à des rassemblements. Le concept d’événements hybrides comportera des éléments interactifs, car on veut encourager le dialogue plutôt que le monologue, et surtout un soutien technique efficace. « On veut rendre ça extrêmement accessible et le plus abordable possible pour les clients », a expliqué Robert Mercure, PGD du Palais des congrès de Montréal lors d’un webinaire organisé, mercredi, par la Chambre de commerce du Montréal métropolitain. Les mesures sanitaires se devaient aussi de rassurer les clients, a affirmé Robert Mercure. Les coûts élevés supplémentaires seront absorbés par la société d’État. « C’est une question de confiance pour encourager les clients à confirmer et signer », a précisé le PDG. Au cours du webinaire, le Palais des congrès de Montréal s’est félicité d’avoir réussi à sauver 13 congrès, qui ont été reportés au cours des quatre prochaines années. Comme les congrès sont planifiés 10 ans à l’avance, l’équipe des ventes en télétravail en a profité pour trouver de nouvelles occasions d’affaires et attirer 16 nouveaux événements avec un potentiel de 22 millions de dollars. « On a vite compris que ça allait être long et que le retour serait d’abord du côté du marché domestique, du marché des congrès québécois, des réunions et des conférences québécoises, un peu d’exposition », a expliqué Luc Charbonneau, directeur du développement des affaires et des alliances stratégiques au Palais des congrès de Montréal. https://www.lapresse.ca/affaires/2020-06-17/le-palais-des-congres-de-montreal-mise-sur-les-evenements-hybrides
  17. Marie and Anne are back on line By Kevin Woodhouse | The Suburban | 7 hrs ago Courtesy of REM The two massive gantries, Marie and Anne, being used to install the new REM project in the West Island are now both back on line, back on duty. REM spokesperson Emmanuelle Rouillard-Moreau told The Suburban that while the gantries were supposed to start in mid May, “after a rest period due to cold temperatures that do not allow the use of epoxy, the two launching gantries of the Réseau express métropolitain, named Marie and Anne, restarted a few days ago.” Rouillard-Moreau also added that this is the first time that launching gantries has been used in the province. The principle is we install a long beam between two pillars.” Each gantry is more than 100 metres long and can hold up to 600 tonnes of weight. “These launching gantries then make it possible to lift the segments (precast concrete sections of approximately 50 tonnes each), move them and then assemble them one after the other to erect the aerial structure on which the REM metro will run,” said Rouillard-Moreau. The gantries “on average, it takes two days to erect a span, that is to say the distance between two pillars which are about 30 to 40 metres in length. “This way of operating also greatly limits the impact, while the construction of such a span without a prefabricated part could take three weeks. In total, it will take Marie and Anne three years to build the entire 14.5 km aerial structure.” Last year, there were almost 100 spans installed, or roughly “ a distance of 3.9 km. The launching gantries are in service 6 days a week, with day and night shifts.” https://www.thesuburban.com/news/west_island_news/marie-and-anne-are-back-on-line/article_de812364-1543-5b7d-98b8-665b2f4e8d33.html
  18. Je sens qu'il y aura plusieurs choses à observer du côté de Brossard au cours des prochains mois. Je crois qu'on peut s'attendre à un été "chaud" sur ce chantier ! Le «cerveau» réel des opérations du REM sera situé à Brossard Alexandre Lampron, Initiative de journalisme local | La Presse canadienne | 17 juin 2020 (Photo: courtoisie) BROSSARD, Qc — Le centre de contrôle et de supervision du Réseau express métropolitain (REM) sera situé au centre d’entretien à la station Brossard, sur la Rive-Sud. Ce centre d’opérations sera véritablement le «cerveau» de l’ensemble des opérations du REM. À partir du centre d’opérations situé au terminus Brossard, un opérateur pourra du coup intervenir et fermer une porte à Sainte-Anne-de-Bellevue par exemple. C’est donc dans ce centre de contrôle que l’automatisation du système du REM sera gérée. Les équipements de ce centre seront d’ailleurs très prochainement installés par le Groupe PMM, le consortium responsable du matériel roulant, et dont les membres sont Alstom Transport Canada Inc. et SNC-Lavalin. «À l’ouverture du premier segment du REM entre Brossard et la Gare centrale, plus de 100 personnes seront employées par Groupe PMM pour gérer l’exploitation du réseau, mais aussi l’entretien et la maintenance des trains et des infrastructures ferroviaires», explique Emmanuelle Rouillard-Moreau, porte-parole au bureau du REM. Quand le REM sera pleinement opérationnel, le Groupe PMM comptera alors plus de 200 employés dédiés à ces tâches. Deux centres d’entretien au REM Le projet de métro léger automatisé de 26 stations et 67 km qui reliera le centre-ville, l’aéroport et la région métropolitaine de Montréal comptera deux centres d’entretien. L’autre sera situé sur la Rive-Nord, du côté de Saint-Eustache. C’est toutefois celui de la Rive-Sud sera le plus important des deux centres. «D’une superficie de 22 000 m², ce centre d’entretien sera dédié à la maintenance des trains et à leur entreposage au quotidien. Il comprendra également un bâtiment lave-train automatisé, qui est actuellement en construction par les équipes de Groupe PMM, et des bureaux», ajoute Mme Rouillard-Moreau. Les travaux dans le centre d’entretien progressent très bien, l’installation des rails dans la partie du bâtiment qui servira à l’entretien des voitures est complétée et celle des rails dans la partie du bâtiment qui servira à l’entreposage des voitures sera complétée cet été. De plus, l’ensemble de l’enveloppe extérieure du bâtiment est achevé. Les travaux du centre d’entretien de la Rive-Sud sont aujourd’hui complétés à 70 %. Les travaux sur la Rive-Sud Les travaux ont pu reprendre progressivement à partir du 11 mai dernier. L’installation du système électrique débutera d’ailleurs dès cet été. «C’est un jalon important pour le début des travaux de ce grand système de métro léger automatisé», précise également Emmanuelle Rouillard-Moreau. En plus des travaux au centre d’entretien, les travaux sont principalement effectués à l’intérieur pour les stations Du Quartier et Brossard. Le bureau de projet du REM procède présentement à des travaux électriques, de plomberie et de ventilation, pendant que la station Panama est quant à elle en construction. De plus, l’installation des rails se poursuit entre la station Panama et Du Quartier. À la station Du Quartier, les travaux consistent davantage à l’aménagement intérieur et la finition de l’installation des murs-rideaux. Les gens qui circulent dans le secteur ont pu déjà voir ces grands murs constitués de verre qui permettront d’assurer une très grande luminosité aux stations. Les murs-rideaux sont également en cours d’installation sur les deux passerelles piétonnes. Finalement, du côté de la station Panama, les travaux de construction de la station ont également repris. Lundi dernier, le 15 8 juin [edit de Chuck-A] , le terminus temporaire Panama a été mis en service dans le but de poursuivre les travaux du futur terminus d’autobus du REM, tout en maintenant un service efficace pour les usagers. Au cours des prochaines semaines, il est à prévoir de nombreux travaux dans ce secteur afin de poursuivre la construction de la station. Texte de l’Initiative de journalisme local https://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/transport/le-cerveau-du-rem-bientot-installe-a-brossard/618388 https://lactualite.com/actualites/le-cerveau-reel-des-operations-du-rem-sera-situe-a-brossard/
  19. Après avoir retiré plusieurs poteaux à caténaires, on procédait ce matin à la démolition des quais d'exo. 16-06-2020
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