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eastender85

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Tout ce qui a été posté par eastender85

  1. Un métro en surface jusqu’au bout de l’Île? Chantal Rouleau, mairesse de l’arrondissement de Rivière-des-Prairies-Pointe-aux-Trembles, assure discuter avec Denis Coderre sur le prolongement éventuel de la ligne bleue du métro jusqu’à la Pointe-de-l’Île grâce à un train en surface. Alors qu’une extension de la ligne bleue devrait voir le jour d’ici quelques années avec la création de cinq arrêts jusqu’aux Galeries d’Anjou, la possibilité de prolonger ce futur tronçon jusqu’au bout de l’île revient sur la table. «On va travailler pour avoir le métro», clamait Chantal Rouleau, mairesse de RDP-PAT, en réponse à l’inquiétude d’un citoyen lors du dernier conseil d’arrondissement. «Il faut saisir les opportunités lorsqu’elles se présentent», a expliqué l’élue en entrevue avec TC Media. Elle affirme en parler régulièrement avec Denis Coderre qui verrait le projet d’un bon œil. Aucun tracé encore réalisé Bien qu’aucun tracé ou esquisse ne semble avoir été réalisé selon Mme Rouleau, qui met également en avant l’arrivée du Train de l’Est, les voies réservées au bus et les taxis collectifs «qui contribuent à améliorer le transport dans l’arrondissement», cette dernière croit dans un train de surface qui pourrait prolonger la ligne souterraine financée prochainement par Ottawa. «Il pourrait aller jusqu’à la pointe de l’île, explique-t-elle. On a longtemps été laissé pour compte. Il y avait des raisons car la densité de population était faible, mais tout a changé» Un «rêve» Même si aucune date n’a encore été annoncée pour l’ouverture de cette nouvelle ligne bleue et que des études sont toujours menées par l’Agence métropolitaine de transport (AMT), Giovanni Rapanà soutient lui-aussi cette idée. «C’est réalisable, assure le conseiller de la Ville. Il y a de l’espace et nous pensons que l’est a besoin de nouveaux moyens de transports. Il ne faut pas laisser passer l’occasion et on va suivre cela avec beaucoup d’attention et d’intérêt.» De son côté, Nathalie Pierre-Antoine «rêve d’entendre un arrêt « Rivière-des-Prairies », avoue la conseillère d’arrondissement. Mais si cela n’est pas réalisable en raison du coût, rien n’empêche d’avoir une connexion rapide entre Anjou et RDP.» http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/
  2. Un acheteur pour la Tour de Radio-Canada Invité au Forum Grands projets de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, Phil O’Brien, partenaire du Groupe Jesta, qui est derrière la Gare Viger, a annoncé qu’il a déposé une offre d’achat pour la Tour de Radio-Canada la semaine dernière. Le complexe est évalué à environ 104 millions de dollars par la Ville de Montréal. Selon un article publié par La Presse le 19 février dernier, les parties avaient jusqu’à la mi-mars pour manifester leur intérêt. Le complexe actuel compte environ 1,3 million de pieds carrés. L’ensemble des terrains offrirait un potentiel de développement de 9 millions de pieds carrés. La montréalaise Groupe Jesta possède des bureaux ainsi que plusieurs propriétés commerciales et résidentielles aux États-Unis, en Allemagne, en France et au Royaume-Uni. http://journalmetro.com/actualites/montreal/935342/un-acheteur-pour-la-tour-de-radio-canada/
  3. Un bon début c'est ben le fun mais le secteur problématique de Notre-Dame c'est entre Dickson et Frontenac, aucune voie réservé de prévu dans ce tronçon. Les autres tronçons ne sont que très rarement congestionnés
  4. Fallait bien que la station Joliette reste la plus laide du réseau....
  5. En ligne droite en passant sous de nombreux no men's land j'arrive à environs 8km.
  6. Montréal [CurioCité] Pourquoi le métro ne se rend pas à l’aéroport Montréal-Trudeau? Le prolongement du métro vers l’aéroport Montréal-Trudeau a déjà été envisagé par le passé, mais il n’a pas été réalisé à cause du manque de financement et de discordes politiques. Dès 1962, soit quatre ans avant l’ouverture officielle du métro de Montréal, la Ville songe déjà à étendre son futur réseau souterrain, rapporte l’auteur Benoît Clairoux dans son livre Le métro de Montréal 35 ans déjà (Éditions Hurtubise). Le prolongement vers le futur Stade olympique est jugé prioritaire pour les autorités, mais celles-ci discutent aussi de la possibilité de créer des liens vers Notre-Dame-de-Grâce, Laval et Dorval, où l’Aéroport international de Montréal-Dorval accueille les voyageurs depuis 1941. Un plan daté de 1967, réalisé par le ministère des Transports, témoigne d’une volonté d’étendre le réseau jusqu’aux installations aéroportuaires. Les stations feraient partie d’une nouvelle ligne de métro, située au sud de la future ligne bleue, qui parcourrait les chemins de la Côte-de-Liesse et de la Côte Sainte-Catherine ainsi que le boulevard Saint-Joseph et la rue Sherbrooke, plus à l’est. Dans les années 1970, le Communauté urbaine de Montréal (CUM) – l’ancêtre de la Communauté métropolitaine de Montréal – devient responsable du développement du réseau du métro par le biais de son Bureau des transports métropolitain. Sur la table à dessin de celui-ci, il y a plusieurs prolongements, dont un à proximité de l’aéroport, mais l’explosion des coûts de construction oblige Québec à déclarer un moratoire. «À partir de 1976, une lutte sans merci s’engage entre Québec et la CUM dans le dossier du métro de Montréal et c’est le gouvernement provincial qui tient le gros bout du bâton», écrit l’auteur Benoît Clairoux. De vives discussions s’engagent sur la création d’un métro de surface, les lignes à privilégier et le financement. Les changements de gouvernement ne rendent que plus ardus les pourparlers. Après les années 1990, marquées par les restrictions budgétaires, l’Agence métropolitaine de transport (AMT) veut créer dans les années 2000 une desserte de transport collectif entre l’aéroport et le centre-ville. Elle songe au métro, mais ce scénario est rapidement mis de côté. Les coûts exorbitants et la complexité des travaux sont à l’origine cette décision, a rapporté la porte-parole de l’AMT, Fanie Clément Saint-Pierre. La nécessité de construire des stations entre lesquelles il y a une distance limitée, par mesure de sécurité, incite aussi l’agence gouvernementale à opter pour un autre mode de transport. L’AMT propose une ligne de train de banlieue, dont l’arrivée se ferait à la gare Lucien-L’allier. Aéroports de Montréal veut plutôt un aérotrain express qui irait jusqu’à la Gare centrale. Une autre dispute éclate. Québec réussit à rapprocher les parties autour du Plan de mobilité de l’Ouest, qui propose notamment la mise en place d’un système léger sur rail (SLR), entre le centre-ville et l’aéroport. Le dossier est désormais entre les mains de la Caisse de dépôt et placement, qui doit rendre les conclusions de ses études d’ici la fin de l’année. http://journalmetro.com/actualites/montreal/922744/curiocite-pourquoi-le-metro-ne-se-rend-par-a-laeroport-montreal-trudeau/
  7. RDP-PAT veut une rue Sherbrooke Est «digne d’une métropole» Rivière-des-Prairies–Pointe-aux-Trembles (RDP-PAT) s’est doté d’un plan d’urbanisme afin de donner une vision d’avenir pour la rue Sherbrooke, artère que l’arrondissement veut plus verte, moderne et urbaine. Le plan de développement urbain, économique et social (PDUES) adopté lors de la dernière séance du conseil d’arrondissement établit les lignes directrices de l’aménagement du territoire aux abords de la rue Sherbrooke. Selon Yann Lessnick, conseiller en planification à la direction du développement du territoire, l’arrondissement misera sur le développement résidentiel et commercial lors de l’élaboration d’éventuels projets dans cette artère du quartier. «Nous voulons que la rue Sherbrooke devienne un corridor urbain contemporain digne d’une ville comme Montréal, dit-il. Nous voulons que les citoyens sentent déjà, lorsqu’ils arrivent de Repentigny par la rue Sherbrooke, qu’on arrive dans une métropole.» Des efforts seront donc consacrés afin de mettre en valeur la portion de rue entre le carrefour giratoire à l’extrémité est de la rue Sherbrooke et la gare de Pointe-aux-Trembles à la hauteur de la 57e Avenue, tronçon où circulent quotidiennement 24 000 véhicules. Une meilleure image Les promoteurs qui souhaitent développer des projets dans le secteur devront se plier à certaines normes établies par l’arrondissement. «Nous souhaitons avoir un cadre bâti particulier à l’entrée de la ville. Travailler avec des matériaux nobles, avoir une architecture relevée qui sera durable, mais qui offrira une conception visuelle intéressante afin de bonifier l’image de cette partie de la rue», indique M. Lessnick. Les espaces verts qui longent la rue Sherbrooke, dont le Parc de la Coulée Grou et le Parc-nature de la Pointe-aux-Prairies seront également mis en valeur. «L’arrondissement est vu comme un lieu urbain dans un milieu naturel, c’est une image que nous aimons et que nous voulons conserver», souligne le conseiller en planification. Commerces et résidences Rappelons que ce plan a été adopté à la suite de plusieurs consultations auprès des citoyens et organismes du secteur. «Les gens veulent avoir des commerces de proximité. Des restaurants, des lieux pour se réunir, des petites boutiques spécialisées, et c’est sur ça que nous allons mettre l’accent dans ce plan.» Plusieurs intersections pourraient devenir de nouveaux pôles commerciaux, notamment le coin des rues de la Rousselière et de la Famille Dubreuil. «Cette partie de la rue Sherbrooke est considérée comme un désert alimentaire. Il est difficile de se procurer des aliments frais, alors nous allons essayer de trouver une façon de changer cette situation, signale M. Lessnick. Nous voulons offrir des services complémentaires afin que les gens ne soient pas obligés de se déplacer à Anjou ou Repentigny afin de se procurer certains produits.» Finalement, on indique qu’en ce qui concerne le développement résidentiel, l’arrondissement favorisera une densification du secteur. «On parle de projets de six étages et plus. Les gens sont tout à fait d’accord avec cette approche et nous pensons que c’est également une façon de moderniser cette artère», conclut le conseiller. Selon l’arrondissement, près de 35 hectares de terrains vacants sont disponibles pour le développement résidentiel et commercial dans ce secteur du quartier. http://journalmetro.com/local/pointe-aux-trembles-montreal-est/actualites/915674/rdp-pat-veut-une-rue-sherbrooke-est-digne-dune-metropole/
  8. à ton 80e anniversaire l'étude de faisabilité actualisée de la ligne bleue devrait être déposée.
  9. eastender85

    AMT - Gare Du Canal

    Si ca prend seulement 10 mois construire une gare temporaire qui est pleinement fonctionnelle j'espère qu'il y en aura davantage de gare temporaire
  10. Envoyé de mon SM-G900W8 en utilisant Tapatalk
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  15. Levé de soleil vu du Peterson 28 janvier 2016
  16. eastender85

    Expos de Montréal

    Publicité du ''futur'' stade Labatt en 1998 ... un peu quétaine lol
  17. Donc SI c'était un ''go'' , Est-ce qu'ils seraient rendu à l'étape de débuter les travaux ou ca serait encore 5-6 ans d'études et de plans et devis avant de commencer ?
  18. Plus l'air de l'immeuble de Télé-Métropole on dirait.............
  19. L'édifice du 22-26, rue Notre-Dame Ouest est un immeuble situé au coeur de l'arrondissement historique de Montréal, laissé vacant et à l'abandon depuis des années par son propriétaire. La Ville de Montréal a procédé à son expropriation en 2008 dans le but de sécuriser les lieux, de préserver les éléments d'intérêt patrimonial dans un premier temps et ultimement dans le but de le vendre. Un rapport d'expertise réalisé par la firme SNC-Lavalin en novembre 2010 sur l'état du bâtiment recommandait divers travaux de stabilisation de la structure et de consolidation de la façade à réaliser à court terme. Suite à l'effondrement d'une poutre maîtresse en mars 2011, une partie du toit s'est effondrée sous l'accumulation de la neige. La Direction des stratégies et des transactions immobilières (DSTI) a initié des travaux d'urgence pour assurer la sécurité du public, selon les recommandations du rapport de SNC-Lavalin. Les autres travaux ont été reportés et effectués fin 2011, suite à un appel d'offres public (voir décision antérieure). Le 29 avril 2015, la Ville a reçu une plainte du propriétaire de l'immeuble adjacent, à l'effet qu'il ne peut se conformer à la nouvelle loi 122 de la Régie du bâtiment sur l'inspection des façades étant donné que le mur mitoyen est inaccessible. Ce dernier n'est plus protégé des intempéries, car il n'y a plus de toit et sa dégradation est inquiétante. De plus, ce qui reste de la charpente en bois est instable et non sécuritaire pour circuler sur le terrain. En attendant la concrétisation de la vente de cet immeuble, le Service de la gestion et de la planification immobilière (SGPI, ex-DSTI) a entrepris des démarches pour réaliser des travaux afin d'assurer la sécurité des lieux et éviter toute dégradation aux murs mitoyens qui pourrait porter préjudice aux voisins. Les plans et devis ont été préparés par la firme Pasquin Saint-Jean et associés, celle-là même qui a été mandatée à la fin mai 2011, au terme d'un appel d'offres sur invitation, pour préparer les plans et devis de stabilisation de l'édifice et pour la surveillance des travaux. Le marché a été sollicité via un appel d'offres public dans le journal « La Presse » et dans le système électronique d'appel d'offres (SÉAO) du 3 au 21 septembre 2015, date d'ouverture des soumissions. La validité des soumissions est de 120 jours calendrier. Ce dossier vise l'octroi de contrat à la firme Les Entreprises Géniam (7558589 Canada inc.) pour effectuer des travaux de démolition et de sécurisation des lieux de l'édifice du 22-26 Notre-Dame Ouest. Les travaux de démolition partielle se résument comme suit : Tout le plancher en bois du rez-de-chaussée Les murs en bois sur toute leur hauteur Les linteaux en bois ainsi que les éléments qu'ils supportent les éléments de plomberie et d'électricité Des travaux de réparation de maçonnerie et d'étanchéité sont aussi prévus en prix séparés inclus, et ce, pour des quantités prédéterminées avec mention des prix unitaires pour la réparation de la maçonnerie et pour l'installation d'un solin incluant le joint d'étanchéité. Par ailleurs, d'autres travaux de consolidation visant la sécurisation des lieux pourraient s'avérer nécessaires au cours des travaux de démolition (un budget de contingences équivalent à 30 % du coût des travaux est prévu à cet effet.)
  20. Je travaille pour la Ville. On ne peut pas, que ce soit le Greffe ou autre Service, divulguer d'informations tant et aussi longtemps que la résolution n'a pas été approuvée par le Comité exécutif ou Conseil de ville/agglo. C'est surement pour ça qu'ils n'ont rien dit
  21. Je suis peut-être dans la champs ou n'était-est ce qu'une rumeur mais Est-ce qu'il a déjà été question de faire déboucher Cavendish au sud de la falaise vers le nouvel échangeur ?
  22. Finalement, l'immeuble laissé à l'abandon depuis tant d'années au cœur du Vieux-Montréal sera démoli. 22-26 Notre Ouest au coin Saint-Laurent Extrait authentique du procès-verbal d’une séance du comité exécutif Séance ordinaire du mercredi 4 novembre 2015 Résolution: CE15 1966 Il est RÉSOLU : 1 - d'accorder à Les Entreprises Géniam (7558589 Canada inc.), plus bas soumissionnaire conforme, le contrat pour réaliser des travaux de démolition et de sécurisation des lieux de l'édifice du 22-26 Notre-Dame Ouest, dans l’arrondissement de Ville-Marie, aux prix de sa soumission, soit pour une somme maximale de 491 822,81 $, taxes incluses, conformément aux documents de l'appel d'offres public 5804; Adopté à l'unanimité. 20.007 1151029007 DD06C0D7.pdf
  23. Ah je me demandais aussi pourquoi avoir fait un terminus de cette grosseur alors qu'aucun autobus ne s'y rendait merci de l'info
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