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nephersir7

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  1. Bien profond dans le document de 218MB que tu peux trouver ici http://ville.montreal.qc.ca/portal/page?_pageid=7317,79867570&_dad=portal&_schema=PORTAL Aperçu des pages pertinentes: https://www.scribd.com/embeds/371693850/content?start_page=1&view_mode=scroll&access_key=key-gHkFiY4YmiUizedLIjDL Les plans à la fin sont ceux du regretté projet de deux tours d'acdf
  2. Tiens, la numérotation officielle sur les plans: //
  3. C'est normal, elle est construite dans le coin de miami, cette batisse.
  4. Sans doute. Même leur projet en Floride (dont ils font la promotion au rez-de-chaussée de la phase 3) utilise ce verre à la teinte verte.
  5. Ils vont vraisemblablement intégrer les façades des ces deux immeubles décrépits
  6. 15 février 2017
  7. En quoi c'est un problème? C'est d'abord et avant tout l'emplacement du projet qui est problématique. Ça existe déjà sous la forme du Carrefour Laval et du Dix 30 la Rive-Sud. Ça ne peut pas être à la sauce de Montréal, c'est à Ville Mont-Royal.
  8. Avant d'entamer la construction, les promoteurs vont devoir obtenir l'approbation de quelques politiciens montréalais qui ont milité contre ce "merveilleux" projet et tout ce qu'il représente. Les grands visionnaires derrière ce projet ont déclaré que cette étape devrait bien se passer.
  9. Don't worry. Andrew Lufty and Carbonleo are such great visionaries that they foresee that traffic soon won't be an issue anymore in this part of the city. We have it on good authority (@mark_ac) that nothing about this project can possibly go wrong.
  10. La fameuse Forge des Nains de la Baie du Tonnerre! So many pieces [from Mexico] have been delivered in non-standard sizes and shapes that a TTC engineer characterized the assembly of vehicles in Thunder Bay as being “hand-built.” A factory worker characterized it more bluntly: “They take fucking hammers and they smash the steel into shape, like it’s a fucking dwarves’ forge.” http://projects.thestar.com/bombardier-ttc/index.html
  11. No. Bombardier only bid on the rollign stock and operations contract, and they didn't pair up with other companies.
  12. Selon ce qui a été dit au 98,5, leur argument reposerait sur le fait que SNC soit membre des deux consortiums gagnants, ce qui les aurait indûment avantagé ou un truc du genre.
  13. https://mtlurb.com/index.php?/topic/11788-975-lucien-lallier-45-etages/
  14. Ligne rose: le bureau de projet toujours attendu La Ville de Montréal assure être prête à «aller de l’avant» pour créer un bureau de projet pour la ligne rose du métro, mais n’est toujours pas en mesure de préciser sa date d’ouverture d’ici la fin de son mandat. Aucun montant n’a été accordé à la ligne rose, la promesse phare de Projet Montréal, dans le budget et le PTI de la nouvelle administration. Une marge de manœuvre financière a toutefois été prévue par la Ville pour lancer éventuellement le bureau de projet. Ce bureau servira à préparer la proposition formelle qui sera présentée aux gouvernements fédéral et provincial afin d’obtenir du financement pour la ligne rose. «Le bureau de projet de la Ville de Montréal sera limité. On parle de mettre la table et de parler de financement, pas d’un bureau de projet dans lequel on va dessiner des plans», a expliqué Benoit Dorais plus tard en point de presse, ne précisant pas quand ce bureau pourrait voir le jour. Le responsable des finances a indiqué qu’il privilégiait une approche «ordonnée» pour la ligne rose, qui devra se faire en collaboration avec l’Autorité régionale de transport métropolitain. En campagne électorale, Projet Montréal avait annoncé qu’une première pelletée de terre aurait lieu avant la fin d’un premier mandat, avant de se montrer plus prudent quelques jours plus tard. http://www.journaldemontreal.com/2018/02/13/ligne-rose-le-bureau-de-projet-toujours-attendu
  15. « Une dernière chance » de déplacer la future gare de Mirabel Le projet a beau être très avancé, le maire de Mirabel, Jean Bouchard, s'est laissé convaincre, lors du conseil municipal de lundi, d'organiser une rencontre de la « dernière chance » entre le Réseau de transport métropolitain (RTM) et l'Union des producteurs agricoles (UPA), qui s'oppose depuis plusieurs années au choix de l'emplacement retenu pour la future gare de train de banlieue des Laurentides. Un texte de Jérôme Labbé « Il n'est plus minuit moins une, dans ce dossier-là; il est minuit plus une! Tout, tout a été accordé. » Au bout du fil, le maire Bouchard semble agacé par l'obstruction de l'UPA, qui avait dépêché plusieurs dizaines d'agriculteurs à la réunion du conseil de lundi soir pour faire valoir son point de vue, qu'elle défend depuis... 2005. C'est que la future gare de train banlieue, qui viendrait s'insérer entre les stations de Blainville et de Saint-Jérôme, doit en théorie être construite sur un terrain de 3,4 hectares au nord de la rue Victor, dans le secteur de Saint-Janvier. L'emplacement privilégié par l'UPA est situé au sud de la rivière Sainte-Marie, le long de la rue Charles (et non St-Charles, tel qu'indiqué sur la carte). Photo : UPA Ce terrain est « zoné agricole », concède le maire Bouchard, mais comme il a été racheté par la Ville il y a un peu plus d'un an, rien ne l'empêche plus d'en faire une utilisation publique. Un changement de zonage n'est même pas nécessaire, pense-t-il, ajoutant que des maisons ont déjà été construites par les anciens propriétaires sur l'emplacement projeté. Or, il s'agit de « terres agricoles de grande qualité et actuellement en exploitation », fait valoir l'UPA, ajoutant que « l'avenir de la zone agricole adjacente sera compromis par l'inévitable étalement urbain autour d'un tel pôle de transport ». Le syndicat plaide plutôt pour un autre emplacement, juste au sud de la rivière Sainte-Marie, le long de la rue Charles, qui aurait en outre le mérite de favoriser « le transport actif et collectif [marche, vélo, autobus] pour des centaines de résidents du secteur », le tout « sans aucun impact [sur] la zone agricole, contrairement au site choisi aux abords de la rue Victor ». Il en appelle même à la présidente de la Communauté métropolitaine de Montréal, Valérie Plante. Élu en 2013 et réélu l'an dernier, le maire Bouchard fait valoir de son côté que tout le processus d'analyse des emplacements potentiels a déjà été effectué par le RTM. Le scénario de la rue Charles, indique-t-il, n'a pas été retenu pour des raisons de sécurité et de fluidité. Toutefois, il se dit prêt à organiser une dernière réunion avec les représentants de l'UPA, comprenant « une présentation du Réseau de transport métropolitain qui puisse leur donner, avec le plus de transparence possible, le résultat de leur analyse et le choix de la rue Victor ». « On est en mesure d'aller de l'avant [...], mais pour une dernière chance, le temps de bien expliquer encore une fois à l'UPA les tenants et aboutissants du choix de la rue Victor, on est ouverts encore à faire une rencontre dans ce sens. Mais par la suite, si le RTM, encore une fois, décide que, pour toutes sortes de raisons techniques, de sécurité et de fluidité, ce n'est pas possible, eh bien là, à un moment donné, il va falloir que l'UPA lâche prise, parce que c'est clair que la population est en attente depuis trop longtemps », soupire-t-il. L'UPA accueille positivement « l'ouverture » de M. Bouchard, écrit-elle dans un communiqué transmis mardi après-midi, ajoutant qu'elle entend « profiter de la rencontre avec le RTM pour mettre de l’avant des arguments solides en faveur d’un site hors de la zone agricole ». Une étude réalisée par la firme CIMA+ en 2015 évalue que l'emplacement de la rue Victor permettrait de construire deux quais simples de 300 mètres et un stationnement d'au moins 693 places. Photo : CIMA+ Après plusieurs reports, des investissements de 1,3 million de dollars ont été annoncés en décembre dernier par les gouvernements fédéral et provincial, ainsi que par l'Autorité régionale de transport métropolitain (ARTM), pour la construction de la future gare de train de banlieue de Mirabel. Des appels d'offres pour les plans et devis doivent être lancés dans les prochains mois, si bien que la première pelletée de terre est prévue à la fin de 2018 ou au début de 2019. http://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1083694/mirabel-gare-train-banlieue-future-ligne-saint-jerome-montreal-union-producteurs-agricoles-upa-rtm-ville-maire-jean-bouchard-zonage-etalement-urbain
  16. There are three components in the project: 1) REM Station accesses & integration 2) The boulevard itself 3) The interchange #1 is definitely happening & prioritized, while #2 #3 are at least being delayed and might utimately be scrapped.
  17. Je me demande où est passé le méga stationnement étagé de 2500 places?
  18. L'expansion des «shops» Angus acceptée, malgré l'opposition de résidents à Rosemont En campagne électorale, Projet Montréal s'est engagé à inclure des écoles dans tous projets de développement de nouveaux quartiers. Par Olivier Robichaud SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT ANGUS Le projet d'expansion du Technopôle Angus, situé sur le terrain des anciennes «shops» du même nom, pourra aller de l'avant presque tel quel. Les commentaires soutenus sur la hauteur des bâtiments et la densité accrue n'ont pas été retenus. Le conseil d'arrondissement de Rosemont-La Petite-Patrie a entériné lundi l'accord de développement avec le promoteur, la Société de développement Angus. Cet accord maintient à 6 étages et 20 mètres la hauteur maximale des édifices, qui accueilleront à terme 400 unités de logement, des commerces et des édifices à bureaux pour 1500 travailleurs. Le projet, qui concerne un lot de 86 000 m2 entre les rues Molson et Augustin-Frigon, a été louangé par plusieurs observateurs parce qu'il crée un quartier complet et qu'il incorpore un important volet environnemental, entre autres. L'entièreté des 400 logements est vouée au logement social ou abordable. Mais de nombreux résidents du secteur se sont plaints que les familles et les travailleurs qui déferleront sur le secteur occuperont les rares places de stationnement et surchargeront le parc Jean-Duceppe, situé tout juste à l'est. Ils craignent aussi que les futurs bâtiments, qui dépasseront le cadre bâti environnant par 4 mètres et plus, ne bloquent la vue sur le mont Royal. Ces critiques se sont poursuivies même après que le promoteur eut réduit la taille des bâtiments de 25 m à 20 m. Or, l'Office de consultation publique de Montréal a rejeté ces critiques et donné son appui au projet. L'arrondissement en a fait de même lundi. L'entente prévoit tout de même quelques modifications. L'arrondissement demande au promoteur de s'entendre avec la Commission scolaire de Montréal afin de construire une école sur le site. Les élus ne se sont toutefois pas prévalus de leur pouvoir de forcer le transfert d'une partie des lots pour construire l'école. En campagne électorale, Projet Montréal s'est engagé à inclure des écoles dans tous projets de développement de nouveaux quartiers. http://quebec.huffingtonpost.ca/2018/02/12/lexpansion-des-shops-angus-acceptee-malgre-lopposition-des-residents_a_23359889/
  19. « On est encore loin de la coupe aux lèvres, même pour la ligne bleue. Le gouvernement du Québec n'a pas encore soumis formellement son plan d'affaires dans ce dossier. Donc, la ligne rose, c'est encore très loin », a confié une source gouvernementale qui a requis l'anonymat. http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201802/13/01-5153648-ottawa-a-passe-au-peigne-fin-les-promesses-de-plante.php
  20. Ottawa a passé au peigne fin les promesses de Plante [...] « L'engagement phare de la nouvelle mairesse est de s'entretenir rapidement avec les gouvernements du Canada et du Québec afin de lancer les études pour l'aménagement de la ligne rose du métro de Montréal, entre Montréal-Nord et Lachine. Projet Montréal estime le coût de ce projet à près de six milliards de dollars », peut-on lire dans la note d'information au premier ministre Justin Trudeau, qui s'est attribué le dossier des Affaires intergouvernementales au sein du cabinet. SCEPTICISME FACE À LA LIGNE ROSE [...] Mais la promesse qui retient davantage l'attention des fonctionnaires du Bureau du Conseil privé - le ministère du premier ministre - est celle visant à construire la ligne rose du métro de Montréal. D'ailleurs, cette question a été abordée par la mairesse Valérie Plante durant sa toute première rencontre avec Justin Trudeau en décembre dernier. Mme Plante a aussi évoqué ce projet lorsqu'elle a rencontré la ministre du Patrimoine canadien Mélanie Joly. Dans les rangs libéraux à Ottawa, on se montre toutefois sceptique de voir ce projet se réaliser à moyen ou long terme, d'autant plus qu'il appartient au gouvernement du Québec de déterminer les priorités quant aux projets de transports en commun auxquels la province souhaiterait avoir une participation financière du gouvernement fédéral. Le gouvernement Trudeau a annoncé dans son dernier budget des investissements de 20,1 milliards de dollars au cours des 11 prochaines années dans les transports en commun au pays. Les fonds seront répartis entre les provinces selon une formule fondée sur l'achalandage (70 %) et la population (30 %). Et pour l'heure, la priorité du gouvernement Couillard, maintenant que le projet du REM est solidement sur ses rails, est de mener à bien le projet de la ligne bleue du métro de Montréal. Québec souhaite d'ailleurs qu'Ottawa investisse dans ce projet. « On est encore loin de la coupe aux lèvres, même pour la ligne bleue. Le gouvernement du Québec n'a pas encore soumis formellement son plan d'affaires dans ce dossier. Donc, la ligne rose, c'est encore très loin », a confié une source gouvernementale qui a requis l'anonymat. « Si Mme Plante veut avoir la ligne rose pour le métro, elle devra d'abord et avant tout convaincre le gouvernement du Québec », souligne cette même source. Le mois dernier, le premier ministre du Québec Philippe Couillard a indiqué qu'il comprenait la « logique » derrière le projet de ligne rose. « Il y a le fameux projet de la ligne rose, et je comprends très bien sa logique de désengorger la ligne orange qui va recevoir un trafic accru  », avait indiqué le premier ministre au terme d'une rencontre avec Mme Plante. Mais M. Couillard s'était toutefois bien gardé d'appuyer directement ce projet, soulignant qu'il incombait à la nouvelle Autorité régionale de transport métropolitain de décider des projets prioritaires en transport. http://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201802/13/01-5153648-ottawa-a-passe-au-peigne-fin-les-promesses-de-plante.php
  21. Montreal accused of stalling on Cavendish extension "The bulk of the more than $350 million has been punted into the future, who knows when," Alan DeSousa says The city is dragging its feet on plans to extend Cavendish Blvd. from St-Laurent to Côte-St-Luc, the municipal Opposition charged Monday. “We’ve talked about it for donkey’s years,” said Alan DeSousa, the mayor of St-Laurent borough and vice-president of Montreal’s finance and administration committee. “We had made really good headway in the last four years,” De Sousa said. “What’s surprising is that in this budget, there’s no money scheduled for 2018 and there’s very little for 2019 and 2020,” he said. DeSousa made the remarks after the committee, which includes elected officials from Montreal as well as independent municipalities on the island, approved the city’s $6.38-billion, three-year capital-works program, despite dissent from opposition councillors and suburban mayors. Outlining how much the city plans to spend on projects like roadwork, water mains, sewers and parks, the capital works budget will be presented to Montreal city council for approval Tuesday. The three-year spending plan budgets $13 million over the next three years for the Cavendish extension, whose total price tag is estimated at $355 million. “The bulk of the more than $350 million has been punted into the future, who knows when,” DeSousa said. Last year, the stars finally seemed aligned in favour of the Cavendish extension, a project that has been talked about since the 1950s. In June, Montreal and the Quebec government reached a deal to build the road link and develop the former Blue Bonnets site on the west side of Décarie Blvd. at Jean-Talon St. Côte-St-Luc, which had opposed the extension for years, now backs it. And Mayor Valérie Plante — then leader of the municipal Opposition — said in October she also favoured the extension even though her party had been against it in the past. But DeSousa said the amount budgeted shows the city has demoted Cavendish from a priority project to one that won’t happen anytime soon. “My concern is that after all that effort of maintaining the momentum, that if we’ve essentially taken our foot off the gas, it will likely again get delayed. We’re asking the administration to put it back on the front burner,” he said. During the committee hearing, N.D.G. city councillor Peter McQueen said that before starting work on Cavendish, the city must first negotiate a deal with Canadian National and Canadian Pacific Railways. But DeSousa said that’s no reason to postpone the project until after 2020. http://montrealgazette.com/news/local-news/too-little-money-for-cavendish-opposition-charges
  22. La demande d'injonction de la Ville de Westmount pour freiner les travaux dans l'échangeur Turcot pourrait retarder le projet «d'au moins un an» et coûter plusieurs dizaines de millions de dollars [...] Westmount déplore que le tracé de la route 136 a été rehaussé par rapport au tracé original, l'apportant à peu de choses près au niveau de l'autoroute actuelle, ce qui augmenterait le niveau de bruit. Un employé du consortium KPH-Turcot, chargé de la construction du nouvel échangeur et de la route 136, a témoigné lundi que les coûts pour modifier le tracé à ce stade seraient trop importants. «Il faudrait repartir en phase de conception pendant plusieurs mois. Ça aurait un impact sur l'intégralité du projet, parce que si on ne peut pas mettre les automobilistes sur la nouvelle [route 136], on ne peut pas entamer des travaux ailleurs dans l'échangeur. Ça retarderait l'ensemble du projet sur au moins un an», affirme l'ingénieur David Maréchal, responsable de l'aspect environnemental du projet Turcot. La mesure coûterait «plusieurs dizaines de millions de dollars», selon M. Maréchal. http://quebec.huffingtonpost.ca/2018/02/12/westmount-mise-en-garde-contre-tout-retard-dans-le-projet-turcot_a_23359737/
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