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23 mai 2018

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23 mai 2018

24 mai 2018

23 mai 2018

Fait intéressant: ça s'appelle l'exonération.

Modifications proposées au règlement de zonage de l’arrondissement Côte-des-neiges Notre-Dame-de-Grâce (# 01-276) pour permettre la démolition des immeubles existants et la construction d’un immeuble résidentiel comprenant des logements locatifs et/ou des condos ainsi que des espaces commerciaux. L’usage commercial serait au rez-de-chaussée et l’usage résidentiel serait aux étages supérieurs. Ce projet déroge au zonage actuel qui prévoit une hauteur maximale de 4 étages, une densité de 3 et le taux d’implantation au sol de 70%. Nous proposons une hauteur de 14 étages, une densité de 12, et le taux d’implantation au sol de 100%. L’immeuble serait construit sur le boulevard Décarie, au coin de la rue Crowley (où est situé présentement les adresses suivantes : 1024 – 1082 Décarie; 5310 – 5314 Crowley). https://www.lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/AfficherInscriptionsComparaison.aspx?insc1=cd75ygJNkTxiqvHWGA6GsA%3d%3d&insc2=Cb5oYv9ucKPzvZmuc9j3gw%3d%3d&type=LC&version=0

N'oubliez pas que la proposition de Provencher Roy n'a pas été retenue. C'est Neuf Architectes que le promoteur a choisi.

Ne manque plus que les bus de la STM disent "Salut!" Oh wait...

23 mai 2018 Le chantier sur Lucien L'Allier est pleinement amorcé.

Shipping: Maersk Line plans to double service to Port of Montreal Weekly service to connect Montreal with ports in the Mediterranean as CETA is credited with growth in trade with Europe. Buoyed by increasing trade volumes, the world’s largest shipping company is doubling its service to the Port of Montreal. Maersk Line announced on Wednesday that it plans to add a weekly service connecting Montreal with ports in the Mediterranean. The shipping line currently has a weekly service that connects Montreal with ports in northern Europe. “With the favourable pro-trade environment in Canada, we’ve seen healthy growth rates for Canada’s trade overall. Last year, we saw levels around seven per cent for imports and exports,” said Jack Mahoney, the president of Maersk Line Canada. Trade between Canada and Europe, in particular, is growing because of the Canada-European Union Comprehensive Economic and Trade Agreement, he said. “CETA took the tariffs away from nearly everything, 98 per cent of goods, as of Sept. 21 last year. We see that supporting the growth in volumes between Canada and northern Europe and we expect to see a similar thing in the Mediterranean trade,” Mahoney said. While he expects a wide variety of goods to be shipped through the new service, he said agricultural products like peas, beans and lentils as well as automotive products will be a big part of the cargo shipped. Ships leaving Montreal will also stop in Halifax, where they will pick up perishable goods like fish, seafood, pork and beef, he said. Imports will include finished goods, food and beverages, furniture, tile and stone, Mahoney said. The first ship to sail the route is scheduled to leave Salerno, Italy on July 1. It’s expected to arrive in Montreal on July 19. The service will also include stops at ports in France and Spain — that includes stops at large transhipment hubs that connect to the Middle East, India, Pakistan, Asia and Africa, Mahoney said. Montreal was chosen, in part, because of its access to markets in Quebec and, through rail, Ontario. “We’re delivering the import cargo to where a large portion of it would be consumed,” he said. The Montreal Port Authority is already seeing an increase in European trade. “We’re up eight per cent in trade between the Port of Montreal and Europe” over the last year, said Tony Boemi, the authority’s vice-president for growth and development. That’s rare for developed markets like Europe. The increased service is “really good news for us,” he said. “It validates the importance of Montreal as a container port.” It comes as Quebec exports, in particular, are growing. Only Newfoundland and Labrador is expected to see more export growth this year, said Peter Hall, the chief economist at Export Development Canada. While he’s hearing more talk about increased European trade because of CETA, he’s not seeing it in the data. “It’s a bit early to tell. There are some things that are still being worked out on the agricultural side of things. So, tariffs come down, but there are country-of-origin labelling issues and other sorts of non-tariff issues that we are still trying to work out with the Europeans,” he said. However, he said, that could change. While Canadian trade is doing well despite NAFTA concerns, exporters are hesitating when it comes to investing in expansions. “If there’s anything that’s being affected by the uncertainty engendered by the protectionist rhetoric, either on specific industry elements or on the deal itself, it’s investment. Investment commitments just aren’t high at the moment,” he said. “That really is a threat to the future.” Hall, who will be speaking in Montreal on Thursday about exports, said he expects Quebec’s exports to grow eight per cent over the coming year. That’s “really being driven by the success of the CSeries. We believe that the sales are going to come through,” he said. The wood products sector and mining are also doing well, Hall said. http://montrealgazette.com/business/shipping-maersk-line-plans-to-double-service-to-port-of-montreal

@Enalung Bon point pour l'effet piston. Moi j'avais surtout en tête les incidents où l'air de la station doit être évacué (fumée, poivre de cayenne, etc). D'une façon ou d'une autre peu importe si les premières portes palières sont installées sur la ligne bleue ou sur la ligne orange, l'important c'est que la STM leur ouvre la porte (pun not intended). Du moment que ça arrive, il n'y aura plus de barrière (pun intended) à leur adoption sur le reste du réseau Mais le hic au niveau de la ligne bleue, c'est vraiment les MR-73. Ils sont supposés disparaître pour de bon à peine 10 ans après la mise en service du prolongement vers Anjou.

Je suis convaincu que la STM n'optera pas pour des portes palières qui vont jusqu'au plafond pour les stations existantes à Montréal. Il faudrait complètement revoir les infrastructures et les scénarios de ventilation, ce qui n'est pas réaliste.

The Bell Center had proposed to pedestrianize the street but AFAIK the city never agreed with that idea

"The Vertical Platform Screen Door System (VPSD) provides a much wider access space than conventional horizontal sliding platform screen doors. This means it is not necessary for the train to stop at a precise position and a variety of rolling stock door spacings can be accommodated. This makes VPSD suitable for lines used by more than one type of train." http://m.railjournal.com/index.php/metros/barcelona-metro-to-test-vertical-platform-screen-doors.html https://gfycat.com/ClearcutZanyGroundhog

On parle de portes palières sur la ligne orange dans ce document lié au règlement d'emprunt de la STM pour le prolongement ligne bleue! source: p. 2608+ http://ville.montreal.qc.ca/documents/Adi_Public/CM/CM_ODJ_LPP_ORDI_2018-05-28_13h00_FR.pdf (136MB)

Si on lit la version anglaise de REM.info, c'est même pas clair que c'est un métro contrairement à la version française qui l'établit. Donc même une personne qui prend la peine de s'informer, ce n'est pas précisé. Et pour quelqu'un qui s'informe sur le site de la STM... c'est un mystérieux "projet de train électrique" qui sera vaguement "intégré à des réseaux existants." On peut aussi y apprendre qu'Il se déploiera sur les 4 lignes suivantes: Centre-Ville Rive-Sud Rive-Nord Ouest-de-l'île Aéroport

19 Mai 2018

19 mai 2018

19 mai 2018

Les voitures Azur supplémentaires seront plus chères que celle du premier contrat: Usine Bombardier à La Pocatière: au moins 200 mises à pied malgré le contrat Le contrat de près de 500 M$ pour 150 nouvelles voitures n’arrivera pas assez vite Bombardier devra mettre à pied au moins 200 travailleurs à son usine de La Pocatière malgré la signature imminente d’un contrat pour de nouvelles voitures du métro de Montréal, a appris Le Journal. D’ici la fin du mois, Bombardier Transport enverra un avis de licenciement collectif au ministère du Travail indiquant que de 200 à 250 salariés seront mis à pied d’août à décembre. Les mises à pied coïncideront avec les dernières livraisons des 468 voitures de métro Azur commandées au consortium Bombardier-Alstom en 2010. Prix de consolation pour le REM Le gouvernement Couillard vient de déposer un projet de loi pour prolonger ce contrat et ainsi maintenir le niveau d’activités à l’usine de La Pocatière et à celle d’Alstom à Sorel-Tracy. Rappelons qu’en février, Bombardier a perdu aux mains d’Alstom le lucratif contrat du Réseau express métropolitain (REM). Or, la nouvelle commande de voitures de métro arrivera trop tard pour empêcher des mises à pied. Bombardier et Alstom auront besoin de plusieurs mois après la signature officielle pour relancer leurs chaînes d’approvisionnement et de production. « Lorsqu’il y aura un contrat signé, ça permettra de transformer les licenciements en mises à pied temporaires », explique Éric Prud’homme, porte-parole de Bombardier Transport. La durée de l’arrêt de travail n’est pas encore connue. Pas de nouveaux garages Tout indique qu’on ne remplacera qu’un peu plus du tiers des 423 voitures MR-73. Pour limiter ses dépenses, la STM ne veut pas construire de nouveaux garages. Ses installations existantes peuvent accueillir 153 voitures Azur (17 trains) de plus que les 468 qu’elle aura en décembre. De son côté, Bombardier prévient qu’il faudra une commande minimale de 150 voitures pour relancer la production de façon efficace et avoir un impact significatif sur les emplois à La Pocatière. « En bas de 150 voitures, ça serait difficile de faire le pont » avec le prochain contrat que décrochera l’usine, a précisé M. Prud’homme. L’entreprise fonde de grands espoirs sur le tramway de Québec et d’autres projets en Amérique du Nord. Prix à la hausse Le prix des nouvelles voitures sera assurément plus élevé que celui de 2,5 M$ l’unité du contrat de 2010. Les coûts de conception ont été amortis par la première commande, mais il faut ajouter l’inflation et surtout l’impact du taux de change. Plusieurs fournisseurs sont américains et le dollar canadien a dégringolé de 30 % face au billet vert depuis 2010. À 3 M$ par voiture, la valeur de la commande atteindrait 459 M$. « Bien sûr, l’objectif de Bombardier, c’est de rester le plus compétitif possible, ce n’est pas de profiter de la situation, bien au contraire, a assuré Éric Prud’homme. Notre but, c’est que le Québec soit gagnant. » http://www.journaldemontreal.com/2018/05/18/des-mises-a-pied-malgre-le-contrat