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jerry

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  1. PONT SAMUEL-DE CHAMPLAIN 22 objets de notre époque dissimulés dans la structure du pont BRUNO BISSON LA PRESSE Une baguette de chef d’orchestre signée par le maestro Kent Nagano ; du sirop d’érable ; un drapeau arc-en-ciel LGBTQ+ ; un jeton de péage du vieux pont Champlain ; des dessins d’enfants ; un anneau d’ingénieur ; une rondelle de hockey du Canadien de Montréal signée par Geoff Molson, Marc Bergevin, Claude Julien et Shea Weber. Comment se souviendra-t-on du Montréal d’aujourd’hui dans 125 ans ? Comment un Montréalais du futur réagira-t-il à la vue d’un stylo, en 2144 ? La métropole existera-t-elle encore ? Aucune personne vivante aujourd’hui n’en saura jamais rien. Par contre, s’il dure aussi longtemps qu’il est censé durer, le nouveau pont Samuel-De Champlain, qui sera inauguré le mois prochain, devrait être encore debout. Et quelque part, enfouie dans ses structures, une petite boîte en matériau composite contenant 22 objets-témoins de notre temps parlera pour nous aux générations futures. En entrevue hier avec La Presse, le ministre de l’Infrastructure et des Collectivités du Canada, François-Philippe Champagne, a en effet révélé qu’une capsule témoin (ou capsule temporelle) serait intégrée à la structure du nouveau pont Samuel-De Champlain dans le cadre des cérémonies marquant son inauguration. Pour le ministre fédéral, responsable du projet de construction du nouveau pont, la liste des 22 objets hétéroclites rassemblés pour l’occasion (voir liste), dans un très petit contenant, a été l’occasion d’une réflexion sur ce que nous sommes, sur les artefacts qui caractérisent notre époque, sur les valeurs qui nous animent et sur les souvenirs de notre temps que nous souhaitons perpétuer. IMPRIMÉE EN 3D « C’est fascinant de penser que quelqu’un qui vit dans un monde qui sera différent du nôtre, où probablement tout sera numérisé, va peut-être ouvrir cette capsule au cours du prochain siècle et y découvrir des choses qu’il n’a jamais vues », comme une lettre du ministre Champagne imprimée sur papier, des caricatures de Serge Chapleau (La Presse) et de Terry Mosher (alias Aislin, de Montreal Gazette), une clé BIXI ou une ceinture wampun à deux rangs, symbole sacré d’amitié et de paix donnée par le Conseil des Mohawks de Kahnawake. La boîte qui servira de capsule temporelle, explique M. Champagne, a été conçue par des spécialistes en matériaux avancés de l’Université de Sherbrooke et « construite » par une imprimante 3D utilisant un polymère composite qui ne devrait pas être altéré en 125 ans. La capsule sera géolocalisée et ses coordonnées précises seront conservées afin de retrouver les souvenirs de notre temps lorsque le nouveau pont Samuel-De Champlain arrivera à la fin de sa vie utile. En fait, souligne le ministre, tous les efforts seront faits pour éviter que la capsule ne se perde à tout jamais dans les méandres… du béton. Comme la capsule témoin du pont Jacques-Cartier, coulée dans une pile il y a presque 93 ans, mais dont on a aujourd’hui complètement perdu la trace. PILE NUMÉRO 26 On sait que cette capsule témoin a été insérée dans la pierre angulaire du pont Jacques-Cartier (qui s’appelait alors le Pont de la Rive-Sud) le 9 août 1926, et que cette pierre angulaire fait partie intégrante de la pile actuelle du pont située à l’angle des rues Notre-Dame et Saint-Antoine. « Nul ne sait cependant à quel endroit précis de la pile se trouve cette pierre qui contient une capsule témoin avec 59 objets », peut-on lire sur le site de la société fédérale Les Ponts Jacques Cartier et Champlain Incorporée (PJCCI). Parmi ces 59 objets, on trouve notamment des exemplaires de huit quotidiens du 7 août 1926, dont La Presse, qui étaient publiés à l’époque dans la métropole. On y trouve aussi des pièces de monnaie, des plans des villes de Montréal, de Longueuil et de Saint-Lambert, un brouillon du discours donné pour l’occasion par le Commissaire du Havre de Montréal, un exemplaire du livre Les faits curieux de l’histoire de Montréal, rédigé par E.Z. Massicotte (voir la liste complète), des photographies aériennes du port de Montréal, des pièces de monnaie et des billets de 1925. Que penserait-on aujourd’hui de ces artefacts témoins du Montréal de l’époque ? On ne saurait trop le dire. La société PJCCI a entrepris un grand chantier d’entretien visant à prolonger la vie utile du pont Jacques-Cartier jusqu’en 2080. La pile numéro 26 du pont, dans laquelle se trouve cette pierre angulaire qui renferme la capsule temporelle, ne sera donc vraisemblablement pas démolie avant au moins 60 ans. QUELQUES AUTRES OBJETS DANS LA CAPSULE TÉMOIN DU PONT SAMUEL-DE CHAMPLAIN Des photos du pont Samuel-De Champlain et du pont Champlain d’origine Un goujon de la Corporation de gestion de la Voie maritime du Saint-Laurent Des timbres de Postes Canada Des billets de la Banque du Canada Des pièces de la Monnaie royale canadienne Graines : les trois sœurs (haricot, courge et maïs) Une clé BIXI Source : Infrastructure Canada http://plus.lapresse.ca/screens/6597ee7f-6daa-4d8d-a4ba-b866c5c7ee7e__7C___0.html?utm_medium=Ulink&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen
  2. ACTUALITÉS Dorval cherche l'appui de toute l'île pour le prolongement du REM BRUNO BISSON LA PRESSE La Cité de Dorval va solliciter ce soir l’appui de l’ensemble des municipalités de l’île de Montréal pour obtenir le prolongement du futur Réseau express métropolitain (REM) de la Caisse de dépôt et placement du Québec, entre l’aéroport international Trudeau et la gare locale, où s’arrêtent les trains de banlieue et ceux de Via Rail. La résolution déposée à l’ordre du jour du conseil d’agglomération de Montréal de ce soir par le maire de Dorval, Edgar Rouleau, « demande officiellement au gouvernement du Québec qu’une gare intermodale soit réalisée à Dorval en prolongeant l’antenne aéroportuaire du REM d’environ 700 mètres ». Ce prolongement permettrait de fusionner « les gares de trains de banlieue de la ligne Vaudreuil-Hudson, opérés par exo, des services ferroviaires interurbains opérés par Via Rail, le terminus d’autobus opéré par la Société de transport de Montréal, et une station de navettes électriques autonomes opérées par le Réseau express métropolitain de la Caisse de dépôt et placement du Québec (CDPQ Infra) ». Cette municipalité de 20 000 habitants, qui n’a jamais digéré sa mise à l’écart du plus important projet de transports collectifs de Montréal depuis la construction du métro, a convoqué ce matin une conférence de presse où seront dévoilés « de nouveaux éléments » en appui à sa demande de prolonger le REM. Une source de La Presse a affirmé qu’on devait notamment rendre publics les résultats d’une étude de circulation et d’achalandage qui démontrerait « un impact positif majeur » si la future antenne du REM était prolongée jusqu’à la gare Dorval actuelle, beaucoup plus facile d’accès pour les résidants locaux que les installations de l’aéroport. 35 MÈTRES SOUS LE STATIONNEMENT Coïncidence (ou pas), la société autonome qui gère l’aéroport international Trudeau, Aéroports de Montréal (ADM), annonçait hier l’attribution d’un important contrat de gérance de construction pour des projets totalisant 2,5 milliards « qui changeront définitivement le visage de YUL Aéroport international Montréal-Trudeau ». La future station souterraine du REM fait partie intégrante de ces projets. Selon le communiqué publié hier par ADM, qui appuie la demande de prolongement de la Cité de Dorval, le projet d’ensemble, surnommé « côté ville », comprend la construction et l’aménagement souterrain de la station du REM, à 35 mètres sous le stationnement étagé actuel de l’aéroport (voir l’illustration). Le stationnement actuel, explique Anne-Sophie Hamel, directrice aux relations médias et affaires corporatives d’ADM, sera démoli afin de permettre la construction de la station, avant d’être reconstruit par-dessus la station. Un vaste espace baptisé « YUL Transit », où convergeront les différents modes de transport (navettes, autobus, location de voiture, taxis, Uber, accès aux stationnements), sera aménagé au niveau du sol et connecté à l’aérogare. Tous ces aménagements devraient être prêts dès 2023 pour l’inauguration de l’antenne du REM vers l’aéroport Trudeau. À plus long terme, avec la reconstruction complète de son débarcadère actuel, aussi prévu au projet « côté ville », ADM espère multiplier par trois la capacité d’accueil de l’aéroport Trudeau en une dizaine d’années. DES APPUIS ADM appuie la demande de la Cité de Dorval de prolonger le REM jusqu’à la gare de Via Rail et d’exo, où se trouve aussi, à proximité, un terminus d’autobus de la STM. « On a déjà exprimé publiquement que le prolongement demandé par la Ville est une bonne idée qui mérite certainement d’être explorée afin de favoriser l’intermodalité et les interconnexions entre les réseaux de transports collectifs », a déclaré hier Mme Hamel. En plus d’ADM, Via Rail appuie aussi la demande de prolongement de la municipalité de Dorval. Le maire de l’arrondissement voisin de Saint-Laurent, Alan DeSousa, a fait adopter par le conseil d’arrondissement il y a déjà plus d’un mois une résolution d’appui au prolongement du REM à Dorval. La résolution d’appui qui sera soumise ce soir au vote des représentants de la Ville de Montréal et des 18 autres villes liées de l’agglomération fait valoir que « plus de 100 000 personnes vivent près de l’aéroport ». Celles-ci n’auront toutefois pas accès au futur réseau de transport collectif parce qu’elles devront « passer par les installations de l’aéroport, qui ne sont pas conçues pour ce type de desserte quotidienne ». La Cité de Dorval fait aussi valoir qu’en créant un pôle intermodal incluant le REM, les 300 passagers quotidiens de Via Rail, les 16 000 usagers quotidiens du train de banlieue de Vaudreuil-Hudson et les 25 000 personnes transitant chaque jour par le terminus de bus de la STM auront aussi accès à ce futur réseau de train électrique de 67 km, dont le coût est actuellement estimé à 6,3 milliards. La filiale de la Caisse de dépôt et placement du Québec qui supervise la construction du REM, CDPQ Infra, a décliné hier une demande d’entrevue de La Presse concernant un éventuel prolongement de son tracé, en attendant la conférence de presse que tient ce matin le maire de Dorval, Edgar Rouleau. http://plus.lapresse.ca/screens/7c8003fb-7992-437d-9740-94faca3dd042__7C___0.html?utm_medium=Ulink&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen
  3. Ça me fait penser un peu à Varsovie où je suis présentement, avec ses nombreux édifices communistes restants des années 50. Voici la vue que j'ai de mon hôtel, qui est assez représentative d'une partie de la ville.
  4. Le dernier pilier du cœur de l’échangeur Turcot démoli AGENCE QMI Mardi, 14 mai 2019 14:50MISE À JOUR Mardi, 14 mai 2019 14:50 MONTRÉAL | Une étape symbolique a été franchie sur le chantier de l’échangeur Turcot, mardi matin, avec la démolition du dernier pilier de l’ancienne structure. La destruction de ce pilier qui soutenait la travée de l’autoroute 15 en direction sud est l’aboutissement de plusieurs années de travail. «C’est un jalon important que l’on vient de franchir aujourd’hui puisque l’on vient de démanteler le dernier pilier du cœur de l’échangeur Turcot, a expliqué Sarah Bensadoun, porte-parole du ministère des Transports du Québec. Une fois que le démantèlement sera terminé, on pourra procéder à la construction de cet accès.» Du côté des travaux, plus de 97% de l’ancienne structure a été démantelée. Les trois autres pour cent c’est au niveau du secteur Angrignon, donc c’est pratiquement fini, a ajouté la porte-parole. Là, on est en train de construire les derniers éléments de l’échangeur Turcot pour le livrer l’année prochaine.» Les citoyens de l’arrondissement du Sud-ouest poussent un soupir de soulagement, puisque cette étape majeure signifie la fin des travaux de nuit, et du bruit qui les accompagnaient. «On devait faire des travaux pratiquement 24 heures sur 24, y compris la nuit. Avec la démolition de ce pilier, ça signifie la fin des entraves de nuit, et évidemment du chantier avec les bruits et toutes les nuisances qui viennent avec», a précisé Mme Bensadoun. Plus de 300 000 automobilistes utilisent l’échangeur Turcot quotidiennement, le nouvel échangeur est attendu à la fin de 2020. Le chantier de l’échangeur Turcot s’est amorcé en 2011. https://www.journaldemontreal.com/2019/05/14/le-dernier-pilier-du-cur-de-lechangeur-turcot-demoli-1
  5. PROLONGEMENT DE LA LIGNE BLEUE DU MÉTRO DES OUBLIS GONFLENT LA FACTURE DE 600 MILLIONS TOMMY CHOUINARD LA PRESSE QUÉBEC — La facture du prolongement de la ligne bleue du métro vers Anjou est revue à la hausse d’environ 600 millions, car on avait oublié de calculer le paiement de taxes et sous-estimé le coût des expropriations. L’ajout d’un tronçon de 5,8 km et de cinq stations coûtera ainsi 4,5 milliards au lieu des 3,9 milliards annoncés par le gouvernement Couillard il y a un an. Il s’agit d’une augmentation de 15 %. En 2013, lorsque le gouvernement Marois avait donné le feu vert au projet, on avançait un coût approximatif d’au moins 1,5 milliard, sans toutefois en faire une estimation formelle. Selon des informations obtenues par La Presse, près du tiers des 600 millions en dépassements s’explique parce qu’aucune taxe n’était prévue dans l’estimation de départ. Cette estimation s’appuyait sur le dossier d’opportunité préparé par la défunte Agence métropolitaine de transport (AMT), mais adopté par sa remplaçante, l’Agence régionale de transport métropolitain. Or, selon une source informée du dossier, la nouvelle entité est soumise à des règles de taxation auxquelles n’était pas assujettie l’AMT, situation qui serait à l’origine de « l’oubli ». L’affaire n’est pas sans rappeler la saga du métro de Laval : on avait oublié un kilomètre sur un tronçon qui en compte cinq, ce qui avait fait grimper les coûts. De son côté, la Société de transport de Montréal (STM) est le maître d’œuvre du prolongement de la ligne bleue. Son bureau de projet a commencé ses travaux en début d’année. Des avis d’expropriation ont été envoyés à des dizaines de propriétaires, puisque le projet est construit dans un secteur à haute densité commerciale et résidentielle. L’opération sera toutefois plus coûteuse que prévu, a appris La Presse d’une source sûre. L’an dernier, la STM disait disposer d’un « budget préliminaire » s’élevant à un peu plus de 300 millions pour le rachat des propriétés expropriées. Troisième cause derrière la hausse de la facture : les « frais financiers », en gros les coûts d’emprunt, ont été révisés à la hausse. PAS DE REMISE EN QUESTION Le gouvernement Legault doit prendre une décision d’ici l’été quant au mode de réalisation du prolongement de la ligne bleue, son coût total et son « envergure ». Il n’est pas prévu de revoir le projet à la baisse. Du reste, le premier ministre François Legault déclarait en début d’année que son gouvernement faisait du prolongement de la ligne bleue une priorité et qu’il comptait même en « accélérer le développement ». De son côté, Ottawa s’apprête à confirmer sa contribution financière… en se fondant sur l’estimation de départ de 3,9 milliards. Il devrait accorder 1,3 milliard, grosso modo ce à quoi s’attendait Québec avant l’augmentation de 600 millions évoquée d’abord sur les ondes de Cogeco hier. Il reste à voir si le gouvernement Legault demandera des sous de plus au fédéral dans les circonstances. Les deux capitales sont déjà en conflit, depuis quelques mois, au sujet des infrastructures, en particulier le projet de tramway à Québec. Hier, le ministre des Transports, François Bonnardel, a d’ailleurs indiqué que le financement du nouveau réseau dans la capitale sera bouclé dans quatre ans seulement, par la faute du fédéral, selon lui. Le projet commencera avec une enveloppe de 2,5 milliards, au lieu de 3,3 milliards. Ottawa maintient que l’argent est sur la table pour financer en totalité le projet, mais Québec refuse de piger dans d’autres fonds fédéraux que celui des infrastructures de transport collectif pour boucler le budget. Le gouvernement Legault attendra donc dans quatre ans pour puiser dans le fonds sur les infrastructures les 800 millions manquants. À ce moment, une clause sur la gestion de ce fonds qui donne avantage aux villes ayant le plus fort achalandage tombera. Québec pourra ainsi allouer les millions nécessaires au projet de la capitale. Il n’aura pas à négocier avec la Ville de Montréal pour que celle-ci accepte de céder une part du financement. Ses pourparlers avec la mairesse, Valérie Plante, s’étaient récemment soldés par un échec. Le premier ministre Legault évoquait la semaine dernière « la possibilité de réduire les coûts du projet » de tramway, mais le plan B de son gouvernement semble maintenant consister en une réalisation « par phases ». http://plus.lapresse.ca/screens/14b73d84-91e0-4893-b6a5-13ecfbe78e22__7C___0.html?utm_medium=Ulink&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen
  6. J'ai envoyé un message avec photo au compte Messenger du REM à ce sujet et voici leur réponse: Bonjour, en effet nous sommes au courant. Comme évoqué précédemment, les travaux de finition sur les piliers n'ont pas encore été réalisés. Nous réfléchissons pour travailler avec des artistes sur certaines portions du tracé mais la priorité est d'abord de finaliser les infrastructures avant d'envisager cette étape. Merci, bonne semaine
  7. IMMOBILIER Sun Life acquiert le 1250, René-Lévesque ANDRÉ DUBUC LA PRESSE L’assureur-vie Sun Life confirmera prochainement l’achat du 1250, boulevard René-Lévesque, un gratte-ciel de 47 étages au centre-ville, selon plusieurs sources. Le prix payé ira jusqu’à 605 millions. Selon nos informations, Sun Life fera équipe avec sa filiale immobilière Bentall Kennedy pour acquérir l’une des tours les plus convoitées du centre-ville. La transaction sera notariée dans les prochains jours. Les courtiers sont CBRE et RBC. Les vendeurs sont Oxford et Investissements PSP. Oxford appartient à OMERS, la caisse de retraite des employés municipaux de l’Ontario, tandis que PSP est le gestionnaire d’actifs des régimes de retraite des fonctionnaires fédéraux. Un article de Bloomberg paru fin mars a rapporté essentiellement les mêmes informations. Investissements PSP est également le principal locataire de la tour. Les autres locataires majeurs sont PwC, le Collège des médecins et Air Liquide Canada, a-t-on écrit en janvier dernier dans un article annonçant la mise en valeur de l’actif. « C’est un actif de première classe, dit Laurent Benarrous, associé chez Avison Young à Montréal, qui a accepté de donner son avis sur le 1250. Il est certainement très prisé par les locataires dans le marché et il a gagné de l’attrait au fil des ans notamment avec la construction d’immeubles de qualité dans le même secteur : la Cité du commerce électronique, la tour Deloitte et l’Avenue, entre autres. » Le rôle d’évaluation foncière de la Ville de Montréal attribue une valeur de 418 millions de dollars au 1250, boulevard René-Lévesque Ouest. Sa facture de taxes municipales s’élève à 15 millions. Un appel fait chez Bentall vendredi est resté sans réponse. LE 1250 AU LIEU DU 1000 Bentall avait tenté auparavant d’acquérir le 1000, rue De La Gauchetière, en vain. Une entente conditionnelle était tout de même survenue entre le vendeur, Ivanhoé Cambridge, Bentall et l’archevêché, qui détient une emphytéose sur le terrain. L’Église n’a toutefois pas rempli les conditions et l’entente est devenue caduque. Le 1000 est en effet construit sur un terrain appartenant à l’Église. Il reste moins d’années à courir au bail de longue durée. Pour l’archevêché, il est plus intéressant d’avoir une rente annuelle sous forme de loyer que de recevoir une somme qu’il faudra ensuite placer à un taux de rendement aussi intéressant pour le même type de risque, ce qui peut être compliqué à trouver de nos jours, avait-on écrit à l’époque pour expliquer les hésitations du clergé à se départir de l’emphytéose. « Nous allons conserver l’immeuble qui a livré de bonnes performances ces dernières années. Nous poursuivrons notre très bonne collaboration avec l’archidiocèse pour le succès futur de l’actif », a dit Sébastien Théberge, porte-parole d’Ivanhoé Cambridge. En acquérant le 1250, boulevard René-Lévesque, anciennement connu sous le nom de Tour IBM Marathon, Bentall fait la bonne affaire en devenant propriétaire d’un des plus beaux gratte-ciel de Montréal, sans avoir à vivre avec les inconvénients d’une emphytéose comme au 1000, rue De La Gauchetière. http://plus.lapresse.ca/screens/3e0c235a-0e1e-4f1a-9b10-c620cb23a187__7C___0.html?utm_medium=Ulink&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen
  8. jerry

    Expos de Montréal

    Selon certains experts, le modèle à suivre pour Montréal est stade avec toit rétractable dans le style du Minute Maid Park à Houston, où on peut voir le c-v même avec le toit fermé grâce à l'utilisation du verre.
  9. jerry

    Expos de Montréal

    Selon l'article, le stade modèle sur lequel devrait se baser le futur stade des Expos est le Minute Maid Park à Houston qui a un toit rétractable. Voici quelques photos de ce stade:
  10. Les détails sur Royalmount 2.0 seront dévoilés à l'automne Les promoteurs du controversé projet de centre commercial et de divertissement entament une ronde de consultations avec la population dans le but de le bonifier en y intégrant un volet résidentiel. Les détails du Royalmount 2.0, au coin des autoroutes 15 et 40 à Mont-Royal, seront dévoilés après coup à l’automne. L’annonce sera faite cet après-midi par Andrew Lutfy, président de Carbonleo, promoteur du projet multimilliardaire, dans le cadre du 14e forum stratégique sur les grands projets de la Chambre de commerce du Montréal métropolitain, qui se tient au Palais des congrès. L’événement, d’abord prévu le 29 mars, a été reporté en raison d’une panne d’électricité. « On a entendu les préoccupations de la population. On comprend les inquiétudes. On vous écoute, Montréal, et on apprend », a dit Andrew Lutfy dans un entretien avec La Presse vendredi dernier. Depuis janvier, il dit avoir multiplié les démarches auprès de la Ville de Montréal, de la province, du ministère des Transports et d’autres acteurs pour susciter l’adhésion à son projet. Le projet d’investissement est sur pause depuis le dépôt du rapport dévastateur de la Commission sur le développement économique et urbain et l’habitation, en janvier dernier. Le document recommandait la redéfinition complète du projet. En attendant que les modifications prennent forme, la Commission demandait un temps d’arrêt obligatoire, et en cas de refus du promoteur d’obtempérer, elle exhortait la Ville de Montréal et l’agglomération d’utiliser les outils légaux pour suspendre le projet. M. Lutfy ne s’en cache pas : le rapport de la Commission et la presse négative concernant l’investissement privé d’envergure mondiale l’ont momentanément ébranlé. Il a aussi dû consacrer pas mal d’énergie à rassurer ses partenaires étrangers, L Catterton Real Estate notamment, incrédules devant la tournure des événements. Mais le spleen a été de courte durée. « Ça a duré une petite soirée, confie-t-il. On respire par le nez. J’ai 54 ans. Je brasse des affaires à Montréal depuis 36 ans. Je n’en suis pas à mes premiers défis. » — Andrew Lutfy « Oui, il y a un conflit. Il faut prendre le temps d’écouter et rester ouverts d’esprit. On va les trouver, les solutions », assure celui qui copréside la campagne de financement de Centraide du Grand Montréal cette année. Dans les prochains mois, Royalmount mènera des consultations en personne et sur le web avec les citoyens. L’objectif est d’arriver à une vision d’un projet à échelle humaine où les gens se sentent bien, d’expliquer M. Lutfy. Des tables rondes auxquelles seront conviés des experts seront aussi mises en place. Les détails seront publiés sur le site web de Royalmount prochainement. DES TRAVAUX DÈS CETTE ANNÉE Quant à savoir si cette période additionnelle de consultations retardera la réalisation du projet, M. Lutfy répond que la première phase du projet, la partie commerciale qui correspond à moins de 20 % de l’ensemble, ira de l’avant en 2019 comme prévu. L’excavation va d’ailleurs commencer sous peu. Jusqu’à maintenant, deux bâtiments en bordure de Décarie ont été démolis, en recyclant 90 % des matériaux. Toutefois, le reste du terrain de 4 millions de pieds carrés situé en zone industrielle dévitalisée aura sans doute davantage une vocation résidentielle que ce qui était prévu initialement, dans l’hypothèse où le zonage est modifié en conséquence. À ce sujet, le maire de Mont-Royal, Philippe Roy, confirme que Carbonleo a déposé une demande de changement de zonage en vue d’y bâtir des logements. La Ville a mandaté des experts pour analyser les impacts d’une telle décision. M. Roy attend leurs conclusions. Le conseil municipal doit rendre une décision en juin. À l’origine, Royalmount prévoyait 5 hôtels, 2 salles de spectacle, un mail fermé de 200 boutiques et de 100 restaurants et 4 tours de bureaux totalisant 1,5 million de pieds carrés. http://plus.lapresse.ca/screens/6cf5215e-27d9-441f-8e6a-0d88396b88fb__7C___0.html?utm_medium=Ulink&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen
  11. Ambiance d'apocalypse autour de Turcot http://plus.lapresse.ca/screens/6cf5215e-27d9-441f-8e6a-0d88396b88fb__7C___0.html?utm_medium=Ulink&utm_campaign=Internal+Share&utm_content=Screen
  12. Oh boy Nelr, t'es allé la chercher loin celle-là! Pour ma part, je partage juste la crainte de Rocco car c'est tellement laid ces vitres vertes des premières phases!
  13. Publié le 03 mai 2019 à 00h00 | Mis à jour à 00h28 Réfection du pont-tunnel: l'utilisation des transports collectifs encouragée https://www.lapresse.ca/actualites/grand-montreal/201905/02/01-5224480-refection-du-pont-tunnel-lutilisation-des-transports-collectifs-encouragee.php
  14. Quand j'étais à Copenhague en 2016, la ville était un peu comme ça en rénovation partout. Mais lorsqu'on demandait aux gens si ça les embêtait beaucoup, ils étaient un peu surpris et répondaient non car ces travaux allaient permettre d'améliorer la villle et de la rendre encore plus agréable pour ses citoyens dans les années suivantes. Les Scandinaves sont plutôt pragmatiques et ont l'habitude de penser au bien commun, on pourrait s'en inspirer.
  15. Un nouveau tunnel construit à la station Vendôme AGENCE QMI Samedi, 20 avril 2019 19:27MISE À JOUR Samedi, 20 avril 2019 19:27 MONTRÉAL - La réfection de la station de métro Vendôme est passée à une autre étape cette fin de semaine, alors qu’un tunnel piétonnier a été creusé samedi sous le chemin de fer du Canadien Pacifique. Le passage reliera le Centre universitaire de la santé McGill (CUSM) et un nouvel édicule de la station, qui sera construit d’ici l'automne 2020. L’aménagement du tunnel représentait une certaine prouesse technique, comme il a nécessité le retrait temporaire des voies ferrées. Afin de minimiser l’impact sur le réseau exo, la Société de transport de Montréal a opté pour une méthode particulière, utilisée pour la première fois au Canada, qui consiste d’abord à creuser un tunnel en béton armé à côté de son futur emplacement. Une fois que le sol a été excavé et les rails ferroviaires retirés, la structure a pu être insérée par glissement à l’endroit prévu. Les travaux devaient être réalisés l’automne dernier, mais à cause de leur complexité, ils ont été repoussés à cette fin de semaine. https://www.journaldemontreal.com/2019/04/20/un-nouveau-tunnel-construit-a-la-station-vendome-1
  16. Pont Champlain: seulement 3% des éléments inspectés ont été approuvés Ottawa est inquiet pour l’ouverture du nouveau pont Champlain CHRISTOPHER NARDI Vendredi, 19 avril 2019 19:30MISE À JOUR Vendredi, 19 avril 2019 19:30 OTTAWA | À deux mois de l’ouverture prévue du nouveau pont Samuel-De Champlain, Ottawa craint que l’échéance ne soit pas respectée parce que seulement 3 % des éléments inspectés ont reçu l’approbation finale. Dans une lettre datée du 15 avril et transmise au constructeur Signature sur le Saint-Laurent (SSL), le gouvernement fédéral se dit « préoccupé par la lenteur des progrès de la certification globale du nouveau pont sur le Saint-Laurent ». Avant que la structure puisse être ouverte à la circulation, un consortium formé par les firmes de génie Stantec et Ramboll doit vérifier l’ouvrage au fur et à mesure qu’il est complété. Les ingénieurs identifient ensuite des éléments à réparer. En 2017, notre Bureau d’enquête révélait que SSL avait reçu pas moins de 3000 avis de non-conformité. Certification finale Lorsque les réparations sont faites, les ingénieurs indépendants doivent repasser pour s’assurer que tout est fait à leur satisfaction. C’est là que le bât blesse présentement. Selon la lettre, seulement 3 % des éléments inspectés en date d’avril 2019 ont reçu la certification finale du consortium d’ingénierie. « Une augmentation significative du taux de certification sera nécessaire pour atteindre l’objectif d’ouvrir le pont comme prévu par [SSL] », note le document, qui précise que le vérificateur indépendant n’est pas à blâmer pour les délais. Dans l’espoir de toujours pouvoir ouvrir le pont en juin, le fédéral exige donc des explications, mais surtout des solutions. « L’Autorité demande que le partenaire privé fournisse des informations sur les principaux problèmes empêchant les progrès attendus en termes de certification, ainsi que l’assurance que le partenaire prend les mesures nécessaires pour que ces problèmes soient résolus et ne retarderont pas davantage l’ouverture du pont », peut-on lire dans la lettre. Solutions exigées Signe qu’Ottawa croit de moins en moins à une ouverture du pont en juin (dans un premier temps vers Montréal et deux semaines plus tard en direction de la Rive-Sud selon SSL), il ne veut pas promettre de date de fin des travaux. « SSL maintient que le pont Samuel-De Champlain ouvrira à la circulation au plus tard à la fin juin. Les scénarios finaux sont en cours de validation », a indiqué vendredi une porte-parole dans un courriel à notre Bureau d’enquête. Les problèmes de respect d’échéancier par SSL ne datent d’ailleurs pas d’hier. Depuis 2017, « il est rapidement devenu évident que le partenaire privé était incapable de respecter les échéanciers qu’il se fixait, et ce problème demeure aujourd’hui », est-il écrit dans la lettre. Signature sur le Saint-Laurent n’a pas répondu aux questions du Journal vendredi. https://www.journaldemontreal.com/2019/04/19/seulement-3-des-elements-inspectes-ont-ete-approuves
  17. Une nouvelle grue a été installée aujourd'hui.
  18. Bienvenue sur le forum jp! C'est parce qu'il parle de ce qu'il manque au REM, pas au métro. Il sait pertinemment qu'une courte addition au REM peut être beaucoup plus rapide et moins chère qu'une courte addition au métro.
  19. On m'a dit 75% au bureau des ventes aujourd'hui. La construction devrait commencer fin printemps - début été, ils n'attendent que les permis. Bass 3 devrait être lancé à peu près en même temps.
  20. Le pieutage est commencé au Charlotte, on s'attend à ce que le bureau des ventes soit démoli d'ici deux à trois mois. Il ne reste qu'une trentaine d'unités disponibles sur les 251 du projet.
  21. Lancement de la phase 3 demain, de 12:00 à 5 pm.
  22. Alpel74, bienvenue sur le forum! Cependant ce fil est spécifiquement pour la future station du bassin Peel, pas les ouvrages qui vont être dans les environs. Il aurait été préférable de placer ton message dans le fil ci-dessous. Ceci dit, on apprécie ta contribution!
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