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  1. Je trouve l'idée excellente et si ça se réalise, ils peuvent compter sur moi comme passager. ****************************** Transports Le tour du Québec en train? Éric Yvan Lemay Le Journal de Montréal 27/09/2010 05h33 Un groupe de citoyens caresse le projet fou d'un chemin de fer qui ferait le tour du Québec en passant par Blanc-Sablon, Kuujjuaq, Radisson et la Gaspésie. Une pétition 3 448 noms a été déposée à l'Assemblée nationale. Les instigateurs du projet ont d'ailleurs été reçus jeudi dernier pour présenter le projet à la commission parlementaire sur les transports et l'environnement. S'il se concrétisait, le Transquébec Express serait l'un des plus longs du monde avec 9 500 kilomètres de voie ferrée. Il faudrait sept jours et sept nuits pour faire le tour du Québec. Le projet estimé à plusieurs milliards est toutefois loin de la première pelletée de terre, mais ses promoteurs y croient dur comme fer. «Les gens ont parfois un sourire en coin lorsque je leur parle du projet, mais c'est l'utopie qui fait avancer le monde. Le dirigeant d'une grosse compagnie m'a dit que j'étais une visionnaire, que j'étais 20 ans en avance sur le temps», dit celle qui a imaginé le projet, Michelle L. Déry. La résidente de Sainte-Agathe-des-Monts a rencontré des dizaines de personnes ces 10 dernières années pour soutenir son projet. Des esquisses du TransQuébec Express ont été faites et une fondation pour recueillir des fonds a été créée. Briser l'isolement Pour elle, le projet permettrait de mettre un terme à l'isolement de plusieurs communautés de la basse Côte-Nord, de la Jamésie et du Nunavut. Il permettrait aussi à des entreprises de transporter les matières premières présentent en grandes quantités dans le Nord-du-Québec. «On pourrait faire un circuit écotouristique grandiose. Avec le secteur industriel, ça pourrait aussi créer des milliers d'emplois, dit-elle. On pourrait même installer sur place des usines de transformation plutôt que de donner nos ressources naturelles à l'extérieur.» Selon le groupe qui fait la promotion du projet, il pourrait très bien s'inscrire dans le Plan Nord sur lequel planche actuellement le gouvernement Charest. Cinq tronçons Michelle L. Déry reconnaît toutefois ne pas avoir obtenu beaucoup d'appui au niveau politique. C'est pourquoi les promoteurs ont profité de la rencontre de la semaine dernière à Québec pour demander un premier investissement de 500 000 $ au gouvernement pour les études de préfaisabilité et de marché. Si jamais le projet va de l'avant, sa construction se ferait par tronçons et pourrait prendre jusqu'à 10 ans. «Je me suis inspirée [de la construction] du Transsibérien (en Russie), qui a pris 20 ans», indique son instigatrice. -------------------------------------------------------------------------------- * Sur certains tronçons comme celui reliant Sept-Îles à Schefferville, cela représente des milliers de kilomètres à construire dans des zones encore difficilement accessibles. * Pour en savoir plus sur le projet, consultez le site http://www.transquebecexpress.ca
  2. Le président actuel de l'OPEP, Chakib Khelil, souhaite que la Russie rejoigne le cartel, une décision qui permettrait d'augmenter sa puissance. Pour en lire plus...
  3. Selon lui, BCE a pris du retard sur ses concurrents dans le très lucratif secteur du sans fil. Le rachat par Teachers ne permettrait au géant des télécoms d'assurer un investissement adéquat dans ce secteur. Pour en lire plus...
  4. Le vice-premier ministre russe, qui est chargé du secteur de l'énergie, a ajouté que le gouvernement envisageait de créer une réserve de pétrole «qui lui permettrait d'agir sur les prix du marché». Pour en lire plus...
  5. Wal-Mart Stores a présenté au gouvernement canadien une demande officielle pour obtenir le statut d'une banque, ce qui lui permettrait d'offrir davantage de services financiers au pays. Pour en lire plus...
  6. Industrie québécoise de l'aluminium Une stratégie à revoir? Mise à jour le mercredi 30 juillet 2008, 14 h 12 . L'économiste de l'Université du Québec à Chicoutimi Marc-Urbain Proulx estime que le temps est venu pour le Québec de redéfinir un nouveau rapport de force avec les grandes alumineries. Dans son texte publié dans le journal Le Devoir l'universitaire avance que le contexte mondial permettrait au Québec d'obtenir une meilleure part des retombées du développement de cette industrie. Le professeur de l'UQAC souligne que les alumineries bénéficient d'avantages énergétiques importants au Québec. Il rappelle que Rio Tinto Alcan détient les droits de production hydroélectrique pour ses usines et que la valeur de cet avantage augmente à mesure que le coût de l'énergie monte en flèche en raison de la flambée des prix du baril de pétrole. Le gouvernement a donc les moyens, juge Marc-Urbain Proulx, de demander à détenir une partie de la propriété des usines. Il signale qu'en Chine et en Russie, l'État est propriétaire des installations. C'est le cas aussi, note-t-il, dans les Émirats arables qui possèdent 100 % des installations de Dubaï et sont propriétaires de 50 % et même de 75 % d'autres unités. « Partout actuellement où Rio Tinto négocie, où Alcan négocie ou d'autres compagnies comme Norsk Hydro, les États cherchent à prendre des parts et réussissent à en prendre souvent à plus de 50 % - L'économiste de l'Université du Québec à Chicoutimi, Marc-Urbain Proulx » Outre la disponibilité de l'énergie, les infrastructures de transport, la qualité de la main-d'oeuvre et la stabilité politique sont aussi des éléments qui jouent en faveur de la consolidation de cette industrie au Québec, selon le spécialiste. Il est d'autant plus important que Québec reconsidère sa stratégie, croit le professeur, que les retombées de l'industrie de l'aluminium ne sont plus ce qu'elles étaient. Les emplois sont moins nombreux en raison des avancées technologiques et les profits comme les postes de haut niveau sont désormais concentrés dans de grandes capitales comme Londres, Moscou, Sydney ou New York. L'universitaire estime que le Québec pourrait accueillir quatre ou cinq nouvelles alumineries d'ici 2025. Marc-Urbain Proulx croit que ces nouvelles unités produiront environ 2 millions de tonnes supplémentaires d'aluminium, ce qui permettrait au Québec de se maintenir à 8 % de la production mondiale. En croissance, la consommation mondiale d'aluminium devrait atteindre 70 millions de tonnes en 2025, soit deux fois plus qu'en 2005.
  7. Le professeur d'économie de l'Université du Québec à Chicoutimi, Marc-Urbain Proulx, estime que le contexte mondial permettrait au Québec de renégocier de nouvelles ententes avec les alumineries. Pour en lire plus...
  8. La compagnie irlandaise a prévenu que le pétrole cher risquait de la conduire à une perte cette année, tout en assurant que sa maîtrise des coûts lui permettrait d'en s'en sortir mieux. Pour en lire plus...
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