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Le Carré Saint-Laurent / Le Central - 10,20 étages


mtlurb

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... Chaque proprio devrait être obligé de nettoyer la devanture et le pourtour de sa bâtisse, Ramasser toutes les cochonneries (s'il y a déjà un tel règlement, il n'est pas du tout appliqué!)...

 

There is NO such regulation and there CAN'T be! When the city tries to impose anything similar (or even politely ask the citizens to clean up after themselves), the unions of cleanliness workers protest because the government is not allowed to do anything that would make the city cleaner, other than hire more cleanliness workers. In fact I believe that by fining litterbugs, the city would violate their agreement with such unions.

 

If you go to some relatively clean areas of downtown, you will see workers cleaning up almost every day. These are not city workers. They work for a nonprofit private organization called "Destination Centre-Ville." Unfortunately, they are restricted to what they call "Centre-Ville," which ends at St-Urbain. It seems that this is the only solution for the litter problem: private organizations. At least until the city stops being bullied by unions, which I doubt will ever happen.

 

If I had enough money, I would happily donate to Destination Centre-Ville for them to extend their "Centre-Ville" towards the east. I am pretty sure the problem is that one cannot write off donations to organizations like this one. If you are, then please don't tell the unions.

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Vous en "beurrez" épais sur le dos des syndicats. Montréal a déjà été plus propre que maintenant parce que l'administration se souciait davantage de la propreté qu'aujourd'hui et allouait un budget particulier pour le centre-ville. Depuis le recyclage, paradoxalement les rues sont aussi plus encombrées de papiers qui volent au vent, ou qui sont malheureusement jetés par terre par des imbéciles qui vident les bacs sur le trottoir pour trouver des contenants consignés. J'ai été témoin plus d'une fois de ce genre de phénomène.

 

La propreté est un geste civique qui se développe avec l'esprit collectif. Les individualistes ne font pas de cas de leurs déchets et se disent qu'on pait pour ramasser derrière eux. Pourtant avec la volonté on peut facilement régler ce problème , mais si elle ne s'exprime pas de la part du citoyen et de la Ville, on aura ce résultat déplorable pour longtemps.

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Même en été c'est sale. Comparé à NY, Mtl a du travail à faire. Il y a toujours des espaces de gazon où l'on voit des verres de café, des emballages de bonbons, etc. Calvaires de cochons qui sont pas capables de jeter leurs trucs dans des poubelles, mais aussi, crisse de ville qui n'impose pas suffisamment de contrôle pour la salubrité. Ce n'est pas aux cols bleus de tout ramasser non plus. Chaque proprio devrait être obligé de nettoyer la devanture et le pourtour de sa bâtisse, Ramasser toutes les cochonneries (s'il y a déjà un tel règlement, il n'est pas du tout appliqué!). Puis des amendes bien plus sévères pour ceux qui jettent des déchets par terre, et finalement une régularité des contrôles et des opérarions nettoyage par les cols bleus.

 

Non vraiment, quand je marche, je suis rarement fier de la propreté de la ville.:(

 

MtlMan, crois moi, montréal est très propre par rapport a beaucoup de ville comparable dans le monde et surtout NY! C'est toujours comme ca quand on habite un endroit, on a tendance a ne voir que la saleté.

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^^ Destination Centre-Ville is the downtown merchants association, so it is funded by merchants for promotions/decorations and to improve cleanliness of the area, which is far from pleasing the city blue collars workers union which sees that as a privatization of services, even though it's simply to improve on an area where the city isn't providing enough.

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http://www.montrealgazette.com/Activists+plead+save+Lower+Main/5868551/story.html

 

 

MONTREAL - Heritage activists say they fear the city will repeat a sad chapter in Montreal history if it razes a storied but dilapidated section of the Lower Main instead of trying to save it.

 

Heritage Montreal wrote to Mayor Gérald Tremblay on Monday to warn that demolishing the row of vacant late 19th century buildings and facades on the west side of St. Laurent Blvd., between Ste. Catherine St. and René Lévesque Blvd., would set Montreal back decades in terms of preservation.

 

The Ville Marie borough ordered the owner of the row to install a barricade on Dec. 2 citing concerns for public safety. The safety perimeter has closed the sidewalk in front of the buildings and two lanes of traffic.

 

The borough is awaiting more studies before it decides whether the structures can be saved, borough spokesperson Anik de Repentigny said Thursday.

 

“Under your administration, Montreal has made major progress on heritage, sustainable urban development and culture,” says Heritage Montreal’s letter to the mayor, signed by policy director Dinu Bumbaru.

 

However, it adds, allowing the buildings on The Main to be demolished “would mark a return to a period we hoped had ended” and which left the city with vacant lots and buildings that are out of scale with their surroundings.

 

This year, Angus Development Corp. withdrew a project to erect a commercial and office complex called Quadrilatère St. Laurent on that section of The Main.

 

The non-profit company bought up the row between the Monument National and Café Cléopatre in 2009 when the block still housed the iconic Montreal Pool Room.

 

However, the city’s Office de la consultation publique panned the project. City hall then nixed plans to expropriate the owner of Café Cléopatre, who had refused to sell.

 

The developer, which refused to comment on Thursday, has yet to announce plans for the site.

 

The Ville Marie borough ordered the safety perimeter after reading an engineer’s report ordered by the current owner, Gestion Saint-Laurent Angus Inc., which is run by the same group as the development company. The Montreal Fire Department had urged the company to assess the buildings’ structural integrity.

 

The situation recalls the Queen’s Hotel, a 102-year-old Peel St. landmark that a developer asked to demolish in 1988 to build a project, Bumbaru said. The developer agreed initially with the city’s request to integrate part of the hotel into its plans, but later declared the building structurally unsound. The city allowed most of the hotel to be levelled, though it took three months to raze parts of it. Nothing was built. In 1995, the owner requested permit to demolish the hotel’s remains. It has served as a parking lot since.

 

“We don’t want to see history repeated on St. Laurent,” Bumbaru said.

 

lgyulai@montrealgazette.com

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C'est un ilot insalubre c'est vrai, mais je ne suis pas certain si un terrain vacant serait mieux. Le terrain est immense et le voir vide ajouterais une tristesse infini à cet endroit. De plus on sait bien que c'est pas parce que le terrain est vide que ça attire les investisseurs, surtout à Montréal. Regardez la place des festivals qui est entourées de terrains vacants et 3 ans après sa construction il n'y a toujours aucun projet immobilier annoncé dans le secteur. Triste spectacle, c'est le cas de le dire.

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GDS is right. We've had surprise announcements before followed by construction just weeks later. Things could (and probably are) brewing to a certain extent.

 

I sincerely hope that's the case.. I'm with Rocco on the lingering desolation around Quartier des Spectacles. We need those lots to be filled with new development asap.

Great public squares require proper enclosure and framing. A public square is meager without buildings around it.

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Les projets ne s'annoncent pas encore, mais ce n'est certainement pas en ayant rien fait qu'on aurait mieux stimulé les annonces! Le QdS en est encore à ses balbutiements. Tout le quartier sera revigoré dans 20 ans, et les investissements publics auront participé à cette relance.

 

Ceci dit, la préservation des façades de la rue St-Laurent me semble souhaitable. J'espère que Bumbaru aura le bon sens de mettre de l'eau dans son vin et accepter que, pour en assurer la pérennité, l'on construise derrière et au-dessus.

 

PS: vous ne trouvez pas tout à fait ironique que ce projet soit dans En Construction (je sais, il fait partie du QdS, lui-même bien entamé, mais tout de même.....). Son état est plutôt celui d'Annulé.:rolleyes:

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http://www.cyberpresse.ca/actualites/regional/montreal/201112/20/01-4479788-des-edifices-voisins-en-decrepitude-menacent-le-monument-national.php?utm_categorieinterne=trafficdrivers&utm_contenuinterne=cyberpresse_B4_manchettes_231_accueil_POS2

 

 

Karim Benessaieh

La Presse

 

À l'abandon depuis deux ans, des édifices du Red Light montréalais, boulevard Saint-Laurent, sont devenus de véritables nuisances pour leurs voisins, notamment le Monument-National. Classé monument historique, l'édifice est aux prises avec des problèmes d'humidité dans son sous-sol, des dangers d'infiltration du toit dans un de ses murs, en plus de voir ses spectateurs et employés dérangés par la fermeture d'une partie du boulevard Saint-Laurent.

 

Le Monument-National appartient depuis 1971 à l'École nationale de théâtre du Canada, qui s'est dite «extrêmement préoccupée par la situation des immeubles» délabrés situés entre son édifice et le Café Cléopâtre, dans une correspondance obtenue par La Presse. Les responsables de l'École se sont plaints à plusieurs reprises des «inconvénients reliés à l'inoccupation» et des «risques de certains [des] immeubles». Le 12 décembre dernier, ils ont reçu l'appui d'Héritage Montréal, qui a souligné le «regrettable état d'abandon dans lequel [le secteur] se trouve actuellement, faute d'entretien», dans une lettre envoyée au maire Gérald Tremblay.

 

Un monument historique

 

Ces bâtiments sont dans l'aire de protection du Monument-National et font partie d'un secteur de valeur patrimoniale exceptionnelle, souligne Dinu Bumbaru, directeur des politiques d'Héritage Montréal. De style néo-Renaissance, l'édifice terminé en 1894 a été classé monument historique en 1976. Une aire de protection a été décrétée deux ans plus tard.

 

Les neuf immeubles compris dans cette aire ont été acquis par la Société de développement Angus (SDA), avec l'appui de la Ville de Montréal, entre janvier et mars 2010 pour 18,6 millions. Un grand édifice de 12 étages, abritant notamment les bureaux d'Hydro-Québec, devait les remplacer dans le cadre du projet Quadrilatère Saint-Laurent. Celui-ci est officiellement tombé à l'eau en mai dernier, devant le refus du propriétaire du Café Cléopâtre d'être exproprié. La SDA compte présenter une deuxième mouture du projet, laquelle fera l'objet d'une nouvelle consultation publique.

 

Dégradation évidente

 

En attendant, les immeubles ne sont plus chauffés et subissent une dégradation évidente. Un seul segment abritant le bureau de chantier du 2-22, angle Saint-Laurent et Sainte-Catherine, est encore entretenu. Les fenêtres des édifices ont toutes été condamnées, une structure métallique d'appui a été ajoutée à une des façades et du grillage retient la brique à l'arrière, rue Clark, où une partie du trottoir est fermée.

 

Le 19 août dernier, dans un courriel, un responsable de Technopôle Angus a pris acte des plaintes de l'École nationale de théâtre, se disant «navré» de cette situation. «Mais la solution pour résoudre ce problème ne relève pas de nos pouvoirs [...], écrit-il. Le sous-sol de notre immeuble n'est plus chauffé ni ventilé, votre mur de fondation subit une différence de température [votre loge étant chauffée] et il y a condensation quelque part à mi-chemin.» Il suggère d'isoler le mur du Monument-National avec de la mousse uréthane afin de le sceller hermétiquement, pour empêcher la condensation. Un joint à la jonction des deux façades aurait par ailleurs été installé à la fin du mois d'août pour empêcher les infiltrations.

 

Il n'a pas été possible de joindre la direction du Monument-National, dont les bureaux sont fermés durant le temps des Fêtes.

 

Autorités en alerte

 

Le 2 décembre dernier, après avoir reçu des rapports d'inspection inquiétants, l'arrondissement de Ville-Marie a ordonné la mise en place d'un périmètre de sécurité devant et derrière les bâtiments, du Monument-National au Café Cléopâtre. Une voie sur deux du boulevard Saint-Laurent a été fermée à la circulation. Lors du passage de La Presse, un employé du Service de sécurité incendie (SSIM) prenait des photos des édifices, qui présentent un risque élevé d'incendie.

 

Invité à expliquer la situation, le président de la Société de développement Angus, Christian Yaccarini, a décliné l'offre. «Il n'y aura aucun commentaire à qui que ce soit, puisque nous attendons les instructions de l'arrondissement de Ville-Marie», a-t-il déclaré par l'intermédiaire de sa secrétaire.

 

À l'arrondissement, on explique que trois rapports décrivant l'état des bâtiments - rédigés par le SSIM ainsi que deux firmes d'ingénieurs mandatées par la SDA et l'arrondissement - ont été envoyés à Québec. «Nous attendons les orientations du ministère de la Culture avant de nous prononcer sur le sort réservé aux bâtiments», a déclaré Anik De Repentigny, porte-parole.

 

Démantèlement des façades

 

Hier, Radio-Canada a révélé que la Ville de Montréal envisageait de démanteler les façades des immeubles à l'abandon. Les pierres seraient numérotées et pourraient être réutilisées pour un éventuel projet de la SDA. Le ministère de la Culture doit donner son approbation, ce que la responsable du patrimoine au comité exécutif de la Ville, Helen Fotopulos, espère obtenir d'ici à la fin de l'année.

 

Au Ministère, on se dit préoccupé par la protection du Monument-National et «également sensible à la situation actuelle, qui représente un risque pour la sécurité civile», indique la porte-parole Annie LeGruiec. «Nous étudions présentement la demande et ferons connaître notre position dans les meilleurs délais.»

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