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Quadrilatère Saint-Laurent : La Ville veut poursuivre les discussions avec la SDA

 

 

Malgré les critiques acerbes formulées par le PDG de la Société de développement Angus, Christian Yaccarini, le Ville de Montréal entend poursuivre les discussions avec lui afin de surmonter les obstacles qui empêchent la revitalisation du boulevard Saint-Laurent dans le Quartier des spectacles. «On considère M. Yaccarini comme un partenaire. On est toujours disposé à échanger avec lui et trouver des solutions», a indiqué le porte-parole de la Ville, Bernard Larin.

 

Le quotidien Le Devoir rapportait lundi les récriminations de M. Yaccarini envers les règlements municipaux qui ne sont pas «au service du développement». Il dénonçait «le chaos» auquel doit faire face les promoteurs immobiliers à Montréal. «Chaque projet porte sa croix et sa bannière pour des raisons de balkanisation de la fusion [fusions et défusions], de game politique, de problèmes de juridiction entre arrondissements», a-t-il dit au Devoir.

 

Le projet du Quadrilatère Saint-Laurent est présentement paralysé en raison du processus d’expropriation du bar de danseuses nues Le Cléopâtre qui durera environ cinq ans, selon Christian Yaccarini. La SDA a proposé à la Ville de revitaliser le secteur, étape par étape, en terminant par l’édifice qui abrite le Cléopâtre, mais elle a refusé.

 

M. Yaccarini a aussi décrié le fait que les façades des bâtiments doivent être conservées, même si elles menacent de s’effondrer. «Tout le monde connaissait bien les risques, y compris le promoteur», a précisé M. Larin. Le promoteur a des choix à faire». La Ville a rencontré le mois passé le PDG de la SDA pour faire le point sur ses projets immobiliers et il n’a alors formulé aucune critique. M. Yaccarini a refusé la demande d'entrevue de Métro.

 

http://www.journalmetro.com/montreal/article/665859--quadrilatere-saint-laurent-la-ville-veut-poursuivre-les-discussions-avec-la-sda

 

«Chaque projet porte sa croix et sa bannière pour des raisons de balkanisation de la fusion [fusions et défusions], de game politique, de problèmes de juridiction entre arrondissements»,

 

Il a raison sur le fond, mais ces problèmes ne s'appliquent pas au Quadrilatère St-Laurent!! Y'a pas de problème de jusridiction pour ça! Non?

 

 

processus d’expropriation du bar de danseuses nues Le Cléopâtre qui durera environ cinq ans

 

CINQ ANS pour déloger ce taudis??????? What the f.........!!!!!!!!!!!!!!!!:flamed:

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Quadrilatère St-Laurent

Débat autour d'un projet difficile

Mise à jour le mardi 19 octobre 2010 à 9 h 58

 

Projet coin Saint-Laurent-Ste-Catherine

 

Le projet de revitalisation du boulevard St-Laurent est englué dans un imbroglio administratif et juridique qui impatiente le promoteur et désole les commerçants du secteur. Quant à la Ville de Montréal, elle rétorque qu'en s'engageant dans ce projet, le promoteur savait à quelles difficultés il ferait face.

 

Tel est l'essentiel du débat qui fait rage depuis quelques jours autour du Quadrilatère St-Laurent, un projet de développement immobilier destiné à revitaliser une portion cruciale du centre-ville, soit le boulevard St-Laurent, au sud de la rue Sainte-Catherine.

 

Le promoteur, la Société de Développement Angus (SDA), a annoncé cette semaine qu'à son avis, le projet ne verrait pas le jour avant quatre ou cinq ans.

 

Selon le président-directeur général de la SDA, Christian Yacarini, le Quadrilatère Saint-Laurent, qui doit notamment transformer des immeubles tels que le Monument national et le Café Cléopâtre, est entravé par des complications telles que le promoteur se dit « complètement paralysé ».

 

Le promoteur dit qu'il se heurte « au chaos ».

 

Au promoteur, qui a fait part de sa frustration au quotidien Le Devoir, la Ville de Montréal rétorque que la Société de développement Angus connaissait les risques et difficultés associés à ce projet avant de le proposer.

 

De plus, l'administration municipale affirme que d'autres projets au centre-ville se réalisent, quoi qu'en dise Christian Yaccarini. Car, selon ce dernier, il est laborieux de mener à bien des projets de développement à Montréal : « Quand tu es sur le terrain à essayer de développer cette ville, tu te heurtes au chaos », d'affirmer Christian Yacarini.

 

Les propos du PDG de la Société de développement Angus font réagir un autre acteur dans ce dossier, soit le directeur général de la Corporation de développement urbain du Faubourg Saint-Laurent et représentant des commerçants, Jérôme Vaillancourt. Celui-ci se dit étonné des propos du PDG de la SDA et déçu « d'en arriver à ce point-là après toutes ces années ».

 

Autrement dit, l'héritage qu'on va avoir c'est une verrue dans le coeur du quartier des spectacles pour les cinq prochaines années à moins qu'un acheteur potentiel se pointe à l'horizon, mais...

 

— Le directeur général de la Corporation de développement urbain du Faubourg Saint-Laurent et représentant des commerçants, Jérôme Vaillancourt

 

Un développement en deux étapes

 

La Société de développement Angus souhaitait mener à bien le projet du Quadrilatère Saint-Laurent en procédant par étapes.

 

Une première phase aurait consisté à rénover les immeubles entre le Monument national et le Café Cléopâtre. Puis, dans une deuxième phase, la SDA aurait développé et rénové un autre tronçon du boulevard Saint-Laurent, cette fois jusqu'à la rue Sainte-Catherine.

 

Mais un règlement municipal rend impossible ce développement par étapes. De plus, un litige juridique fait obstacle au promoteur; le propriétaire du Café Cléopâtre ayant refusé de déménager son commerce. Enfin, le promoteur fait face au défi de devoir préserver les façades de commerces avoisinant le Monument national. Ces façades décrépites sont menacées d'effondrement si les travaux ne sont pas menés avec toutes les précautions requises.

 

En janvier dernier, la SDA avait fait l'acquisition de deux terrains. À ce moment-là, le promoteur parlait de commencer ses travaux dès le mois d'août... Mais, malgré les retards qui affligent maintenant le projet, le promoteur fait preuve d'optimisme. D'autant plus que la construction d'un autre pan de ce projet est en cours, celle du 2-22 Sainte-Catherine, dans le Quartier des spectacles.

 

http://www.radio-canada.ca/regions/Montreal/2010/10/19/002-Mtl-Quadrilatere-StLaurent.shtml

 

 

J'ai du mal à croire que Tremblay n'interviendra pas encore cette fois-ci comme il l'a fait pour le 2-22. Après tout, c'est la même raison qui l'avait amené à intervenir pour le 2-22 qui devrait l'inciter à intervenir dans ce dossier-ci, à savoir l'impact de ce projet sur le QDS. Or, l'urgence est encore plus grande pour le projet du Quadrilatère Saint-Laurent, car si on est effectivement "pogné" avec ce no man's land pendant 5 ans, c'est le quartier en entier qui va en souffrir.

 

La Ville ne pourrait-elle pas racheté les terrains à la SDA pour ensuite ou bien les revendre à un autre promoteur, ou bien travailler (en partenariat avec le gouvernement du Québec par exemple) au développement de son propre projet sur ce terrain?

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J'ai peine à croire que la ville n'acceptera pas de laisser le promoteur construire son projet en deux ou plusieurs étapes. À mon avis je crois que c'est la meilleure solution car non seulement cela fera avancer les choses et que l'on ne sera pas ''poignée'' avec un ''no man's land'' pendant 5 ans mais je pense sincèrement que deux ou trois projets indépendants auraient plus du gueule qu'une grosse boite ou d'un gros cube moderne, comme la thermopompe qu'on nous avait présenté.

 

Pourquoi pas quelque chose de sobre et discret à coté du Monument National et ensuite quelque chose de plus funky pour ensuite finir avec quelque chose de très osé et futuriste avec plus de hauteur sur la partie au nord du Café Cléopatre (soit celle donnant sur Ste-Catherine) ?

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  • 1 mois plus tard...

Réinventer la ville - Autopsie d'un chantier

L'architecte français Paul Andreu livre le bilan de l'échec de ses projets montréalais

Stéphane Baillargeon 8 décembre 2010 Actualités culturelles

 

Photo : Agence France-Presse Teh Eng Koon

Le «starchitecte» français a réalisé l’Opéra de Pékin, un gigantesque nid de titane posé sur un lac en plein centre de la ville.

Il faut plus que du béton et de l'asphalte pour développer une rue, un quartier, une ville à échelle humaine. Le Devoir poursuit sa série intermittente sur les exemples québécois à suivre et les erreurs à ne plus répéter.

 

Le Devoir en France - Il est venu, il a vu, on l'a vaincu. L'architecte français Paul Andreu a planché pendant des mois sur des plans de revitalisation du «coeur de la Main», boulevard Saint-Laurent, à Montréal. La Vitrine culturelle (le 2-22) sera inaugurée l'an prochain, bien en retard et pas selon ses plans. Le gratte-ciel gisant au nord du Monument-National, prévu pour les bureaux d'Hydro-Québec, a disparu des radars. L'immeuble rêvé au-dessus de l'édicule du métro Saint-Laurent n'existera pas. Tout stagne, rien ne va vraiment, et adieu M. Andreu.

 

«Deux visions s'affrontaient et la nôtre a perdu, résume l'architecte, rencontré fin novembre dans ses bureaux parisiens. La nôtre proposait de faire évoluer le quartier en y introduisant du nouveau. L'autre vision, celle de la Ville notamment, répétait qu'il ne faillait pas dénaturer le secteur, qu'il fallait respecter l'esprit montréalais, la pierre, la brique, l'entrée dans les angles, etc. Est-on seulement allé voir l'état de ce quartier délabré quand on dit ça? Je comprends très bien ce débat. Il faut l'avoir pour protéger l'héritage et se permettre des innovations. Mais on peut aussi trouver des solutions qui mêlent le nouveau et l'ancien. Le mélange est possible et dynamisant.»

 

M. Andreu répète avoir été «très, très bien reçu à Montréal». Il observe tout de même que les moyens n'étaient pas à la hauteur des fins. «Il y avait clairement un problème économique. Pour réussir, il fallait faire du mètre carré. On était donc parti sur un projet un peu haut, trop volumineux qui a déplu. Mais c'est faute d'argent. [...] Je suis triste que ça ne soit pas allé au bout. Je suis aussi triste pour le donneur d'ouvrage, qui était passionné. Pour lui, ça doit être un vrai crève-coeur.»

 

Une certaine lourdeur...

 

Ce donneur de contrats, c'est Christian Yaccarini, président de la Société de développement Angus (SDA), qui avait personnellement contacté M. Andreu à Paris, en 2008, pour lui offrir de collaborer avec les firmes Aedifica et GHA au plan de revitalisation de la Main.

 

«La collaboration avec M. Paul Andreu, nous en sortons déçus en termes de résultats, dit M. Yaccarini, en entrevue par courriel. Pas du tout à cause de Paul Andreu lui-même, qui est un grand architecte et une personne possédant de belles valeurs. Mais parce que le projet n'a pu se réaliser. Si Paul Andreu ne travaille plus avec nous, c'est parce que le projet du Quartier Saint-Laurent ne s'est pas réalisé et que le projet du 2-22 tel que développé n'a pas obtenu le fameux consensus qui, hélas! nous empêche souvent d'innover de façon positive.»

 

Le président de la SDA critique ensuite «la lourdeur bureaucratique et la façon dont l'Office de consultation de Montréal a procédé aux consultations». Il dénonce également «la jalousie et la mesquinerie de certains intervenants qui ont fait que le projet avec Hydro-Québec est devenu caduc». Il endosse finalement une part de responsabilité due à sa «naïveté».

 

Le projet au nord du Monument-National est toujours bloqué par le refus du café Cléopâtre de déménager. Le 2-22 est en construction et sera inauguré cinq ans après sa première idéation. En Chine, c'est à peu près le temps qu'il faut pour reconstruire une ville...

 

Vite, vite, vite...

 

M. Andreu en sait quelque chose. Son bureau construit maintenant beaucoup en Chine. Le «starchitecte» français qui s'est fait un nom comme concepteur d'aéroports (dont Charles-de-Gaulle), y a notamment réalisé le magnifique Opéra de Pékin, un gigantesque nid de titane posé sur un lac en plein centre de la ville.

 

M. Andreu planifie maintenant l'aménagement d'un ancien aéroport militaire pour une ville de taille moyenne entre Pékin et Shanghai. «Le TGV va y passer et il faut aménager 2 ou 2,5 millions de mètres carrés d'espace, explique-t-il. On a discuté et j'ai proposé de placer les investissements publics au centre et de déplacer en retrait le musée, un opéra, une salle de concert et un hôtel. Seulement, c'est épuisant de travailler avec les Chinois parce qu'ils veulent tout, tout de suite. Il faut faire attention pour bien faire. Je leur dis toujours: "Ce n'est pas parce que vous avez deux femmes que vous pouvez faire un enfant tous les quatre mois et demi". Notre métier passe par les idées et les idées, on ne peut pas les stimuler artificiellement.»

 

Montréal donne donc l'impression de fonctionner à l'envers, sans résultat toutefois. «Montréal, c'est le contraire de la Chine, dit finalement Paul Andreu quand on le force à la comparaison. Là-bas, on construit vite, trop vite. C'est plus lent à Montréal. Mais je vais vous dire en toute honnêteté, à Paris, c'est compliqué aussi, même si les opérations téléguidées par la Ville y passent plus facilement. Chez vous, Christian, il se battait contre des montagnes et il se cherchait constamment des amis. C'était très compliqué et il se bagarrait contre tout le monde.»

 

http://www.ledevoir.com/culture/actualites-culturelles/312572/reinventer-la-ville-autopsie-d-un-chantier

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C'est une entrevue extrêmement intéressant! Merci pour le lien! Je dois avouer ne pas avoir été impressionné outre-mesure par les propositions de Paul Andreu. J'étais ravi au début qu'on l'ait choisi, mais ses idées ont été un peu décevante. La première mouture du 2-22 était moins belle que la nouvelle (je trouve), et son projet pour le Quadrilatère, pas très inspirant. Je crois que le principal problème de la vision de M. Andreu, c'est qu'il a toujours (presque) travaillé sur des projets grandioses et surtout très isolés physiquement. Des aéroports, l'opéra à Pékin, le Grand Arc à Paris, etc. ce sont tous des projets qui n'exigent pas d'intégration à un milieu déjà densément occupé puisqu'ils sont situés dans des espaces très larges (ou bien, on a rasé des quartiers existants pour leur faire de la place. Comme pour Radio-Can ici). Je crois qu'il n'a pas su trouver sa voix entre les impératifs de conservation d'un quartier historique assez dense et le besoin d'être marquant et original. C'était probablement un mauvais casting, tout simplement.

 

Il a raison par contre sur le fait que le besoin de consensus ici est paralysant. Faudra arrêter de geler à chaque fois que des chiâleux râlent pour rien.....

 

Et j'espère que ça ne nous empêchera pas de faire appel à d'autres grands architectes pour de futurs projets! Dommage toute cette histoire.

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Très bonne intervention Mtlman, par contre, ce que je retiens le plus de ce que Andreu ;a dit c'est ceci:

 

Il observe tout de même que les moyens n'étaient pas à la hauteur des fins. «Il y avait clairement un problème économique. Pour réussir, il fallait faire du mètre carré. On était donc parti sur un projet un peu haut, trop volumineux qui a déplu. Mais c'est faute d'argent.

 

C'est pour cette raison que je dis que notre société doit s'enrichir. On pourrait finalement se payer des belles choses!

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  • 2 semaines plus tard...

Publié le 21 décembre 2010 à 00h00 | Mis à jour à 05h00

 

Expropriation du Café Cléopâtre: la SDA songe à jeter l'éponge

 

Éric Clément

La Presse

 

 

La Société de développement Angus (SDA) songe à se retirer du processus d'expropriation du Café Cléopâtre, pour lequel elle se bat depuis trois ans afin de créer, sur le boulevard Saint-Laurent, un vaste complexe immobilier au nord du Monument-National.

 

Las de dépenser des dizaines de milliers de dollars en frais juridiques dans cette bataille qui implique aussi la Ville de Montréal, l'organisme aurait conclu à l'impossibilité de s'entendre à l'amiable avec le propriétaire du Café Cléopâtre, Johnny Zoumboulakis.

 

Du coup, la SDA pourrait tout simplement renoncer dès le mois prochain à acquérir l'édifice qui abrite le bar de spectacles et de danseuses nues. Joint au téléphone, le président de la SDA, Christian Yaccarini, confirme que son organisme se trouve «devant un blocage complet».

 

«Nous ne pensons pas être capables d'arriver à une entente avec les avocats du Café Cléopâtre, dit-il. Ils ne font que de l'obstruction, et leurs avocasseries démontrent qu'ils ne veulent pas en arriver à une entente. Alors, plutôt que de payer pour assister à des pitreries juridiques, il vaut peut-être mieux laisser tomber.»

 

Normalement, sept jours sont prévus en septembre au palais de justice de Montréal, seulement pour débattre du droit d'expropriation devant un juge. La décision de renoncer à l'expropriation du Café Cléopâtre n'est toutefois pas encore prise. La SDA décidera à la prochaine réunion de son conseil d'administration, fin janvier, si elle continue d'être partie prenante du processus d'expropriation ou si elle s'en retire.

 

La décision de ne pas exproprier le café serait lourde de conséquences pour ce secteur du centre-ville, qui nécessite plus que jamais d'être modernisé. Le projet immobilier sera-t-il reporté sine die? Selon nos sources, la SDA devrait quand même construire sur les terrains compris entre le Monument-National et le Café, et entre le Café et la rue Sainte-Catherine.

 

La Ville de Montréal poursuivra-t-elle l'expropriation? Devrait-on incorporer la structure architecturale du Café au nouveau complexe? À l'arrondissement de Ville-Marie, ni le maire Gérald Tremblay, ni un conseiller municipal, ni même un membre de l'administration n'ont répondu à la demande d'entretien de La Presse.

 

À la ville centre, on préfère attendre la décision officielle de la SDA. «À ce jour, le conseil d'administration de la SDA n'a transmis aucune recommandation à la Ville visant l'annulation de l'expropriation du Café Cléopâtre», nous a dit Isabelle Poulin, porte-parole de la Ville.

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C'est tellement décourageant. J'aurais envie d'organiser des séances de pitchage d'oeufs et de tomates pourries sur ce putain de bouiboui infect! Je comprends bien le principe qu'un propriétaire ait le droit de défendre ses droits d'opérer un commerce, mais ici, ça me semble bien différent. Zoumboulakis est d'une épouvantable mauvaise foi. Et il fait que perpétuer une situation déjà exécrable qui ne lui sera aucunement profitable! Ce quadrilatère va rester décrépit pendant des années, il ne pourra attirer aucune meilleure clientèle que ce qu'il a maintenant, et son "café" sera le seul commerce ouvert d'un bloc de rue entièrement placardé.

 

Y'a de bons coups de pied au cul qui se perdent, je vous le dis.......:mad:

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