Aller au contenu

Le Cardinal - 19 étages


Brick

Messages recommendés

il y a 30 minutes, Le Roach a dit :

Seigneur, encore des gens qui chialent contre un projet! Un autre projet (qui semble convenable) qui risque d'avorter à cause de méchants voisins jamais contents.

  • Sad 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 26 minutes, Weka 29 a dit :

Seigneur, encore des gens qui chialent contre un projet! Un autre projet (qui semble convenable) qui risque d'avorter à cause de méchants voisins jamais contents.

Surtout que cet édifice va cacher la structure surélevée et empêcher le son de se propager. 

  • D'accord 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Il y a 6 heures, Brick a dit :

Surtout que cet édifice va cacher la structure surélevée et empêcher le son de se propager. 

C'est plus facile de chialer contre l'édifice ET contre le bruit...

  • Haha 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 11 minutes, KOOL a dit :

Ça habite un 4 étages en plein centre-ville et c'est surpris d'un jour perdre sa vue sur le skyline. 😂

Pas sur la vue sur le skyline, celle sur le Mont-Royal...

🏔️

  • D'accord 1
  • Haha 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 mois plus tard...
Il y a 13 heures, Le Roach a dit :

 Pistes cyclable ou logements sociales pourvu que sa tombe dans les bonnes grâce du parti aucune opposition n'arrêtera leurs projets. 

 

Des projets de tours qui suscitent des critiques: https://lp.ca/e5zPfd?sharing=true

 

 

Le problème c'est que les chialeux, même les plus insignifiants, trouvent écho au sein de l'administration actuelle. Ça ne m'étonnerait pas qu'on demande au promoteur de réduire la hauteur à 6 ou 8 étages, malgré que le zonage permet de construire bien plus haut.

  • D'accord 3
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 19 minutes, Weka 29 a dit :

Le problème c'est que les chialeux, même les plus insignifiants, trouvent écho au sein de l'administration actuelle. Ça ne m'étonnerait pas qu'on demande au promoteur de réduire la hauteur à 6 ou 8 étages, malgré que le zonage permet de construire bien plus haut.

Pas juste l’administration, les médias aussi. 

  • D'accord 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

il y a 6 minutes, Brick a dit :

Pas juste l’administration, les médias aussi. 

Oui, c'est vrai que certains médias (on ne nommera pas lesquels) sont très tendancieux et pro-PM, pro-ti-Amis, etc.

  • Like 2
  • D'accord 1
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Dans le Devoir ce matin sous la plume de François William Croteau. J'attire votre attention sur l'avant-dernier paragraphe. Étonnant pour un ancien élu de PM!:

Quelle densité urbaine est acceptable?

En fin de semaine, nous apprenions qu’UTILE, l’organisme voué à la création de logements étudiants abordables, se heurte à l’opposition de riverains habitant en face de deux projets de résidences étudiantes. L’objet de leur discorde ? La hauteur et la densité des constructions, qui suscitent des inquiétudes au sein des communautés avoisinantes. 

Il est essentiel de rappeler l’objectif premier d’UTILE : fournir des habitations à coût modéré aux étudiants. En s’associant avec des établissements scolaires, des associations étudiantes et des partenaires des secteurs privé et public, UTILE s’efforce de concrétiser des initiatives de logement non seulement abordables, mais respectueuses de l’environnement. En ces temps de crise du logement touchant de plein fouet les étudiants, parmi d’autres, les projets d’UTILE représentent une bouffée d’oxygène.

On pourrait vite tomber dans la critique du syndrome « pas dans ma cour » ou de la simple résistance au changement, évidemment. Il y a ceux qui soupirent de soulagement en sachant que ces initiatives échapperont aux méandres d’un processus d’approbation référendaire puisqu’il s’agit de logements abordables. Et il y a ceux qui s’en offusquent et auraient voulu pouvoir sauter sur l’occasion pour bloquer leur réalisation. On entend déjà certains murmurer qu’il vaudrait mieux révoquer cette dérogation réglementaire, et ce, pour tous les projets, sans exception.

Mais ce n’est pas le coeur du débat que je souhaite faire ici. Ma véritable interrogation concerne notre ouverture à accueillir des projets de haute densité en dehors des quartiers typiquement désignés pour accueillir des constructions dites verticales. Les réflexions essentielles à mener incluent les deux questions suivantes. Doit-on systématiquement faire rimer densité avec hauteur ? Et existe-t-il une manière unique d’envisager la densité urbaine ?

Les réponses à ces questions sont bien sûr loin d’être simples. Souvent débattue, la densité est une notion qui se définit essentiellement en fonction du contexte du projet. Cela peut sembler une évidence, mais il est crucial de ne pas tirer de conclusions hâtives qui nous ramèneraient à des idées reçues sur la résistance au changement.

Pour mettre les choses en perspective, examinons les chiffres de densité de population de quelques grandes villes. Prenons Paris, par exemple, avec ses 20 359,6 habitants par kilomètre carré (hab./km²), New York, avec 10 194 hab./km², la plus dense des États-Unis, Tokyo, à 6313 hab./km², Londres, à 5596 hab./km², et Rome, à aussi peu que 2300 hab./km². Comparons cela à Montréal, qui affiche une densité de 4323 hab./km², et au coeur urbain de Québec, avec 2790 hab./km².

Ces chiffres démontrent qu’il est réducteur de lier directement densité et hauteur des constructions. En creusant encore, prenons l’exemple du quartier de La Petite-Patrie à Montréal, qui présente une densité de 10 373 hab./km², et celui du Plateau-Mont-Royal, avec 12 792 hab./km², deux des quartiers les plus densément peuplés au Canada, et ce, avec principalement des duplex et des triplex.

Tout en maniant ces chiffres avec précaution, il faut reconnaître la multiplicité des chemins vers une urbanisation équilibrée qui n’implique pas systématiquement de construire vers le ciel. L’histoire de l’urbanisme nous enseigne que densifier de manière réfléchie et respectueuse de l’environnement urbain existant est non seulement possible, mais préférable à une stratégie de développement axée exclusivement sur la hauteur. Il s’avère impératif de concevoir des projets qui s’harmonisent avec leur contexte, favorisant une insertion douce plutôt qu’une imposition brutale.

La définition même de l’échelle humaine, telle que promue par l’architecte, urbaniste et entrepreneur danois Jan Gehl, nous invite à penser les espaces de vie de manière à enrichir l’expérience quotidienne des citadins, loin de l’anonymat des tours dominantes. Cette échelle, flexible, peut signifier l’adoption de 6 à 10 étages dans certains environnements, tout en se limitant à 2 ou 3 étages dans d’autres, illustrant l’adaptabilité nécessaire pour répondre aux défis de la densité urbaine de façon humaine et contextuelle.

Confrontés aux réalités du marché immobilier, où les prix prohibitifs des terrains rendent la construction de maisons de petit gabarit en centre-ville peu envisageable, nous devons naviguer entre les attentes des habitants et la rentabilité attendue par les promoteurs. La véritable solution réside dans une stratégie de densification adaptative prenant en compte les spécificités de chaque territoire et intégrant une diversité de formes de logement. Ainsi, en dépassant le faux dilemme densité-hauteur, on peut envisager une densification qui répond à la fois aux impératifs de rentabilité et aux aspirations des citadins.

Résumons grossièrement. On peut affirmer que les deux projets d’UTILE sont tout à fait à la bonne échelle dans leur contexte, tout comme une tour de 40 étages l’est au centre-ville. En revanche, implanter de tels projets au milieu d’un quartier de duplex et triplex ne s’harmoniserait guère avec l’environnement existant.

Explorer différentes stratégies de densification urbaine nous amène à réfléchir sur des scénarios nouveaux pour nos villes québécoises. Cela permettra de répondre à la crise du logement à une échelle plus humaine. En attendant, on peut imaginer quel visage auraient nos villes si, au lieu de privilégier la construction de bungalows dès les années 1950, nous avions persisté dans le développement de duplex et de triplex !


http://url4076.ledevoir.com/ls/click?upn=TJCwaaM5-2FqB037DQysoZd5FcKyhJWJtbgeUwNUoOw438CJZJdQTQR5ZPNKzIju5ojgCODlwirDO3QvwXPhw1kMICfbT-2BJPE02MVorA6Lo7Skt-2FaZ5ZDMWCCXUTt91pi5TZQLTM6GQSC6uLh-2BoBMMqw-3D-3Db_cI_SBlPll9eijX3hM0xliDQHL0uu7HagOIJV6rRP06Rrs8q-2B-2BBK3a4SGXrzVAfw0y1FcOa5CoEjEV2qBL3HHOQ5v8e-2FXNwdrz9Fr15XmlXwk0JwhFtzXTOz5Q9r8eTCnCt0xDAKGsikwPjxABdAzEH-2Fn6ErsVqj2nYRUSTkJcZp-2FdIwt5Vvyn2dpf40lmBc8C-2BLkIBWJSZw0WDM5vZKRManS6kctf-2B4CzM1d2ejX4hK328-3D

 

 

  • Thanks 2
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Join the conversation

You can post now and register later. If you have an account, sign in now to post with your account.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Vous avez collé du contenu avec mise en forme.   Supprimer la mise en forme

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   You cannot paste images directly. Upload or insert images from URL.


Countup


×
×
  • Créer...