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Économie du Québec ​​


Normand Hamel

Messages recommendés

il y a 13 minutes, _mtler_ a dit :

Exacte. Qu’on arrête de dire « ya but we have free health care ». One, it’s not free and two, it sucks. Covid proved it doesn’t work. 

Free enterprise doesnt work either, it crashed in 2008 after years of excess and your fabulous american system was saved by taxpayers money! How ironic. Either way, its screwed. Do you have a 3rd way?

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7 minutes ago, Rocco said:

Free enterprise doesnt work either, it crashed in 2008 after years of excess and your fabulous american system was saved by taxpayers money! How ironic. Either way, its screwed. Do you have a 3rd way?

Yes Europe ca coute moins cher qu'ici leur systeme de santé et il est plus efficace.

Aux USA ils ont des docteurs millionaires mais productif. 

Ici on a des docteurs millionnaires mais loin d'etre productif. 

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Il y a 3 heures, _mtler_ a dit :

Exacte. Qu’on arrête de dire « ya but we have free health care ». One, it’s not free and two, it sucks. Covid proved it doesn’t work. 

What sucks more: waiting more to get a surgery or die because you can't afford said surgery ?

We need to improve productivity in healthcare, that is a given, but the majority of the population gets better care than in the USA, and without having to go bankrupt for it.

That being said, you are right to say it isn't free.  It is public, therefore paid by taxes, most of which come from "evil" rich people. 

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6 hours ago, ToxiK said:

What sucks more: waiting more to get a surgery or die because you can't afford said surgery ?

We need to improve productivity in healthcare, that is a given, but the majority of the population gets better care than in the USA, and without having to go bankrupt for it.

That being said, you are right to say it isn't free.  It is public, therefore paid by taxes, most of which come from "evil" rich people. 

 

Les docteurs Francais veulent tous venir ici parceque plus payant. Meme si le systeme de santé Francais est parmi l'un des meilleurs. 

Ici au Quebec les medecins veulent les salaires des medecins americains mais n'ont pas les meme responsabilités qu'eux qui sont sujets a des poursuites quand les soins sont mal prodigué.

 

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  • 2 semaines plus tard...

Adieu, Alberta advantage. In post-boom oil province, the rich get fewer

The number of Albertans making six figures has plunged, but same goes for lowest income bracket, too: census

Jason Markusoff · CBC News 

For ages, it was the Alberta dream: come west, or head north to Fort McMurray, and almost anybody could wind up pulling in a salary above $100,000 driving a truck or as a carpenter. 

The oil price crash of 2015 took a baseball bat to those fantasies, with heavy job losses from the oilsands to the rigs to the Calgary head offices.

New census data lays bare just how significant the decline was on the high end of the salary scale. Between 2015 and 2020, the number of Albertans making six-figure incomes dropped by 75,000 people.

To put it another way, in a short few years the province shed one-sixth of its high-end earners. Over the same span, Canada as a whole gained one-eighth more members of the 100K club, as economies and populations grew.

Consider the comparative fortunes of Quebec. In 2015, there were 540,790 Albertans with gross incomes above $100,000, compared to 437,065 in Quebec, despite that province having double the population.

Five years later, those numbers virtually flipped, thanks to Alberta's resource sector crash and a robust and more diverse Quebec economy. By 2020, there were 556,780 residents of la belle province above that income plateau, compared to 453,550 in its western counterpart, according to census data.

https://www.cbc.ca/news/canada/calgary/census-alberta-six-figure-salaries-1.6521114

Screen Shot 2022-07-15 at 10.06.32 AM.png

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L’agence de notation Japan Credit Rating Agency hausse la cote de crédit du Québec de « AA+ » à « AAA »

L’agence de notation Japan Credit Rating Agency (JCR) a annoncé l’augmentation de la cote de crédit du Québec d’un échelon, la faisant passer à « AAA », soit la meilleure cote possible. Jamais la cote de crédit attribuée par cette agence au Québec n’avait atteint un tel niveau.

Selon l’agence japonaise, la solidité de l’économie québécoise a permis une forte reprise et un abaissement du poids de la dette par rapport au niveau d’avant la pandémie. Grâce à cette résilience, le Québec peut bénéficier de la meilleure qualité de crédit qui soit de la part de JCR. L’agence indique par ailleurs que le gouvernement s’est engagé à revenir à l’équilibre budgétaire d’ici 2027-2028 et à poursuivre la réduction du poids de la dette.

http://www.finances.gouv.qc.ca/documents/Communiques/fr/COMFR_20220715.pdf

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1 hour ago, urbino said:

Encore un effet de la loi 96?

Ca fait longtemps que la cote de credit s'ameliore. Merci a Carlos Leitao.

Pour ce qui de la loi 96 on verra dans un futur proche. Si les ayatollah de la langue commence a faire du zele.

Surtout dans le domaine des technologies de l'information. 

 

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  • 4 semaines plus tard...

Investissements

Quatre chantiers portuaires dans l’est du Québec

 

PHOTO JÉRÔME BÉLANGER, FOURNIE PAR LA SOCIÉTÉ PORTUAIRE DU BAS-SAINT-LAURENT ET DE LA GASPÉSIE

Le port de Matane

C’est l’occasion d’une génération pour le secteur portuaire dans le Bas-Saint-Laurent et en Gaspésie. À l’abandon depuis des années parce qu’Ottawa voulait s’en défaire, quatre ports auront droit à une cure de rajeunissement, urgente dans certains cas, ou à un agrandissement.

Publié à 5h00

https://www.lapresse.ca/affaires/2022-08-08/investissements/quatre-chantiers-portuaires-dans-l-est-du-quebec.php

Julien Arsenault La Presse

« On ne refera pas cela dans notre vie professionnelle », reconnaît Anne Dupéré, présidente-directrice générale de la Société portuaire du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie, dans une récente entrevue avec La Presse lors de son passage à Montréal. « On sait que nos ports peuvent avoir de l’attractivité. »

Matane (81 millions), Rimouski (39 millions), Gros-Cacouna (10,7 millions) et Gaspé (7,8 millions) ont reçu environ 140 millions de Québec au printemps dernier. Avec son équipe, la Matanaise a peaufiné la planification des prochaines années.

Le défi est d’envergure puisque la situation varie d’un endroit à l’autre (voir plus bas). Si les ports de Gros-Cacouna et de Gaspé ont les yeux sur l’expansion de leur capacité d’entreposage, d’autres, comme Matane, ont du rattrapage à faire.

« Matane avait été déclaré en fin de vie par Transports Canada avant le transfert, souligne Mme Dupéré. Le quai ne pouvait même pas accueillir un camion. La capacité portante avait été déclarée à zéro de manière préventive. »

Un besoin d’amour

Depuis l’adoption de la Politique maritime nationale, en 1995, le gouvernement fédéral a transféré des ports ainsi que d’autres biens maritimes à des provinces et à des collectivités locales. Matane, Rimouski, Gros-Cacouna et Gaspé figuraient sur la liste.

La Société n’a pas l’ambition d’empiéter sur les plates-bandes d’installations comme celles de Montréal, de Québec et de Trois-Rivières, mais veut plutôt déployer des projets qui répondent aux besoins des acteurs locaux. Cela ne semblait pas être au cœur des priorités d’Ottawa, selon Mme Dupéré.

Transports Canada voulait s’en départir depuis 1995. C’est comme quand tu veux vendre ta maison et qu’elle ne se vend pas. Tu n’as peut-être pas le goût d’investir. Une entreprise vient te voir pour un projet, mais il n’y a pas d’écoute et d’intérêt. Nous, on a les liens avec le milieu.

Anne Dupéré, présidente-directrice générale de la Société portuaire du Bas-Saint-Laurent et de la Gaspésie

Les changements ne s’observeront toutefois pas du jour au lendemain, prévient Mme Dupéré. Le plan stratégique en est à ses balbutiements. Par exemple, à Matane, le réaménagement s’effectuera sur une décennie.

Brian Slack, professeur émérite à l’Université Concordia et spécialiste du transport maritime, estime que la somme consentie aux quatre ports est « considérable ».

« Ces infrastructures remplissent des fonctions locales et jouent des rôles importants », explique l’expert, dans un courriel à La Presse, en s’interrogeant toutefois sur la viabilité actuelle des ports sous l’égide de la Société.

Le transfert des quatre ports s’était accompagné d’une compensation financière d’environ 150 millions accordée au gouvernement du Québec. Cette enveloppe finance 60 % des investissements annoncés au printemps dernier. Le reste de l’argent provient du gouvernement Legault.

20

Nombre de ports sur l’ensemble du territoire québécois.

Source : Société de développement économique du Saint-Laurent

Les quatre projets

 

PHOTO OLIVIER PONTBRIAND, ARCHIVES LA PRESSE

Quai du port de Matane, en 2017

Matane

C’est l’endroit où il y a le plus de pain sur la planche. En plus de reconstruire le quai en fin de vie, on veut ajouter un poste à quai et un espace d’entreposage de 12 000 mètres carrés (130 000 pieds carrés). « Notre défi, c’est de maintenir les activités pendant qu’on refait un quai », dit Mme Dupéré. Des entreprises, comme Sappi Global, qui se spécialisent dans les pâtes et papiers, entreposent leur production au port avant de l’exporter.

 

PHOTO HUGO-SÉBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE

Navire cargo-passagers Bella Desgagnés amarré au port de Rimouski, en 2013

Rimouski

Une portion des installations (la jetée ouest), exposée aux intempéries, avait été condamnée et fermée par Transports Canada. Un important travail de reconfiguration est nécessaire pour permettre des activités portuaires et offrir l’accès aux habitants.

 

PHOTO TIRÉE DU SITE INTERNET DE LA SOCIÉTÉ PORTUAIRE
DU BAS-SAINT-LAURENT ET DE LA GASPÉSIE

Port de Gaspé

Gaspé

Le port est à l’étroit avec l’expansion de LM Wind Power, qui fabrique des pales d’éoliennes surdimensionnées (107 mètres) pour le marché américain. La superficie d’entreposage sera plus que doublée avec une bonification de 16 000 mètres carrés (172 000 pieds carrés). « Ça va amener des affaires, dit Mme Dupéré. Ce que tu n’as pas, tu ne peux pas l’offrir. Gaspé est bien situé avec son accès à l’Atlantique. »

 

PHOTO TIRÉE DU SITE INTERNET DE LA SOCIÉTÉ PORTUAIRE
DU BAS-SAINT-LAURENT ET DE LA GASPÉSIE

Port de Gros-Cacouna

Gros-Cacouna

C’est l’endroit en meilleur état, selon Mme Dupéré. Le port veut ajouter des espaces de vrac pour grandir du côté du transport de marchandises, mais cela s’accompagne d’un défi puisque le secteur est considéré comme la pouponnière du béluga. « Il faut penser à des projets où l’on diminue le trafic maritime. Sans la capacité d’entreposage, tu ne peux pas faire cela », souligne la présidente de la Société.

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  • 2 semaines plus tard...

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