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Économie du Québec ​​


Normand Hamel

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L’économie du Québec freinée par le manque de main-d’œuvre

Alors qu’elle devrait s’accélérer à 1,9 % pour tout le Canada, la croissance au Québec devrait ralentir autour de 1,5 % cette année en raison surtout du manque de main-d’œuvre, anticipe la firme de services-conseils Deloitte dans ses Perspectives économiques 2020 qu’elle distribue ces jours-ci parmi sa clientèle de gestionnaires d’entreprises.

Martin Vallières - La Presse

« À l’instar de l’économie nationale, la plupart des économies provinciales s’accéléreront cette année, une tendance qui devrait se concrétiser de l’Ontario à la Colombie-Britannique, en passant par les Prairies. En revanche, la croissance ralentira au Québec, après qu’elle ait atteint son potentiel », lit-on dans le document de Deloitte.

« La croissance au Québec a déjà ralenti d’un demi-point de pourcentage (0,5 %) l’an dernier pour s’établir à environ 2 %. Et cette modération fait suite à plusieurs années de croissance qui ont mené à un resserrement exceptionnel du marché du travail », notent les analystes de Deloitte. 

Par conséquent, « la piètre situation démographique et le manque de main-d’œuvre de réserve limiteront la croissance économique aux environ de 1,5 % cette année. » 

Aussi, les analystes de Deloitte estiment que l’économie du Québec « ne profite pas autant des retombées positives de la faiblesse des taux d’intérêt sur le marché de l’habitation. »

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/202001/08/01-5256102-leconomie-du-quebec-freinee-par-le-manque-de-main-doeuvre.php

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Il y a 2 heures, Normand Hamel a dit :

L’économie du Québec freinée par le manque de main-d’œuvre

Alors qu’elle devrait s’accélérer à 1,9 % pour tout le Canada, la croissance au Québec devrait ralentir autour de 1,5 % cette année en raison surtout du manque de main-d’œuvre, anticipe la firme de services-conseils Deloitte dans ses Perspectives économiques 2020 qu’elle distribue ces jours-ci parmi sa clientèle de gestionnaires d’entreprises.

Martin Vallières - La Presse

« À l’instar de l’économie nationale, la plupart des économies provinciales s’accéléreront cette année, une tendance qui devrait se concrétiser de l’Ontario à la Colombie-Britannique, en passant par les Prairies. En revanche, la croissance ralentira au Québec, après qu’elle ait atteint son potentiel », lit-on dans le document de Deloitte.

« La croissance au Québec a déjà ralenti d’un demi-point de pourcentage (0,5 %) l’an dernier pour s’établir à environ 2 %. Et cette modération fait suite à plusieurs années de croissance qui ont mené à un resserrement exceptionnel du marché du travail », notent les analystes de Deloitte. 

Par conséquent, « la piètre situation démographique et le manque de main-d’œuvre de réserve limiteront la croissance économique aux environ de 1,5 % cette année. » 

Aussi, les analystes de Deloitte estiment que l’économie du Québec « ne profite pas autant des retombées positives de la faiblesse des taux d’intérêt sur le marché de l’habitation. »

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/202001/08/01-5256102-leconomie-du-quebec-freinee-par-le-manque-de-main-doeuvre.php

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Encore, ça fait 4 ans qu'ils disent ça. Ça va ralentir à cause du manque dr main d'oeuvre. Je commence à croire que notre économie est devenu une étrange créature difficile à prévoir.

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Il y a 2 heures, Normand Hamel a dit :

L’économie du Québec freinée par le manque de main-d’œuvre

(ci-dessus titre de l'article cité par Normand Hamel)

C'est une raison de plus de redoubler d'efforts pour accroître la productivité par heure travaillée:  par 1) un accroissement des investissements en machinerie/équipements, et délaisser (to shed en anglais) des activités intensives en main-d'oeuvre et à faible valeur ajoutée, et 2) par un rehaussement des qualifications de la main-d'oeuvre.

- Investissements: les bas taux d'intérêt y sont favorables; des encouragements fiscaux supplémentaires devraient être considérés.

- Rehaussement des qualifications, deux volets: a) programmes mieux ciblés; et b) plus d'avantages incitatifs offerts aux travailleurs (et aux sans emplois) pour suivre cette voie.    

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Il y a 8 heures, Né entre les rapides a dit :

(ci-dessus titre de l'article cité par Normand Hamel)

C'est une raison de plus de redoubler d'efforts pour accroître la productivité par heure travaillée:  par 1) un accroissement des investissements en machinerie/équipements, et délaisser (to shed en anglais) des activités intensives en main-d'oeuvre et à faible valeur ajoutée, et 2) par un rehaussement des qualifications de la main-d'oeuvre.

- Investissements: les bas taux d'intérêt y sont favorables; des encouragements fiscaux supplémentaires devraient être considérés.

- Rehaussement des qualifications, deux volets: a) programmes mieux ciblés; et b) plus d'avantages incitatifs offerts aux travailleurs (et aux sans emplois) pour suivre cette voie.    

La productivité dépend beaucoup dans quel domaine est le travailleur. Dans les ressources energetique pour chaque travailleur on a des revenus beaucoup plus élevés. Meme chose pour l'informatique avec les geants mondiaux comme google , apple facebook, microsoft amazon.

Si on regarde la carte de productivité des usa on se rend compte que c'est surtout le texas , dakota du nord et sud (petrole et gaz) et la californie  et etat de washington (informatique) qui ont la plus haute productivité.

https://www.theatlantic.com/business/archive/2017/03/regla question a se poser est tu trional-productivity/521376/

Meme si les ouvriers ont plus d'éducation n y changera rien. La question a se poser c'est  dans quoi tu travail.

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  • 4 semaines plus tard...

Épargne et endettement: les Québécois font mieux que les Canadiens

Depuis trois ans, le taux d’épargne des Québécois a augmenté de façon spectaculaire pour atteindre maintenant 8 %. Il a emprunté la trajectoire inverse au Canada, passant de 5,1 % à 1,8 % en l’espace de cinq ans, selon une récente étude de Desjardins Études économiques.

Marc Tison - La Presse

En même temps, le taux d’endettement des Québécois a cessé son ascension, pour se stabiliser depuis trois ans aux environs de 155 %. Celui de l’Ontario a continué de grimper, pour atteindre 188 %. « C’est quand même majeur, parce qu’un taux d’épargne autour de 8 % au Québec, on ne l’aurait pas espéré il y a quelques années », commente l’économiste principale Hélène Bégin. « Je me rappelle une époque où le taux d’épargne était inférieur à 1 %. » L’explication réside principalement dans le resserrement du marché de l’emploi au Québec, selon l’économiste. Explications.

Baisse du taux de chômage

La forte expansion de l’économie québécoise a entraîné depuis trois ans une baisse du taux de chômage, qui s’est même maintenu en deçà de 5 % pendant une bonne partie de 2019.

Une population plus âgée

Le vieillissement plus accéléré au Québec qu’au Canada a aussi multiplié les postes disponibles.

Rémunération accélérée

En réaction, la rémunération des travailleurs québécois a crû depuis trois ans d’environ 3 % par année. L’augmentation s’était maintenue entre 1 et 2 % pendant les années précédentes.

Hausse du revenu disponible

Avec l’effet supplémentaire des allégements fiscaux consentis par le fédéral et le provincial, le revenu disponible après impôts a augmenté de près de 5 % par année depuis trois ans.

Plus d’argent en poche

Résultat, les ménages québécois, sans diminuer leurs dépenses de consommation, ont pu épargner davantage. En 2019, ils devraient y avoir consacré environ 8 % de leurs revenus après impôts. En 2018, le taux d’épargne était négatif dans 7 provinces sur 10. Seule l’Alberta devançait – tout juste – le Québec, après avoir connu elle aussi une chute spectaculaire de son taux d’épargne.

Deux courbes à même pente

Depuis trois ans, les revenus après impôts des Québécois ont maintenu une croissance similaire à celle du prix des propriétés, ce qui leur a permis de stabiliser, voire réduire légèrement leur taux d’endettement. En 2019, leurs dettes avoisinent 155 % de leurs revenus après impôts, contre quelque 175 % au Canada.

Le poids de l’hypothèque

Puisque l’hypothèque occupe 75 % de l’ensemble des dettes d’un ménage, le prix des propriétés explique en bonne partie la différence entre les taux d’endettement des Québécois et des autres Canadiens. En novembre 2019, le prix moyen se situait à 331 525 $ au Québec, 628 234 $ en Ontario et 526 303 $ au Canada. Les ménages québécois réservent 28 % de leurs revenus disponibles à l’hypothèque, contre 35 % au Canada et 40 % en Ontario, ce qui laisse moins de place pour l’épargne qu’au Québec, a constaté Hélène Bégin.

https://www.lapresse.ca/affaires/finances-personnelles/202001/31/01-5259166-epargne-et-endettement-les-quebecois-font-mieux-que-les-canadiens.php

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  • 2 semaines plus tard...

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