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Vélodrome

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Imaginez le retour d’un tel projet à deux pas du Stade Olympique et du métro Viau. 

Le vélo est un geste d’équilibre, de motricité et de légèreté. 

C’est autour de ces principes que la conception et l’intégration architecturales s’installent.

Le volume prend place sur le stationnement existant devant le centre Pierre-Charbonneau. Il se positionne sur le point haut du terrain vers le stade Saputo et la rue Sherbrooke. Ceci permet de créer une place urbaine qui communique avec les autres bâtiments au même niveau.

3) voiles se déploient autour du volume de base, soit la piste de vélo. Décalés les uns des autres afin d’accentuer le mouvement et de créer des intervalles qui deviennent des points d’accès ou d’évacuation du bâtiment.

Le projet se veut perméable physiquement mais aussi visuellement par la création de percements stratégiques. Le projet se veut accessible à tous et à tous les niveaux par des liens de circulation externe du site renforcis, dont un vers le métro et le pôle intérieur du quartier olympique.

http://www.floarchitecture.ca/architecture-design/velodrome-de-montreal.html

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Dur à dire car proposé très récemment mais quelques réunions ont eu lieu au «central» de la Ville et à l'arrondissement MHM.

 

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Bref, on construirait un vélodrome qui d'un strict point de vue esthétique serait beaucoup moins spectaculaire que l'original. Il serait probablement beaucoup moins innovant en terme de technique de construction. Moins cher aussi j'imagine.

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Construire un vélodrome cheap à un jet de pierre d'un vélodrome spectaculaire dans lequel on a mis des chimpanzés à défaut de savoir quoi faire avec?

Ça me semble être une idée un peu absurde et pas très sérieuse...

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Il faut voir l'idée comme une infrastructure sportive de plus pour l'entrainement et la compétition. Pas besoin de dépenser des sommes astronomiques pour impressionner la galerie. Juste ce qu'il faut pour encourager nos athlètes et inscrire Montréal dans le circuit du vélo de niveau international.

Inutile de revenir au Vélodrome Olympique qui était un objet de luxe qui nous a couté plus de 100 millions et qui ne pouvait tout simplement pas être rentable après les Jeux. On a donc dû changer sa vocation afin de récupérer ce merveilleux espace et en faire une institution du savoir.

Depuis ce temps Montréal a grandi, s'est enrichi et a accueilli des milliers de nouveaux arrivants qui offrent un bassin supplémentaire d'adeptes et de supporters. En plus le Parc Olympique est le lieu idéal pour concentrer ce genre d'activité, en complément avec les autres institutions sportives.

Finalement le vélo en général a beaucoup gagné en popularité au Québec depuis une dizaine d'années et son expansion se poursuit. On voit d'ailleurs de plus en plus de cyclistes partout sur les grandes routes de la province, au point où c'est devenu un type de vacances que les gens choisissent de plus en plus ici comme ailleurs.

Donc le vélo a le vent dans les voiles et il est temps qu'on lui construise un lieu spécifique de rassemblement et de diffusion. Pas seulement pour l'élite bien sûr, mais pour encourager davantage tout le monde à profiter de ce sport de plein air accessible à toute la population. 

 

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Pour les archives et pour revenir sur le sérieux ou pas du projet, voici un article à ce sujet datant de 2017:

http://plus.lapresse.ca/screens/f310f31a-3686-4aff-8776-140fa498ce41__7C___0.html

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CYCLISME

À QUAND UN VÉLODROME INTÉRIEUR AU QUÉBEC ?

Moins sexy (mais beaucoup moins cher) qu’un nouveau stade et le retour du baseball à Montréal, le projet d’un vélodrome intérieur au Québec est bien vivant. Bromont, Montréal et Trois-Rivières sont sur la ligne de départ. État de la situation.

SIMON DROUINLA PRESSE

Vingt-sept ans après le démantèlement de la piste olympique de Montréal, l’idée de doter le Québec d’un nouveau vélodrome intérieur semble plus vivante que jamais.

« C’est plus réaliste que ça ne l’a jamais été », affirme le directeur général de la Fédération québécoise des sports cyclistes (FQSC), Louis Barbeau.

Témoin de plusieurs projets avortés au cours des années, le DG sent un vent de changement. « À l’époque, je voyais des gens qui souhaitaient réaliser un projet de vélodrome. Après une ou deux rencontres, ils partaient en courant... »

Le 8 février, Barbeau a rencontré trois hauts fonctionnaires pour faire valoir la nécessité de construire ce qui deviendrait le troisième vélodrome en Amérique du Nord répondant aux normes internationales.

Accompagné de Pierre Lafontaine, nouveau chef de la direction de Cyclisme Canada, le représentant de la FQSC dit ne pas avoir eu à argumenter longtemps pour convaincre le sous-ministre adjoint aux Sports, Robert Bédard, le conseiller en sport Albert Marier et le directeur du Fonds pour le développement du sport et de l’activité physique, Normand Fauchon.

« Je me considère comme quelqu’un de réaliste, mais je suis plus confiant que jamais, a assuré Barbeau dans une entrevue menée la semaine dernière. Beaucoup de conditions favorables sont maintenant réunies. »

Des projets sont actifs dans trois villes : Trois-Rivières, Bromont et Montréal. Leurs promoteurs affichent le même optimisme.

« C’est inévitable, il va y avoir un vélodrome au Québec dans un an ou deux, je n’invente pas l’eau froide quand je dis ça. »

— Michel Jean, promoteur du projet de Trois-Rivières

Après quelques années à suivre le dossier sur les lignes de touche, l’ingénieur a décidé de se lancer au printemps 2016. Bromont venait d’essuyer un refus de sa demande de subvention au programme de soutien aux installations sportives et récréatives, qui était dans sa troisième phase. « On s’est dit : c’est à notre tour, c’est là qu’on essaie », indique M. Jean.

Le vélodrome de 8 à 12 millions serait construit à proximité du complexe sportif Alphonse-Desjardins et de l’Académie des Estacades, dans le secteur Cap-de-la-Madeleine, donnant un caractère multifonctionnel à l’ensemble. M. Jean dit compter sur l’appui de la Ville de Trois-Rivières et de l’Université du Québec à Trois-Rivières, qui souhaiterait y installer un laboratoire de recherche.

Un plan d’affaires et une « étude de préfaisabilité » ont été réalisés l’automne dernier, confirmant la rentabilité et la viabilité du projet sur un horizon de 10 ans. « On a changé un peu notre version, on ne présente plus un vélodrome, mais une PME », précise M. Jean, un bénévole impliqué dans le cyclisme depuis de nombreuses années. « On est capables de générer des emplois et des retombées économiques assez importantes pour une ville comme Trois-Rivières. »

Comme pour les deux autres projets au Québec, la piste de 250 mètres serait d’abord vouée à l’entraînement pour les cyclistes de haut niveau. Des plages horaires seraient cependant réservées au grand public. « Ce n’est pas consacré à l’élite », insiste M. Jean.

Pour générer des revenus supplémentaires, le centre de la piste pourrait servir à des structures de BMX et de skateboard et à du hockey sur terrain synthétique. Le projet comprendrait un programme sport-études. Des gradins de quelques centaines de sièges permettraient de tenir des compétitions d’envergure provinciale et nationale.

LA POSITION DE TÊTE À BROMONT

À la recherche de partenaires privés depuis un mois, M. Jean concède être « un peu en arrière » du projet de Bromont, qui s’apprête à soumettre une deuxième demande de subvention au programme de soutien aux installations sportives.

« On a eu un premier refus, mais quand c’est un nouveau projet comme celui-là, c’est sûr que ça surprend un peu », se défend Nicolas Legault, directeur général du Centre national de cyclisme de Bromont (CNCB). « On a décidé d’attaquer ; on n’a pas nécessairement eu le temps de faire toutes les approches politiques. Aujourd’hui, on est dans une meilleure position parce que toutes ces étapes ont été faites. »

Actif depuis 1997, le CNCB exploite depuis 2001 l’ancienne piste des Jeux olympiques d’Atlanta. Entreposée à Walt Disney World, en Floride, la piste a été achetée et installée grâce à un soutien financier de 1,9 million du gouvernement du Québec. La pluie et l’humidité ne permettent son utilisation qu’environ 70 jours par saison. Recouverte à deux reprises, la surface de la piste atteindra sa fin de vie utile « d’ici un an et demi », soutient Nicolas Legault.

« On parle d’un investissement de 400 000 à 500 000 $, estime le DG. On s’est dit : aussi bien faire un projet durable. »

Avec le soutien de la Ville de Bromont, qui s’est engagée à hauteur de 1 million, le CNCB veut donc recouvrir la piste actuelle et y aménager ses bureaux et des vestiaires. « On veut rester modeste », précise M. Legault. Coût estimé de l’opération : de 6 à 8 millions.

Son plan d’affaires terminé, le Centre national déposera une demande de subvention de quelque 2 millions à la prochaine phase du programme de soutien aux installations sportives. Le dernier budget Leitão a fait passer son enveloppe de 50 à 100 millions.

« Depuis les 20 dernières années, on a prouvé que le Centre national est important dans le développement du sport au Québec », plaide Nicolas Legault, qui espère obtenir une rencontre avec le ministre du Loisir et du Sport, Sébastien Proulx, dans les prochaines semaines.

UN TERRAIN POUR MONTRÉAL ?

« Très élaboré », au dire de Louis Barbeau, le projet de Montréal « n’a pas avancé depuis un an, un an et demi parce que rien ne se passait du côté de la Ville ». Il y a quelques semaines, il a néanmoins eu un entretien préliminaire avec le maire Denis Coderre pour discuter d’un emplacement éventuel. « Il ne s’est pas commis du tout, mais il a accepté de nous rencontrer », souligne le DG de la FQSC.

L’acquisition d’un terrain représenterait le quart des coûts de quelque 20 millions, indique son promoteur, un ingénieur qui préfère rester discret pour l’instant.

« L’espoir est revenu, affirme cet amateur de vélo. On a un plan d’affaires de près de 200 pages et on est toujours à la recherche d’un terrain viable pour le projet. »

L’accès à un large bassin de population est la seule façon de rentabiliser un tel équipement, insiste-t-il. En plus de la FQSC, le promoteur dit avoir développé un partenariat avec les fédérations québécoises d’athlétisme, de badminton et de triathlon, qui souhaiteraient utiliser le centre de la piste. Une première demande de subvention à la deuxième phase du programme de soutien aux infrastructures sportives, en 2012, n’avait pas été retenue.

À l’heure actuelle, les meilleurs cyclistes sur piste québécois, comme l’athlète olympique Hugo Barrette, s’entraînent au vélodrome intérieur de Milton, bâti au coût de 56 millions pour les Jeux panaméricains de Toronto.

Sans viser un édifice d’une telle envergure, la FQSC veut que ses athlètes puissent exercer leur art dans la province à longueur d’année. La priorisation de la discipline de la piste par Cyclisme Canada depuis 2012 est un autre élément militant en faveur de la construction d’un deuxième vélodrome au pays.

Selon Louis Barbeau, le projet de Bromont est celui « qui semble recevoir l’aval du gouvernement pour l’instant ».

« Mais tant qu’on n’aura pas d’indication claire du gouvernement, on soutiendra toutes les organisations, précise-t-il. Ça fait 27 ans que le vélodrome a été détruit. Je ne veux pas attendre un autre 15 ans parce que le projet idéal, ce serait d’avoir un vélodrome à tel ou tel endroit. »

BROMONT

FORCES Avancement du dossier, structure et programmation du Centre national déjà en place, liens avec Cyclisme Canada, autres disciplines connexes comme le BMX et le vélo de montagne, engagement de la Ville de Bromont.

DÉFI Éloignement relatif des grands centres.

COÛT ESTIMÉ De 6 à 8 millions

MONTRÉAL

FORCES Bassin de population, plan d’affaires de près de 200 pages, partenariats avec d’autres fédérations sportives, 15 % des investisseurs privés trouvés, selon le promoteur, établissements scolaires à proximité.

DÉFIS Coût, difficulté de trouver un terrain, la Ville ne s’est pas commise.

COÛT ESTIMÉ 20 millions

TROIS-RIVIÈRES

FORCES Emplacement central, arrimage avec le sport-études, appui de la Ville, soutien de l’Université du Québec à Trois-Rivières, services déjà offerts par le complexe sportif Alphonse-Desjardins, originalité du projet de construction (bâtiment à énergie zéro).

DÉFIS Faire connaître le projet, nombre de partenaires à synchroniser.

COÛT ESTIMÉ De 8 à 12 millions

 

De plus, un don important a été fait pour la construction d'un vélodrôme intérieur à Bromont dernièrement:

https://ici.radio-canada.ca/sports/1155049/cyclisme-piste-don-sylvan-adams-construction-velodrome-interieur-bromont

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Don important pour la construction du vélodrome intérieur de Bromont

Publié le lundi 25 février 2019

Le nouveau vélodrome intérieur à Bromont sera accessible dès 2020. Photo: Radio-Canada

Antoine Deshaies

Le début de la construction du toit au-dessus du vélodrome de Bromont est imminent. Une pièce importante du puzzle du financement a été dévoilée lundi, soit un don de 2 millions de dollars de l'homme d'affaires israélo-canadien Sylvan Adams.

Le mécène a annoncé sa contribution en conférence de presse à Montréal. Il a, du même coup, remis un premier chèque de 500 000 $ en mains propres au directeur général du Centre national de cyclisme de Bromont, Nicolas Legault.

« C’est un don qui a une énorme signification pour notre projet, a déclaré M. Legault. On travaille sur ce projet depuis cinq ans et ce don confirme la concrétisation de notre projet. »

« La contribution du secteur privé est souvent la plus difficile à obtenir, a analysé Louis Barbeau, directeur général à la Fédération des sports cyclistes du Québec. Le manque à gagner, on a bon espoir d’être capable d’aller le chercher. »

Passionné de cyclisme, Sylvan Adams est notamment copropriétaire de l’équipe professionnelle Israel Cycling Academy, dans laquelle roule le Québécois Guillaume Boivin.

Adams a découvert le cyclisme à la fin de la trentaine et s’est mis à la compétition quelques années plus tard. Il est depuis devenu 19 fois champion du Québec, 6 fois champion canadien et deux fois champion du monde.

Le Canadien Sylvan Adam, copropriétaire de l'équipe Israel Cycling Academy Photo : Getty Images / Jack Guez

Une fois terminé, le nouveau vélodrome sera nommé en son honneur. Ainsi, à Bromont, comme à Tel-Aviv, sa ville d’adoption, un vélodrome portera son nom.

« J’ai fait mes débuts sur la piste de Bromont alors c’est très spécial de réaliser que le vélodrome portera mon nom, a confié Adams, dont la famille a fait fortune dans l’immobilier. Je fais ce don par pur amour du cyclisme, pour redonner à la communauté pour tout ce que le sport m’a apporté. »

Il espère aussi que son équipe cycliste professionnelle sera invitée au Tour de France en 2020. Sa formation doit terminer première ou deuxième parmi toutes les équipes de calibre pro continental pour être admise dans les grands tours.

« On croit beaucoup en notre programme, explique Adams. On a fait du recrutement en fonction de nos objectifs. Pour l’instant, on a de grandes attentes et de grands espoirs. »

Lancement d’une campagne de financement

La totalité de la facture du vélodrome intérieur de Bromont n’est pas entièrement réglée, mais le projet franchit une étape importante avec cette nouvelle contribution.

En août 2018, le gouvernement du Québec avait annoncé l’octroi d’une importante somme pour doter l'infrastructure d’un toit, une contribution financière de 4,5 millions de dollars qui s’ajoutait à celle de 2 millions de la Ville de Bromont.

Une campagne de financement dans le secteur privé a donc été lancée pour amasser les quelque 5 millions manquants pour compléter le montage financier de 12 millions.

Des cyclistes s'entraînent sur la piste du Centre national de cyclisme de Bromont. Photo : Centre national de cyclisme de Bromont

Le don de M. Adams représente 40 % de l’objectif. Les architectes peuvent se mettre au travail pour planifier la construction de la seule infrastructure du genre au Québec.

« Avec 12 millions de dollars, on peut assurer la pérennité du centre, estime le directeur général Nicolas Legault. On veut notamment adapter nos installations pour les athlètes paracyclistes. Ce sera aussi un centre multisport, avec des plateaux de course, de BMX et de trampoline notamment. »

Le vélodrome couvert de Bromont ne sera pas en concurrence directe avec celui de Milton, en banlieue de Toronto. Le centre névralgique de l’équipe nationale a accueilli une première Coupe du monde en octobre.

« On vise plutôt des événements de Coupes du monde juniors ou des maîtres, explique Nicolas Legault. On aura une capacité de 500 à 700 spectateurs, comparativement à 3500 pour Milton. On pourra toutefois accueillir des équipes nationales en camp d’entraînement. »

Le vélodrome couvert, qui pourrait même devenir un centre de formation satellite de l’Union cycliste internationale, permettra aussi aux espoirs québécois de s’entraîner dans la province.

« Il n’y a pas de raison que les athlètes québécois soient contraints de s’entraîner sur une base permanente en dehors de la province, explique Louis Barbeau. Bien sûr, le centre de Milton va demeurer un centre important, mais les athlètes d’ici vont pouvoir passer une plus grande partie de l’année au Québec. »

La première pelletée de terre est prévue pour le mois d’octobre 2019, 30 ans après la démolition du vélodrome olympique de Montréal, transformé en Biodôme.

Si tout se déroule rondement, le vélodrome couvert ouvrira ses portes en décembre 2020. La piste qui a servi aux Jeux olympiques de 1996 à Atlanta, acquise par Bromont en 2001, sera donc fermée pour l’été 2020.

 

Est-ce qu'il y a de la place pour plus d'un vélodrôme intérieur au Québec? Les paris sont ouverts. Mais pour le parc Olympique,  j'imagine qu'il s'agit d'évocations pour tenter d'attirer les investisseurs et pour montrer le sérieux du plan d'affaire qui a déjà été créé.

Modifié par Megafolie
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Il y a 13 heures, Chris1989 a dit :

Do it!! And then let's host the games again in the 2030's, put the Big O to good use!

Host the games ? You mean contribute to make one of the most corrupted sport organisations in history richer ? 

No thanks. 

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