blue_dragon Posté(e) 24 septembre 2021 Partager Posté(e) 24 septembre 2021 13 hours ago, LexD said: 100% d'accord, Chicago & Hong Kong c'est des top 5 facile. Hong Kong has always been my favourite skyline by far, but not much of significance has been built there for over a decade & has been falling behind rather rapidly by construction in mainland China. The turmoil there over since 2014 (and arguably since the handover) surely hasn't helped. It's really too bad because it's a gorgeous city with a truly unique character (despite China's clear intent to make it like all other Chinese cities). I'm glad I had a chance to visit in the mid 2000s. 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
IluvMTL Posté(e) 25 septembre 2021 Partager Posté(e) 25 septembre 2021 https://www.lesaffaires.com/blogues/jean-sasseville/augmenter-la-hauteur-des-tours-a-montreal-un-debat-houleux/627512 Augmenter la hauteur des tours à Montréal: un débat houleux Publié le 23/09/2021 à 12:00 À LIRE ENSUITEInspection et garantie légale de ... Le centre-ville de Montréal... vu du mont Royal (Photo: Nathan Guan pour Unsplash) BLOGUE INVITÉ. La ville de Montréal possède deux massifs: un naturel (le mont Royal) et l’autre construit par les humains (les tours du centre-ville). Depuis le premier plan d’urbanisme de 1992, on veut protéger la vue sur le mont Royal, haut de ses 234 mètres au-dessus du niveau moyen de la mer. Il y a consensus qu’aucune tour ne doit obstruer la vue sur le Mont-Royal. Pour ne pas prendre de chance, la hauteur limite d’un édifice est à 210 mètres, une hauteur dont ne peuvent se prévaloir que d’éventuels édifices construits dans les parties les plus basses du centre-ville. Pour la grande majorité des lots au centre-ville, la limite est plus basse: 120, 80, 65, 55, 35, 25 et 16 mètres. Ces limites par lot épousent les lignes jaunes ci-dessous. Il y a une vitalité économique à Montréal et une forte demande de construction de tours résidentielles. Il est compréhensible que les promoteurs veuillent construire des tours les plus hautes possibles. On aurait avantage à permettre une augmentation de la densification dans certains endroits. Le plus haut gratte-ciel, avec 205 mètres et 51 étages, est le 1000 de La Gauchetière. La plus haute tour résidentielle sera Maestria, avec deux tours de 185 et 199 mètres et avec 58 et 61 étages. Vancouver a des montagnes légèrement plus élevées que le mont Royal et leur plus haute tour ne dépasse pas les 200 mètres. Leurs plus hautes tours résidentielles font 120 mètres. Le résultat est très réussi et Vancouver a gagné plusieurs prix. Cela devrait être une source d’inspiration. Les plus hautes tours au Canada sont à Toronto. Toronto possède plusieurs gratte-ciel dépassant 200 mètres. Le plus haut, avec 297 mètres et 71 étages, est le First Canadian Place. Aura, la plus haute tour résidentielle, a 79 étages. Nous n’avons pas besoin de faire la compétition avec Toronto. Montréal se distingue grâce à d’autres façons. Pourquoi augmenter la densification? Le nombre net de nouveaux ménages croît de 15 000 par an environ. Pour les 30 prochaines années, cela pourrait dire 450 000 ménages de plus. Où vont-ils se loger? Le centre-ville est devenu une destination de choix pour y demeurer. Cette densification permet de réduire l’étalement urbain, réduire la consommation énergétique tout en protégeant les milieux naturels. Cela rentabilise les services de transport collectif ou l’aménagement de services publics comme une école. Cela faciliterait l’offre de logements abordables, sociaux et familiaux. Plus le nombre de logements construits sur un terrain est élevé, plus les unités ont un prix bas. Des tours plus étroites Fin août, la Ville a modifié son règlement de zonage pour tout le centre-ville. La superficie plancher sera limitée à 750 m² pour les étages supérieurs à 45 mètres. Cela réduira le nombre d’unités, augmentera les prix et nuira à l’offre de logements abordables, sociaux et familiaux. Apparemment on veut éviter que de hauts gratte-ciel cachent trop la vue pour les piétons. Je m’explique mal cette crainte. Quand on marche près d’une tour, qu’elle mesure 60 mètres ou 120 mètres, cela a peu d’impact. Les promoteurs montent aux barricades. La Ville répond que les projets plus grands ne seront pas automatiquement interdits, mais devront être approuvés par dérogation. Voir grand La hauteur maximale des tours est un débat controversé. La demande de logements est forte et va le demeurer probablement pour les prochaines décennies. Le défi est d’augmenter les hauteurs à certains endroits tout en ne détériorant pas trop la vue sur le mont Royal. Je crois à un Montréal décomplexé qui a de grandes ambitions, tout en gardant son patrimoine naturel et culturel. Il y en va de la vitalité future de l’économie de Montréal. L’urbaniste et ex-politicien municipal Richard Bergeron a une vision très claire en ce sens. Il croit à des projets bien pensés avec des hauteurs plus élevées. «Montréal témoigne fièrement de son appartenance à l’Amérique avec ses édifices en hauteur. Par la qualité enfin retrouvée de ses aménagements au niveau du sol, là où se joue vraiment le concept de ville à échelle humaine, Montréal témoigne tout aussi fièrement de sa personnalité européenne. La vocation de Montréal n’est-elle pas d’être la plus américaine des villes européennes et la plus européenne des villes américaines?» Des projets jugés trop haut Pour l’édifice de la Baie, la restauration du bâtiment historique est souhaitable et fait consensus. L’ajout d’une tour à bureaux de 120 mètres a été refusé en juillet dernier. On ramène le projet à 80 mètres. On me dit que des négociations sont en cours. La Ville se montrerait ouverte à une hauteur plus élevée. Pour le re-développement des anciennes tours de Radio-Canada et de la brasserie Molson, le PPU des Faubourgs a fixé les hauteurs maximales à 45 et 65 mètres, selon les secteurs. Les promoteurs demandaient 85 mètres. « Il y a deux ans, j’ai eu à donner mon avis sur les hauteurs appropriées pour le site Molson, ma réponse a pris la forme des illustrations qui suivent. À mes yeux, la hauteur de référence, celle qui eût dû être choisie, correspond à la fois aux petites Tour Eiffel qui chapeautent la superstructure du pont Jacques-Cartier et la tour Radio-Canada, à savoir 105 mètres dans les deux cas», écrit Richard Bergeron. Le débat est loin d’être terminé. 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
bruno44 Posté(e) 25 septembre 2021 Partager Posté(e) 25 septembre 2021 ''Vancouver a des montagnes légèrement plus élevées que le mont Royal ..'' 🤣🤪 oui oui très légèrement.. Pour La Baie et bien.. l'autre côté de la rue c'est déjà à 120 mètres!!! 1 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
KOOL Posté(e) 25 septembre 2021 Auteur Partager Posté(e) 25 septembre 2021 Citation La plus haute tour résidentielle sera Maestria, avec deux tours de 185 et 199 mètres Wrong ! La plus haute sera à 202m. Citation Pour ne pas prendre de chance, la hauteur limite d’un édifice est à 210 mètres Wrong ! La hauteur maximale permise est 200m. Citation Leurs plus hautes tours résidentielles font 120 mètres. Wrong ! Vancouver a une vingtaine de tours résidentielles de plus 120m. Citation Le plus haut, avec 297 mètres et 71 étages, est le First Canadian Place. Wrong ! Le gratte-ciel mesure 298m et a 72 étages. 1 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
C’est un message populaire. Matt Posté(e) 25 septembre 2021 C’est un message populaire. Partager Posté(e) 25 septembre 2021 Quand on parle de ne "pas deterioré la vue du Mont Royal" oui, mais d'où? Car moi quand je ke balade sur la rue St Catherine par exemple, il y a pas de gratte ciel, que des immeuble de 3 a 6 ou 7'etages et je vois pas quand meme le Mont Royal!!! (Sauf dans l axe en traversant une rue perpendiculaire). Cette theorie de "cacher le Mont Royal mais pour qui, pour ceux qui habitent rive Sud??!! Ca fait pas de sens... 4 1 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
SameGuy Posté(e) 25 septembre 2021 Partager Posté(e) 25 septembre 2021 It’s the same theory as not being able to build on a lot because it may hide one view of 1000 DLG. Pas de bon sens. 2 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
Wave Arts Posté(e) 25 septembre 2021 Partager Posté(e) 25 septembre 2021 Il y a 1 heure, Matt a dit : Quand on parle de ne "pas deterioré la vue du Mont Royal" oui, mais d'où? Car moi quand je ke balade sur la rue St Catherine par exemple, il y a pas de gratte ciel, que des immeuble de 3 a 6 ou 7'etages et je vois pas quand meme le Mont Royal!!! (Sauf dans l axe en traversant une rue perpendiculaire). Cette theorie de "cacher le Mont Royal mais pour qui, pour ceux qui habitent rive Sud??!! Ca fait pas de sens... En même temps, est-ce qu'au cinéma, tu te colles à la toile pour regarder le film? Il faut prendre un peu de recul pour voir quelque chose de gros. Avec cette logique, on pourrait dire que si je mets ma main devant mes yeux, je ne vois plus le mont, alors la limite ne sert à rien. C'est juste mon opinion, mais oui, je pense que de balancer le mont et le centre-ville depuis la rive-sud / ponts / IDS / PSC est une bonne chose, puisque c'est un point de vue largement emprunté et qui caractérise la ville. Aussi, c'est un effet qu'on peut voir à d'autres endroits, comme à Ville-Émard, notamment. 1 1 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
andre md Posté(e) 26 septembre 2021 Partager Posté(e) 26 septembre 2021 Si on juge la beauté d'une ville par la hauteur de ces gratte ciel alors le top 20 va etre quasiment occupé par seulement des villes de Chine et des pays du Golf. 2 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
acpnc Posté(e) 26 septembre 2021 Partager Posté(e) 26 septembre 2021 Il y a 17 heures, Wave Arts a dit : En même temps, est-ce qu'au cinéma, tu te colles à la toile pour regarder le film? Il faut prendre un peu de recul pour voir quelque chose de gros. Avec cette logique, on pourrait dire que si je mets ma main devant mes yeux, je ne vois plus le mont, alors la limite ne sert à rien. C'est juste mon opinion, mais oui, je pense que de balancer le mont et le centre-ville depuis la rive-sud / ponts / IDS / PSC est une bonne chose, puisque c'est un point de vue largement emprunté et qui caractérise la ville. Aussi, c'est un effet qu'on peut voir à d'autres endroits, comme à Ville-Émard, notamment. Je partage cette opinion, j'ajouterais que quand on parle de ligne d'horizon la logique veut que l'on prenne naturellement de la distance et cela pour chacune des perspectives que l'on souhaite apprécier. D'ailleurs la majorité des photos caractéristiques des villes dans le monde sont des images globales qui offrent un champ de vision élargi. À remarquer que l'appréciation d'une ligne d'horizon particulière est nettement subjective et peut différer grandement d'une personne à l'autre selon ses préférences. Toutefois pour véritablement apprécier le décor d'une ville et pouvoir le comparer plus objectivement, il faut le voir dans son ensemble, c'est-à-dire incluant sa topographie. Aussi bien sûr en tenant compte de la qualité architecturale des constructions, leur aménagement et leur répartition équilibrée dans le paysage urbain. L'objectif ultime étant d'obtenir le plus élégant tableau possible, qui mettra en valeur l'esthétisme de l'ensemble, en même temps que les éléments les plus significatifs et représentatifs, qui distinguent avantageusement cette ville de toutes autres. 1 Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
acpnc Posté(e) 1 octobre 2021 Partager Posté(e) 1 octobre 2021 Cet article devrait mettre enfin un point final au débat sur les tours plus hautes que le Mont-Royal. ______________________ Consensus autour du mont Royal pour les candidats à la mairie Photo: Pascal Gaxet, Métro https://journalmetro.com/actualites/2703804/mont-royal-fait-consensus/ Pascal Gaxet - Métro 30 septembre 2021 à 20h38 - Mis à jour 30 septembre 2021 à 21h50 5 minutes de lecture Le mont Royal ne sera pas forcément le sujet qui pourra départager les candidats à la mairie de Montréal. Le chef de Mouvement Montréal, Balarama Holness, la cheffe de Projet Montréal, Valérie Plante, et le chef d’Ensemble Montréal, Denis Coderre, ont exprimé leur consensus pour ce qui est de la protection de la montagne, jeudi soir, au pavillon du Lac-aux-castors, sur le mont Royal, à Montréal. Front commun de neuf organismes de conservation des collines montérégiennes À tour de rôle, ils ont pu répondre chacun à des questions sur l’avenir du mont Royal dans le cadre d’échanges avec l’organisateur de l’événement, Les amis de la montagne, l’organisme de conservation de la montagne. M. Holness propose d’élargir la zone de protection de la montagne. Il souhaite créer une «ceinture verte» autour du mont Royal, c’est-à-dire une zone protégée pouvant aller «jusqu’à 500 mètres» qui imposerait des règles de zonage, notamment sur la construction future d’immeubles, édifices ou tout autres projets. Cependant la hauteur des immeubles et la largeur de cette ceinture verte seraient définies avec des consultations auprès «des architectes et des organismes comme Les amis de la montagne». Cette zone fonctionnerait sur le réflexe «mont Royal», c’est-à-dire que toutes les actions sur le mont Royal miseront sur «la protection et l’intégrité écologique» de celui-ci. «L’aménagement du territoire doit être fait en cohésion avec l’environnement», précise-t-il. M. Coderre a réitéré son envie d’une densité «douce et intelligente». «On peut trouver des compromis, car on ne peut pas faire de développement économique sans développement écologique, et on ne peut pas faire de développement écologique sans développement économique. L’Hôtel-Dieu peut avoir plus de logement sociaux, mais il faut respecter l’histoire des lieux comme les sœurs le demandent. Et le Royal Victoria a besoin de mixité, c’est-à-dire en s’assurant qu’il y ait des espaces publics», explique M. Coderre. Le chef d’Ensemble Montréal assure que les vues du mont Royal seront protégées. «On peut avoir des immeubles signatures.» En politique, il faut assumer. Les bottines suivent les babines. On ne peut pas dire les choses et ne rien faire pendant quatre ans. Les démarches d’inscrire le mont Royal au patrimoine de l’UNESCO n’ont pas été faites pendant les quatre dernières années. Denis Coderre, candidat à la mairie de Montréal Cohabitation des usages La démocratisation des activités sportives comme le vélo de montagne ont des répercussions graves sur l’intégrité des milieux naturels de la montagne. «Le vélo de montagne est interdit, mais il faut aller plus loin car il y a des abus. Cela fragilise des milieux déjà en surdemande. On va travailler avec Les amis de la montagne sur la signalisation et la sensibilisation», a indiqué Valérie Plante pour sa part. La mairesse sortante ajoute que tout nouveau sport ou activité sur le mont devra respecter une stratégie de préservation, «l’un ne va pas sans l’autre». M. Coderre s’engage à faire respecter l’interdiction de cette pratique quitte à solliciter le Service de police de Montréal (SPVM), «qui manque présentement d’effectif». Il aimerait aussi sécuriser les sentiers formels existant par de la signalétique ou des lumières et éliminer les sentiers informels qui fragmentent les milieux naturels. En accord avec son réflexe «mont Royal», M. Holness privilégiera l’aménagement d’infrastructures sportives ailleurs que sur le mont. «Il y a d’autres lieux pour cela, la montagne, c’est pour préserver.» L’organisme de conservation du mont Royal dit faire face à une augmentation de défis naturels comme avec l’agrile du frêne ou la spongieuse [chenille]. Les candidats se sont positionnés en faveur de moyens supplémentaires. «Il faut une approche curative face aux changements climatiques, et on va investir dans ce sens», a dit M. Coderre. Marc Desjardins ne faisait pas partie de l’échange, car celui-ci a fusionné avec le candidat Holness. C’est ce dernier qui porte la parole cette union pour l’événement du soir. Les priorités de la montagne Bon nombre de candidats de Projet Montréal et de Mouvement Montréal à des postes de conseillers ou maires d’arrondissement ont signé l’engagement sur les cinq priorités. Valérie Plante, Denis Coderre et Balarama Holness font eux aussi partie des signataires. Le mont Royal, un bien commun : renouveler l’engagement envers la protection du mont Royal en reconnaissant son caractère distinctif et essentiel dans le paysage de la métropole. Réviser les hauteurs des immeubles et les distances séparatrices entre les immeubles pour protéger les vues vers et depuis la montagne. Restaurer le Royal Victoria : Il s’agit d’un site d’une grande qualité paysagère et architecturale. Préserver la propriété du sol au domaine public et agrandir le parc du mont Royal. Le poumon vert de Montréal : Adopter une stratégie pour rehausser l’intégrité des milieux naturels et des paysages par de la signalétique, une règlementation spécifique à la montagne et de la sensibilisation auprès des usagers. Augmenter les budgets aux projets de conservation et de restauration. Un lieu accueillant et sécuritaire : assurer une cohabitation harmonieuse entre les activités autorisées et les milieux naturels, ainsi qu’en aménageant des parcours conviviaux et sécuritaires. Rendre la montagne plus accessibles à tous et toutes, notamment via une offre de transport en commun et actif accrue. Concertation des pouvoirs publics et des citoyens : poursuivre la reconnaissance du lieu à titre de site du patrimoine mondial de l’UNESCO et s’assurer que tous projets d’envergures soient soumis à la participation citoyenne. Citer Lien vers le commentaire Partager sur d’autres sites More sharing options...
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