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Royalmount


denpanosekai

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il y a 21 minutes, Marc90 a dit :

J'ai appris que le client est tellement désagréable, insensible aux enjeux soulevés et peu enclin aux améliorations nécessaires du projet et à sa qualité architecturale que l'équipe de conception architecturale a "démissionné" (à l'interne) du projet en bloc. 

Est-ce la même équipe de conception qui a fait le Quartier de la Montagne, ou une autre?

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il y a 15 minutes, Decel a dit :

Est-ce la même équipe de conception qui a fait le Quartier de la Montagne, ou une autre?

Provencher Roy est la firme pour la passerelle :
https://provencherroy.ca/en/projet/passerelle-royalmount/
Aucune indication que c'est elle aussi qui est responsable du reste du projet

 Pour le Quartier de la Montagne, c'est Lemay et Sid Lee

Edit J'ai trouvé dans un article de La Presse datée de 2015 https://www.lapresse.ca/affaires/economie/immobilier/201509/22/01-4902825-feu-vert-au-projet-royalmount.php
Carbonleo se donne encore quelques mois pour peaufiner la forme finale que prendra son projet, dont l'architecture a été confiée au groupe québécois Lemay. Benoy, une firme de Londres spécialisée dans les complexes multifonctions, s'est greffée récemment à l'équipe de conception.
Il y avait un poste affiché pour un architecte senior chexz Lemay pour le REM et le Royalmount https://lemay.com/sites/default/files/job-opening/file/20180807_Architecte sénior.pdf

Sur le site de Benoy https://www.benoy.com/drawing-board/royalmount/

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Il y a 1 heure, MtlMan a dit :

Eh boy, pas bon signe ça. 

Je ne suis pas du tout étonné, c'était déjà mal parti dès le début. Quand un promoteur devient inflexible il ne reste qu'une issue possible... Je présume alors que les discussions avec la Ville de Montréal et les autres intervenants soient elles aussi toute aussi laborieuses et conduisent finalement à un échec.

Morale de cette histoire: l'égo de certaines personnes devient parfois leur pire ennemi.

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il y a 56 minutes, acpnc a dit :

Je ne suis pas du tout étonné, c'était déjà mal parti dès le début. Quand un promoteur devient inflexible il ne reste qu'une issue possible... Je présume alors que les discussions avec la Ville de Montréal et les autres intervenants soient elles aussi toute aussi laborieuses et conduisent finalement à un échec.

Échec des discussions = ?  Divers scénarios en découleraient.

- Projet "annulé": ce serait vu comme une grande victoire par les opposants.

- Projet  maintenu intégralement malgré tout (i.e. sans amélioration des accès).  

- Cheminement évolutif, par lequel 

   1) le promoteur commencerait par ériger des éléments (du projet) qui seraient les moins susceptibles de souffrir des déficiences actuelles de l'accès au site

   2) la Ville de Montréal et le MTQ entreprendraient certains travaux (par exemple le prolongement du boulevard Cavendish) qui sont justifiés sans égard au sort du projet Royalmount Quinze40.

   3) Un nouveau regard serait porté sur les projets envisagés sur le site de Blue Bonnets, avec des implications probables sur l'amélioration des accès au côté ouest de Décarie, y compris l'accès au métro.

   4) D'autres portions (pas encore construites) du site du projet Quinze40  seraient développés en harmonie avec le nouveau Blue Bonnets.

Retour sur les discussions sus-mentionnées: je n'ai jamais pensé qu'elles pouvaient comme par miracle réconcilier parfaitement les intérêts des parties concernées.  Elles auront surtout servi à apaiser les tensions et à montrer la "bonne foi" des parties.  Il restera à voir comment seront présentés les résultats desdites discussions: voudra-t-on parler d'échec, d'impasse, d'échanges fructueux malgré tout, ou de toute autre formule qui évite à une partie de perdre la face.

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il y a une heure, jp_mtl a dit :

On peut bien utiliser des termes marketing, mais au bout du compte, un centre d'achat ça reste un centre d'achat

Comme dans "appeler un chat un chat" (en anglais "to call a spade a spade")  --il est plus facile de faire le rapprochement en français (achat-chat)👿.

Ceci dit, le West Edmonton Mall et les Galeries de la Capitale sont de bons exemples de centres commerciaux qui incorporent une importante composante "divertissement" qui rehausse grandement leur attractivité.

Dans notre régime de libre concurrence, on ne s'oppose pas à l'arrivée d'un nouveau concurrent sous prétexte que l'offre existante suffit à satisfaire la demande (même si ça peut être tentant de le faire en cédant à des intérêts particuliers).  Les objections crédibles envers le projet Quinze40 sont d'un ordre ordre, et elles ne sont pas négligeables:  comme cela été longuement discuté dans ce fil, elles portent sur la crainte d'un accroissement indésirable de la congestion routière.

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J'aime à penser qu'on peut avoir une opinion sans que des concepts économiques dictent notre façon de penser. Sauf que déplorer la congestion routière est une critique indirecte d'un système où seule règne la loi du marché, parce qu'on imagine mal comment une ville pourrait se développer de façon harmonieuse si maximiser les profits est le seul objectif.

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