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Tout ce qui a été posté par Nameless_1

  1. Emmanuel Delacour/TC MediaLa maison de style shoebox sur le boulevard Saint-Michel sera sans doute démolie sous peu, malgré sa valeur historique. Deux maisons de valeur patrimoniale situées dans Rosemont – La Petite-Patrie passeront sans doute prochainement sous les bulldozers. C’est du moins ce qui arrivera, à moins que des citoyens ne se prononcent contre la démolition de ces deux habitations de type « shoebox » (boîte à soulier en anglais). Une séance du comité consultatif d’urbanisme s’est tenue le mercredi 13 décembre dernier pour annoncer la demande des propriétaires de procéder à des travaux sur les bâtiments qui siéent au 5434, boulevard Saint-Michel et au 7075, rue de Normanville. «Les résidents ont 30 jours à partir de la séance pour se prononcer par écrit sur la démolition, sans quoi le comité ira de l’avant avec la demande des propriétaires», confirme Marie-Claude Perreault, chargée de communications pour Rosemont – La Petite-Patrie. Pourtant, ces maisons recèlent une valeur historique importante, selon un expert dans le domaine. «Même si ce n’est pas de la grande architecture, ces maisons comportent un intérêt patrimonial, souligne David B. Hanna, professeur associé en urbanisme à l’Université du Québec à Montréal (UQAM). Elles représentent l’affranchissement de la classe ouvrière à la fin du 19e siècle, qui était désormais libre d’acheter un petit lopin de terre.» Malgré le fait que les maisons situées sur la rue de Normanville et sur le boulevard Saint-Michel aient été construites durant la «deuxième vague des shoebox», soit respectivement en 1917 à 1925, il n’empêche qu’elles rappellent un passé historique inédit du quartier, selon M. Hanna. En effet, avant même que les duplex et triplex ne dominent le paysage urbain de Rosemont – La Petite-Patrie, ces petites habitations furent les pionnières de ces arrondissements qui à l’époque n’étaient que des banlieues. «C’est la raison pour laquelle elles sont dispersées un peu partout sur le territoire de Montréal. Vers les années 1890, les trains de banlieue et le tramway créent un rayonnement de la ville, car avant cela les développements se faisaient rue par rue. Certains ouvriers décident alors de construire, parfois eux-mêmes, leur maison, et plus souvent qu’on pourrait le croire, loin de leur lieu de travail», affirme le professeur. Ce dernier se désole du contexte immobilier actuel qui pousse à la densification à tout prix des terrains à Montréal, pour une question de rentabilité, car il encourage la démolition de ces exemples d’architecture. «Ça ne coûte pas trop cher de les mettre à jour et au goût des consommateurs. De plus, il peut s’agir d’un premier achat idéal pour de jeunes personnes qui désirent être propriétaires, puisque ces maisons sont encore souvent bien situées, à proximité des services et des stations métro», dit M. Hanna. «Le marché immobilier peut faire rayer de la carte les shoebox si les autorités municipales ne les protègent pas. Je prends l’exemple de Notre-Dame-de-Grâce, où elles sont toutes disparues, il n’y en a plus.» David B. Hanna, professeur associé en urbanisme à l’Université du Québec à Montréal Pour sa part, la responsable du patrimoine au comité exécutif de la Ville de Montréal, Christine Gosselin, assure que l’administration a l’intention de préserver l’apport architectural de ces maisons, sous quelques conditions. «Certaines ne sont plus en bon état et n’ont plus leurs caractéristiques d’origine, comme c’est le cas du bâtiment situé sur le boulevard Saint-Michel. Toutefois, il est possible d’avoir des projets beaux et utiles, si l’on se donne les outils réglementaires pour valoriser les shoebox», insiste Mme Gosselin. Pour l’instant le Plan d’implantation et d’intégration architecturale (PIIA) de l’Arrondissement n’inclut pas de mesures visant particulièrement les shoebox, mais de nouvelles règles pourraient être implantées pour permettre des modifications qui leur permettraient de s’intégrer au paysage urbain, selon l’élue. http://journalmetro.com/local/villeray-st-michel-parc-extension/actualites-villeray-st-michel-parc-extension/1298345/deux-maisons-dinteret-historique-pourraient-disparaitre/
  2. O K . Un train en Inde et le REM au Canada... Expliques moi le rapport?
  3. Effectivement, c'est un autre lien vers le nord. Quand aux priorités, la bleue et Bois Franc prime sur toutes les autres selon moi.
  4. L'élu estime que le fait d'ajouter deux stations dans l'ouest de Laval « pourrait décongestionner une partie de la circulation sur le territoire de Laval et de Montréal en plus de rendre la ligne orange plus rentable, plus fluide ». Les villes de la couronne nord y gagneraient aussi puisqu'il propose de miser sur des stationnements incitatifs desservis par des autobus qui rabattraient les usagers vers les deux portes d'entrée lavalloises. Pas fou son affaire.
  5. Couillard remet en question le tracé de son projet de liaison rapide entre Québec et Montréal Deux semaines après avoir lancé l’idée d’une nouvelle liaison rapide et «moderne» entre Québec et Montréal, le premier ministre Philippe Couillard remet déjà en question le tracé de son projet «futuriste». MARC-ANDRÉ GAGNON Mardi, 12 décembre 2017 12:15MISE à JOUR Mardi, 12 décembre 2017 18:04 TORONTO | Deux semaines après avoir lancé l’idée d’une nouvelle liaison rapide et « moderne » entre Québec et Montréal, le premier ministre Philippe Couillard remet en question le tracé de son projet «futuriste». À LIRE AUSSI: Plus un manège qu’un moyen de transport, dit un rapport Invité par notre Bureau parlementaire à préciser si les points A et B de son projet étaient toujours Québec et Montréal, le premier ministre Philippe Couillard, qui était de passage à Toronto, a répondu par la négative. « Non, a-t-il rétorqué. Ça dépend de ce que le fédéral va dire sur le TGF. Si le gouvernement fédéral finance concrètement le TGF, ce qu’ils n’ont pas fait jusqu’à maintenant, tant mieux. » Le tracé du « projet phare » dont M. Couillard a parlé pour la première fois devant les membres de son parti réunis en congrès, le 26 novembre dernier, dépendrait donc désormais de la suite que donnera le gouvernement fédéral au projet de VIA Rail. En évoquant la possibilité d’un monorail, il y a deux semaines, M. Couillard s’est attiré de nombreuses critiques en provenance, notamment, de nombreux maires et de la Coalition avenir Québec, qui privilégient justement le projet de train à grande fréquence (TGF) de VIA Rail dans le corridor Québec-Windsor. Le chef libéral avait déjà ouvert un peu son jeu en fin de session parlementaire lorsque relancé à ce sujet en chambre par son rival caquiste François Legault, qui fait du TGF un enjeu majeur pour la région de la Mauricie. « Il va falloir que le gouvernement fédéral clarifie ses intentions, qu’ils mettent de l’argent sur la table [pour le TGF] », avait dit M. Couillard au Salon bleu. Le souhait de la modernité Le premier ministre, qui reprochait alors à la CAQ de promouvoir des idées du passé, a de nouveau fait le souhait, mardi d’un projet de transport digne du 21e siècle. « J’espère juste une chose, cependant, et je vais le dire d’une façon très claire, a réitéré le premier ministre : c’est un projet ferroviaire, qui part de Toronto, Windsor, Ottawa, Montréal et Québec. Il faut que la technologie soit de même niveau partout. Je ne pense pas que les Québécois accepteraient qu’il y ait deux niveaux de technologies sur les deux segments du projet. » Advenant que le projet de TGF se concrétise avec l’appui financier du gouvernement fédéral, M. Couillard estime que des « technologies du 21e siècle », comme le monorail ou autres, pourraient aider à résoudre les problèmes de mobilité ailleurs au Québec. « Qu’on regarde les couronnes de Québec, qu’on regarde la couronne nord de Montréal, Laval, Basses-Laurentides, qu’on regarde la couronne sud de Montréal : on a là des enjeux majeurs de mobilité », a dit M. Couillard. http://www.journaldemontreal.com/2017/12/12/couillard-remet-en-question-son-projet-de-liaison-rapide-entre-quebec-et-montreal
  6. Nameless_1

    Vidéos sur Montréal

    Maudits français D'un canadien sarcastique , avec amour. ? https://www.facebook.com/MorelLochetSaladin/videos/142325866517155/
  7. Wow, on arrive à la craque de cléo. Fiou, quelque chose. Beau progrès. Il etait temps que ca monte! Belle photo btw!
  8. So far so good; now we only need the 'i am bitchin' red to fully convince me.
  9. Je propose alors une voie de racolage. On augmente alors du même coup le nombre de fans des northdicks! ( vivreenrégion: rien de perso, just a joke. j'adore tes posts.)
  10. J'habite presque à coté. Je prendrai quelques clichés quand j'en aurai l'opportunité.
  11. Mauvaise nouvelles les amis: Ottawa plus frileux à garantir 2018 Le nouveau pont Champlain pourrait bien être inauguré après la date prévue du 1er décembre prochain PHOTO BEN PELOSSE GUILLAUME ST-PIERRE Lundi, 4 décembre 2017 23:45MISE à JOUR Lundi, 4 décembre 2017 23:45 OTTAWA | Le gouvernement fédéral n’ose pas garantir que le nouveau pont Champlain sera livré à temps pour décembre prochain après les révélations de notre Bureau d’enquête voulant que le chantier soit bourré de pièces défectueuses. Pressé de questions pour savoir si l’échéancier fixé en 2014 tient toujours, le ministre fédéral des Infrastructures, Amarjeet Sohi, s’est borné à dire qu’il est « très confiant » que le pont sera inauguré « en temps opportun », sans plus. C’est la première fois qu’Ottawa laisse planer autant de doute sur le respect des délais. Plus tôt, le député libéral Marc Miller avait pourtant promis qu’un pont « de qualité » serait livré « en décembre 2018 », comme le prévoit le contrat. Notre bureau d’enquête révélait hier matin que le chantier du nouveau pont Champlain souffre de nombreux défauts. Les ouvriers ont jusqu’à présent effectué plus de 2000 réparations sur des pièces maîtresses de sa structure. http://www.journaldemontreal.com/2017/12/04/le-nouveau-pont-champlain-devrait-etre-pret-a-temps Selon le consortium, 2500 cas de non-conformité ont été identifiés sur le projet, dont à peine 74 ont été réglés à ce jour. M. Sohi soutient que cette situation est normale, compte tenu de l’envergure du projet. En général, les pièces sont assemblées en usine avant d’être transportées sur le chantier. Mais dans le cas du pont Champlain, tous les morceaux sont assemblés et « modifiés » sur place au besoin, a-t-il soutenu. « Je peux vous assurer que tous les défauts des pièces sont corrigés avant l’assemblage », a ajouté le ministre originaire d’Edmonton. PHOTOS MAXIME LANDRY ET COURTOISIE Le chantier du nouveau pont Champlain vu de l’hélicoptère de TVA Nouvelles à la fin du mois de novembre 2017. En mortaise, une maquette finale de l’infrastructure. Retards à cause des grèves Quant aux éventuels dépassements de coûts causés par ces pépins, ils seraient entièrement assumés par le consortium responsable de la construction, a assuré M. Sohi. Ottawa a reconnu en octobre que le chantier avait pris du retard à cause des grèves des travailleurs de la construction et des ingénieurs de l’État l’été dernier. Infrastructure Canada prévoyait malgré tout à l’époque le respect de l’échéancier. Mais cette promesse ne tient plus. Interrogé à ce sujet, le directeur de la coordination du Groupe Signature sur le Saint-Laurent (SSSL), Daniel Genest, maintient l’objectif du consortium. « C’est clair qu’on vise à terminer en décembre 2018, dit-il. On n’est pas en retard. » Le patron du chantier convient toutefois que pour y arriver, le consortium devra mettre les bouchées doubles. « Il y a une énorme pression sur l’échéancier, de là la stratégie d’accélération, dit-il. Est-ce que l’année 2018 va être facile ? Absolument pas. » Quoi qu’il en soit, Ottawa envisageait déjà à l’automne la possibilité de prolonger la durée de vie du pont Champlain actuel, en raison de retards sur l’échéancier de la nouvelle structure. Si tel était le cas, les contribuables en seraient quittes pour une facture de 200 millions $ pour maintenir le vieux pont en état un an de plus. Le consortium aurait aussi à payer en cas de délais. Le contrat avec Ottawa prévoit une amende de 100 000 $ par jour de retard, jusqu’à concurrence de 150 M$. À toute épreuve Notre Bureau d’enquête a obtenu des dizaines de rapports d’experts qui montrent que de nombreuses pièces – surtout celles importées d’Espagne – comportent une foule de défaillances. Les exemples pleuvent, comme des soudures incomplètes, des plaques de métal fissurées ou poreuses, ou encore des boulons non conformes. Le ministre des Transports du Canada, Marc Garneau, assure que la structure sera malgré tout à toute épreuve et durable. « Le pont qui va être bâti va être très sécuritaire parce que toutes les pièces sont inspectées. Et dans les cas de non-conformité, les pièces sont réparées ou rejetées », a-t-il souligné.
  12. Le suspense perdure: quand va t'on voir les panneaux rouges?
  13. Encore des bonnes nouvelles éconnomiques: http://plus.lapresse.ca/screens/da2587e1-405c-4c86-81e7-dcaa729984e2|_0.html LE NOUVEAU POUVOIR D’ACHAT DES QUÉBÉCOIS FRANCIS VAILLESLA PRESSE Mine de rien, le pouvoir d’achat des Québécois a significativement progressé depuis deux ans. Et pendant ce temps, celui de nos voisins canadiens stagnait ou diminuait. Ah bon ? Ce constat surprenant est un autre signe de la vigueur économique du Québec, après le long calvaire des années de compressions budgétaires et de stagnation de l’emploi. D’abord, il faut bien se comprendre : le pouvoir d’achat dont il est question est la croissance réelle des salaires, soit l’augmentation des salaires moyens APRÈS inflation. Cette moyenne cachera toujours des écarts entre les divers groupes de la société, certains voyant leurs revenus progresser plus, et d’autres moins(1). Il reste que la moyenne est un indicateur crédible du dynamisme d’une économie. Les données proviennent du ministère des Finances du Québec, qui faisait état de la différence entre le Québec et le Canada dans son mini-budget présenté mardi. Elles ont été calculées à partir de données de Statistique Canada, donc très fiables. Première observation : le salaire moyen ramené sur une base horaire a grimpé de 3,1 % au Québec en 2017, bien davantage que la moyenne canadienne (1,5 %) ou que celui de l’Ontario (0,7 %). Les chiffres portent sur les 10 premiers mois de 2017 comparés aux mêmes mois de 2016. À elle seule, cette information est intéressante, puisqu’il s’agit d’un revirement de tendance. Depuis trois ans, les salaires avant inflation ont grimpé de 2,1 %, 2,8 % et 3,1 % au Québec, en progression constante, alors qu’en Ontario, c’est l’inverse, la hausse ayant été de 3,1 % en 2015, 2,2 % en 2016 puis 0,7 % en 2017. Le salaire horaire moyen demeure inférieur au Québec en 2017, à 24,88 $ (26,33 $ en Ontario), mais l’écart se resserre. Deuxième observation : la hausse des prix à la consommation est nettement inférieure au Québec. Ce taux d’inflation y oscille entre 0,7 et 1,1 % depuis trois ans, contre de 1,2 à 1,8 % en Ontario. En soustrayant l’inflation de la hausse des salaires, on est donc à même de constater que le pouvoir d’achat a crû de 2,1 % au Québec en 2017, pendant qu’en Ontario… il reculait de 0,9 % ! La moyenne canadienne reflète plutôt une stagnation du pouvoir d’achat (- 0,1 %). Cette progression du pouvoir d’achat est plus grande au Québec pour une deuxième année de suite. Et par-dessus le marché, les impôts baissent, ce qui ajoutera à l’effet de croissance de la richesse des Québécois. Maintenant, une question : comment expliquer la si faible inflation au Québec depuis plusieurs années ? Normalement, une économie vigoureuse devrait faire augmenter la demande de biens et services et ultimement les prix, selon le principe de l’offre et de la demande. À l’inverse, une faible inflation pourrait être le signe d’une économie stagnante. Dans son budget de mars dernier, le ministère des Finances du Québec a justement fait une analyse éclairante de la situation pour l’année 2016. Il a décortiqué trois des principaux postes budgétaires des ménages, soit l’électricité, le logement et l’assurance automobile. Or, dans les trois cas, la progression des prix a été moindre au Québec qu’ailleurs. D’abord, la facture d’électricité a progressé de 1,0 % au Québec en 2016, comparativement à 5,7 % dans l’ensemble canadien et… 15,1 % en Ontario ! Notre voisin ontarien a de gros problèmes avec son énergie, c’est connu, obligeant même la première ministre Kathleen Wynne à verser une subvention de 1 milliard de dollars aux familles en 2017 pour réduire les prix ! Difficile de ne pas faire le parallèle : 1 milliard de subvention à l’électricité en Ontario contre 1 milliard de baisses d’impôt au Québec ! Les prix des logements ont également grimpé moins vite au Québec en 2016 (1,1 % contre 2,9 % en Ontario), selon l’analyse du ministère des Finances. Enfin, la contribution d’assurance incluse dans les permis de conduire au Québec a reculé de 6,5 % au Québec en 2016, pendant qu’elle baissait de 1,6 % en Ontario. Ces trois postes n’expliquent pas tout, bien sûr. Le panier qui compose l’Indice des prix à la consommation (IPC) au Québec comprend une variété d’éléments, dont l’alimentation (18,8 % du panier) et l’essence (3,7 %). Cette dernière composante est en recul partout au Canada. Tout de même, le logement (25,6 %), le transport privé excluant l’essence (14,2 %) et l’énergie (5,6 %) sont des éléments majeurs de l’IPC. Enfin, autre piste à explorer pour expliquer notre inflation moindre : le vieillissement plus accentué de la population. En règle générale, les travailleurs qui partent à la retraite avaient des hausses de salaires annuelles moindres que les nouveaux travailleurs qui les remplacent et qui grimpent dans les échelons. Notre pouvoir d’achat progresse, en somme, et il faut espérer que la tendance se maintiendra. (1) C’est le cas du secteur des médias, par exemple, en raison du déplacement majeur de la publicité vers Google et Facebook, notamment. Ce secteur a perdu 43 % de ses emplois entre 2009 et 2015, selon la Fédération nationale des communications.
  14. Bof, c'est tristounet... Il manque la tour et des ifs ou des mélèzes de 20-30 pieds tout le tour.
  15. La Sûreté du Québec effectue une perquisition au quartier général du SPVM PUBLIÉ LE JEUDI 26 OCTOBRE 2017 À 22 H 41MIS À JOUR LE 26 OCTOBRE 2017 À 23 H 42 Une auto-patrouille du Service de police de la Ville de Montréal Photo : Radio-Canada L'équipe mixte d'enquête de la Sûreté du Québec (SQ) sur les pratiques des affaires internes du Service de police de la Ville de Montréal (SPVM) a effectué une perquisition jeudi soir au quartier général de la police de la métropole. Un texte de Pascal Robidas Selon nos informations, les enquêteurs de la SQ visaient un haut gradé très près du directeur du SPVM, Philippe Pichet. C'est jeudi, vers 17 h 30, que deux étages du quartier général, situé rue Saint-Urbain au centre-ville de Montréal, ont été investis par des équipes d'enquêteurs. L'opération visait à amasser des informations pour faire avancer une enquête qui est en cours depuis déjà quelques semaines. Avant de procéder à l'exécution du mandat de perquisition, plusieurs policiers actifs ou à la retraite auraient été rencontrés par l'équipe mixte d'enquête de la Sûreté du Québec. Toujours selon nos sources policières, le quatrième étage, où étaient situés les locaux de la Division des affaires internes et des enquêtes spéciales, a été passé au peigne fin. Le neuvième étage, où sont situés les bureaux de la haute direction, dont celui du directeur Philippe Pichet, a aussi été ciblé lors de la perquisition. Au total, cinq endroits ont été visés jeudi soir par l'opération policière de la SQ : le quartier général du SPVM, le poste de quartier 38 ainsi que des résidences privées. La majorité des policiers de la SQ sur le territoire montréalais ont dû être mobilisés pour participer aux perquisitions qui se déroulaient. Ce sont donc leurs collègues de Laval qui ont été transférés vers l'île de Montréal durant quelques heures pour assurer la surveillance du réseau autoroutier. Pour le moment, aucun chef d'accusation n'a été déposé contre le haut gradé du SPVM visé par l'équipe mixte de la Sûreté du Québec. Pour joindre Pascal Robidas : 514-895-0158 ou pascal.robidas@radio-canada.ca
  16. Halloween 2017, featuring Denis Codingue: "The great chainsaw massacre of Île Sainte-Hélène"...
  17. Montreal's Retired Metro Cars Are Staying Busy 1. MARK BYRNES OCT 20, 2017 Thresholds, an art installation made of old MR-63 doors, is the first of seven winning reuse proposals to be realized. https://vimeo.com/231762384 Thresholds by Michel de Broin, (KM3, Quartier des spectacles/Jules Beauchamps-Desbiens) Whenever a city updates the rolling stock of its subway, a familiar question emerges: What to do with all the old metro cars? You can hurl them in the ocean to make artificial reefs, or use them for emergency housing for the homeless, or sell them to North Korea, as Berlin did in the 1990s. Or, as in Montreal, you can turn them into public art installations. The Montreal Metro is currently rolling out its sleek new Azur rail cars, putting its half-century-old MR-63s to pasture. Under the supervision of STM, Montreal’s transit authority, some of the first and oldest cars are preparing themselves for new and radically different lives. Thresholds (Seuils), by artist Michel de Broin, is the first of seven winning MR-63 reuse proposals to STM. The installation debuted in the city’s Quartier de Spectacles during KM3, an outdoor urban art festival that ran from August 30 through October 15. The installation demonstrates a “treasure of know-how” buried in the bodywork of the retired rail cars. In it, 12 lined-up sets of MR-63 doors swing open when set off by newly installed motion sensors. (“It's like controlling a steam engine with a microprocessor,” de Broin says, because the door motors are so old.) As the visitor passes through the installation, the doors slide open and closed: It’s as if the reused objects “were molded around the visitor’s body,” the artist says. The 47-year-old Montreal artist, best known for his use of radically repurposed objects, has long shown a particular interest in transportation. In Shared Propulsion Car (2007), a stripped-down 1986 Buick Regal is used as a pedal car on the streets of Manhattan and Toronto until being pulled over by police and towed. In Trial (2015), the ensuing traffic court hearing is reenacted verbatim inside a moving subway car. He has also made a bicycle that turns the rider’s energy into smoke (Keep On Smoking, 2016) and a project that explored the use of the use of a driver’s body fat as an alternative to gasoline (Reciprocal Energy, 2008). “These objects are diverted from their [original] purposes to create something that is not productive as much as it provides a means to question the [capitalist] system that initially created them,” says de Broin. “These creations are chances for the objects to revolt against the function and the discipline that inflicts them.” Thresholds by Michel de Broin, (KM3, Quartier des spectacles/Cindy Boyce) Thresholds is an example of what de Broin refers to as “technological archaeology.” He tells CityLab that the installation demonstrates a“treasure of know-how” buried in the bodywork of the retired rail cars. It makes visible and reactivates, he explains, “the technical memory of a device rendered obsolete by the arrival of new cars, but which nevertheless testify the innovations that marked their era.” The artist doesn’t know yet where Thresholds will travel next. Pending approvals, Montrealers should expect to see the other six reuse projects in the near future. Those will include: two new large-scale structures, a fire-prevention training car, a coffee shop for a polytechnic institute, and installations inside a skate park and the Jardins de Métis. About the Author Mark Byrnes · @MARKBYRNES525 · FEED Mark Byrnes is a senior associate editor at CityLab who writes about design and architecture. https://www.citylab.com/transportation/2017/10/montreals-retired-metro-cars-are-staying-busy/543432/
  18. Vous avez remarquez? En traçant un trait au milieu de la photo, toute la partie à droite est d'avant 2k et que celle de gauche est toute neuve?
  19. Troisième Tour des Canadiens: des dépliants en anglais et mandarin...mais pas en français! Des dépliants en anglais et mandarin…mais pas en français! - Explications à 12h Un pamphlet qui fait la promotion de la troisième Tour des Canadiens, à Montréal, fait des vagues. Le document a été rédigé en deux langues, anglais et mandarin, mais le français n'en fait pas partie. AGENCE QMI Dimanche, 22 octobre 2017 14:22MISE à JOUR Dimanche, 22 octobre 2017 14:22 Un dépliant qui fait la promotion de la troisième Tour des Canadiens, à Montréal, fait des vagues. Le document a été rédigé en deux langues, anglais et mandarin, et le français n'en fait pas partie. L'objet promotionnel invite les gens à un événement au bureau des ventes de la phase 3 de cet important projet immobilier au centre-ville. Un côté de celui-ci dévoile des informations présentées en anglais alors que l’autre est écrit en caractères chinois. «Il s’agit d’une violation de la loi 101, il n’y a pas de débat ici. On pourrait aussi identifier ça comme un mépris du droit élémentaire des Québécois de commercer dans la langue officielle», estime Maxime Laporte, président de la Société Saint-Jean-Baptiste. «Hélas ce n’est pas un cas isolé, loin de là. C’est peut-être le résultat du laisser-aller de notre propre gouvernement sur le fond linguistique», ajoute-t-il. Mark Li, l’intervenant mentionné sur le dépliant a été joint par TVA Nouvelles. L’individu qui se trouve présentement à Toronto ne parle qu’en anglais. Ce dernier a avoué ne pas savoir d’où provenait le dépliant et qui l’a distribué. On ne connaît pas la quantité de ces dépliants qui ont été distribués ni où ils l’ont été. On ne sait pas non plus si une version francophone existe. http://www.journaldemontreal.com/2017/10/22/troisieme-tour-des-canadiens-des-depliants-en-anglais-et-mandarinmais-pas-en-francais
  20. Wow! Çà c'est une très belle photo!
  21. Et le Tom qui lui fait un pied de nez!
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