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Normand Hamel

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Tout ce qui a été posté par Normand Hamel

  1. Peu de temps après 1975 car la photo ci-jointe date de 1980/81.
  2. Voici deux photos datant de 1975, la première nous montrant le CIMA en construction.
  3. Ça ressemblait sans doute à ceci, dépendamment des années que tu le fréquentais.
  4. Grosse amélioration par rapport à ce que c'était il n'y a pas bien longtemps encore.
  5. De plus en plus de centres de données au Québec Grâce à ses nombreux atouts, le Québec est devenu un endroit prisé par les centres de données, où sont emmagasinées les informations numériques de partout dans le monde. Entre 2019 et 2021, le nombre de centres de données dans la province est passé de 39 à 50. Les Microsoft, Facebook, Amazon et Google de ce monde ont choisi le Québec pour l’énergie verte, les coûts des ressources et les températures douces. En effet, les serveurs doivent être conservés à 21 degrés Celsius. La pandémie et le télétravail ont fait exploser les besoins que ce soit pour faire des visioconférences ou la publication de photos sur les réseaux sociaux. «La demande n'arrêtera pas d'ici demain matin. Le commun des mortels utilise tous les jours les centres de données, donc vous avez juste à penser à vos applications sur votre cellulaire», a indiqué le directeur général de Vantage Canada, Maxime Guévin, en entrevue à TVA Nouvelles. Prioriser la sécurité Et avec des données aussi sensibles, la sécurité est primordiale. Afin de protéger ses agents, Vantage Canada s’est assuré qu’aucun contact physique ne soit possible avec ceux-ci. Un tiroir a donc été spécialement aménagé afin d’empêcher quiconque de pointer une arme sur un agent de sécurité. «En plus de ça, dans les murs ici il y a des... grillages métallisés pour s'assurer que personne ne puisse passer via le mur et les vitres sont des vitres anti-intrusion», explique Maxime Guévin. Des centres énergivores Chez Vantage Canada, les quatre salles de serveurs consomment annuellement l'équivalent de 10 000 résidences familiales. Au niveau mondial, l'empreinte carbone de ce secteur est immense. «C'est 3,5% des émissions de gaz à effets de serre et c'est deux fois plus que le secteur de l'aviation» admet Maxime Guévin. Vantange Data Centers, qui a déjà investi plus de 850 millions de dollars dans ses installations québécoises, prévoit bientôt des expansions. Elle souhaite également devenir carboneutre d'ici 2030. Voir la vidéo qui accompagne l'article: https://www.tvanouvelles.ca/2021/09/12/de-plus-en-plus-de-centre-de-donnees-au-quebec
  6. Le Québec en plein cœur du virage électrique de New York Des entreprises québécoises envahissent la Grosse Pomme avec comme puissante arme leur savoir-faire Olivier Bourque - Le Journal de Montréal « C’est pas physique, c’est électrique », chantait Robert Charlebois. Et ça pourrait être le mantra de plusieurs entreprises québécoises, qui débarquent à New York dans le but d’électrifier la ville qui ne dort jamais. L’une d’entre elles, Effenco, a développé une solution hybride électrique pour différents types de camions. L’entreprise a même réussi à s’implanter au sein du Département d’assainissement de New York, dans l’un des plus gros garages municipaux de la planète, situé dans l’arrondissement du Queens. Le bâtiment est d’une longueur équivalente à la hauteur de l’Empire State Building. L’une d’entre elles, Effenco, a développé une solution hybride électrique pour différents types de camions. L’entreprise a même réussi à s’implanter au sein du Département d’assainissement de New York, dans l’un des plus gros garages municipaux de la planète, situé dans l’arrondissement du Queens. Le bâtiment est d’une longueur équivalente à la hauteur de l’Empire State Building. « Nous avons toutes les ressources ici pour opérer une ville comme New York, 24 heures par jour, sept jours semaine. Ici au Département, nous avons une flotte de 6000 véhicules, dont 2000 camions à ordures. C’est la plus importante aux États-Unis si ce n’est au monde », nous dit fièrement Spiro Kattan, directeur du Département d’assainissement de New York, en entrevue avec Le Journal. Un long processus Lors du passage du Journal, les camions hybrides développés par l’entreprise québécoise étaient sur le terrain pour les opérations entourant les inondations. Mais ils peuvent aussi être utilisés comme déneigeuses ou véhicules d’urgence. Dans cette immense installation, tout le monde connaît Effenco qui a développé une solution en collaboration avec la Municipalité pendant plusieurs années. « Nous sommes très chanceux d’avoir été sélectionnés, car ç’a été un processus très long, environ sept ans. Nous avons travaillé avec la Ville dans leur laboratoire, je restais plusieurs mois à New York. On a testé nos solutions, on a roulé dans tous les arrondissements, on a obtenu notre certification du fabricant Mach qui installe notre procédé. Mais au final, on a réussi », raconte David Arsenault, président d’Effenco. Plus de 1000 camions à convertir Au total, l’entreprise de 80 employés va « électrifier » 1100 camions à ordures lors des trois prochaines années. « Ils ont développé la meilleure solution pour nous, très simple à implanter. Et nous allons continuer à travailler avec eux car notre flotte doit être complètement électrifiée pour 2040 », assure le commissaire du Département, Rocky DiRico, un solide gaillard qui répond directement au maire Bill de Blasio, lors d’un entretien avec Le Journal. M. DiRico a d’ailleurs été un allié dans le développement des véhicules hybrides à New York. « Il a convaincu les instances publiques de débloquer les fonds. Pour nous, ç’a été déterminant car au départ, c’était assez avant-gardiste », mentionne David Arsenault. UN GIGANTESQUE MARCHÉ QUI GRANDIT À LA VITESSE DE LA LUMIÈRE Si l’entreprise québécoise Effenco a réussi à charmer la ville de New York, il pourrait s’agir de la première étape d’une opération visant à accaparer le marché américain. « Actuellement, on a le contrat pour une partie des camions à ordures, mais il y a 30 000 véhicules dans la flotte de la ville de New York. Notre solution pourrait s’appliquer aux autres véhicules », indique le président David Arsenault. Selon ce dernier, plusieurs États vont aussi adopter des normes plus vertes lors des prochaines années, comme New York ou la Californie. « On sent que la demande sera multipliée par 50 pour notre type de produits. Donc, nous sommes confiants », ajoute le patron d’Effenco, qui a fondé l’entreprise en 2006. Contexte favorable Pour la nouvelle déléguée générale à New York, Martine Hébert, on risque de voir de plus en plus d’entreprises québécoises débarquer à New York et pas seulement dans le secteur des transports. « Le contexte est très favorable. Il y a le Plan Biden, des investissements massifs dans le plan climatique de l’État de New York, et la ville est très proactive en matière de décarbonisation. Notre avantage, c’est que le Québec a pris de l’avance, on a investi, et tout le monde veut notre expérience », assure-t-elle. UNE MÉTROPOLE QUI A FAIM DE BORNES ÉLECTRIQUES Si Montréal et les villes québécoises ont installé depuis très longtemps plusieurs bornes de recharges, New York commence seulement l’implantation de son réseau grâce notamment à l’entreprise québécoise AddÉnergie. Le Journal a pu constater que, dans l’Upper East Side, un des quartiers les plus aisés de la ville, ces bornes sont déjà très populaires. « J’adore avoir accès rapidement à des bornes, j’habite juste à côté », partage un New-Yorkais rencontré, casquette des Yankees vissée à la tête, café à la main. Made in Mauricie « Nous sommes en phase d’implantation. Actuellement, il y a 15-20 stations qui ont été installées, principalement à Manhattan et dans le Bronx. Il s’agit de bornes qui peuvent recharger deux voitures en même temps », nous explique Rose Lenoff, responsable du développement commercial, en entrevue avec Le Journal. Au total, 120 bornes fabriquées dans l’usine de l’entreprise à Shawinigan, en Mauricie, seront installées dans le cadre du déploiement du réseau FLO à 34 emplacements différents, mais également dans quatre sites pour la Ville de New York. Ce chantier représente le deuxième déploiement urbain en importance aux États-Unis, après celui de Los Angeles. AddÉnergie est en mode croissance et a 275 employés un peu partout dans le monde. https://www.journaldemontreal.com/2021/09/13/le-quebec-en-plein-cur-du-virage-electrique-de-new-york
  7. Michel Nadeau, ou travailler pour le Québec Le 13 septembre 1973, Michel Nadeau s’asseyait à un pupitre du quotidien Le Devoir pour commencer sa carrière professionnelle. Aujourd’hui, 48 ans plus tard, nous lui avons demandé quelle a été sa contribution aux différentes étapes du rattrapage économique du Québec. Avec cet article, il signe un point final. Gérard Bérubé - Le Devoir Aujourd’hui, quelque 60 ans après le déclenchement de la Révolution tranquille, le Québec économique est arrivé là où il devait être. « Il y a eu des ratés, mais on a réussi. Nous avons acquis une indépendance économique. Le progrès a été extraordinaire, remarquable. L’économie du Québec a connu une accélération rapide unique au monde, et sa société est l’une des plus dynamiques en Amérique du Nord », s’émerveille Michel Nadeau. « On a pris notre place, mais il ne faut surtout pas arrêter. Les baby-boomers ont réussi un excellent rattrapage. Ils doivent maintenant appuyer les jeunes pour qu’ils prennent leur place. » Sur ce point, il se dit optimiste. « La relève est là. » Dix ans au Devoir, une vingtaine d’années à la Caisse de dépôt et placement, dont un an à la présidence de CDP Capital, puis directeur général de l’Institut sur la gouvernance d’organisations privées et publiques (IGOPP), Michel Nadeau est un acteur de premier rang dans la construction du Québec inc. « J’ai joué un rôle, certes. On peut parler d’une modeste contribution. J’ai répondu présent à chaque étape. » Pour ce faire Il a dû effectuer un virage à 180 degrés. Détenteur d’un diplôme ès arts du collège F.-X. Garneau et d’un baccalauréat en sciences politiques de l’Université Laval, Michel Nadeau se sentait plutôt animé d’une culture humaniste, ses pensées allant à l’opposé de la finance ou de la gestion. Au demeurant, il ressentait davantage un instinct d’entrepreneur que de financier. « Je me serais normalement orienté vers une fonction libérale, pas vers le business,jusqu’à ce qu’un professeur de McGill me dise que les Québécois auront la capacité de prendre des bonnes décisions sur leur avenir que lorsqu’ils auront pris leur place dans l’économie. C’est là que j’ai compris l’importance du rattrapage en économie-finance. » Il obtient ainsi un Master of Business Administration (MBA) à l’Université Laval. « Je me suis donné comme devoir de travailler pour le Québec. » Dès son arrivée au Devoir, où il passa cinq ans à titre de journaliste économique et autant d’années comme éditorialiste financier, celui qui se classe dans la famille des nationalistes a défendu la vision que le Québec, ce n’est pas n’importe quoi. C’était aussi l’époque du Régime d’épargne-actions et des moqueries de Toronto, lire de la condescendance de Bay Street. Le journaliste braquait les projecteurs sur des entreprises québécoises à succès, souhaitant voir émerger des vedettes du monde des affaires. « J’ai créé un business star system inspiré des milieux sportifs et artistiques, mettant en vedette les bâtisseurs du Québec ainsi que les grands du monde des affaires et de la finance québécois. » Une approche dans la continuité Cette approche s’est inscrite dans la continuité sous l’action de l’IGOPP, avec sa Murale des grands bâtisseurs de l’économie du Québec. L’initiative vise à rappeler aux prochaines générations les efforts des entrepreneurs qui ont bâti et continueront à bâtir des entreprises importantes et pérennes pour l’économie du Québec, rappelle-t-il, insistant sur l’importance de connaître et de reconnaître le passé. « On ne réalise pas où nous étions en 1959 et où nous en sommes aujourd’hui. Montréal abrite le siège social d’une vingtaine de multinationales d’importance. On ne voit pas cela à Copenhague, à Rotterdam ni à Amsterdam. Le Québec a misé sur Hydro-Québec et ses autres sociétés d’État, sur la Caisse de dépôt, sur ses grandes entreprises, sur de grandes coopératives, agricoles ou financières, sur ses fonds de travailleurs, un modèle qui ne fonctionne qu’au Québec… Il a repris le contrôle sur ses matières premières. Pour leur part, les établissements d’enseignement universitaires ont créé toute une génération de gestionnaires. Et nous avons mené en parallèle la bataille du français. Bref, une belle époque ! » Influence de la Caisse de dépôt Une époque dominée par l’influence de la Caisse de dépôt. M. Nadeau y fait son entrée sous l’invitation du président Jean Campeau, à un moment où l’institution vibrait au son du slogan « Faisons des Québécois un peuple de propriétaires ». « Jean Campeau était une source d’inspiration extraordinaire. Il était doté d’une culture de missionnaire. » Michel Nadeau défendait le double volet de la mission de la Caisse, soit le rendement et l’essor économique du Québec, un double mandat oublié sous la présidence des deux prédécesseurs, mais que reprenait Jean Campeau. « Quand on négociait une transaction, il fallait aller chercher le meilleur rendement possible et, au prix d’un effort supplémentaire, obtenir des retombées pour l’économie québécoise. » « J’avais cette obsession d’ajouter une valeur additionnelle pour le Québec, de convaincre chaque employé de faire un effort supplémentaire pour des retombées économiques. » Il revient à cette transaction impliquant la vente de Provigo à Loblaw, la Caisse ayant obtenu un prix bonifié et l’engagement de dix ans d’acheter des produits québécois dans une forte proportion. Le patron de Loblaw « chialait que ça ne s’était jamais fait, mais too bad ». Ou à celle de Vidéotron. Ted Rogers avait convaincu Claude Chagnon. « Rogers m’avait appelé pour me dire de laisser aller, mais on a dit “non”. Nous avions un droit de premier refus, on l’a exercé. Rogers était découragé tout comme Chagnon. Les deux faisaient des pressions auprès de [Bernard] Landry. On est allé voir Pierre Karl Péladeau et on a fait un deal. » La Caisse exerçait parallèlement tout le poids de sa présence dans l’actionnariat, et celui de la taille de ses mandats de gestion ou du volume des commissions de courtage, pour obtenir de ses partenariats une contribution à l’économie locale et un recours aux professionnels québécois. « L’assureur écossais Standard Life voulait gérer 300 millions de la Caisse. On l’a fait en échange qu’il établisse à Montréal le centre de gestion nord-américain, créant ici une vingtaine de bons emplois de gestion », donne-t-il en exemple. Il se réjouit également qu’en tandem sous la présidence de Jean-Claude Scraire, la Caisse ait déployé des bureaux à l’étranger afin de renforcer l’expertise et les connaissances internationales des spécialistes d’ici. « Nous voulions que les jeunes Québécois se développent et rayonnent à l’étranger. » Il quitte CDP Capital en 2002. Une période de réflexion s’ensuivra, qui le mènera à contribuer à la création de l’IGOPP en 2005, influencé en cela par le gestionnaire de portefeuille Stephen Jarislowsky, « un grand homme pour l’économie du Québec », souligne Michel Nadeau. L’Institut devenait le seul organisme en Amérique du Nord à offrir à la fois des recherches sur les entreprises cotées en Bourse et des conseils-diagnostics auprès d’entreprises, de PME, d’associations, d’institutions et d’organisations. Son mandat s’attardait au cœur de la relation entre la direction, les conseils d’administration et les parties prenantes. « Yvan Allaire était, avec Mihaela Firsirotu, l’auteur le plus prolifique en matière de gouvernance au Canada. Moi, je m’occupais du deuxième volet. Nous avons réussi à régler plus de 350 problèmes d’organismes qui étaient paralysés, avons contribué à résoudre des problèmes qui rendaient les gens malheureux. » Michel Nadeau a quitté l’IGOPP en 2020. https://www.ledevoir.com/economie/631815/economie-michel-nadeau-ou-travailler-pour-le-quebec
  8. Si les bancs sont au même niveau oui, mais dans des gradins ils n'y a aucune raison de se lever.
  9. J'y vois quelque chose de grandiose et cela apporterait au Vieux-Port un effet "wow" comme peut le faire un escalier monumental à l'intérieur d'un château.
  10. Ce sont des gradins pour les spectacles sur l'eau, comme AVUDO par exemple.
  11. À la fin de l'extrait suivant du communiqué reproduit par @IluvMTL on précise que les services d'un cabinet d'architectes seront retenus; cependant ce même communiqué est accompagné de certaines évocations d'une portion du projet de Daoust Lestage dont j'ai moi-même reproduit ici certaines évocations pour nous permettre d'anticiper ce qui s'en vient pour le Vieux-Port et pour alimenter la discussion. Le Plan Directeur repose sur plusieurs objectifs clés : Renforcer la mission récréative du site de sorte que tous puissent en profiter. Investir dans des espaces verts et publics. Améliorer la sécurité et l'accessibilité des visiteurs. Favoriser une meilleure intégration entre le Vieux-Port et le quartier historique du Vieux-Montréal. Confirmer les usages à long terme des quais de l'Horloge, King-Edward et Jacques-Cartier. Offrir un stimulant économique important à Montréal. Les travaux de planification sont en cours et les services d'un cabinet d'architectes seront retenus sous peu afin que les plans et devis soient élaborés. Lorsqu'ils seront prêts, les concepts seront présentés au public. En lire plus: https://www.lelezard.com/communique-19951993.html
  12. L'ouvre Leurs effigies de Yann Pocreau, qui rend hommage à Jeanne-Mance, Marguerite Bourgeoys et Marguerite d’Youville, a finalement été installée, mais n'a cependant pas encore été inaugurée. Photos: @Claude Deschênes (2021-09-04)
  13. Les Îles-de-la-Madeleine alimentées en hydroélectricité en 2027 Hydro-Québec privilégie l'installation de câbles sous-marins pour raccorder l'archipel madelinot au réseau hydroélectrique continental. La transition énergétique est toutefois retardée de deux ans. Isabelle Larose - Radio-Canada Après l'analyse de six options énergétiques qui ont permis de comparer 17 scénarios d'approvisionnement distincts, la société d’État confirme qu’elle mettra en place deux câbles sous-marins de 225 kilomètres entre les postes de Percé et de Cap-aux-Meules. Selon Hydro-Québec, l’option est la mieux adaptée sur les plans environnemental, social, économique de même que pour assurer la fiabilité de l’approvisionnement. Le raccordement au réseau hydroélectrique permettra de réduire de 94,5 % les émissions de gaz à effet de serre, puisque l’archipel madelinot est actuellement alimenté en électricité par une centrale thermique au mazout. Le câble, du point de vue de la réduction des GESgaz à effet de serre, était le numéro un parmi toutes les solutions, mais aussi du point de vue de l’acceptabilité sociale avec un appui de 76 % [de la population], souligne le vice-président directeur du volet Distribution, approvisionnement et services partagés d'Hydro-Québec, Éric Fillion. Près de 1000 Madelinots ont participé aux consultations organisées par Hydro-Québec sur le sujet. C’est une réduction entre 120 000 et 130 000 tonnes de gaz à effet de serre par année, précise le ministre québécois de l'Énergie et des Ressources naturelles, Jonatan Julien, qui est également ministre responsable de la région Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine. C’est comme si on convertissait 30 000 véhicules à essence à l’électricité d’un seul coup. Sur une période de 40 ans, l’installation de câbles sous-marins représente des économies de 300 millions de dollars par rapport au maintien de la centrale thermique, selon Hydro-Québec. Ils permettront d'accéder à une puissance de 80 mégawatts, alors que la puissance de la centrale thermique est limitée à 67 mégawatts. Les coûts exacts et le calendrier des opérations seront connus au premier trimestre de 2023, affirme Éric Fillion. Des consultations auront lieu au cours des prochains mois auprès des communautés autochtones, des pêcheurs et des intervenants touchés dans les provinces maritimes. Report de deux ans et maintien de la centrale La société d'État, qui avait d'abord annoncé la transition énergétique des Îles d'ici 2025, repousse toutefois l'échéancier de deux ans en raison de la découverte de nouveaux défis techniques du projet et de certaines contraintes liées à la pandémie. La centrale thermique sera maintenue en fonction après 2027, non seulement pour assurer l’approvisionnement en électricité lors de l’entretien des câbles sous-marins ou en cas de bris, mais aussi pendant les périodes de pointe de consommation hivernale. Hydro-Québec s'engage aussi à conserver les 82 emplois liés à la centrale, mais souligne que certains employés devront être réaffectés à de nouvelles tâches. Ce ne seront pas nécessairement les mêmes emplois, parce qu'on va avoir besoin de beaucoup moins de gens pour faire la maintenance de la centrale, explique Éric Fillion. La transition énergétique pourrait être synonyme d’une hausse de tarif pour certains, car la moitié des foyers madelinots disposent actuellement d’un système de chauffage au mazout ou au propane subventionné par le Programme d’utilisation efficace de l’énergie (PUEE). À partir de la mise en service des câbles sous-marins, ce programme sera progressivement délaissé au cours d'une transition de cinq ans pour ajuster le tarif électrique à celui payé par les utilisateurs du réseau hydroélectrique. Une fois la transition énergétique réalisée, les Madelinots deviendront admissibles à des programmes d’efficacité énergétique dont ils ne peuvent bénéficier actuellement. Hydro-Québec précise que l'installation des câbles sous-marins électriques vient d'emblée avec l'installation d'un câble optique et que de l'espace serait disponible pour ajouter d'autres liens de télécommunications pour la communauté madelinienne. Les deux liens de télécommunication en place ont fait défaut lors d'une tempête en novembre 2018 et ne sont plus assurables en raison de leur état de désuétude. Le gouvernement du Québec, qui n'a pas réparé ces câbles, comptait sur le raccordement électrique d'Hydro-Québec pour installer un nouveau câble optique. https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1822196/annonce-hydro-quebec-cables-sous-marins-hydro-iles-madeleine-transition-energetique
  14. Voici quelques photos des vitrines en question. Sur la deuxième photo on voit bien l'alcôve qui doit être protégé. C'est du moins la lecture que je fais de la demande de permis.
  15. Le travail reprend peu à peu sur le chantier. Hier on a apporté quelques voyages de terre, sans doute destinée au remblaiement de la structure du carillon au fond de laquelle de l'eau s'est accumulée.
  16. C'est de ta faute! 😛 Après avoir vu ton post je suis allé sur la page Facebook de L&C où j'ai trouvé cette perle.
  17. La vue sur le toit du L&C (2021-03-26).
  18. La maison Domtar? A moins que tu fasses référence à l'édifice rose avec des oreilles de chat? 😛
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