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UrbMtl

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Tout ce qui a été posté par UrbMtl

  1. Design légèrement différent sur le site du promoteur (daté de septembre 2017). L'ancien, pour comparer :
  2. Depuis au moins une semaine, les bâtiments au coin de Maisonneuve sont clôturés et des affiches d’entrepreneurs sont installées.
  3. Démolir un édifice parce qu'il souffre d'un déficit d'entretien et qu'il ne correspond plus à nos standards esthétiques contemporains... un manque de vision et de mise en contexte que je pensais bien loin derrière nous. Certains auraient participé avec enthousiasme au carnage des années 60-70. ? C'est à force de laisser se réaliser des opérations comme celle-ci, à la pièce et sans vision d'ensemble, qu'on nuit à la pérennisation de l'édifice et son appréciation. Une petite lecture à cet effet : https://www.canadianarchitect.com/features/place-bonaventure/ Place Bonaventure In the mid-1960s, Place Bonaventure epitomized a spirit of euphoric optimism. TEXT Tanya Southcott “What Italy can do with marble and stone,” proclaimed architect Raymond T. Affleck of his firm’s seminal work Place Bonaventure, “we can do with wood and concrete.” In the mid-1960s, Affleck’s statement echoed the mega-tendencies of a metropolis on the eve of its international inauguration. Construction for Expo 67 was in full swing, and Montreal was projected to grow its population of roughly 3 million to 7 million by the end of the century. Place Bonaventure epitomized this spirit of euphoric optimism. Promoted as a city within a city, the 3-million-square-foot poured-in-place concrete monolith inspired superlatives from conception. Located at the foot of the Bonaventure Expressway, the multi-purpose complex reclaimed a lucrative block of downtown real estate by transforming the airspace above the Canadian National Railway tracks into a hub of activity that linked to subway, railway and interior and exterior pedestrian networks. Its unique combination of large-scale trade, exhibition and convention-centre facilities with a wholesale merchandise centre aimed to revolutionize the wholesale retail experience by bringing the customer directly to the vendor. When completed, Place Bonaventure was the largest concrete building in the world and the second-largest commercial building after Chicago’s Merchandise Mart. At 250,000 square feet, Concordia Hall was the largest exhibition room in Canada, easily accommodating an artificial lake, an imitation ski slope, or three simultaneous football matches. The complex’s crowning jewel, a 401-room hotel, framed the country’s first rooftop garden complete with indoor-outdoor swimming pool, 17 storeys above downtown Montreal. The last half-century, however, has not been kind to Place Bonaventure. A series of renovations underscore the vulnerabilities of its monumental vision. Failure of the complex as a destination shopping location forced the incremental conversion of retail space to offices, a transition which erodes its folded concrete faÇades into a grid of windows. Crumbling concrete led to the construction of new entryways, and the reorganization of circulation at ground level obscures a once-clear orientation system. The introduction of new finishes dilutes the power and austerity of its carefully sculpted concrete detailing. While these changes ensure the building’s continued viability, they have done little to soften its fortress-like appearance for contemporary users. Despite its mixed reception, Place Bonaventure remains a hallmark in the evolution of the Canadian construction industry and architectural practice. The building “task force”—the consortium of architect (Affleck, Desbarats, Dimakopoulos, Lebensold, Sise), developer (Concordia Estates Development Company) and contractor (Concordia Construction Incorporated)—challenged the linearity of the traditional project delivery model with Canada’s first design-build proposal. The simultaneous design and construction of Place Bonaventure carried the project from idea to reality in half the time of conventional sequencing. This process exceeded the team’s ambitions of efficiency and functionality by delivering a product miraculously both on time and on budget. According to head designer Eva Vecsei, “We all just learned in the process. We were new; we saw no limits.” Its success is a credit to the cooperative spirit of the times and the project’s young entrepreneurial team. Tanya Southcott is a Montreal-based architect and writer.
  4. Depuis quand un parc est "un trou" à boucher? ?
  5. Le tour 1 (en verre) n'est pas de Devimco.
  6. Changement de design et d'autres rendus sur le même site :
  7. Et même dans le vieux et ailleurs dans le monde! C'est exactement l'idée d'un bain portuaire. Je suis certain qu'elle connait déjà tout ça. ? « On n'a pas souvent la possibilité de se baigner dans les cours d'eau proches des villes, car il y a trop de courant ou l'eau est trop trouble », explique l'ingénieur. D'où l'idée des bains portuaires composés de quais flottants ou des piscines flottantes, qui elles, sont remplies d'eau traitée et sont installées à proximité du cours d'eau. http://ici.radio-canada.ca/emissions/le_15_18/2013-2014/chronique.asp?idChronique=411009
  8. Très heureux que ce soit l'administration actuelle qui établisse les limites et les directives. J'ai confiance!
  9. Sauf que le basiliaire sera construit et occupé. Rien à voir avec le terrain du Spectrum! Ensuite, qu'on attende 10-15 ans pour construire la tour n'est pas nécessairement une mauvaise nouvelle. Qu'on laisse un peu de place à l'architecture de demain dans le Quartier des Spectacles!
  10. En fait, mes archives sont des rendus ou images publiées depuis 2005-2006 (sur mtlurb, SSP et sites divers). Je n'ai pas les images dont tu parles.
  11. Oui. Larticle qu'il a partagé ne confirme pas du tout ce qu'il avance. L'OCPM s'est positionné contre l'élargissement de la zone à celle du 750 comme le proposait l'arrondissement dans son PPU, pas CF. En passant, l'OCPM est consultatif. Elle ne peut pas refuser ou approuver.
  12. "Dans le projet de PPU, déposé l’arrondissement Ville-Marie proposait de rehausser la limite de hauteur permise des bâtiments de 120 m à 210 m au sud de la rue Saint-Antoine entre les rues Saint-Félix et Peel, comme le demandait le promoteur Cadillac Fairview pour son projet de Tour des Canadiens 2." -extrait de l'article. Qu'est ce que tu comprends de plus que ce qui est écrit dans l'article? CF a fait une demande pour la TDC2, pas 750 Peel. L'arrondissement proposait d'étendre la zone au 750. CF ne l'a pas demandé selon l'article. Les "boss" avaient raison.
  13. Probablement! Ça expliquerait la rue qui coupe et la porte au Nord plutôt que le côté, comme pour Bass.
  14. On distingue une porte d'entrée sur la façade la plus courte, mais une rue longe l'autre façade. Cette même rue semble s'interrompre après l'immeuble. Bref, si le rendu est représentatif, il ne s'agirait pas des Bassins de Musto. On connait les projets sur les autres terrains des Bassins du Nouveau Havre. D'autres idées?
  15. Nouveau vidéo comme si on arrivait du REM sur leur site.
  16. De mon côté, je n'ai pas l'intention de "débattre" de toutes les opinions partagées justement parce que c'est un forum de discussion. On a 2 facons d'aborder l'aspect public du site. Merci pour la réponse. Je passerai par dessus la prochaine fois. Ca sera plus simple.
  17. Je ne m'en "prends" pas à toi parce que tu aimes le projet, au contraire, mais parce que tu t'adresses à ses "adversaires" (?) en sous entendant qu'on devrait tous penser comme toi. C'est ironique de te répondre, j'en conviens, mais on sen fout (amicalement)! Tu l'aimes, d'autres non. C'est tout. 300 utilisateurs sont en ligne actuellement. Pas besoin d'essayer de les convaincre à chaque photo publiée. Edit : Voilà c'est dit. J'espère qu'on se comprend mieux.
  18. Fermeture de Camillien-Houde: on est loin de la catastrophe DAPHNÉE HACKER-B Lundi, 4 juin 2018 09:47MISE à JOUR Lundi, 4 juin 2018 09:47 La pluie est tombée, les voitures ont roulé, les piétons ont marché. En ce lundi qui marquait la première journée de semaine depuis la fermeture de la voie Camillien-Houde au transit automobile, tout s'est passé comme à l'habitude pour les usagers de la route. Le projet pilote de l'administration Plante qui interdit de traverser le mont Royal d'est en ouest du 2 juin au 31 octobre n'a pas causé le chaos que certains craignaient. Du moins, pas aux heures de pointe lundi matin. Le Journal a sillonné en voiture les chemins alternatifs à la voie Camillien-Houde (Côte-Sainte-Catherine, Côte-des-Neiges, avenues du Parc, des Pins et Docteur-Penfield) durant plus de deux heures et le constat était partout le même. Outre certains ralentissements dans les zones naturellement achalandées (ex: Peel et Docteur Penfield ou Côte-Sainte-Catherine et Laurier), la circulation automobile autour de la montagne s'est effectuée sans problème. En fait la seule congestion a été causée par la chute d'une grosse branche sur l'avenue des Pins un peu plus loin. Peut-être que la fermeture de ce raccourci rend la vie moins agréable aux automobilistes qui avaient l'habitude de l'utiliser, mais selon les prédictions des experts et selon une étude d'impact réalisée par la Ville de Montréal, le trafic ne s'amplifiera pas dans les secteurs entourant la montagne. Pour en savoir plus sur le pourquoi du projet pilote, veuillez visionner notre reportage vidéo sur le sujet. http://www.journaldemontreal.com/2018/06/04/fermeture-de-camillien-houde-on-est-loin-de-la-catastrophe
  19. Tu peux partager des photos sans les accompagner de ce genre de commentaire. Ça devient un peu lourd de se faire dire qu'on "doit admettre" ou "qu'on doit regarder plus longuement" le bâtiment pour changer d'opinion.
  20. Autre différence : aucune courbe pour Broccolini. Trop complexe.
  21. "Un grand trou" à être comblé par quelque chose de mieux! Aucun doute la dessus.
  22. Et pourquoi pas? D'autres nous répètent bien leur appréciation à chacune des photos ou critiques publiées comme s'ils cherchaient un consensus!
  23. Extraits du rapport du BIG, pas d'un article sensationnaliste. Ce n'est pas la première fois que Coderre doit se défendre sur ses liens avec le Groupe CH. --------------------------- L'Inspecteur général conclut que l’OBNL « Montréal, c’est électrique » a été utilisé afin de contourner les règles d’octroi de contrats prévu par la loi. Le cabinet du maire de Montréala ignoré les avertissements et les recommandations du S.A.J. et MCE n’était finalementqu'une courroie de transmission entre la Ville de Montréal et Evenko. Le maire de Montréal se défend d’avoir choisi et imposé Evenko pour être le promoteurde la course et affirme que c’est FEO qui a eu un rôle prédominant à cet égard. Toutefois,il appert qu’Evenko a été le seul promoteur présenté aux dirigeants de FEO. L’inspecteur général noteégalement que le maire avait demandé aux dirigeants de FEO d’arrêter leurs pourparlersavec un autre promoteur intéressé et exigé que toutes les communications soientcentralisées à son cabinet. De nombreux témoins ont enfin confirmé que dès 2015,Evenko était perçu comme étant le promoteur que le cabinet du maire désirait avoir pourla course de FE de Montréal. Il ressort ainsi des faits recueillis lors de l’enquête une réelle volonté du maire de Montréalet de son cabinet de confier à Evenko l’organisation et la promotion de la course de FE àMontréal, même si, pour ce faire, il fallait qu’une autre entité assume les risques financiers résultant de l’événement. Dans les faits, la relation entre MCE et le cabinet du maire est à ce point intime qu’ellepermet de douter de la réelle raison pour laquelle l’OBNL a été créé. La mission officielle de MCE, soit promouvoir l’électrification des transports, a été donné à MCE pour justifiersa création par le cabinet du maire de Montréal. La création de MCE dans un délai si courtavant la tenue de l’événement, ne lui laissait aucune autre option que de confier de gré àgré le contrat à Evenko pour organiser ledit événement. Ce qui permet au maired’atteindre son objectif, soit qu’Evenko organise sa course. Subsidiairement, mais là n’est pas son constat principal, l’inspecteur général note que lefait que le cabinet du maire ait continué à exercer un contrôle important sur MCE tout aulong du projet a fragilisé la légalité des subventions qui ont été accordées par la Ville deMontréal en raison du fait que l’organisateur de l’événement était un OBNL. Or, ce pointavait fait l’objet de mises en garde répétées de la part du Service des affaires juridiquesde la Ville de Montréal. -------------------------------- EDIT : extrait d'un article de La Presse de l'année dernière concernant le dossier du Parc Jean Drapeau : « L’administration Coderre a considérablement modifié le plan de modernisation de l’île Sainte-Hélène pour le 375e anniversaire de Montréal, un plan déjà voté par la Ville de Montréal et approuvé par le gouvernement du Québec. Elle a choisi d’investir 10 millions pour agrandir le parterre de 45 000 à 65 000 places sur l’île Sainte-Hélène. Elle a aussi accordé 18 millions pour des équipements technologiques conformes aux souhaits du Groupe CH, selon nos informations. Les nouveaux équipements feront économiser environ 500 000 $ par an au Groupe CH, qui devait auparavant louer ces équipements. Au total, il s’agit d’investissements publics de 28 millions financés par Montréal et Québec. La proximité entre Jacques Aubé, vice-président exécutif d'evenko, et le maire Coderre est manifeste aux yeux de certains intervenants dans le dossier. Quand la SPJD hésite ou pose des questions sur certains points, M. Aubé appelle parfois directement le maire Coderre sur son téléphone portable pour régler le point en question. «Le promoteur qui parle au maire comme ça, c'est assez troublant. Il y a une trop grande proximité entre un promoteur privé à but lucratif et les élus qui doivent prendre des décisions avec des fonds publics.» «Les équipements répondent aux besoins d'un seul producteur, evenko. Les autres producteurs s'en serviront peut-être à 25%, mais c'est au-delà de leurs besoins», dit une première source directement impliquée dans le dossier. «De par sa taille, evenko est le seul promoteur à avoir besoin de ces installations», dit une deuxième source directement impliquée dans le dossier»
  24. Le traffic de transit interdit sur le Mont Royal, un vrai scandal. Le détournement des règles pour l'octroi d'un contrat sans appel d'offre à un groupe en particulier et faire assumer les risques financiers à la Ville? Bof. ? ÉDITORIAL FRANÇOIS CARDINAL LE MAIRE QUI SE PRENAIT POUR UN PROMOTEUR Déjà choquant, le projet de la Formule E est devenu accablant, hier. Mais avouons-le, rien de bien étonnant. N’est-ce pas d’ailleurs ce que les Montréalais ont sanctionné, le 5 novembre dernier ? Ce côté autoritaire du maire Denis Coderre, qui bousculait au besoin et croyait n’avoir de comptes à rendre à personne. Or voilà, précisément, ce qui a mené au fiasco financier de la course de FE de 2017, à sa précipitation, à son manque de transparence et surtout, au contournement des règles d’attribution de contrats, comme vient de le démontrer, preuves à l’appui, le Bureau de l’inspecteur général*. Soyons honnêtes, l’idée d’attirer la Formule E à Montréal n’était pas vilaine en soi, loin de là. Denis Coderre avait commencé à s’intéresser à la FE quelques semaines après son élection en 2013 en raison du virage électrique qu’il voulait imposer à la ville, mais surtout, de l’incertitude entourant la Formule 1. Le maire a donc décidé d’aller à Miami, à visière levée. Il a rencontré des représentants de Formula E Operations Limited (FEO). Puis à son retour, il a appuyé sur l’accélérateur pour que le projet voie le jour… en imposant SON promoteur, evenko. Un avocat a beau avoir recommandé à l’administration municipale de lancer un appel d’offres pour choisir le meilleur promoteur, elle a ignoré le conseil. Pire, le maire est intervenu personnellement auprès des autorités de la FE pour qu’elles cessent de discuter avec d’autres promoteurs intéressés avec qui elles avaient déjà entamé des pourparlers ! Tout devait alors passer par son cabinet. Point à la ligne. Le problème, c’est que Montréal s’est alors retrouvé avec un seul promoteur… qui a finalement choisi de ne pas être promoteur ! Lorsqu’evenko a réalisé que peu importe le scénario, la FE serait largement déficitaire, il a en effet décidé de retirer ses billes. En fait, il a pris un rôle secondaire en agissant à titre de simple fournisseur de services pour le promoteur. C’est là que l’idée de créer un organisme à but non lucratif (OBNL) a germé. C’est habituellement les OBNL qui pressentent les villes, mais il est vrai que les villes mettent parfois sur pied des OBNL. À condition bien sûr d’ériger un mur de Chine avec l’organisme pour qu’il ait les coudées franches pour administrer ses affaires et choisir ses fournisseurs de services. Tout le problème du montage du maire Coderre est là : il a mis sur pied un simulacre d’OBNL qui n’était rien de plus qu’une coquille vide qui lui permettait de tout contrôler à sa guise en raison du repli stratégique d’evenko. C’est alors que la Ville, grâce au contournement des règles, s’est finalement retrouvée à tout négocier, à gérer le volet financier de l’événement, et donc, à prendre TOUS les risques financiers d’une aventure qu’elle savait déficitaire ! Imaginez ! Quand les subventions des gouvernements ont tardé à entrer, ce n’est ni evenko ni l’OBNL qui a casqué. C’est la Ville, qui a dû se porter caution d’une marge de crédit de 10 millions. Pourquoi ? Parce que le véritable promoteur de la FE, c’était en fait le maire Coderre. L’OBNL créé n’était qu’« une extension de la Ville de Montréal », selon l’inspecteur général. C’était « un véhicule » permettant au cabinet du maire de faire ce qu’il voulait comme il le voulait en se soustrayant à ses obligations légales… mais pas financières. Ce que Denis Coderre savait pertinemment puisque son cabinet a été prévenu « ad nauseam, à chaque occasion possible », selon l’avocat-conseil au dossier. Des mises en garde claires ont aussi été formulées à de nombreuses reprises par le contentieux de la Ville. Mais pour Denis Coderre, manifestement, la fin était si noble qu’elle justifiait tous les moyens, même les plus douteux. Une interprétation rejetée catégoriquement par l’inspecteur général… et par les électeurs montréalais. *** Ce qu’a écrit l’inspecteur général sur… Les avertissements L’avocat (a) formulé au bureau du maire la mise en garde relative au fait que l’OBNL ne pouvait pas être utilisé comme courroie de transmission. Il mentionne l’avoir répété « ad nauseam, à chaque occasion possible », à un point tel que la conseillère lui répondait à chaque fois : « on en est conscient ». Les alternatives Une entreprise privée aurait pu, à l’aide de la création d’un OBNL, bénéficier de subventions de la Ville et des gouvernements. Suivant ce modèle, le risque financier aurait été assumé totalement par l’entreprise et non par la Ville de Montréal. La conclusion Un observateur averti peut raisonnablement croire que Montréal c’est électrique a été utilisé comme véhicule permettant au cabinet du maire d’octroyer directement, un contrat à Evenko et de se soustraire à son obligation de procéder par voie d’appel d’offres public.
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