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DENIJS

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Tout ce qui a été posté par DENIJS

  1. http://journalmetro.com/actualites/montreal/915059/les-arches-et-la-pagode-du-quartier-chinois-restaurees-malgre-les-prix-eleves/ Titre: Les arches et la pagode du Quartier chinois restaurées malgré les prix élevés 'L’arrondissement de Ville-Marie a donné le feu vert à la restauration des quatre arches et de la pagode du Quartier chinois, même si le prix des soumissions est beaucoup plus élevé que l’estimation. C’est la firme St-Denis Thompson qui a remporté mardi soir le contrat qui vise notamment à installer de nouvelles tuiles d’argile, à réparer la charpente et à installer des systèmes anti-pigeons. Sa soumission atteignait 1,516M$, soit 59,27% de plus que l’estimation qu’a faite la boîte Cardin Ramirez Julien architectes en 2014 (828003$). Dans les documents de l’arrondissement, il est expliqué que l’écart est attribuable à la difficulté d’évaluer des travaux de nature artisanale, à la complexité du chantier et au prix des tuiles qui étaient plus élevé que prévu. Le Journal de Montréal avait soulevé des doutes en octobre dernier sur la possibilité que cet appel d’offres soit entaché par la collusion. Le seul fournisseur des tuiles, qui se trouve en Chine, disait avoir une entente d’exclusivité avec une entreprise québécoise et son prix se s’élevait à 800000$. Or, le Journal a pu obtenir une soumission pour les mêmes tuiles pour 54 000$. Une plainte a été logée au Bureau de l’inspecteur général par un entrepreneur. Les travaux doivent être entamés ce mois-ci pour se terminer en septembre prochain. «La réalisation des travaux permettra de régler un problème de sécurité publique des tuiles de céramique détériorées qui sont retenus par des filets protecteurs», est-il écrit dans les documents de l’arrondissement.'
  2. Destruction en cours
  3. http://www.journaldemontreal.com/2016/01/26/le-mount-stephen-au-bord-de-leffondrement Le Mount Stephen au bord de l'effondrement 'Le mythique Club Mount Stephen, qui a vu défiler l'élite tant montréalaise qu'internationale au fil des ans, a subi d’importants dommages lors de travaux de réaménagement en un hôtel de 12 étages et le gouvernement du Québec intente une poursuite contre les propriétaires. Le manoir victorien a été construit entre 1880 et 1883 sur la rue Drummond pour le Lord Mount Stephen, alors président de la Banque de Montréal et président fondateur du chemin de fer Canadien Pacifique. Club privé d'abord réservé aux hommes, il est devenu un lieu de rencontres de politiciens, dignitaires et vedettes. Ce véritable joyau du patrimoine montréalais et québécois, fièrement établi dans Ville-Marie, est au cœur d’un important projet immobilier qui vise à le transformer en hôtel de 80 chambres. Mais déjà, de sérieuses fissures sont apparues dans la façade de pierre du manoir, a rapporté The Gazette mardi. Des poutres de soutient appuient cette section du bâtiment, qui est visiblement affaissée vers la droite. D’autres problèmes majeurs ont également été relevés depuis le début des travaux, si bien que le ministère de la Culture et des Communications du Québec poursuit les propriétaires pour avoir effectué des modifications non-autorisées. À titre d’exemple, trois cheminées ont été démolies et des sections en pierre à l’extérieur ont été recouvertes de ciment. Le Club Mount Stephen est classé comme un bâtiment du patrimoine du Québec et un lieu historique national du Canada. Il était demeuré impeccable depuis sa construction, jusqu’à ce que la construction débute. À l’intérieur, on retrouve de somptueux vitraux d’Italie de plus de 300 ans d’histoire, des plafonds de 15 pieds de hauteur et des murs recouverts d’acajou du Cuba, de chêne et de noyer. Les luminaires, les poignées de portes et les grilles de radiateur sont plaqués or 22 carats et les cheminées sont sculptées en onyx et en marbre.'
  4. Au chapitre des destructions, le MNBAQ ne sort pas plus glorieux, l'agrandissement ayant entrainé la destruction du monastère des moines dominicains...
  5. Accor Hotels vient de racheter Fairmont cette semaine, on peut donc rajouter le Fairmont Reine Elizabeth a leurs hôtels montréalais.
  6. ...et la petite polémique sur la proposition du New York Times d'aller bruncher chez Eggspectation... http://quebec.huffingtonpost.ca/2015/11/20/new-york-times-montreal-suggestion-eggspectation_n_8613554.html
  7. http://www.nytimes.com/interactive/2015/11/19/travel/what-to-do-in-36-hours-in-montreal.html 36 Hours in Montreal Whether you want to embrace the season on rinks, trails or runs, or dodge the cold and head to the spa, this vibrant city has it all. Winter is right around the corner, and when the going gets cold — like zero-degrees-Fahrenheit cold — Montrealers get resourceful. Some dodge Canadian winter amid the heated vapors of the city’s Nordic spas or the warming drinks of cozy bars. Others embrace it by skiing and skating in public parks, cheering the hometown Canadiens hockey team and ingesting hearty meals in the new wave of forestlike and lodge-inspired restaurants. And still others flamboyantly celebrate the frozen season, reveling at Igloofest (an outdoor electronic-music extravaganza), Montréal en Lumière (a food and entertainment festival) and sugar shacks (forest canteens that sprout during maple-syrup season) amid near-Arctic conditions. Whether you are more interested in creative cocooning or winter worship, Quebec’s biggest city offers manifold amusements for the province’s defining season. Outerwear recommended. Friday 1. *Ready, Set, Snow, 5 p.m. Skate, ski or sled into winter at Parc du Mont-Royal. (The mountain it partly occupies is said to have provided Montreal’s name.) The sprawling hilltop park is the center of activities involving snow and ice. From December to March, Le Pavillon du Lac aux Castors rents skates (9 Canadian dollars, or $7 at 1.30 Canadian to the U.S. dollar, for two hours), cross-country skis (12 dollars and up for one hour) and inner tubes (5 to 9 dollars, depending on age, for the day) for the nearby outdoor rinks, trails and runs, some affording lovely city views. 2. *Enchanted Forest, 8 p.m. Reheat in the stylish confines of the new SouBois restaurant and nightclub. The underground space suggests a magical woodlands where avant-garde sculptural trees hover over a dining room of plank floors, shingled walls, raw-wood tables and Scandinavian-style chairs. The chef, Guillaume Daly, conjures magic too, metamorphosing rustic Canadian ingredients into innovative treats. The poutine is a gorgeously gloppy stack of greasy thick fries — piled like logs in a fire, and drenched with velvety warm Cheddar sauce, pungent mushrooms and an unctuous block of foie gras — while veal steak gets a funky crunch from spiced popcorn. For dessert, revisit campfire memories courtesy of deconstructed s’mores, replete with cubed marshmallows, jagged chocolate fragments and crumbled cookies. A three-course dinner for two costs about 110 dollars. Make reservations. 3. Canadian Libations, 10 p.m. The staggering whisky menu at the Burgundy Lion, a lively British-style pub with dark wood surfaces and frosted glass, offers further means to warm up. The more exotic specimens hail from Taiwan, Sweden, France and Switzerland, while Canadian representatives include Wiser’s Red Letter (12 dollars), a mellow elixir with a hint of toasted nut. Down the street, candlelit La Drinkerie Ste. Cunégonde offers several Canadian beers as chasers, including Les Trois Lettres IPA (5.50 dollars), a fragrant, floral brew with hints of clove and nutmeg. Saturday 4. Earth and Sky, 9 a.m. Still chilly? Eternal summer awaits inside the humid tropical forest of the Biodôme, a glass-roofed nature preserve containing multiple ecosystems. You might glimpse iguanas, frogs, bats, snakes, sloths and other exotic creatures as you wend your way among the dense vegetation, streams and stone caverns. The trail then takes you into forest, mountains, Atlantic gulf and subarctic islands (complete with penguins). Next door, the two-year-old Rio Tinto Alcan Planetarium is a postmodern silvery structure shaped like two telescopes pointed at the sky. Within, two domed theaters-in-the-round take you on immersive sensory journeys across the cosmos with shows like “Dark Universe,” about dark matter and energy, and “Aurorae,” about the Northern Lights. Admission to both facilities costs 33.50 dollars. Check the website (espacepourlavie.ca) for the film schedule. 5. *Shack Snack, Noon If you can’t get to a real sugar shack, the “Sugar Shack” sampler (11.95 dollars) at Eggspectation — a vast all-day breakfast and brunch hall on fashionable Rue Laurier Ouest — is a copious, calorie-rich substitute. Typical sugar shack fare, the dish heaps on fluffy scrambled eggs, sliced ham, baked beans, fried potato slices and unfilled sweet crepes along with ample maple syrup. The restaurant’s formidable menu also encompasses everything from lobster macaroni and cheese (18.95 dollars) to around 10 types of eggs Benedict. 6. **Buy Canadian, 1:30 p.m. You’ve probably grown a size since that meal. Conveniently, the boutiques along Rue Laurier Ouest brim with Canadian-made garments to accommodate your expanded frame. Chic insulation abounds at La Canadienne, where ladies can score weather-treated knee-high suede boots (450 dollars), a long quilted silvery jacket with a fur-lined hood (1,125 dollars) and much besides. Cool, straightforward, solid-colored garments to wear underneath can be found in the eponymous boutique of the veteran Montreal designer François Beauregard, including stretchy jersey T-shirts in autumnal colors (50 dollars) and dark blue 1940s-style trench coat dresses (189 dollars). Strut the ensemble to Juliette & Chocolat, a cafe serving some 20 types of hot chocolate, complete with tasting notes (6.75 to 8.50 dollars, generally). 7. **Chromatherapy, 3 p.m. With its colorful collections of art and antiquities, the Musée des Beaux Arts de Montreal illuminates even the grayest Montreal days, notably in the ground-floor galleries of 19th- and 20th-century painting. Mediterranean sun, sea and palms radiate from Matisse’s “Seated Woman, Back Turned to the Open Window,” a 1922 canvas set in the French Riviera city of Nice. Almost adjacent, the disassembled, fractured and explicitly naked couple in Picasso’s erotic “Embrace” (1971) generates a different kind of heat. A kaleidoscopic array of iconic furniture and housewares fills the multilevel design pavilion, from burgundy Arne Jacobsen “Egg” chairs to candy-colored Ettore Sottsass bookshelves to space-age 1970s red televisions from the Victor Company of Japan. A sleek yellow Ski-Doo snowmobile from 1961 begs to be borrowed for a joy ride. Admission: 20 and 12 dollars, depending on exhibition. 8. **North Stars, 7 p.m. Canadian pride suffuses the friendly, lively new Manitoba restaurant. Animal furs and raw logs decorate the industrial concrete room, and indigenous ingredients from the Great White North fill the chalkboard menus. Among starters, the plump baseball-size dumpling spills out shredded, succulent pork tongue and flank into a tangy broth floating with crunchy daikon for a Canadian-Chinese mash-up. For mains, thick deer steak gets a zesty drench of red wine sauce infused with Labrador tea and crunch from root vegetables like candied carrot and smoked onion. Maple syrup-smoked bone marrow is topped with berries, onion and Japanese mushrooms for a sublime hunter-gatherer hybrid. A three-course meal for two is about 100 dollars. 9. *Liquor Laboratory, 10 p.m. Tucked across from Parc La Fontaine (a favorite ice-skating spot), Lab is a dimly lighted speakeasy of brick and dark wood where the mad mixologist Fabien Maillard and fellow “labtenders” ceaselessly research new cures for your sobriety. Who else could invent the Jerky Lab Jack (14 dollars), a concoction of Jack Daniels whisky, Curaçao, cane sugar and bitters flavored with barbecue sauce? It’s a gulp of the American south, flamed with a blowtorch and delivered under a miniature clothesline hung with beef jerky. Continuing toward the Equator, Caribbean flavors infuse the dozens of specialty rums (from Cuba, Jamaica, Trinidad, Grenada and beyond) and cocktails like Bébé Dragon, a blast of Barbados rum, house-made ginger syrup, lemon juice, lemon-lime soda, mango and basil (14 dollars). Reserve spots online. Sunday 10. Vintage Voyage, 10 a.m. Finally: a place stocking those stag heads, Lego figurines, cowboy paintings, flapper hats, snow shoes, lace doilies and neon signs you’ve had trouble finding. Near the last stop of the Metro’s blue line, Marché aux Puces Saint Michel is a vintage shopper’s Shangri-La. The sprawling, dusty, musty two-level labyrinth-like flea market holds hundreds of stalls selling the contents of seemingly every Canadian attic and basement. Kiosk 216 has an impeccable collection of vinyl LPs from the “Valley of the Dolls” soundtrack to Serge Gainsbourg’s “Grandes Chansons de Gainsbourg,” while Artiques (kiosk 219; 514-898-2536) sells well-maintained pinball machines, jukeboxes, pipe organs and radios. For gents needing winterwear, La Garette d’Anna (kiosk 358; facebook.com/LaGaretteDAnna) sports an extensive collection of bomber jackets, capes, police caps and pith helmets. Haggle. 11. Ship Shape, 1 p.m. Norway, Sweden and Finland have mastered the art of stylishly dealing with cold weather, and Montreal has paid homage to these experts with numerous Nordic-themed spas around town. The most innovative is Bota Bota, a former ferryboat that was remade in sleek contemporary style and reopened as a wellness facility in the winter of 2010. Spread over five decks, the indoor-outdoor spa offers many massages and facial treatments, but the core experience is the “water circuit” (35 to 70 dollars depending on day and time). Sweat out the weekend’s toxins in a Finnish sauna or hammam; plunge into one of the cold pools; and finally chill out in one of the relaxation areas or the restaurant. The 678 portholes and numerous wall-size glass panels afford superb views of the city skyline, though the best vantage point is the external heated whirlpool bath. There might be no warmer spot amid wintry Montreal. Lodging With 131 suites, downtown’s Hotel Le Crystal (1100, rue de la Montagne, 514-861-5550) offers anti-winter pampering perks like an indoor saltwater pool and an outdoor year-round rooftop hot tub, both with city views. Some executive suites and penthouses have operational fireplaces. Double rooms from 199 Canadian dollars. Situated in the hip Plateau neighborhood, the 21-room Auberge de la Fontaine (1301, rue Rachel Est, 514-597-0166) lies across the street from leafy Parc La Fontaine — home to an outdoor skating rink — and down the street from Lab cocktail bar. Certain rooms have whirlpool baths. Doubles from 122 Canadian dollars.
  8. J'ai un rêve utopique, irréaliste disons, de voir le Vieux Montréal être classé au Patrimoine Mondial de l'UNESCO afin de ne plus voir ce type de destruction crève-cœur...
  9. Il voulait peut-être dire en banlieue de Paris, comme à La Défense...
  10. http://www.lesaffaires.com/secteurs-d-activite/immobilier/une-mysterieuse-tour-au-centre-ville/583288 LES AFFAIRES Une mystérieuse tour au centre-ville 'Selon des informations recueillies et colligées par Les Affaires, un nouveau projet multifonctionnel d’envergure serait planifié en plein cœur du centre-ville de Montréal. Piloté par le Fonds de solidarité FTQ, l’annonce officielle est prévue pour le début 2016. Le complexe abriterait des espaces de bureaux, des locaux dédiés au commerce de détail ainsi qu’un hôtel de luxe, pour une superficie totale qui pourrait atteindre entre 500 000 et 700 000 pi2. Un espace qui sera au moins équivalent à la nouvelle tour ultramoderne Deloitte de Cadillac Fairview, qui offre 515 000 pi2 en location. L’emplacement du projet est défini par le quadrilatère des rues de la Gauchetière Ouest, Hermine, de Bleury et de l’avenue Viger Ouest. Il serait donc littéralement situé en face de la Caisse de dépôt et placement du Québec, à un jet de pierre du Centre des congrès et du Centre de commerce mondial de Montréal. Tout près des rues Saint-Antoine et Saint-Jacques. À l’heure actuelle, le site actuel n’accueille qu’un stationnement extérieur. Il s’agit de l’un des rares lieux pouvant encore accueillir un développement immobilier d’envergure dans le secteur. Les terrains, trois lots, ont été achetés par une compagnie à numéro, le 1030-1040 DE BLEURY S.E.C., qui est détenue par le Fonds de solidarité FTQ. Le total des acquisitions, dont la première remonte à 2008, avoisine 19,5 M$. Le premier lot a été acheté à Développement Bleury – De la Gauchetière pour 3,5 M$ en 2008. Sur cet emplacement se trouve un édifice, le 1040 de Bleury, qui a accueilli par le passé un commerce de meubles en liquidation. Le second a été acquis pour plus de 15 M$ en 2011 a la société de portefeuille torontoise Philip Gainsbury. Puis, le fonds de solidarité FTQ a complété ses acquisitions en septembre dernier avec l’achat d’environ 2 000 pi2 à la Ville de Montréal, pour 875 000$. Pour le moment, aucun permis de construction n’aurait été émis par la Ville, nous a confirmé l’arrondissement Ville-Marie. Un épais brouillard Une source au sein de la FTQ a laissé entendre que le projet «sera doté de plusieurs composantes et qu’il va refléter la nature du site, en plein cœur du centre-ville». En fait, si le Fonds est avare de détails, c’est probablement parce que leur stratégie quant à ce projet n’est pas encore définie, souligne un expert immobilier qui s’est confié à Les Affaires et qui a requis l’anonymat. «Ce que les gens ne réalisent pas, c’est que la mission de la FTQ, c’est entre autres de créer des emplois dans le secteur de la construction. Ils identifient donc des sites propices au développement de projets, et ensuite, ils discutent avec des partenaires potentiels pour en déterminer la vocation future». Et un hôtel haut de gamme Une troisième source nous a révélé qu’un hôtel de luxe pourrait se greffer au projet multiusage du Fonds de solidarité FTQ. Il s’agirait d’un établissement haut de gamme géré par l’Hôtel Gault, un hôtel-boutique de 30 chambres qui se trouve dans le Vieux-Montréal. «C’est à l’étude, mais on parle de beaucoup, beaucoup plus que de seulement 30 chambres», nous a confié une personne proche du dossier. L’Hôtel Gault est détenu par ND Capital S.A., dont l’adresse est située au Luxembourg. L’établissement montréalais fait partie du réseau américain Preferred Hotels & Resorts, une association d’établissements hôteliers qui restent toutefois indépendants.'
  11. http://journalmetro.com/opinions/paysages-fabriques/865057/nouveau-depart-pour-lilot-voyageur-mais/ 'Nouveau départ pour l’îlot Voyageur, mais…' 'Si vous êtes passés ces derniers jours sur la rue Berri, non loin de la place Émilie-Gamelin, vous avez peut-être remarqué que le chantier de l’îlot Voyageur avait repris de plus belle. Des murs commencent enfin à faire leur apparition sur l’épave de béton qui est restée en plan pendant près de 10 ans, à la suite de la saga immobilière de l’Université du Québec à Montréal. Il était temps. On s’était pratiquement résignés à voir ce squelette de béton dans notre quotidien, le voyant passer d’un propriétaire à un autre sans qu’aucun puisse en venir à bout. Et ce, après y avoir investi plus de 230M$ de fonds publics, doit-on le rappeler. C’est dorénavant le Groupe Aquilini qui chapeaute ce dossier, accompagné de l’Atelier Chaloub Beaulieu Architectes et de l’entrepreneur Magil Construction. D’ici juillet, près de 300 appartements en location devraient voir le jour. Si le promoteur s’en tient à son plan initial, les futurs logements seront offerts à un «prix abordable» à diverses clientèles, des étudiants aux familles. Cela dit, la relance tant attendue de ce chantier comporte une bonne (et une moins bonne) nouvelle. La bonne : on relance enfin un projet phare pour ce secteur du centre-ville, qui manque cruellement d’amour ces dernières années. Un secteur qui fait l’objet de grandes réflexions urbanistiques et architecturales, puisqu’il s’intégrera à la seconde phase du Quartier des spectacles. Les 300 ménages qui choisiront d’y faire leur nid contribueront ainsi à dynamiser, voire à sécuriser, le quartier, à densifier le centre-ville et à stimuler la vie commerciale des rues Ontario, Sainte-Catherine et Saint-Denis. La mauvaise nouvelle: le projet du Groupe Aquilini fera naître un édifice à l’esthétisme douteux, à un jet de pierre d’une des réalisations architecturales les plus significatives des 20 dernières années à Montréal: la Grande Bibliothèque. Les images du projet présentent un édifice massif, dépourvu de sensibilité au contexte environnant, ne serait-ce que pour établir un dialogue urbain avec la bibliothèque. Les motifs de verre, de briques et de métal qui tapissent l’édifice de huit étages génèrent une mosaïque confuse, comme s’il y avait trois ou quatre langages architecturaux qui tentaient de s’exprimer en même temps. Les «excroissances» rougeâtres qui ponctuent la façade semblent quant à elles improvisées dans le design, et s’apparentent davantage à des grilles de ventilation qu’à l’expression d’une architecture créative. Dommage. Il serait grand temps que les promoteurs immobiliers acquièrent une plus grande sensibilité à la qualité architecturale de leur portfolio. L’architecture, c’est de l’encre indélébile. Ou presque. Les bâtiments restent imprimés dans notre paysage urbain pendant des décennies. C’est ce qui donne une personnalité à notre ville, c’est ce qui lui donne son charme. Il faut donc en prendre soin collectivement. J’aurais adoré en discuter avec le promoteur et l’architecte-concepteur de l’îlot Voyageur, mais malheureusement, ni l’un ni l’autre ne m’a rendu mes appels.'
  12. DENIJS

    Caserne 26 - 3 étages

    Façade très mal en point ou façadisme en préparation? [ATTACH]23849[/ATTACH]
  13. DENIJS

    Caserne 26 - 3 étages

    Façade très mal en point ou façadisme en préparation?
  14. On notera l'effort de respecter une certaine homogénéité avec l’édifice voisin par le volume et par le revêtement en pierre.
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