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Fiche technique des nouveaux valideurs: http://downloads.conduent.com/content/usa/en/brochure/VPE430 (universal validator)_Opt1_20170511_V08_EN_HD.pdf

Combien de camions ?!? Ça niaise pas!

Graffiti blanketing new Turcot Interchange ‘ugly,’ says Montreal mayor It’s the interchange of the future, a modern gateway connecting the Island of Montreal but arguably now, the Turcot Interchange is a showpiece to the city’s urban underbelly. “I know. I saw it and it’s just ugly,” said Montreal Mayor Valérie Plante. Cutting through the new, $3.6-billion Turcot Interchange in any direction, it’s impossible not to notice layers and layers of graffiti. The vandalism is especially acute on the wall below the MUHC Hospital, next to Highway 15 northbound. “It’s the perfect space for artists to come in and do their things,” said Corey Fleischer, who runs Erasing Hate, an initiative to remove hate signs from public spaces. While removing swastikas from public spaces is another level of seriousness, Fleischer admits the graffiti around the Turcot is problematic. He says artists are coming in quickly and painting furiously, and he understands why some may not view the result as an art form. He blames the government for not covering it up quickly enough, which would have served as a deterrent. “If it was removed right away then it would not attract other people to come and do it, but that has been left there for so long,” Fleischer said. “The city has really dropped the ball on covering that up and has invited other people to come in and, as you said, vandalize.” The Turcot project falls under provincial jurisdiction. The Transport Ministry admits dealing with graffiti isn’t easy. “The new Turcot Interchange goal was to give a good look and entrance to the city of Montreal,” said Martin Girard, a spokesman for Transport Quebec. “Now with the graffiti, it’s sad and it’s a problem. “We are doing as much as we can but it’s very difficult.” KPH, the contractor for the projet, is now covering walls with a special coat of paint that makes it easier to remove graffiti. There are plans to plant trees and greenery to restrict access. The contractor said it will remove all the graffiti before the new Turcot Interchange is finished next year. But Fleischer argues at some point, the government should consider embracing the urban art form. “A way to think out of the box perhaps would be to opening it up to graffiti artists and allowing them to do it,” he said. Plante, however, just wants it cleaned up. “The sooner the better because it looks less messy,” Plante said. https://globalnews.ca/news/6201014/montreal-turcot-interchange-graffiti/

Broccolini Le mandat consiste à une demande de dérogation mineure en vertu du règlement RCA10-19003 et une demande d'approbation plan d'implantation et intégration architecturale en vertu du règlement R-2561-3 pour le terrain industriel situé au 3000 Louis A. Amos à l'arrondissement Lachine. La demande de dérogation mineure est nécessaire pour la construction d'un poste de garde qui assure la sécurité des livraisons et cette demande vise les dispositions minimales d'hauteur (3.3 m vs 6.4 m requis), marge avant (0.8 m vs 4.6 m requis) et largeur d'un bâtiment principal (7.8 m vs 21.3 m) dans la zone I-500 selon le règlement 2710. https://www.lobby.gouv.qc.ca/servicespublic/consultation/AfficherInscription.aspx?NumeroInscription=KeuGi3oIdKe02Q4MCyjb%2bQ%3d%3d#D146408

Ce n'est pas encore tout à fait en place. C'est seulement cette année que commençait le déploiement du système de préemption. En 2019, la Ville de Montréal, conjointement avec la Société de Transport de Montréal et le Service de sécurité incendie de Montréal, vont déployer dans une deuxième phase, un système de préemption centralisée des feux de circulation sur l’ensemble du territoire. Ce projet a deux volets. Le premier pour la préemption des véhicules d’urgence et le second pour les mesures préférentielles pour autobus. Un système de préemption est un système qui permet de modifier le cycle de fonctionnement normal des intersections (feux) et de permettre de prioriser et optimiser les mouvements en fonction de l'utilisateur (train, pompier, autobus). Techniquement ce projet représente un défi majeur. Entre autres, le réseau de communication par fibre optique doit être déployé vers l’ensemble des contrôleurs de feux de circulation de la Ville de Montréal jusqu’au développement des applications et mise en place des serveurs requis pour les demandes et la gestion des priorités selon les règles d'affaires. Les années à venir devront être consacrées à la configuration des intersections afin de permettre les mesures de préemption adéquates dont l'installation de stroboscopes aux intersections. Au cours de l'année 2020, le SIM équipera ses camions de pompiers pour transiter en partenariat avec la Ville vers un déploiement des équipements et systèmes connexes en 2021. La Ville a un objectif de déploiement de 120 TSP/année pour les 3 prochaines années.

Ça semble être du côté du VSLP et non du 800 qu'il y aura une plus grande offre alimentaire Faut pas oublier que la BN est le seule locataire du 800, et ils auront leur propre cafétéria sur 2 étages plus haut dans la tour.

1. Yes: 2. Doesn't look like it

1025 Lucien-L'Allier

En effet, les chiffres ne mentent pas. Avec la pénurie de bus, il ne faut pas se surprendre que la STM n'ait pas le luxe d'offrir autre chose qu'un service minimal. Regardez juste combien de temps ça a pris pour que la STM lance la ligne 35-Griffintown. Quand des quartiers se développent à grande vitesse, l'offre d'autobus devrait être rehaussée dès le début, pas à la remorque.

Les citoyens de Hampstead disent non au projet immobilier appuyé par le maire HAMPSTEAD | Après la saga entourant le maire William Steinberg et la loi sur la laïcité, voilà qu’Hampstead, petite ville défusionnée de Montréal, s'est trouvée de nouveau frappée par la controverse. Cette fois, c’est un projet immobilier qui a suscité la grogne. Finalement, au terme d'un référendum tenu dimanche soir, c'est le clan du «non» qui a remporté, faisant abandonner du même coup le projet immobilier au coeur de la controverse. Parmi les électeurs admissibles, 29,56 % ont voté contre le projet tandis que 13,31 % se sont prononcés pour. En pleine pénurie de logements locatifs à Montréal, le promoteur Crofton Moore souhaitait raser deux immeubles sur le chemin de la Côte-Saint-Luc pour construire des tours d'appartements de 10 étages où les loyers auraient été possiblement plus élevés: un projet qui ne faisait pas l'affaire de tout le monde. Les immeubles visés offrent en effet des logements aux loyers plus modestes, soit environ 800$ par mois pour un 3 et demi : une rareté dans ce secteur de la ville. De son côté, le maire William Steinberg défendait le projet. «Des vieux bâtiments sont démolis et des nouveaux sont construits. Ce n’est pas spécial ce qui arrive dans cette ville. Et que des gens qui habitent à proximité soient contre, c’est normal», a-t-il justifié lorsqu’il a été interrogé par TVA Nouvelles. Le premier magistrat de cette petite ville d’un peu moins de 7000 habitants avait aussi fait parler de lui au printemps dernier, lors du débat entourant la loi sur la laïcité du gouvernement Legault. Il avait comparé ce qui était encore un projet de loi à l’époque à un «nettoyage ethnique». https://www.journaldemontreal.com/2019/11/24/encore-un-parfum-de-controverse-a-hampstead-1

Montréal a bien reporté des projets La Ville parle d’un «exercice rigoureux d’alignement stratégique» afin d’arriver à un équilibre budgétaire Le cabinet de la mairesse a reconnu que la Ville de Montréal a dû réviser ses plans d’investissement cette année, tel que le rapportait hier notre Bureau d’enquête. « Pour stabiliser le Programme triennal des immobilisations, un exercice rigoureux d’alignement stratégique a été mené par les services au cours du printemps », a indiqué la Ville dans un communiqué, hier matin. Selon ce que rapportait notre Bureau d’enquête, Montréal a constaté au printemps qu’elle était en voie de réaliser trop de projets et d’ainsi dépasser son budget en immobilisations pour l’année 2019. L’administration de Valérie Plante a donc dû corriger le tir pour en arriver à un budget équilibré. Sans redressement, la Ville aurait pu se trouver en difficulté financière. La mairesse a indiqué hier en mêlée de presse qu’elle considère qu’il s’agissait de « la chose à faire » et d’un « exercice qui est sain et rigoureux ». Elle a affirmé que le budget des immobilisations de 2019 se conclura à 1,8 milliard $, sur une projection de 2 milliards $. Fonctionnaires bousculés Pour arriver à ce résultat, les enveloppes de certains projets ont été révisées et d’autres projets ont été reportés. « Chaque projet a été revu au mérite », a souligné la Ville dans un communiqué. Nous avons consulté des courriels qui démontrent que les dépenses dans certaines unités ont été arrêtées le temps de procéder à l’exercice de révision. Certains fonctionnaires y évoquent des « restrictions budgétaires ». « Je sais que ça peut bousculer certaines équipes et certains fonctionnaires », a convenu hier la mairesse. QUI DIT VRAI ? Tôt hier matin, le président du Comité exécutif de la Ville, Benoît Dorais, s’est défendu lors d’une entrevue radio avec l’animateur Paul Arcand et a affirmé que notre reportage contenait des inexactitudes. Il dit ce qui suit : « On n’a pas trop dépensé. On n’a pas dépensé plus de 400 millions $ » Jamais notre Bureau d’enquête n’a écrit que le budget de Montréal serait dépassé de 400 M$, comme l’a laissé entendre M. Dorais. Nous avons affirmé que la Ville avait dû annuler ou remettre à plus tard des investissements prévus de l’ordre de 400 M$, ce qui a effectivement été le cas. Voici un extrait de ce que nous avons publié hier: Les gens de Toronto, ils viennent nous voir. Alors on ne se déplace pas. » Tant M. Dorais que la mairesse Plante ont affirmé hier que des représentants de la Ville ne s’étaient pas déplacés à Toronto pour aller rassurer des représentants des institutions financières et des agences de notation de crédit. Ils ont raison. Cette information rapportée dans nos pages était erronée. Des rencontres avec les agences de crédit ont lieu chaque année, à Montréal. « On n’est absolument pas dans les coupures » Des courriels que nous avons obtenus montrent que la Ville a effectivement demandé à ses fonctionnaires de fermer le robinet des investissements en juillet. Un chef de section à la Ville explique qu’aucun nouveau bon de commande ne sera accordé. Un autre patron justifie l’abandon de constructions de conduites en parlant de « restrictions budgétaires ». « Pourquoi est-ce que Le Journal de Montréal ne nous a pas appelés ? » Nous avons appelé jeudi une porte-parole de la Ville, Gabrielle Fontaine-Giroux, pour lui demander quel serait le taux de réalisation du programme d’immobilisations en 2019, afin de savoir si le redressement avait eu un impact sur le budget. Elle n’a pas répondu et nous a envoyé un courriel indiquant que le budget serait présenté lundi. https://www.journaldemontreal.com/2019/11/23/montreal-a-bien-reporte-des-projets

https://www.library.mcgill.ca/lib-reimagined/ Over several months beginning in early 2019, Fiat Lux committees met to plan the next stage of the project. A timeline is being developed and the master plan is being revised to reflect current realities. A Fiat Lux building project management team will be in place by the fall of 2019. The groundbreaking is expected to occur in 2022 and the grand opening is expected to happen in 2025. More information will be shared when the plan revisions are finalized. http://mcgill.libanswers.com/fiat-lux-faq/

L'idée c'est que le prolongement du REM puisse servir à St-Jean sur Richelieu également. Un système de navettes de bus est à oublier, puisque la promesse des députés de Chambly et de Saint-Jean est que les usagers actuels des autobus n'aient pas à subir les désagréments d'une correspondance. Il donc est impératif d'avoir un gros stationnement incitatif dans un champ pour préserver leur one-seat-ride vers Montréal. "Avec l’appui au prolongement du REM, le candidat dans Saint-Jean repousse les critiques voulant que l’environnement ne préoccupe pas son parti." https://www.canadafrancais.com/2018/09/26/caq-promet-prolongement-rem/ J'entends déjà les NIMBYs monter aux barricades. Une autre raison pourquoi un métro serait ridicule, c'est que la demande n'est pas du tout équilibrée. Personne ne se déplace vers Chambly à part les gens de Chambly.

@SkahHigh Chambly n'est pas un secteur où les citoyens utilisent peu le TEC. Selon l'enquête Origine Destination 2013, pour les déplacements depuis Carignan et Chambly à destination du Centre-Ville, la part modale du TEC est supérieure à 50%.

Le titre du fil est VIA Rail - discussion générale, pas "actualités ferroviaires canadiennes - discussion générale"

De l'information a déjà été publiée à ce sujet: Idéalement, il faudrait qu'ils creusent un premier puits à l'intersection St-Denis/Maisonneuve pour relier le bout d'un des quais de la ligne verte vers à la fois la mezzanine et le quai terminal de la ligne jaune. Ensuite il y aurait un deuxième ascenseur entre le quai Longueuil et la mezzanine.

Document très intéressant: STM - Principaux indicateurs et résultats au 30 septembre 2019 - Présentation au CA 6 novembre 2019 http://www.stm.info/sites/default/files/media/CA/2019/indicateurs_strategiques_ca_30_sept_2019.pdf

Investissements prévus par la STM dans les 10 prochaines années

Phase 2, 2020-2027 Berri Ligne Jaune Cadillac Cote-des-Neiges De l'Église Jarry Namur Papineau Parc Pie-IX Saint-Michel Sherbrooke U-de-M Rappel de la phase 1:

C'est en estrie. Je ne vois pas le rapport avec le projet de Via Rail entre Montréal et Québec.

Arriver par la 30? aller prendre le train? Inacceptable! Idéalement, comme pour les Chamblyens, c'est le REM qui devrait faire l'effort de prendre la 30, que ce soit au nord ou au sud, à gauche ou à droite, en haut ou en bas, pour aller cogner chez eux, les sortir du lit, attacher leur lacets et les prendre par la main pour les faire monter à bord!

Les autobus et les automobilistes de Chambly ne se rendront pas à Brossard pour prendre le départ sur deux qui ne part pas de Chambly. Ce serait absurde. C'est clair qu'ils attendront le prochain passage à Chambly, rendant ainsi inutiles les dizaines de millions investis dans la l'échangeur, les débarcadères et les places de stationnement de la station rive sud destinés aux usagers de l'autoroute 10.

Fausse prémisse. Il y a 36 départs de Chambly vers le centre-ville pendant l'heure de pointe, soit un départ aux 3-5 minutes en moyenne, avec un temps de parcours variant de 30 à 45 minutes, sans correspondance. C'est une offre de service supérieure aux secteurs biens couverts dont tu parles

Oui. C'est certain. L'achalandage dans cet axe est déjà supérieur. Achalandage annuel du Train de l'Est, incluant Canora et Mont-Royal: 1 852 300 Achalandage des autobus de Chambly: 1 368 900 Achalandage des autobus de St-Jean : ~1 100 000 Selon qui? Sinon quoi?

Et ça c'est sans compter que tous les choix concernant l'emplacement et de la configuration de la station Rive-Sud ont été pensés principalement pour les gens de Chambly / St-Jean sur Richelieu. Notamment l'échangeur en bas à droite sur ce plan: À quoi ça aura servi de dépenser des millions construire ce nouvel échangeur si les autobus et voitures en provenance de Chambly et Saint-Jean sont redirigés vers un nouveau stationnement de 3000+ places à l'intersection de la 10 et de la 35???