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  1. Nom: Pointe Est Montréal Hauteur en étages: 3 + sous-sol 8' - 9' Coût du projet: 100 000 000$ Promoteur: 9215-3667 Québec Inc. Architecte: Isaac Alt Entrepreneur général: TG Beco Emplacement: Pointe-aux-Trembles Site internet: http://condopointeest.ca/ Autres informations: * Stationnements souterrains qui laissent plus de place à la verdure. * Fils et câbles électriques enterrés pour limiter la pollution visuelle. * Systèmes de chauffage à haute efficacité. * Piste cyclable qui facilite les déplacements à vélo. * Accès rapide aux transports publics, dont la gare de train de Pointe-aux-Trembles. * Maisons de villes disponibles.
  2. Publié le 09 août 2009 à 05h00 | Mis à jour à 10h38 La décontamination de l'ex-Technoparc retardée de deux ans Depuis qu'elle a acquis le terrain de l'ex-Technoparc à la fin des années 80, la Ville de Montréal a dépensé 5 millions pour capter les substances toxiques qui coulent dans le fleuve, sans jamais réussir à décontaminer les sols une fois pour toutes. Martin Croteau Cyberpresse La restauration du Parc d'entreprises de la Pointe-Saint-Charles est retardée d'au moins deux ans. La Ville de Montréal souhaitait amorcer le nettoyage de ce vaste terrain contaminé situé au bord du Saint-Laurent cette année, mais les travaux ne commerceront pas avant 2011 ou 2012, a appris La Presse. La décontamination de l\'ex-Technoparc retardée de deux ans Daniel Green, co-président de la société pour vaincre la pollution, prend un échantillon d'eau polluée par les résidus de pétrole sur les berges du fleuve St-Laurent, tout près du pont Victoria. «Il y a déjà eu des études préliminaires et des essais faits au printemps, explique le directeur du ministère de l'Environnement pour la région de Montréal, Pierre Robert. Ça a mis en évidence une problématique environnementale plus complexe que celle qui était anticipée.»Aux abords du fleuve, à quelques mètres à peine du pont Victoria, un muret de plastique orange est tenu en place par des flotteurs noirs. Un fort débit coule d'un côté. De l'autre, à l'abri du courant, des boudins beiges flottent dans une eau stagnante. Ce sont des capteurs qui absorbent les hydrocarbures. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. On peut voir l'auréole des taches d'huile flottant sur l'eau. Ce dispositif de captage de la pollution est une «solution temporaire». En juin 2008, la Ville avait annoncé son intention de lancer dans l'année des travaux de nettoyage permanents, mais elle doit attendre encore. Les roches qui se trouvent au bord de l'eau sont couvertes d'une boue qui empeste l'essence. «Les travaux visant à implanter la solution permanente pourraient avoir lieu autour de 2011 ou 2012», affirme Pierre Robert. Autrefois appelé le Technoparc, le site a été une gare de triage ferroviaire, un stationnement pour Expo 67, un aéroport et un dépotoir. Il recèle entre 4 et 8 millions de litres de diesel, ainsi qu'une à deux tonnes de biphényles polychlorés (BPC). Ces substances s'écoulent dans le fleuve depuis le début des années 90, et leurs traces ont été retrouvées à plusieurs kilomètres en aval. En 2005, la Ville a bâti un mur de béton souterrain d'une longueur de 160 mètres afin d'empêcher les polluants de s'écouler dans le fleuve. Un système de flotteurs déployé à deux endroits sur la rive permet de capter des matières toxiques qui coulent dans le fleuve et de les éliminer. Mais cette méthode n'empêche pas les substances toxiques de se retrouver dans le fleuve, affirme l'écologiste Daniel Green. D'autant plus que les flotteurs sont retirés de l'eau en hiver pour éviter qu'ils soient broyés par la glace. «Tous les efforts que déploient la Ville de Montréal pour l'environnement - le Bixi, le transport en commun - sont annulés par cette pollution causée au fleuve», a indiqué le directeur de la Société pour vaincre la pollution. Pierre Robert, lui, prêche la patience. «Ce n'est pas comme mettre de l'asphalte sur une route, lorsque le risque de se tromper est faible, fait-il valoir. Dans ce cas-ci, on ne voit pas en-dessous de la terre. Alors il est très important de faire une analyse fine avant de procéder.» Montréal a acquis ce terrain lourdement pollué des gouvernements fédéral et provincial, dans les années 80. Depuis, elle a déjà dépensé entre 5 et 6 millions pour étudier le problème et contrôler les déversements toxiques. Et à maintes reprises, elle a indiqué qu'elle n'avait pas été avertie de l'ampleur des travaux de décontamination. Une étude de la Commission de coopération environnementale, l'organisme nord-américain de surveillance de l'environnement, a d'ailleurs souligné qu'Ottawa savait dès le début des années 80 que les terrains recelaient des substances toxiques. Mais Montréal a renoncé à toute réclamation auprès des vendeurs en les acquérant. Les autorités municipales ignorent toujours comment s'y prendre pour nettoyer le terrain une fois pour toutes. La Ville a commandé une étude de 1,5 million au Centre d'excellence de Montréal en réhabilitation des sites (CEMRS) pour qu'il lui propose des technologies. Mais elle n'a toujours pas reçu le rapport, qui devait pourtant lui être rendu en février. Le responsable du dossier à la Ville de Montréal, Alan Desousa, a refusé de commenter le dossier, hier.
  3. All this hate for the automobile and yet nobody seems to pay attention to the much worse culprits!
  4. A une émission de Radio-Canada, on parlait de véhicules élecltriques, dont des autobus entièrement électriques qui arrêteront à des bornes, le long de leur parcours, pour se recharger pendant 1 minute. L'expert disait que la technologie existe déjà, et que les trolley bus (et tramways j'imagine) étaient des technologies dépassées. On disait aussi que le Québec est particulièrement bien placé au niveau du moteur-roue, et des technologies de batteries, pour profiter de la nouvelle vague verte. Voici un exemple: Hybrid-Electric Design ZERO emissions (with hydrogen fuel-cell or battery-electric options) Reduce fuel costs by greater than 90% Fewer parts to maintain with all-electric drivetrain Ultra-quiet drive system reduces noise pollution 90% regenerative braking recapture Unique All-Composite Body Low floor minimizes boarding time and increases passenger safety Impact resistant composite body increases vehicle safety and reduces maintenance Low center of gravity reduces chance for roll over Light weight body reduces impact on streets Modern appearance ADA-friendly design enables all passengers to ride the bus No corrosion - composite body and stainless steel subframe Other Features Safety front door prevents passengers from walking directly in front of the bus Large windshield for increased visibility Driver footwell glass for increased safety Incremental cost paid for by fuel savings http://www.proterraonline.com/transit.asp
  5. mtlurb

    (No heading)

    Les organisateurs des Jeux olympiques de Pékin utilisent des véhicules hybrides et électriques - conçus en Chine - pour transporter les athlètes et les officiels, le gouvernement chinois tentant d'abaisser les niveaux de pollution atmosphérique. Pour en lire plus...
  6. New statistics from Citizenship and Immigration Canada suggests that mid-sized cities are beginning to attract an increasing number of immigrants due in large part to shifting economic and employment prospects. Government initiatives such as the provincial nominee program that allows provinces to select immigrants to fill specific labour needs; and the development of tools that help smaller centres draw and retain immigrants are some of the reasons attributed to his recent shift. In addition, a booming economy in Western Canada has lead to a surge of newcomers migrating to more rural areas thanks to the provincial nominee and family nominee programs enacted by the Government. The figures show the number of immigrants taking up residence in Toronto dropped to 87,136 last year from 99,293 a year earlier, a decline of roughly 12 per cent, while the number coming to Vancouver slipped to 32,920 from 36,273, a drop of just over nine per cent. Montreal was up slightly to 38,710 from 38,391. Meanwhile, Charlottetown was up 73 per cent to 801, Moncton 31 per cent to 343, Saskatoon 40 per cent to 1,618, Winnipeg 10 per cent to 8,472 and Red Deer 93 per cent to 567. It was a mixed picture in British Columbia's smaller centres, with gains in Kelowna, Chilliwack, Nanaimo and Victoria and declines in Kamloops, Abbotsford and Prince George. Despite these facts the preferred destination for the vast majority of immigrants are the larger cities, with 67 per cent of newcomers calling them home. The main reason for this is that larger cities tend to offer an established community of family and friends and a greater number of economic opportunities -- either low-skilled jobs that require few language skills or businesses that cater to particular ethnic groups. Interestingly, studies have shown that immigrants who settle in larger cities experience labour market advantages over those who settle in smaller cities and they can earn substantially more. Nevertheless, immigrants have begun to appreciate the advantages of living in a smaller city, away from the congestion, pollution, noise and stress of the big city. Many newcomers enjoy the smaller cities precisely because they are so different from the chaos, traffic and pollution of large cities. If you are interested in Visas to Canada, contact Migration Expert for information and advice on which visa is best suited to you. You can also try our visa eligibility assessment to see if you are eligible to apply for a visa to Canada. http://www.migrationexpert.com/Canada/visa/canadian_immigration_news/2008/Aug/0/538/Immigrants_Flocking_to_Canada's_Smaller_Cities_Where_Job_Growth_is_Strongest
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