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  1. IluvMTL

    C2-mtl 2013

    http://www.cyberpresse.ca/arts/musique/201204/29/01-4520144-moby-jouera-dans-griffintown.php Publié le 30 avril 2012 à 05h00 | Mis à jour à 05h00 Moby jouera dans Griffintown Moby se produira comme DJ à l'événement de clôture de la conférence sur le commerce et la créativité C2-MTL. PHOTO: ANDRÉ TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE André Duchesne La Presse Le célèbre DJ new-yorkais et star de la musique électronique Moby sera la vedette principale de l'événement de clôture de C2-MTL, conférence mondiale sur le commerce et la créativité qui rassemblera 1200 participants à Montréal, a appris La Presse. Du 22 au 25 mai, dans l'ancien édifice New City Gas dans Griffintown, cet événement ambitieux et nouveau genre fera converger des conférenciers très prestigieux vers Montréal. À ce jour, la liste des invités comprend le cinéaste Francis Ford Coppola; la rédactrice en chef et fondatrice du Huffington Post, Arianna Huffington; l'ancien PDG de Disney Michael Eisner; le chef de la direction financière de Google, le Québécois Patrick Pichette; le PDG du Cirque du Soleil, Daniel Lamarre; le directeur de la création chez DreamWorks, Bill Damaschke, etc. «Nous souhaitons faire de cette conférence un événement annuel, lance Benoit Berthiaume, producteur exécutif de C2-MTL. On veut que Montréal s'inscrive de cette façon dans une conversation mondiale avec les autres grandes métropoles de créativité. Nos participants sont des dirigeants d'affaires de haut niveau provenant de partout dans le monde.» Pour M. Berthiaume, Moby, qui sera à Montréal à titre de DJ, représente parfaitement l'esprit et le contenu de la conférence. «C'est un artiste multidisciplinaire qui est reconnu pour son talent et son esprit créatif», souligne-t-il. Placée sous le thème de l'illumination - une référence directe à l'édifice où elle se tiendra -, la soirée du 24 mai se déclinera en trois segments. D'abord, la firme montréalaise Moment Factory proposera une expérience interactive ludique. Viendra ensuite une programmation musicale dont l'affiche reste à confirmer. Enfin, Moby, artiste aux 20 millions d'albums vendus dans le monde, montera sur scène. Si les activités de la conférence seront réservées aux participants inscrits, 500 billets grand public (à 65$ l'unité) seront mis en vente pour la soirée du 24. New City Gas Diminutif de «Commerce + Créativité Montréal», C2-MTL est un organisme sans but lucratif imaginé par l'agence créative Sid Lee. L'organisme a la volonté de réinventer la conférence, indique Geneviève Hinse, attachée de presse. Signe de ce côté hip, la conférence aura lieu dans l'ancien bâtiment New City Gas, rue Ottawa, dans Griffintown. Cette ancienne usine à gaz a récemment été achetée par un entrepreneur qui est en train de la rénover de fond en comble pour en faire un centre de congrès underground. De très importants travaux sont en cours, tant à l'intérieur qu'à l'extérieur du bâtiment en prévision de C2-MTL qui sera le premier événement à s'y tenir. Une partie du terrain extérieur accueillera un village interactif. Au total, l'exposition occupera un espace de 75 000 pieds carrés sur deux quadrilatères urbains.
  2. http://www.lapresse.ca/debats/chroniques/nathalie-petrowski/201208/20/01-4566440-moment-factory-apres-madonna-la-sagrada-familia.php
  3. http://www.infopresse.com/off/default.html Pour la première fois, Infopresse crée l’événement annuel de la créativité qui rassemblera les plus grands visionnaires du 21e siècle dans le domaine des affaires, de l’architecture, du design et des sciences humaines. Google, Amazon, Facebook, Twitter, Toms, Groupon, sont des exemples de réussites qui reposent sur une vision entrepreneuriale forte. + Quels sont les concepts d’affaires les plus créatifs qui ont marqué notre décennie? + Quels sont les piliers d’innovation qui influenceront les modèles de demain? + Comment trouver l’idée génératrice de changement? + Qu’ont apporté l’architecture, le design, les sciences humaines, à l’entreprise d’aujourd’hui? Ne manquez pas cet événement inédit qui rassemblera les personnes les plus influentes de différentes industries pour faire le plein d’idées et découvrir les modèles d’affaires de demain.
  4. http://www.montrealprem1ere.com/
  5. Made in Montréal 23/04/2009 - Les récentes campagnes d'Adidas originals, les initiatives du Cirque du soleil ou encore le phénomène des Têtes à claques ont propulsé Montréal sur l'échiquier mondial de la créativité. Depuis quelques années, à l'instar de villes comme Amsterdam, Barcelone ou Dublin, Montréal est en train de devenir un atout sexy à l'international. Certes, Montréal n'est pas Paris. Ni New York. Son marché publicitaire, relativement jeune (la plupart des agences majeures y ont vu le jour il y a une trentaine d'années), génère une activité économique de près d'un milliard de dollars. Il est composé de vingt agences de communication de plus de cinquante employés, qui réalisent plus d'un tiers des revenus. Mais les budgets des annonceurs québécois, relativement modestes comparativement aux marchés américains et européens, forcent les agences à en faire plus avec moins, utilisant la créativité pour sortir du lot, ou allant séduire des clients à l'international, comme Adidas, décroché cette année par l'agence montréalaise Sid Lee. Gilbert Rozon, président et fondateur de Juste pour rire, présent à Montréal, Toronto, Paris et bientôt Chicago, affirmait récemment que Montréal devait se positionner à l'international comme le « Hollywood de la création », invitant d'ailleurs les créateurs à y élire résidence. Le métissage culturel, le design et l'architecture reflètent selon lui l'audace et la diversité d'influences à la fois françaises, anglaises et américaines. Influences qui, couplées à la petitesse du marché et donc à sa grande souplesse, permettent une éclosion des ressources et des initiatives créatives en communication. Des entreprises comme le Cirque du soleil et Les Têtes à claques, la croissance rapide de l'industrie du jeu vidéo avec l'implantation d'Ubisoft et l'émergence d'une scène musicale et culturelle forte ont largement contribué au branding « Montréal, ville créative » et amplifié sa résonnance au sein de l'industrie publicitaire internationale. Cette créativité, Montréal l'a développée à la force de ses artisans. Créé il y a près de vingt-cinq ans par le Québécois Guy Laliberté, le Cirque du soleil a largement contribué à donner à la ville une image créative et avant-gardiste, entraînant avec elle tout un tas d'entreprises émergentes au Québec. À commencer par Sid Lee, à l'origine un petit atelier de création publicitaire, qui est devenu, avec le gain de budgets comme le Cirque du soleil, MGM Grant à Las Vegas et Adidas en Allemagne, un moteur et une référence en créativité commerciale. Selon son président et fondateur, Jean-François Bouchard, « on a vu une évolution dans la perception que les gens ont de Montréal. Avant, c'était l'indifférence ou le scepticisme. Aujourd'hui, quand on dit Montréal, ville de créativité, on sent une étincelle. » Récemment, autour de la création du spectacle Love du Cirque du soleil sur la vie des Beatles à Las Vegas, le studio montréalais Moment Factory, en collaboration avec l'atelier Le Bureau officiel, s'est fait remarquer en créant l'environnement visuel du bar-lounge Revolution de l'hôtel Mirage. En intégrant des installations multimédia, il a fait le pont entre stratégie, design d'environnement et expérience de marque. Moment Factory travaille aujourd'hui dans le monde entier sur des projets événementiels d'importance. Ils ont en outre réalisé la scénographie de la dernière tournée nord-américaine du groupe rock Nine Inch Nails, basée sur des projections en interaction avec les musiciens, saluée par les critiques américaines et canadiennes. Dans un autre registre, l'engouement autour du phénomène des Têtes à claques, ces petites capsules décalées de personnages animés, créés par l'ex-publicitaire montréalais Michel Beaudet, a donné l'idée à certaines marques, européennes ou américaines, de jouer la carte de l'humour à la québécoise. L'opérateur de téléphonie mobile SFR en France et la marque de confiserie Vertigo aux États-Unis ont fait de quelques-uns de ces personnages les égéries de leurs marques respectives, contribuant à leur façon à renforcer l'image créative et atypique de Montréal. Cette audace et ces différences culturelles ont aussi permis à plusieurs agences de percer à l'international : Taxi, fondée par le créatif montréalais Paul Lavoie, en est l'exemple. Née à Montréal, plusieurs bureaux ont vu le jour au fil des ans : à Toronto, New York et bientôt Amsterdam. Selon son fondateur, « Montréal a des possibilités incroyables, avec sa jeunesse. C'est une de ces villes qui, sans être les plus grandes, ont une personnalité. » Une des réalisations de l'agence, un microsite Internet pour la marque de cosmétique montréalaise Reversa (voirleseffetssecondaires.ca) a créé un buzz inattendu en Europe. Mettant en scène des hommes nus répondant aux demandes les plus folles des internautes féminines - comme tondre virtuellement la pelouse ou préparer du pain en tenue d'Adam, le site, pourtant créé pour le marché local avec un budget limité, a eu un écho considérable dans les médias internationaux. D'ailleurs, avec cette offensive virale, Taxi a empoché deux Lions d'or à Cannes en 2007. Dernier signe en date de l'attrait du label Montréal : début 2008, la marque allemande Adidas originals choisissait l'agence québécoise Sid Lee pour revitaliser le design de l'ensemble de ses succursales américaines et européennes. Après quelques mois de travail et un concept de boutique à mi-chemin entre la publicité et l'architecture, l'agence s'est vu confier la totalité de la communication de la marque dans le monde, jusqu'alors détenue par l'agence néerlandaise 180. Un contrat qui est estimé à cinq millions de dollars. Première agence au Québec à décrocher un compte international d'une telle envergure, Sid Lee a tout misé sur son capital créatif et proposé un concept publicitaire davantage axé sur la mode et le streetwear. Une fête dans une maison californienne a ainsi été organisée avec des hôtes de marque comme David Beckham ou Missy Elliot à laquelle les internautes et consommateurs ont été « invités » à participer via les différents supports médias et lors d'événements dans les différentes boutiques du globe. La campagne qui, en plus de spots TV, comporte un volet Web important, vient d'ailleurs de rafler le « best of show » lors du récent concours CRÉA dont la 4e édition s'est tenue le 8 avril dernier à Montréal et qui récompense l'excellence de la création publicitaire québécoise. Erik Vervreoegen, ex-TBWA Paris, coprésident international du jury du concours cette année, soulignait, à l'occasion du dévoilement des résultats, que « la campagne d'Adidas est un excellent ambassadeur de ce qui se passe au Québec. À l'international, quand les gens vont voir ça, ils vont dire "wow !" » Surveillons les résultats des Lions de Cannes cette année et les initiatives des mois à venir, et gageons que le label Montréal n'a pas fini de faire parler de lui... Arnaud Granata, directeur des contenus du magazine de communication canadien Infopresse(1) dans un discours devant le Conseil des relations internationales de Montréal, février 2009.Information traitée dans Stratégies Magazine n°1542 © Copyright Stratégies http://www.strategies.fr/content/actualites/print.php?id_actualite=115448W
  6. L'industrie du plastique garde un fort potentiel et fait preuve de créativité, mais le secteur au Canada accuse tout à coup de la surcapacité et fait face à une consolidation douloureuse. Pour en lire plus...
  7. Publié le 12 octobre 2008 à 10h16 | Mis à jour à 10h18 Montréal selon Rozon Si Montréal veut s'illustrer sur la scène internationale, il doit miser sur sa créativité. C'est le message qu'a lancé Gilbert Rozon, la semaine dernière, dans le cadre d'un colloque sur la gouvernance culturelle. Selon lui, on ne s'autoproclame pas métropole culturelle du jour au lendemain. Montréal n'est pas dans les mêmes ligues que Paris, Londres, New York et même Las Vegas. Toutefois, Montréal possède une force qui est déjà reconnue sur la scène internationale, son nombre impressionnant de créateurs: le Cirque du Soleil, Céline Dion, Arcade Fire, le Festival de Jazz, le festival Fringe, La Licorne, le TNM n'en sont que quelques exemples... La liste entière pourrait facilement remplir plusieurs pages de votre journal. C'est sur ce talent, ainsi que sur la qualité de nos infrastructures culturelles (impressionnante pour une ville de la taille de Montréal) que la ville doit construire. La créativité, c'est la marque, le branding (pour reprendre une expression à la mode) que la métropole québécoise doit mettre en valeur. Cette sortie du grand manitou de l'humour au Québec ne pouvait pas mieux tomber. En effet, quelques jours après son intervention, on apprenait la disparition possible du Grand Prix du Canada. Ce qui a toutes les apparences d'une tuile n'en est peut-être pas une. La disparition de la Formule 1 pourrait au contraire représenter un tournant décisif dans le développement de Montréal. Une occasion de prendre encore plus rapidement le virage de la créativité tel que suggéré par Gilbert Rozon. Sa réflexion s'inscrit tout à fait dans la lignée des thèses de l'Américain Richard Florida et du Britannique Charles Landry, deux gourous de la thèse des villes créatives. Depuis une dizaine d'années, bon nombre de villes dans le monde ont choisi cette voie pour se développer. Qu'on pense à Édimbourg, Barcelone, Santa Fe et, plus récemment, Toronto. Dans le cas de Montréal, les conditions de la réussite sont réunies: c'est une ville ouverte, tolérante, universitaire donc jeune, abordable sur le plan financier. C'est également un pôle d'attraction pour les esprits créatifs. Ne reste plus qu'à bâtir sur ces fondations. Gilbert Rozon va plus loin encore et rêve d'un brainstorming de VIP de la culture, une consultation auprès des grands cerveaux créatifs québécois - les Laliberté, Lepage, Langlois, etc. - afin de réunir les meilleures idées possible sur quelques pages qu'il pourrait ensuite remettre au maire de Montréal. L'idée est intéressante, mais à certaines conditions. S'il faut refaire un autre brassage d'idées (puisqu'il y a déjà eu les Rendez-vous de novembre 2007), il devra être circonscrit dans le temps. Fixons une échéance très serrée: trois mois, six mois maximum. Ensuite, concentrons-nous sur quelques idées maîtresses. Le plan d'action de Montréal, métropole culturelle, aussi intéressant soit-il, ratisse très large. Peut-être trop. La démarche de Rozon viendrait en quelque sorte préciser le tir. Enfin, n'hésitons pas à sortir des sentiers battus, à consulter des gens qui se situent à l'extérieur du cénacle habituel et qui sont reconnus pour penser à l'extérieur du cadre... Que pensent les créatifs de Sid Lee, cette agence de publicité non conventionnelle? Allons sonder les artisans du magazine Urbania, les chefs Martin Picard et Normand Laprise, les fondateurs de l'ATSA ou encore, la mécène Phoebe Greenberg. Gilbert Rozon a raison de dire que tous les ingrédients sont réunis. Maintenant, il est grand temps que le gâteau lève.
  8. lundi 05 novembre 2007 Plus de 400 personnes étaient rassemblées le jeudi 1er novembre, dans l'espace du Loco Shop Angus, pour assister à la soirée de remise des prix de la deuxième édition du concours Créativité Montréal - Design de commerce. Le lieu, bien différent de celui choisi l'année dernière (le hall du siège social montréalais de la Caisse de dépôt et placement du Québec), avait été transformé pour l'occasion par Moment Factory. Jeux de lumières et effets visuels ont rythmé la soirée, dont l'organisation avait été confiée à Lulu et Castagnette. L'agence de marketing sensoriel Mood Media, également partenaire de l'événement, avait pour sa part installé un bar olfactif. Les invités pouvaient expérimenter des associations de sons et d'odeurs, tout en étant guidés et conseillés par des représentants de l'agence. Plusieurs intervenants ont rejoint Sylvie Berkowicz, rédactrice en chef de Créativité Montréal et maîtresse de cérémonie, pour remettre aux lauréats leur trophée, cette année encore signé Claude Mauffette. Se sont ainsi succédés sur scène Marie-Josée Lacroix, commissaire au design de la Ville de Montréal et directrice de Design Montréal; Annie Mailloux, vice-présidente des ventes de Mood Media; Jessica Rivière, directrice des ventes d'Index-Design; Jean-Claude Calabro, président de Lumigroup; et Nelda Rodger, éditrice d'Azure Magazine. Cette dernière était l'une des cinq membres du jury du concours. Bruno Braën, designer et grand prix 2006, Georges Labrecque, chargé de projets d'exposition au Centre de design de l'Uqam, Gilles Saucier, architecte de Saucier + Perrotte, et James Hyndman, comédien, avait également accepté l'invitation. Au cours de la soirée, deux lampes Tolomeo d'Artemide ont été tirées et offertes par Lumigroup à deux spectateurs. Tous les invités sont repartis avec le magazine Créativité Montréal rassemblant l'ensemble des projets primés et les finalistes, ainsi qu'un exemplaire du numéro de novembre d'Azure Magazine. En tout, 11 grands prix et 1 prix spécial du jury ont été décernés au cours de cette soirée à l'ambiance festive et détendue. Voici les photos des résultats.Les mystères du Vauvert Comment remplacer le défunt restaurant Cube sans s’y référer et en excluant tout type de comparaison? En créant le Vauvert, un restaurant à l’atmosphère particulière et unique. Tout en étant plutôt masculin, cet espace dégage une ambiance sexy, avec des oppositions parfois déroutantes entre nature et urbanité. Ce qui surprend en découvrant le lieu, c’est sa noirceur, d’autant plus frappante qu’elle contraste avec le calme en demi-teintes de l’entrée de l’Hôtel Saint-Paul. Un tronc d’arbre dénudé en garde l’entrée et annonce l’histoire à venir. Elle parle de chasse, de forêt et d’hommes qui ont signé un pacte avec le diable. Et chacun y verra ce qu’il veut bien y comprendre : les flammes de l’enfer sous la forme d’une longue cheminée installée en écho à celle qui orne le hall de l’hôtel, la luxure dans les colonnes habillées de latex, les étoiles sous la forme d’une constellation d’ampoules qui pendent du plafond, lequel est devenu une surface accidentée faite d’un assemblage de panneaux noirs. Le fond du restaurant est un large miroir dans lequel le regard et les repères se noient, et un immense bar fait d’une impressionnante coupe de tronc d’arbre longe le côté fenestré de l’espace, mettant ainsi les convives à la bonne hauteur pour une vue sur la rue. Du mobilier simple complète l’aménagement. À noter : des banquettes joliment tapissées pas trop profondes et bien adaptées aux tables. Enfin, une entrée séparée du reste de l’hôtel donnant directement sur la rue permet de s’immerger encore plus rapidement dans l’atmosphère diabolico-féerique du restaurant. http://www.infopresse.com/creativitemontreal/resultats/2007/
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