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Montreal 1 out of 10 places choosen to be the Happiest Place in The World.

 

Clean, welcoming and refreshingly multicultural, Montréal is happy enough year-round. Come July, though, it’s downright hilarious. Just For Laughs takes over the city in summer, packing venues with the best in both Anglo- and Francophone comedy. It’s one of the biggest comedy gatherings in the world, hosting many a top-drawer wisecracker. Shows sell out fast, as even the less known acts are virtually guaranteed to be a riot. But even if you can’t get a ticket you can giggle along – every night the city’s Latin Quarter is abuzz with street performers, parading puppets and a fantasia of fireworks.

 

(Courtesy of Huffington Post)

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Often, you have to view a place from afar to appreciate it. Locals tend to get too absorbed in the nitty gritty of life in their hometown.

 

You are absolutely right, it is often the same in every city where locals bash their own goverment and own city. I have seen it in Paris, New York City and Chicago, just to name a few.

 

So in order to judge Montreal we have to be able to take some distance and analyse it without any ''emotional'' feelings because one day we may say it is the best in the world while the next we may think it is crappy !!

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Lors d'un récent débat à propos d'un article du Globe and Mail sur Montréal ("the closest thing to a broken city", avec la photo d'un vieux fauteuil démantibulé dans un parc pour résumer la ville), certains avaient dit qu'en réalité, Toronto ne s'intéressait guère à notre chère Northern Big Easy...

 

Voici un nouveau signe du contraire. La nouvelle de notre "bonheur" s'est en effet rendue jusqu'à Bay Street. Après un article hier sur la question, le Globe nous fait aujourd'hui l'honneur de son sondage quotidien. "Pour quelle raison selon vous Lonely Planet a déclaré Montréal la 2e ville la plus heureuse au monde" ?

 

Quelques milliers de braves lecteurs ont trouvé le temps de répondre à cette gravissime question, digne d'éclipser la guerre en Afghanistan ou l'effondrement de l'économie grecque. (Les réponses : http://www.theglobeandmail.com/news/national/quebec/globe-online-poll-montreal/article1654078/)

 

Tout ça est plutôt amusant, non ? On dirait une bande de cadres bancaires en session de croissance personnelle, avec un gourou qui leur a fait mettre du brocoli dans les oreilles, asseoir en rond et se prendre par la main, et qui se demandent, après 3 ou 4 hummmm, hummmm, why is the f... broken city happier than us.... ? What have we done wrong ?? hummmm, hummmm...

 

Chers torontois, cessez de croire tout ce que disent les journaux, ce sera déjà un premier pas vers le nirvana. Et pour vous faire plaisir, j'avoue avoir des mauvais moments, moi aussi, tout Montréalais que je sois, surtout quand je me dis que j'aurais pu vivre à Vanuatu, la ville qui nous dépasse au top ten of happiness...

Modifié par uqam+
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Tom,

 

Bien sûr, mon petit délire n'est qu'une caricature, et donc injuste. C'est d'ailleurs plutôt une caricature de la manie médiatique des top ten çi et des top ten ça qu'une caricature de Toronto.

 

Quoique l'idée d'un pareil sondage, par le Globe, il faut le faire !

 

Si je m'étais laissé aller, le portrait aurait été encore plus salé. Mais Malek nous a averti que le site pouvait se faire poursuivre, alors je me retiens...

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Si je m'étais laissé aller, le portrait aurait été encore plus salé. Mais Malek nous a averti que le site pouvait se faire poursuivre, alors je me retiens...

 

Publié le 31 juillet 2010 à 05h00 | Mis à jour à 05h00

 

Canoë doit verser 107 000 $ à Susan Corriveau

 

 

 

Frédéric Denoncourt

Le Soleil

 

(Québec) La Cour supérieure condamne Canoë à verser 107 000 $ à l'avocate de Québec Susan Corriveau pour des propos diffamatoires tenus à son endroit par des internautes sur le blogue de Richard Martineau, Franc-parler, en avril 2007.

 

À noter que Richard Martineau n'est aucunement visé par la condamnation, même s'il avait été mis en cause par la poursuite à l'origine. Une entente conclue entre les défendeurs a en effet établi que seul Canoë pouvait être tenu responsable des propos apparaissant sur le blogue de M. Martineau.

L'histoire remonte à 2007 alors que Susan Corriveau défend un homme accusé de contacts sexuels sur une enfant de huit ans.

 

Dans son jugement du 10 avril 2007, le juge de la Cour du Québec critique sévèrement Me Corriveau sur la façon dont elle a mené le contre-interrogatoire de l'enfant.

 

Des commentaires du juge et des extraits du jugement reçoivent dans les jours suivants une couverture médiatique importante.

 

Le 12 avril, Richard Martineau publie sur son blogue un commentaire sous forme de questions.

 

Il écrit : «Les avocats manquent-ils de sens moral?» et «A-t-on tendance à traiter les victimes d'agressions sexuelles comme si elles étaient coupables?» Par la suite, des internautes réagissent à ces questions en émettant des commentaires très critiques que les propriétaires du portail Canoë ont par la suite admis être diffamatoires à l'égard de l'avocate Susan Corriveau.

 

Ce n'est cependant qu'en octobre 2007 que cette dernière prend connaissance de ces commentaires tenus à son endroit et qu'elle met en demeure Canoë de les retirer.

 

Alléguant avoir été «profondément atteinte dans sa dignité, son honneur et sa réputation», elle dépose une poursuite globale de 207 000 $. Canoë admet sa responsabilité et reconnaît que des propos diffamatoires n'auraient pas dû se trouver sur le blogue de M. Martineau, mais soutient que Me Corriveau n'a pas démontré que sa crédibilité a vraiment été affectée.

 

Toutefois, la juge Johanne Beaudoin est d'avis que certaines des allégations faites par les internautes «sont d'une extrême gravité». Ces propos, écrit la juge, ont attaqué «directement l'honnêteté et l'intégrité de la demanderesse». La magistrate souligne aussi que les propos diffamatoires contre Me Corriveau sont restés en ligne durant six mois, ce qui constitue une longue période.

 

La juge regrette «la négligence grossière de Canoë de vérifier et de supprimer de son site les messages à teneur diffamatoire».

 

Canoë devra donc verser à Susan Corriveau 50 000 $ en dommages compensatoires, 50 000 $ en dommages punitifs en plus de rembourser à celle-ci ses frais d'avocat de 7000 $.

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