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Industrie montréalaise des jeux vidéo et des effets visuels


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  • 4 semaines plus tard...

Canada

A2M devient Behaviour Interactif

Agence QMI

08/11/2010 16h24

 

Artificial Mind & Movement (A2M), le principal studio de jeux indépendant du Canada, change de nom pour Behaviour Interactif, a-t-on appris lundi.

 

Il s’agit plus d’un retour aux sources que d’un véritable changement, puisque Behaviour Interactif était le nom que portait la compagnie lorsqu’elle a commencé le développement de jeux pour PlayStation dans les années 90.

 

« Le changement de nom est non seulement un retour à notre nom précédent, mais également un indicateur de l'évolution de l'entreprise. Nous avons bâti une solide réputation tant à titre de développeur tierce partie qu'en tant que créateur de contenu original, et nous continuons nos activités d'affaires d'un côté comme de l'autre. Le changement de nom marque le renouveau de l'entreprise », a déclaré Rémi Racine, président de Behaviour.

 

Behaviour Interactif compte aujourd’hui 375 employés à Montréal et à Santiago, au Chili, et développe des jeux sur les principales consoles, ainsi que sur les plateformes mobiles et en ligne.

 

L’entreprise dispose de cinq studios spécialisés (famille, joueur expert, en ligne, téléchargeable et portable), et dispose d’une offre intégrée pour le développement de projet.

 

« Nous venons de terminer Sims 3 [sur Wii] et nous travaillons également sur de nombreux titres qui ne sont pas annoncés pour l'instant, pour Xbox 360, PlayStation 3, la Wii et la DS de Nintendo, Xbox Live Arcade, PlayStation Network, ainsi que des jeux pour plateformes portables de nouvelle génération, un jeu Facebook qui sera lancé en novembre et un jeu massivement multijoueurs en ligne pour joueurs occasionnels qui sera lancé en début d'année prochaine », a pour sa part indiqué Jamie Leece, vice-président principal, développement des affaires.

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Le Sommet du jeu vidéo devient Montréal Digital

 

 

Le Sommet du jeu vidéo devient Montréal Digital

 

(Montréal) Le Sommet international du jeu de Montréal subira une importante transformation pour 2011. À l'occasion de la conférence de clôture de l'édition 2010, mardi dernier, ses organisateurs ont annoncé qu'un nouvel événement plus large, appelé Montréal Digital, aura lieu à sa place dès l'an prochain.

 

L'Alliance numérique, l'organisation responsable de la tenue du Sommet international du jeu de Montréal depuis 2004, compte ainsi créer une énorme conférence d'une semaine, qui mettra en valeur les différentes technologies numériques développées à Montréal dans les secteurs informatiques et des technologies mobiles, en plus de celui du jeu vidéo.

 

Montréal Digital sera un événement bilingue organisé en partenariat avec d'autres organismes de la région, dont celui de Webcom Montréal, une conférence annuelle sur le marketing et le commerce électronique. Un volet grand public est également au programme, tout comme la création de séances de maillage où seront invitées les entreprises technologiques québécoises et internationales désirant brasser des affaires ensemble.

 

L'Alliance et son directeur général, Pierre Proulx, comptent rencontrer le ministre du Développement économique, de l'Innovation et de l'Exportation, Clément Gignac, d'ici janvier, afin d'obtenir du financement additionnel permettant de réaliser cette transformation, et d'en faire la promotion à l'étranger.

 

 

« Montréal se classe parmi les dix villes les plus importantes du jeu vidéo dans le monde. On souhaite que ça puisse avoir un effet d'entraînement sur les autres secteurs technologiques de la métropole, explique M. Proulx. Le financement supplémentaire nous permettra d'inviter plus de représentants des médias étrangers à Montréal. »

 

Bilan 2010 positif pour le SIJM

 

L'édition 2010 du Salon international du jeu de Montréal s'est soldée sur une note positive, selon l'Alliance numérique. Le taux de participation a été légèrement en hausse, malgré les turbulences de la dernière année dans l'industrie. Les grands studios sont aux prises avec de nouveaux défis commerciaux, comme la revente de jeux usagés et l'émergence de nouvelles plateformes de jeu, comme les téléphones intelligents et les tablettes numériques.

 

L'arrivée de Montréal Digital ne signifie pas la fin de l'événement, précise Pierre Proulx, puisque le salon sera intégré à ce nouvel événement d'une semaine. « Les studios veulent que ça continue. Pour nous, Montréal Digital est une grande bannière, sous laquelle seront regroupés d'autres événements comme le salon du jeu. »

 

La première présentation de Montréal Digital aura donc lieu du 31 octobre au 4 novembre 2011 prochains. Plus de détails sur les activités entourant cet événement, ainsi que quelques surprises, seront annoncés au fil des prochains mois, promet l'Alliance numérique.

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  • 2 mois plus tard...

NOUVELLES

02.02.11

FounderFuel: pour attirer des joueurs du jeu vidéo à Montréal

 

Le programme d'accélération technologique FounderFuel veut inciter les entreprises canadiennes du jeu vidéo à déménager à Montréal en offrant 50 000 $ et 12 semaines de mentorat par l'entremise du fonds d'investissement Real Ventures. Ce programme prendra effet au cours de l'été prochain. Les accélérateurs technologiques sont un nouveau concept qui offre du soutien tant financier qu'humain, ainsi qu'un contact privilégié auprès de spécialistes de l'industrie dans laquelle évolue la nouvelle entreprise.

 

http://www.montreal2025.com/nouvelle.php?id=1294&lang=fr

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FounderFuel: pour attirer des joueurs du jeu vidéo à Montréal

 

Le programme d'accélération technologique FounderFuel veut inciter les entreprises canadiennes du jeu vidéo à déménager à Montréal en offrant 50 000 $ et 12 semaines de mentorat par l'entremise du fonds d'investissement Real Ventures.

.......

 

C'est rare de voir Montréal etre ouvertement agressif en invitant, encourageant et incitant des industries à déménager ici. Je ne vais pas me plaindre car j'aime bien que la ville soit agressive et puisse vouloir compétitionner ouvertement mais disons que je suis surpris meme si je ne saisi pas trop l'enjeu du jeu vidéo.

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C'est rare de voir Montréal etre ouvertement agressif en invitant, encourageant et incitant des industries à déménager ici. Je ne vais pas me plaindre car j'aime bien que la ville soit agressive et puisse vouloir compétitionner ouvertement mais disons que je suis surpris meme si je ne saisi pas trop l'enjeu du jeu vidéo.

 

 

J'allais justement dire la même chose. Ça fait du bien voir notre ville sur "l'attaque" au lieu de toujours être obligée de se défendre!

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  • 3 semaines plus tard...

(Montréal) Le numéro deux des jeux vidéo sur Facebook a choisi Montréal pour prendre de l'expansion.

 

Vincent Brousseau-Pouliot

LA PRESSE

 

Un leader des jeux vidéo sur Facebook s'installe à Montréal

Publié le 01 mars 2011 à 07h26 | Mis à jour à 07h26

 

Playfish, la division des jeux sociaux de Electronic Arts (EA), vient d'ouvrir un studio de 50 personnes à Montréal. Il s'agit de la première inauguration d'un studio Playfish depuis son acquisition par EA pour 400 millions US en 2009. «C'est très intéressant pour Montréal, dit Alex Hyder, directeur de Playfish Montréal. Le public des jeux sociaux est plus large que celui des jeux traditionnels. On rejoint des gens qui ne jouent pas habituellement.»

 

Le studio d'EA passera d'une demi-douzaine à 50 employés d'ici la fin de l'été. Ce sera l'un des studios de jeux sociaux les plus importants à Montréal, sinon le plus important. À titre de comparaison, Ubisoft compte entre 30 et 50 employés montréalais qui se consacrent aux jeux sociaux, selon la période de l'année. Réputée pour ses jeux à grand déploiement sur consoles, Montréal prend lentement mais sûrement le virage des jeux en ligne et des jeux sociaux.

 

Dans sa campagne de recrutement, Playfish Montréal tentera d'attirer des vétérans de l'industrie mais aussi des recrues, que le studio compte notamment dénicher dans les institutions financières. «Beaucoup d'utilisateurs jouent en même temps et nos serveurs doivent être robustes. Il nous faut des programmeurs qui ont de l'expérience avec des serveurs robustes comme ceux des banques et des compagnies d'assurances», dit Alex Hyder, un ancien développeur de logiciels de la NASA qui travaille dans l'industrie du jeu vidéo depuis 2002.

 

Une fois son recrutement terminé, Playfish Montréal travaillera simultanément sur cinq projets de jeux, qui seront disponibles uniquement sur les téléphones intelligents (iPhone, Android) et les tablettes électroniques (iPad). La plupart des gens joueront via Facebook, mais il sera aussi possible d'inviter des amis à jouer par courriel ou par SMS. Playfish Montréal ne veut pas dévoiler sur quels projets le studio travaillera cette année.

 

«Au contraire des jeux traditionnels, la partie la plus importante du développement des jeux sociaux se fait après le lancement, dit Alex Hyder. Si le jeu fonctionne, on le développe en fonction de la réaction des joueurs. Le succès des jeux sociaux, c'est de jouer avec ses amis. Ce ne sont pas des concepts très compliqués.»

 

Avec l'ouverture de Playfish, Electronic Arts passera de 750 à 800 employés à Montréal. Il s'agit de la cinquième division de Electronic Arts à Montréal, après EA Mobile (téléphones portables), BioWare (consoles), Visceral (consoles) et Pogo (en ligne).

 

Playfish, qui compte déjà quatre studios à Londres, en Norvège, à Pékin et à San Francisco, est le numéro deux mondial des jeux vidéo sociaux derrière Zynga, le créateur du jeu FarmVille qui a environ 60 millions de joueurs (soit 10% des adeptes de Facebook).

 

Les jeux sociaux prennent une place de plus en plus importante dans l'industrie du jeu vidéo. Selon le cabinet eMarketer, ils franchiront le cap du milliard US de revenus en 2011 grâce à une hausse annuelle de 27%. Facebook se réserve 30% des recettes.

 

Il n'est pas étonnant que les jeux sociaux soient sur toutes les lèvres cette semaine à la Conférence des développeurs de jeux de San Francisco, qui réunit plus de 18 000 représentants de l'industrie en Californie. «Ces dernières années, les développeurs traitaient les jeux sociaux comme des citoyens de second rang par rapport aux consoles. Maintenant, ils doivent se rendre compte que leur avenir pourrait se trouver dans les jeux sociaux», dit Scott Steinberg, analyste de la firme de consultation TechSavvy Global.

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