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Industrie montréalaise des jeux vidéo et des effets visuels


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:stirthepot: Il est impératif de planifier sur le long terme et prévoir toutes les avenues possibles de développement, non seulement pour garder nos entreprises chez nous mais aussi pour leur permettre de croitre à l'intérieur de nos murs.

 

Le dynamisme c'est être pro-actif, énergique et hyper conscient de nos forces et nos faiblesses, tout en étant capable de prendre des moyens efficaces pour renforcer les premières et éliminer les deuxièmes. Nous sommes dans un monde devenu extrêmement compétitif où l'information circule à la vitesse de la lumière et où il n'y a plus de frontière. On doit donc projeter la meilleure image possible et se donner les moyens de réaliser nos objectifs et plus encore.

 

S'assoir sur nos acquis est le plus grand danger qui nous guette et il serait totalement présomptueux de penser qu'Ubisoft n'ira pas voir ailleurs. On doit alors non seulement s'assurer de maintenir les emplois ici mais surtout de leur permettre de croitre. Sinon c'est Toronto ou ailleurs qui récoltera le pactole.

 

Un homme averti en vaut deux...

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S'assoir sur nos acquis est le plus grand danger qui nous guette et il serait totalement présomptueux de penser qu'Ubisoft n'ira pas voir ailleurs. On doit alors non seulement s'assurer de maintenir les emplois ici mais surtout de leur permettre de croitre. Sinon c'est Toronto ou ailleurs qui récoltera le pactole.

 

ACPNC a entièrement raison. Si on s'assoie sur nos lauriers, c'est Toronto qui en bénéficiera...vous pouvez en être sûr!

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Et en quoi la vie d'un employé d'Ubisoft serait plus agréable sur Chabanel? Personnellement je crois que pour la santé psychologique des employés il serait mieux de rester dans le Mile-End. Chabanel c'est la mort!

 

Et petit message en passant, vous êtes un peu ridicule de toujours frapper sur l'équipe Bergeron. Sans elle, il y aurait juste des dinosaures à l'Hôtel de ville.

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Et en quoi la vie d'un employé d'Ubisoft serait plus agréable sur Chabanel? Personnellement je crois que pour la santé psychologique des employés il serait mieux de rester dans le Mile-End. Chabanel c'est la mort!

 

While that may have been true five years ago, Chabanel has taken some major strides since. There are some really nice office spaces in several of the buildings in and around Chabanel. And now that Montreal is becoming a prime location for companies' secondary offices, design studios and back office space, the development of light industrial buildings into attractive office space is likely to continue for some time.

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Et en quoi la vie d'un employé d'Ubisoft serait plus agréable sur Chabanel? Personnellement je crois que pour la santé psychologique des employés il serait mieux de rester dans le Mile-End. Chabanel c'est la mort!

 

Et petit message en passant, vous êtes un peu ridicule de toujours frapper sur l'équipe Bergeron. Sans elle, il y aurait juste des dinosaures à l'Hôtel de ville.

 

:confused: On pourrait cogiter longtemps sur le lieu de travail des employés d'Ubisoft, reste que ce sera l'investisseur qui prendra la décision et elle sera économique avant tout.

 

Les décideurs politiques ont donc l'obligation d'accompagner Ubisoft dans ses choix tout en l'aidant à trouver un local qui lui donnera satisfaction et lui permettra de croitre en un seul lieu. N'oublions pas qu'il s'agit de permettre de créer un autre millier d'emplois dans des conditions favorables et compétitives avec ce qu'on pourrait trouver ailleurs.

 

Quant à l'équipe Bergeron, ils ont le fardeau de la preuve et plein de monde à convaincre qu'ils ne sont pas eux-mêmes des oeufs de dinosaures.

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Et en quoi la vie d'un employé d'Ubisoft serait plus agréable sur Chabanel? Personnellement je crois que pour la santé psychologique des employés il serait mieux de rester dans le Mile-End. Chabanel c'est la mort!

 

Et petit message en passant, vous êtes un peu ridicule de toujours frapper sur l'équipe Bergeron. Sans elle, il y aurait juste des dinosaures à l'Hôtel de ville.

 

Une des raisons pourquoi le mile-end est intéressant c'est que ces employés qui y sont!! 1800 salaires bordels, et pas du 9$ de l'heure.

 

Tu déplaces 1800, vers un autre quartier, t'en ajoutes 1200, ça va être spectaculaire... comme effet sur le quartier chabanel.

 

 

*à l'échelle humaine* lol

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Un tel déménagement pourrait très bien relancer le secteur Chabanel.

 

En ce qui concerne le Plateau, ça pourrait être une occasion d'une reconversion de ce secteur d'industriel à résidentiel. Le Plateau a encore un grand attrait, y aurait-il plus de valeur ajoutée avec plus de logements et moins d'industries? Je ne fait pas d'affirmation, je ne fais que poser la question.

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  • 6 mois plus tard...

THQ s'installe à Montréal

Publié le 12 octobre 2010 à 07h55 | Mis à jour à 07h55

 

Article

 

 

THQ a choisi Montréal afin de réduire ses contrats de sous-traitance en Asie.

 

L'éditeur américain de jeux vidéo inscrit au NASDAQ a fermé huit de ses dix-sept studios durant la dernière récession, mais il a fait le pari d'en ouvrir un à Montréal. L'objectif est double: produire des jeux vidéo à grand déploiement et rapatrier certains contrats de sous-traitance en Asie.

 

«Nous voulons avoir une équipe artistique très forte à Montréal qui pourra aider nos autres studios. Nous voulons amener à Montréal une partie du travail sous-traité en Chine et en Malaisie», dit Dave Gatchel, directeur du studio de THQ à Montréal, en entrevue à La Presse Affaires.

 

THQ s'attend à payer plus cher pour développer ses jeux à Montréal, mais la qualité du produit en vaudra la peine. «Il n'y a pas de décalage horaire, pas de barrière de langue, mais surtout, nous ramenons le travail à l'intérieur de la boîte. Ce sera notre produit et nos équipes seront mieux intégrées. Cette stratégie peut fonctionner à Montréal à cause de cette combinaison unique d'employés talentueux et de crédits d'impôt intéressants», dit M. Gatchel, qui inaugurera son nouveau studio officiellement le 19 octobre.

 

Pour l'instant, la trentaine d'employés de THQ prêtent leur assistance aux autres studios du groupe pour trois jeux: Homefront, Red Faction Armageddon et Warhammer 40 000 Dark Millenium Online.

 

Quand il aura 400 employés à sa disposition dans cinq ans, Dave Gatchel voudra produire lui-même des jeux d'action à grand déploiement (les jeux AAA dans le jargon du jeu vidéo). Des projets demandant des investissements considérables - entre 30 et 35 millions de dollars par jeu - et surtout plus risqués. Selon plusieurs observateurs, les jeux à grand déploiement, qui ont fait la gloire de l'industrie au cours de la dernière décennie, deviendront trop coûteux et ne pourront rejoindre les clients sur les nouvelles plateformes comme Facebook, les téléphones portables et les tablettes électroniques.

 

«Les jeux à grand déploiement sont notre spécialité et nous voulons développer des franchises originales à Montréal, dit Dave Gatchel. Il y aura toujours une place pour les jeux AAA. Ce sera peut-être plus difficile, mais il faut prendre des décisions pour réduire ses coûts.»

 

Une carrière dans l'industrie militaire

 

Le Texan de 50 ans est l'homme parfait pour diriger des projets de jeux d'action à grand déploiement. Fils d'un pilote d'avion dans l'armée américaine, Dave Gatchel a passé 12 ans à travailler sur des simulateurs de vols civils et militaires après sa sortie des bancs d'université.

 

En 1994, ce passionné de jeux vidéo faisait le tour du monde à installer des simulateurs de vols quand son employeur Paradigm a reçu un appel de Nintendo. L'entreprise japonaise voulait développer un jeu de vol pour la sortie du Nintendo 64. «Nous avons failli refuser, se rappelle Dave Gatchel. Nous aimions tous les jeux vidéo, mais nous avions peur de nous éparpiller comme entreprise.»

 

Finalement, de la douzaine de développeurs indépendants approchés par Nintendo, la firme du Texas sera la seule à livrer son jeu à temps pour la sortie de la console en 1996. Pilotwings 64 deviendra ainsi l'un des deux seuls jeux distribués avec l'achat du Nintendo 64 - et la carte de visite de Dave Gatchel.

 

Trois ans plus tard, les affaires fonctionnent tellement bien que la firme de Dallas crée une division de jeux vidéo sous la direction de Dave Gatchel, Paradigm Entertainment, qui sera rachetée par Atari puis par THQ en 2006.

 

Récession oblige, THQ met la clé dans la porte du studio de Dallas en 2008. Une mauvaise nouvelle qui a éventuellement permis à Dave Gatchel de déménager et relever de nouveaux défis à Montréal. «J'ai hâte de vivre dans un centre-ville aussi vibrant. À Dallas, le centre-ville est désert le soir, les gens viennent au bureau en voiture et repartent chez eux en banlieue», dit le patron montréalais de THQ, dont le titre a perdu 34% de sa valeur depuis un an en date de vendredi dernier au NASDAQ.

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Pour travailler quotidiennement avec les gens en Inde sur des choses assez simlpes, je ne peux pas imaginer comment une compagnie de jeux vidéos peut travailler en sous-traitance avec les pays d'asie.... ugh

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