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49 minutes ago, Hyacinthe said:

Ce mur aura besoin de beaucoup d’amour 

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Regardez moi l'état du pavé de la rue Ste-Catherine, rénové à grand frais il y a à peine 7-8 ans. Honteux!

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Next month it will be 3rd year anniversary construction for this project, and its not nearly finished yet.. is it me or there is something very wrong? Not even sure they will be able to finish it before winter time.. incredible

 

http://montreal.ctvnews.ca/montreal-s-rockefeller-center-city-breaks-ground-on-downtown-rink-1.3579033

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30 minutes ago, joaosax said:

Next month it will be 3rd year anniversary construction for this project, and its not nearly finished yet.. is it me or there is something very wrong? Not even sure they will be able to finish it before winter time.. incredible

 

http://montreal.ctvnews.ca/montreal-s-rockefeller-center-city-breaks-ground-on-downtown-rink-1.3579033

Are you really surprised? Is everyone really surprised? We will be lucky if it's done under 5 years. Just look at the PdA esplanade. More than 5 years and counting. And its botched!

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Il y a 23 heures, Rocco a dit :

Are you really surprised? Is everyone really surprised? We will be lucky if it's done under 5 years. Just look at the PdA esplanade. More than 5 years and counting. And its botched!

Encore de la critique sans nuance ni mise en perspective. Au cas où vous n'auriez pas compris, la crise financière suite à la pandémie met à mal les budgets de la Ville, tout en retardant plusieurs chantiers publics un peu partout en ville.

Montréal fait face à un manque à gagner de plusieurs centaines de millions de dollars (c'est dans les journaux cette semaine) et cherche des options pour diminuer ses dépenses pour éviter d'augmenter les taxes. Une situation qui n'est pas nouvelle, mais qui a nettement empiré depuis le printemps.

Pendant ce temps l'opposition critique la Ville pour ne pas avoir coupé davantage, avec comme conséquence que les retards seraient pires sous une autre administration. Le budget de la STM est tout aussi menacé et les revenus ne sont pas au rendez-vous parce la fréquentation n'a pas repris à son plein potentiel. D'autres pertes en perspective.

Donc pour ceux qui savent compter, quand les revenus baissent et que les budgets augmentent, il n'y a pas 36 solutions. Ou bien Québec vient à la rescousse en injectant de l'argent neuf; ou bien on coupe dans ce qui n'est pas essentiel; ou on emprunte davantage en alourdissant la dette; ou on augmente les taxes et impôts fonciers.

Cela s'appelle gérer, pas des estrades mais la réalité. Toutefois émettre ce type de critiques de manière superficielle et récurrente, c'est mettre en doute gratuitement la bonne foi des autorités. Comme cette critique sur le forum s'étale sur plusieurs années. Cela implique l'incompétence de plusieurs administrations successives, puisq'aucune ne trouve grâce à vos yeux.

Donc à moins que cette attitude ne soit purement compulsive, cela supposerait peut-être que vous savez quelque chose que d'autres ignorent? Alors si vous avez une vraie piste de solution, les montréalais seraient certainement intéressés à la connaitre.   

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À Montréal, le Quartier des spectacles expose la vie de Dany Laferrière.

Radio-Canada

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1728109/relance-quartier-spectacles-dany-laferriere-oeuvres

Publié hier à 18 h 54

Pour souligner le 35e anniversaire de la parution du premier roman de Dany Laferrière, le Quartier des spectacles propose plusieurs activités retraçant la vie de l’artiste, le tout avec ses propres œuvres. Cette exposition fait partie du plan de relance du centre-ville de Montréal, malmené par la pandémie.

De son enfance à Haïti à son entrée à l’Académie française à Paris, l’exposition Un cœur nomade invite les personnes qui se promènent dans le Quartier des spectacles à découvrir l’univers de l’écrivain.

Un cœur nomade s’inspire des trois livres graphiques de Dany Laferrière, donc il s’agit de ce que l’écrivain a dessiné.

L’idée a germé de faire une exposition à partir de ses œuvres illustrées. Partant de ces illustrations et images, tout était désigné pour créer une exposition hommage à l’homme de lettres. En me plongeant dans ses ouvrages où il parle beaucoup de sa vie, c’est l’homme derrière l’écrivain qui m’a fasciné et son parcours de vie, explique Félix Dagenais, commissaire de l’exposition, à la chroniqueuse culturelle de l'émission Le 15-18, Catherine Richer.

L'une des œuvres de Dany Laferrière que l'on peut voir au Quartier des spectacles à Montréal.

Photo : Olivier Gariepy

Outre cette exposition, l’univers de Dany Laferrière sera visible sur la façade du pavillon Président-Kennedy de l'UQAM grâce à la projection vidéo L’Exil vaut le voyage à la tombée de la nuit. Ce film d’animation, coproduit avec l’Office national du film (ONF) met en scène les lieux et les personnages ayant marqué l’histoire de l’écrivain.

Ces activités sont présentées du 20 août au 1er novembre 2020.

Un nouveau directeur pour relancer le Quartier des spectacles

Par ailleurs, le Quartier des spectacles a profité du lancement de cette exposition pour annoncer la nomination d’Éric Lefebvre à titre de directeur général de l'organisme.

Ce dernier n’est pas un nouveau venu puisqu’il travaillait pour le Quartier des spectacles depuis 2013 à titre de directeur du développement au Partenariat. Il a aussi la responsabilité de piloter la relance de ce quartier, représentant le cœur de Montréal, durement frappé par les répercussions de la COVID-19. Tous les festivals et les spectacles se sont arrêtés. Les travailleurs et les touristes ont disparu, rappelle le nouveau directeur général.

Pour donner un coup de pouce au centre-ville de Montréal, plusieurs installations ont donc été mises en place un peu partout autour du Quartier des spectacles, dont une longue table jaune qui serpente entre les arbres. L’idée était de changer le rapport avec le centre-ville, de se réapproprier des places publiques. C’est pour ça qu’on a développé ce concept de grandes terrasses collectives pour les restaurateurs, qu’on a pris en charge et on en a profité pour donner des contrats aux créateurs et aux artistes pour concevoir quelque chose de différent. Et puisque c’est considéré comme des parcs, on peut y consommer de l’alcool, explique-t-il.

Une longue table serpente sous les arbres au cœur du centre-ville de Montréal.

Photo : Raphaël Thibodeau

Une place a même été transformée en plage avec des milliers de tonnes de sable. Le tout est assez grand pour permettre la distanciation physique imposée par la pandémie.

Outre les différents aménagements, il s’ajoute à ce plan de relance 280 représentations de 575 artistes qui évoluent, car les gens peuvent maintenant se regrouper en plus grand nombre. Je pense qu’on apprend et la santé publique aussi. On est un laboratoire, ajoute Éric Lefebvre.

Une patinoire pour 400 personnes sera aussi installée cet hiver non loin de la Maison du développement durable sur la rue Sainte-Catherine.

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Il y a 9 heures, acpnc a dit :

Encore de la critique sans nuance ni mise en perspective. Au cas où vous n'auriez pas compris, la crise financière suite à la pandémie met à mal les budgets de la Ville, tout en retardant plusieurs chantiers publics un peu partout en ville.

Montréal fait face à un manque à gagner de plusieurs centaines de millions de dollars (c'est dans les journaux cette semaine) et cherche des options pour diminuer ses dépenses pour éviter d'augmenter les taxes. Une situation qui n'est pas nouvelle, mais qui a nettement empiré depuis le printemps.

Pendant ce temps l'opposition critique la Ville pour ne pas avoir coupé davantage, avec comme conséquence que les retards seraient pires sous une autre administration. Le budget de la STM est tout aussi menacé et les revenus ne sont pas au rendez-vous parce la fréquentation n'a pas repris à son plein potentiel. D'autres pertes en perspective.

Donc pour ceux qui savent compter, quand les revenus baissent et que les budgets augmentent, il n'y a pas 36 solutions. Ou bien Québec vient à la rescousse en injectant de l'argent neuf; ou bien on coupe dans ce qui n'est pas essentiel; ou on emprunte davantage en alourdissant la dette; ou on augmente les taxes et impôts fonciers.

Cela s'appelle gérer, pas des estrades mais la réalité. Toutefois émettre ce type de critiques de manière superficielle et récurrente, c'est mettre en doute gratuitement la bonne foi des autorités. Comme cette critique sur le forum s'étale sur plusieurs années. Cela implique l'incompétence de plusieurs administrations successives, puisq'aucune ne trouve grâce à vos yeux.

Donc à moins que cette attitude ne soit purement compulsive, cela supposerait peut-être que vous savez quelque chose que d'autres ignorent? Alors si vous avez une vraie piste de solution, les montréalais seraient certainement intéressés à la connaitre.   

Longtemps avant la crise c'est chantier étaient déjà en retard et super lent, la crise a certes retardée la date de livraison, reste qu'il y avait des problèmes bien avant. Oui l'argent va se faire rare, mais les travaux dus et ceux qui sont déjà en cours n'arrêterons pas soudainement. Pour plusieurs, c'est souvent un manque de planification à la ville, le 311 est même pas capable de savoir où il y a un chantier en temps réel, et combien de fois un signalement au 311 reste sans réponse. 

La ville a du ménage à faire à l'interne et revoir sa façon de fonctionner pour plusieurs départements (voiries, entretien, etc) car souvent un chantier est commencé, rien arrive, on le termine et on y retourne... La ville va devoir faire des choix pour régler des problèmes et ne pas juste apporter une tentative de solution. 

Les entités administratives devrait gérer leurs projets de construction comme dans le privé, car si il y a une retard, ce n'est pas acceptable, trouver c'est la faute à qui le problème et que le fautif paye. Pas juste le faire avec ses consultants et ses sous-traitants, mais avec ses employés, car c'est pas normal de faire des lignes de rue en automne, de planter un arbre 2 ans après que les marques en peinture soient faite sur l'asphalte, c'est pas normal de planifier du mobilier urbain sans le planifier et ensuite devoir scrapper un aménagement pour. 

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Il y a 13 heures, Dominic723 a dit :

Longtemps avant la crise c'est chantier étaient déjà en retard et super lent, la crise a certes retardée la date de livraison, reste qu'il y avait des problèmes bien avant. Oui l'argent va se faire rare, mais les travaux dus et ceux qui sont déjà en cours n'arrêterons pas soudainement. Pour plusieurs, c'est souvent un manque de planification à la ville, le 311 est même pas capable de savoir où il y a un chantier en temps réel, et combien de fois un signalement au 311 reste sans réponse. 

La ville a du ménage à faire à l'interne et revoir sa façon de fonctionner pour plusieurs départements (voiries, entretien, etc) car souvent un chantier est commencé, rien arrive, on le termine et on y retourne... La ville va devoir faire des choix pour régler des problèmes et ne pas juste apporter une tentative de solution. 

Les entités administratives devrait gérer leurs projets de construction comme dans le privé, car si il y a une retard, ce n'est pas acceptable, trouver c'est la faute à qui le problème et que le fautif paye. Pas juste le faire avec ses consultants et ses sous-traitants, mais avec ses employés, car c'est pas normal de faire des lignes de rue en automne, de planter un arbre 2 ans après que les marques en peinture soient faite sur l'asphalte, c'est pas normal de planifier du mobilier urbain sans le planifier et ensuite devoir scrapper un aménagement pour. 

Je ne dis pas que tout est parfait, loin de là. C'est sûr qu'il y a des ratés un peu partout et que le phénomène n'est pas le fruit d'une administration en particulier. En fait il faut remonter plus loin en arrière pour faire la genèse de la situation actuelle.

Or on l'oublie trop souvent, la Ville de Montréal est un monstre à plusieurs têtes qui a pris naissance lors des défusions en 2006. Depuis les problèmes de gouvernance sont multiples et les conflits de juridiction fréquents. Dans la réalité certains chantiers sont gérés par les arrondissements, dans d'autres c'est la ville-centre. Certains arrondissements ont des représentants du parti au pouvoir, d'autres sont dans l'opposition. Ainsi chacun a son propre agenda et pousse à la roue de manière indépendante tout en étant jaloux de ses prérogatives.  

Ajoutons à tout cela les indispensables consultations publiques qui peuvent ralentir ou modifier certains projets en cours. Vous obtenez alors un tableau complexe qui doit ultimement s'ajuster aux cycles économiques et aux dizaines de budgets qui ont tous le même fardeau: trouver les revenus et quémander les subventions pour un programme ou un autre auprès de la même clientèle.

Est-il nécessaire de le mentionner? Aucune grande ville canadienne n'a ce genre de gouvernance et aucune n'en voudrait. C'est Québec du temps de Charest qui a mis la table à ce cafouillis politique en redécoupant la ville pour faire plaisir à sa base électorale. Rappelons-nous aussi la corruption de l'ère Tremblay qui a suivi et pour laquelle on paie encore certains pots cassés. Griffintown en est un des exemples pertinents (il y en a d'autres).

J'en conclus que tant que Montréal aura à se battre contre ce monstre administratif qui met trop souvent les villes et les arrondissements en concurrence, rien ne sera jamais simple ni facile. Un constat désolant que seul Québec pourrait régler par un remaniement régional qui rééquilibrerait les rapports de force. Parce que ce que la politique à créé, seule la politique peut le modifier, parce que toutes les villes sont subordonnées au gouvernement provincial.

C'est pour cela que j'hésite toujours à pointer du doigt une administration ou a critiquer la gestion spécifique d'un projet. Parce que chaque projet est un véritable parcours du combattant, une course à obstacles et un défi qui demande beaucoup d'énergie et de courage. Tout cela à cause d'un système beaucoup trop lourd et largement inefficace pour gérer adéquatement une agglomération qui dépasse aujourd'hui les 4.5 millions d'habitants.

 

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