ville-marie Nouvelle Maison Radio-Canada - 8 étages (2020)

[MtlMan]

internet va l'achever anyway et ce sera pas a cause de sa localisation.

 

T'es vraiment un abonné au "disage-de-n'importe-quoi".

 

Jeez

[andre md]

T'es vraiment un abonné au "disage-de-n'importe-quoi".

 

Jeez

 

C'est pas mal du n'importe quoi aussi de dire que la localisation geographique de Radio-Canada est une question de survie pour cette institution.

[tokywan]

Moi j'ai une seule proposition: Dynamitage.

 

Pour laisser place a des des nouveaux logements sociaux ou un espace vert

[acpnc]

lol, la meilleure idée

 

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Vraiment fort , 42 ans que cela a pris pour se rendre compte que Radio-Canada etait bordé sur le coté sud par une autoroute. Un autre 10 ans de plus et internet va l'achever anyway et ce sera pas a cause de sa localisation.

 

Moi j'ai une seule proposition: Dynamitage.

 

Pour laisser place a des des nouveaux logements sociaux ou un espace vert

 

Décidément le radicalisme prend le dessus sur la raison. N'y a-t-il que les extrêmes comme solutions? Ou simplement un manque d'imagination ou peut-être d'intérêt de la part de nos commentateurs? Dans ce cas les sujets ne manquent pas sur MTLurb pour vous distraire. Bien sûr un peu d'humour sera toujours bienvenu, mais ce n'est pas ce qui ressort dans ce que je lis ici. Si vous n'avez pas quelque chose de pertinent à ajouter, ne vous sentez surtout pas obligés de discuter sur un fil particulier. Et si la chose vous ennui, alors il est temps d'aller jouer dehors...

 

... Radio-Canada a exprimé le souhait d'explorer, parmi ses réflexions sur son avenir, la possibilité de s'installer dans de nouveaux locaux. Choix qui peut certainement être défendu en toute légitimité. Personne ne conteste à priori cette éventualité, bien qu'une majorité préfèrerait un statu quo amélioré. Et c'est sur cette proposition que l'on discute, parce que le sujet pourrait avoir des répercussions dommageables sur l'économie et le développement futur du quartier tout entier.

 

De mon côté je dis que l'urgence est de trouver: soit une vocation précise par des acheteurs sérieux, pour les installations de la SRC et éviter une saignée au niveau de l'emploi. Ou mieux encore, trouver des investisseurs prêts à développer les espaces de part et d'autre de la Maison de Radio-Canada, tout en invitant la société d'état de se renouveler dans ses propres locaux.

 

La SRC est un fleuron culturel qui fait notamment rayonner la francophonie, non seulement au pays, mais aussi dans le monde. C'est aussi un acteur principal dans l'industrie de l'information et un pilier indispensable de notre démocratie, cela dans les deux langues officielles canadiennes.

 

Aucune télévision privée ou publique n'a un mandat aussi large, ni une importance aussi grande dans le monde des médias électroniques au Canada. Même les plus nationalistes d'entre nous sont bien servis par sa présence, parce qu'elle joue bien son rôle de diffuseur de la réalité canadienne sur le terrain. On peut alors affirmer sans risquer de se tromper, que cette entreprise est un de nos meilleurs ambassadeurs culturels et un des plus aptes à représenter et soutenir notre esprit créatif ici, comme sur le plan international.

 

On ne remettra donc pas en question sa pérennité.

 

Cela dit, il est plus que temps que l'on se penche sérieusement sur l'incroyable manque à gagner, autant pour la Ville de Montréal, que pour la SRC elle-même, en taxes et en revenus divers, qu'imposent la sous-utilisation chronique de ces immenses stationnements de surface. Leur existence en l'état actuelle demeure donc une menace qui pèse sur l'arrondissement, si la principale intéressée décidait de quitter à son tour l'unique partie qui a trouvé une véritable fonction économique et sociale, dans ce gigantesque site sous-exploité.

 

Il faudra alors que le maire finisse par prendre le leadership d'un mouvement qui réunira tous les acteurs concernés de près ou de loin, afin d'engager une solution définitive au développement de ces précieux terrains stratégiques. Mais dans un premier temps, il est de la responsabilité de tous ceux qui dépendent économiquement de la présence de Radio-Canada dans l'est, de se concerter et faire pression pour que les choses bougent rapidement.

 

Car il s'agit en bout de ligne d'offrir une option d'échange à notre société d'état et de mettre fin à l'inertie qui a prévalu depuis trop longtemps. En conséquence seul un engagement ferme de la part de tous les acteurs économiques de la métropole, pourra résoudre ce difficile imbroglio qui perdure depuis près d'un demi-siècle.

[Né entre les rapides]

Sur ce sujet aujourd'hui, je me penche sur un seul aspect de la question centrale, soit la présence du boulevard («autoroute»?) Ville-Marie en bordure sud du site de R-C.

 

Je conviens que cette voie routière constitue une barrière physique et psychologique qui dévalorise le site. Mais en même temps, je ne crois pas que cela constitue une raison suffisante pour compromettre un développement urbain innovateur.

 

- Le site pourrait s'ouvrir davantage à l'est, à l'ouest et surtout au nord. Trois côtés sur quatre, c'est loin d'être enclavé.

 

- La frange sud (côté Ville-Marie) pourrait abriter des commerces et des bureaux de préférence à des habitations.

 

- Par comparaison, l'autoroute Métropolitaine constitue une barrière bien davantage offensive, et pourtant ses abords ne sont pas désertés--au contraire de nouvelles construction ont surgi, par exemple angle boulevard Saint-Laurent, et la frange nord de Ville Mont-Royal n'est pas toujours en perdition.

 

- Même dans l'éventualité (puisqu'il s'agit plus que d'une simple hypothèse) de l'enfouissement de celle partie du boulevard Ville-Marie, on ne se retrouvera pas au paradis terrestre avec une plage «dorée» sur le Saint-Laurent: entre les deux, il y a Molson (pour l'instant), puis une frange du port et la voie ferrée. Par contre, même dans la situation actuelle, la vue sur le Saint-Laurent est ouverte à partir d'élévations for modestes (au contraire du centre-ville ou de Griffintown).

 

Conclusion: le site m'apparaît déjà fort attrayant, quoi qu'il advienne de la «Tour de R-C»: qu'on s'attaque donc en priorité à la revalorisation des immenses stationnements en surface qui la bordent. Concrètement, cela pourrait vouloir dire la mise en vente en lots séparés des terrains rendus disponibles, ouvrant la porte à des projets (et des promoteurs) plus petits. Il suffirait d'encadrer le développement de l'ensemble avec un «PPU». Car à mon avis, ce qui nous a amené au désert actuel, ce n'est pas le manque d'intérêt de la population ou des promoteurs potentiels, mais le simple fait que le «désert» était «intouchable», jusqu'à ce que, plus récemment, «on» (R-C) l'offre, mais à une condition difficile à remplir pour la plupart--avaler le tout d'une seule bouchée, tour comprise.

[acpnc]

Né entre les rapides encore une fois ta réflexion nous éclaire, en nous offrant un autre angle d'analyse et d'autres pistes de solutions. Tu viens en même temps nous aider à relativiser le problème d'enclavement et faire une comparaison très à propos avec la Métropolitaine. Donc tout n'est pas perdu, loin de là. Je t'accorde aussi l'argument de vendre les terrains à différents promoteurs et qui sait l'aide de la Ville afin de lotisser le terrain à ses frais, afin de faciliter la mise en marché de l'ensemble de la propriété?

 

Un PPU serait aussi un outil fort utile, en guidant les éventuels développeurs dans l'élaboration de projets mieux définis. On peut admettre que c'est un gros morceau à attaquer pour la Ville et l'Arrondissement, en ce qui a trait aux infrastructures qui seront nécessaires. Mais encore là, l'aide d'Ottawa à travers son future programme d'infrastructures pourrait donner un sérieux coup de pouce. Une chose est sûre, si les autorités et la SRC s'assoient à la même table, afin d'élaborer un plan de développement, je suis convaincu qu'on trouvera preneurs pour la suite des choses.

 

Comme on dit en anglais: if there is a will, there is a way, tout n'est donc qu'une question de volonté et de détermination pour venir à bout de ce défi, qui mine le potentiel de l'économie de l'Est depuis trop longtemps.

Modifié 13 décembre 2015 par acpnc

[andre md]

Si ce secteur n'a pas été devellopé c'est a cause d'un laisser aller des proprietaire de ce terrain. Je pourrai donner un exemple semblable de terrain immense qu'on a devellopé avec le temps et c'est les terrains alentour du stade. On a construit un cinema multiplex, le nouveau planetarium, le nouveau stade saputo .... Par étape petit peu par petit peu. On aurai pu ou on peut faire la meme chose pour le terrain de radio-canada. Je ne mettrai pas de commerce dans ce secteur. Je verdirai par exemple, un parc lineaire en bordure de rene-levesque pour isoler du traffic d'eventuelle habitations et rendre ca plus agreable.

[MtlMan]

C'est pas mal du n'importe quoi aussi de dire que la localisation geographique de Radio-Canada est une question de survie pour cette institution.

 

Ce que tu as écris et à propos de quoi je critiquais.

internet va l'achever anyway et ce sera pas a cause de sa localisation.

 

 

Je réitère : n'importe quoi.

[andre md]

Ce que tu as écris et à propos de quoi je critiquais.

 

 

Je réitère : n'importe quoi.

 

T'a vraiment du temps a perdre a t'astiner continue tout seul mon grand.

[IluvMTL]

Pour ceux qui ne savaient pas, il y a déjà eu un ppu pour ce terrain en 2008.

 

http://ocpm.qc.ca/consultations-publiques/projet-de-developpement-de-la-maison-de-radio-canada

 

Projet de développement de la maison de Radio-Canada

Ville-Marie

 

La Société Radio-Canada souhaite moderniser ses installations situées sur le boulevard René-Lévesque. Pour ce faire, Radio-Canada prévoit développer sur son site un vaste projet immobilier qui permettra de financer ses activités.

 

Le développement du projet est évalué à 1,6 milliard de dollars et comprend la construction de quelques 2 000 unités de logements, d,espaces commerciaux, d'espaces à bureaux et des places publiques. Ces nouveaux édifices, qui auront pour la plupart un quarantaine de mètres de hauteur, seront construits autour de la tour actuelle, sur l'emplacement des grands stationnements existants. Ces derniers seront enfouis sous le sol. La tour sera reconvertie en unités de logement ou en hôtel. Les bureaux actuels seront relocalisés dans d'autres édifices près des studios. Le diffuseur souhaite aussi la construction de puits de lumière pour mieux éclairer ses installations. Le projet comprend de plus un retissage du réseau routier.

 

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