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Le Quartier des spectacles


mtlurb

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http://mtlunescodesign.com/fr/projet/Creer-lhiver-au-Quartier-des-spectacles/1

 

Concours de mise en valeur et d’animation des espaces publics

 

19.07.2011 /// Les finalistes du concours Créer l’hiver au Quartier des spectacles sont dévoilés. Le concours invitait les créateurs montréalais à proposer, pour la prochaine saison hivernale, trois expériences inédites sur la place des Festivals, la place Émilie-Gamelin, et les abords du métro Saint-Laurent.

 

En tout ce sont 38 projets par 27 créateurs qui ont été soumis. Les propositions se déclinent comme suit : 14 pour la place des Festivals, 10 pour la place Émilie-Gamelin et 14 pour les abords du métro Saint-Laurent. Chaque proposition a été analysée par le jury sur la base des critères d’évaluation contenus dans le règlement du concours et trois finalistes ont été retenus pour chacun des sites.

 

PLACE DES FESTIVALS

 

  • Jean Beaudoin et Erick Villeneuve produit par Novalux
  • Pelletier de Fontenay produit par 1976
  • Tania Delage et Victor Hugo Morales Collins mis en œuvre par Duncan Swain, en collaboration avec Lux Populi et Jacques Desbois

 

PLACE ÉMILIE-GAMELIN

 

  • Atomic3 – Félix Dagenais, Louis-Xavier Gagnon-Lebrun, Éric Gautron produit par Michel Granger
  • Jean Beaudoin et Erick Villeneuve produit par Novalux
  • Playmind – Emmanuel Sévigny, Monik Paskal Potvin, Amélie Bilodeau

 

ABORDS DU MÉTRO SAINT-LAURENT

 

  • Amandine Guillard, Anik Poirier, Albane Guy, TagTeam Studio
  • Atelier FMR (Fais-moi rêver) – Louis-Alexandre Gagnon et Gwendal Creurer produit par Playmind
  • Cube Architecture – David Lavoie, Valérie Beaudoin, Marjolaine Plasse, Gabrielle Gauthier, Sophie Vanasse

 

Les individus ou groupes retenus auront jusqu’au 6 septembre pour déposer des propositions détaillées. Ils disposeront, pour ce faire, d’une somme de 5000$.

 

Toutes les propositions reçues ainsi que le rapport du jury seront rendues publiques peu après le dévoilement des lauréats le 27 septembre prochain.

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http://fr.canoe.ca/infos/regional/archives/2011/07/20110725-180209.html

 

Agence QMI

Jean-Marc Gilbert

25/07/2011 18h02

 

 

 

MONTRÉAL - Un tronçon du boulevard de Maisonneuve sera fermé à la circulation durant au moins deux semaines, entre les rues Clark et Jeanne-Mance, le temps d’aménager un trottoir sur le côté sud de l’artère.

Construit au coût de 150 000 $, le trottoir fera le lien entre la rue et la nouvelle salle de l’Orchestre symphonique de Montréal.

 

Selon David Ross, responsable par intérim du projet du Quartier des spectacles pour la Ville de Montréal, les travaux devraient durer deux semaines, mais pourraient cependant s’étendre jusqu’à la fin du mois d’août, «dans le scénario le plus pessimiste».

 

Les premiers travaux d’excavations ont débuté lundi matin. Les automobilistes qui ne peuvent éviter le secteur devront emprunter le détour via le boulevard Saint-Laurent et l’avenue Président-Kennedy.

 

Les cyclistes pourront quant à eux circuler sur «un lien sécuritaire qui sera maintenu en tout temps», a précisé M. Ross. Ce dernier rappelle que d’autres travaux sont prévus plus tard cet été ainsi qu’à l’automne.

 

Du 1er au 5 août, ce sera au tour de la rue de Bleury d’être fermée pour mettre en place des traversées piétonnes à l’intersection de la rue Sainte-Catherine.

 

«Il y a deux chantiers prévus sur la rue Sainte-Catherine au mois d’août et au mois d’octobre. Ceux-ci devraient être terminés d’ici la fin de l’année. Les travaux sur la rue Saint-Urbain, eux, sont toujours en cours et devraient prendre fin en septembre», a-t-il ajouté.

 

De plus amples informations sont disponibles au http://www.ville.montreal.qc.ca/chantiers ou via Info-Travaux, au (514) 872-3777.

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  • 4 semaines plus tard...

http://www.nautilusplus.com/trouver_une_succursale/recherche_par_liste/montreal/1405_boul._st_laurent/64/#succursale

 

Montréal (Ste-Catherine, ouverture 22 août 2011)

1405, boul. St-Laurent

Montréal

H2X 2S8

Québec, Canada

 

 

Heures d'ouverture

 

lundi: 6:00 - 22:00

mardi: 6:00 - 22:00

mercredi: 6:00 - 22:00

jeudi: 6:00 - 22:00

vendredi: 6:00 - 22:00

samedi: 9:00 - 17:00

dimanche: 9:00 - 17:00

 

 

Services offerts

 

- Aire de stretching

- Boutique

- Cond. physique en groupe

- Nutrition sportive

- Salle d'évaluation

- Salle de consultation en nutrition

- Sauna

- Spek

- Vélo stationnaire

- VO2Max

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Dans le bulletin d'automne de Ville-Marie il y a un article, ''Le futur aux portes de Ville-Marie'', qui parle des projets à venir. On y mentionne le PPU de Ste-Marie, le PPU des ''Grands jardins'' (Shaughnessy Village) et un troisième dont je ne suis pas certain de savoir c'est quoi sauf qu'il se trouve dans le Quartier des Spectacles. Voici la mention:

 

''De plus, un troisière programme est en préparation, soit celui de la revitalisation de secteur est de Quartier des spectacles.''

[/Quote]

 

Est-ce que le secteur EST veut dire la future Esplanade Clark et peut-etre des annonces concernant le Faubourg St-Laurent et/ou le terrain au dessus du métro St-Laurent ou plutot quelque chose de totalement nouveau situé encore plus à l'est ?

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Dans le bulletin d'automne de Ville-Marie il y a un article, ''Le futur aux portes de Ville-Marie'', qui parle des projets à venir. On y mentionne le PPU de Ste-Marie, le PPU des ''Grands jardins'' (Shaughnessy Village) et un troisième dont je ne suis pas certain de savoir c'est quoi sauf qu'il se trouve dans le Quartier des Spectacles. Voici la mention:

 

''De plus, un troisière programme est en préparation, soit celui de la revitalisation de secteur est de Quartier des spectacles.''

 

Est-ce que le secteur EST veut dire la future Esplanade Clark et peut-etre des annonces concernant le Faubourg St-Laurent et/ou le terrain au dessus du métro St-Laurent ou plutot quelque chose de totalement nouveau situé encore plus à l'est ?

 

C'est le territoire à l'est qui englobe le Quartier Latin.

 

Il y a déjà un fil ouvert à ce sujet.

 

http://www.mtlurb.com/forums/showthread.php/18921-PPU-pour-le-Quartier-des-spectacles-%28secteur-Est%29

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QUARTIER DES SPECTACLES

Périple artistique dans la métropole

 

Marie-Josée Roy

25-08-2011 | 18h56

 

MONTRÉAL – C’est la rentrée! Après un été de festivals et d’activités de toutes sortes, les réjouissances culturelles se poursuivent, à l’intérieur comme à l’extérieur, dans le Quartier des spectacles qui, de septembre 2011 à mai 2012, se fera le théâtre d’une multitude de rendez-vous gratuits, consacrés aux arts.

 

Réunis en conférence de presse, au Monument-National, jeudi après-midi, les dignitaires du Partenariat du Quartier des spectacles, la ministre de la Culture, Mme Christine St-Pierre, et le ministre des Finances, M. Raymond Bachand, ont détaillé la liste des festivités qui feront vibrer la métropole pendant la prochaine année.

 

Bien sûr, on se réjouit déjà de l’ouverture prochaine de la nouvelle salle de concert, le 7 septembre, qui sera soulignée par un grand concert de l’OSM, mais il ne s’agit là que d’un volet de cette festive rentrée automnale.

 

Le Marathon des arts, d’abord, risque de faire courir les foules, avec ses prestations de cirque, de théâtre, de danse, de peinture, de ballet et d’opéra à ciel ouvert. Pendant deux jours, les 10 et 11 septembre, les gens sont invités au Parterre, où 10 institutions culturelles feront valoir leurs plus beaux atouts.

 

Porte-parole de ce week-end spécial, Lorraine Pintal a évoqué l’aspect familial de ce marathon. «C’est une manière de rendre l’art plus accessible, a-t-elle expliqué. C’est une vision éclair de ce qui va se passer à Montréal au cours de l’année. Les familles peuvent venir pique-niquer avec nous et voir des spectacles.»

 

L’événement OUMF se tiendra pour sa part dans le Quartier latin du 1er au 10 septembre. Pour l’occasion, des endroits mythiques comme l’UQAM, la CinéRobothèque ONF, la Cinémathèque québécoise, la STM, l’Abreuvoir, le Bistro à Jojo et le Pub Quartier latin, pour ne nommer que ceux-là, se transformeront en portails d’art visuel, de cinéma, de littérature et de musique.

 

Ce laboratoire de création atteindra son apogée avec la piétonnisation de la rue Saint-Denis, du 8 au 10 septembre.

 

Mentionnons également les ateliers culinaires du Marché du Foodlab à la place de la Paix jusqu’au 1er octobre, l’exposition GAÏA, qui regroupe les photos prises par Guy Laliberté lors de son voyage dans l’espace, du 1er septembre au 10 octobre, et le concert d’Arcade Fire, le 22 septembre, dans le cadre du Festival Pop Montréal.

 

Pendant son allocution, jeudi, la ministre Christine St-Pierre s’est montrée extrêmement enthousiaste de la tangente prise par le Partenariat du Quartier des spectacles. « Le Quartier des spectacles est un rêve, une vision, qui va continuer de se bâtir, a-t-elle déclaré. On n’a pas fini de le développer. »

 

Elle a aussi insisté sur le fait que la nouvelle salle de concert de l’OSM n’aura rien à envier à celles de Toronto, de New York et de Boston, avant de préciser que le ministère québécois de la Culture célèbre cette année ses 50 ans.

 

Quant au directeur général du Partenariat, Pierre Fortin, il a incité les gens à ne pas se laisser décourager par les problèmes de circulation au centre-ville et à répondre en grand nombre à son invitation. «Il y a un excellent réseau de transport en commun, et les choses évoluent de semaine en semaine. On va ouvrir la rue Sainte-Catherine à l’automne, c’est certain», a-t-il promis.

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Réinventer la ville - L'oeuvre absente - Le Devoir le 25 novembre 2010

 

http://www.ledevoir.com/culture/actu...oeuvre-absente

 

Des oeuvres à prévoir

Reposons la question: l'art public est-il le négligé des grands chantiers en cours? «Il n'y a jamais eu autant d'intérêt à la Ville que maintenant pour les enjeux d'art public», répond Jean-Robert Choquet, directeur du Service culturel à la Ville de Montréal, qui ne parle évidemment que pour son secteur et pas pour l'aéroport. «L'enjeu, d'abord et avant tout, dans le Quartier des spectacles, en est un de réaménagement urbain et de mise en valeur des festivals, des événements et des salles de spectacles. Cela dit, en matière d'art public et d'art numérique, à la fin du processus, on souhaite se retrouver avec quelque chose d'assez vibrant, d'assez inspirant.»

 

Il ajoute que les délais et les tergiversations permettent à la Ville de brasser les idées en ajoutant une nouvelle possibilité à l'intersection des rues Clark et Sainte-Catherine, «peut-être en favorisant les arts numériques». Pour la place des Festivals, les concepteurs souhaitaient la collaboration d'un mécène. Le partenariat aura peut-être plus de chance au parterre, près de la salle de l'OSM, orchestre réputé pour attirer les gros sous. «Nous n'avons pas encore tiré de conclusions, dit le directeur municipal. Personnellement, je ne me sens pas mal à l'aise de prendre plus de temps pour prendre la bonne décision. Il faut aussi laisser vivre les espaces aménagés pour mieux saisir le génie du lieu. On a encore deux ans pour livrer ce qu'on a à livrer.»

 

Le budget de l'implantation oscille autour de 550 000 $, qui seront dépensés, promet le directeur. Cette somme respecte le programme dit du 1 %, modulable en fonction de l'enveloppe globale d'un projet architectural. Quoique, avec un budget de 140 millions et plus pour le Quartier des spectacles, Montréal aurait pu faire d'autres choix, comme Chicago et ses mécènes qui ont payé la magnifique Cloud Gate d'Anish Kapoor.

 

«Mon ambition, c'est d'aller beaucoup plus loin que ça, dit encore M. Choquet en parlant de son budget. Il faudrait qu'on se rende à 2 millions en tout. Mais on a commencé le projet au moment où les Bourses s'effondraient. C'est pour ça qu'il y a du retard. Mais ce retard n'est pas un désaveu de l'art public, au contraire. Nous allons réaliser des intégrations exemplaires.»

 

Patience donc. L'Adresse symphonique est aussi soumise au programme provincial d'intégration des arts à l'architecture. Des artistes pressentis pour le concours ont visité le chantier au début du mois. Les deux mégahôpitaux universitaires devront aussi faire une place à l'art, tout comme la nouvelle aile du Musée des beaux-arts et une trentaine d'autres projets, explique Annie LeGruiec, responsable des relations avec les médias au ministère de la Culture.

 

Montréal n'a pas d'obligation semblable. À la suite de consultations sur l'art public tenues l'an dernier, la Commission du conseil municipal sur le développement culturel a tout de même recommandé «que la Ville évalue la possibilité de lancer, à intervalles réguliers, un concours international en art public». Le parc municipal compte environ 300 oeuvres, souvent mineures. Par contraste, la collection de Seattle, stimulée depuis 1973 par un programme municipal, compte 350 oeuvres permanentes et 2600 autres «portables».

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LA VITRINE

Objectif bientôt atteint

 

Raphaël Gendron-Martin

01-09-2011 | 04h26

Journal de Montréal

 

À quelques semaines de son déménagement dans le 2-22, au coin des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent, La Vitrine s’approche de son objectif ultime : devenir l’endroit incontournable à Montréal pour la culture.

 

Quatre ans après sa mise sur pied, La Vitrine est un franc succès, au dire de sa directrice générale, Nadine Gelly. « L’évolution entre la journée 1 de La Vitrine et aujourd’hui est assez immense. »

 

« Au début, on a beaucoup dit dans les journaux qu’on était une billetterie de dernière minute. Or, ce n’est pas tout à fait le cas. On est plutôt “l’Expédia de la culture”. On regroupe l’ensemble de toutes les billetteries à Montréal. On a des ententes avec tout le monde. »

 

Organisme à but non lucratif subventionné par le gouvernement, La Vitrine a été conçue par Tourisme Montréal pour faire la promotion de la culture. « Au lieu d’être un bureau d’information touristique, on est un bureau d’information culturelle », fait remarquer Nadine Gelly.

 

Retombées de 2 M$

 

L’apport de La Vitrine pour l’industrie de la culture est important. Grâce à la vente de billets, l’organisme a pu remettre deux millions de dollars à l’industrie.

 

« Et il y a d’autres retombées financières que l’on ne peut pas chiffrer, mentionne Nadine Gelly. Avec La Vitrine, on fait des campagnes promotionnelles partout pour la culture. »

 

Les travaux qui se sont poursuivis sur la rue Sainte-Catherine, directement devant La Vitrine, ont influencé l’achalandage.

 

La semaine dernière, on ne pouvait accéder à la billetterie qu’en passant par le Complexe Desjardins. Une situation qui ne devrait toutefois durer que quelques jours.

 

« Il n’y a pas eu une si grande baisse cet été, assure Nadine Gelly. C’est certain que les gens nous ont cherchés beaucoup plus. Mais, Inter net représente une grosse partie de notre fréquentation et les hôtels, le Centre Info-touriste de Montréal et Tourisme Québec ont beaucoup parlé de nous. »

 

La Vitrine a également eu la collaboration étroite de la Ville de Montréal. « La ville est l’un de nos très grands partenaires. Étant donné qu’on est Montréal, métropole culturelle, il faut que La Vitrine soit incluse. »

 

Déménagement attendu

 

D’ici quelques semaines, au début octobre, La Vitrine déménagera de quelques rues, pour se retrouver au 2-22, au coin des rues Sainte-Catherine et Saint-Laurent.

 

« C’est vraiment extraordinaire. Notre espace sera beaucoup plus aéré. On est en train de développer des trucs spéciaux avec Moment Factory. On inclut beaucoup de technologie pour pouvoir vendre la culture. On veut que ça devienne un incontournable à Montréal, que les touristes se disent qu’il faut passer par là. »

 

Parlant des touristes, Nadine Gelly a remarqué que plusieurs d’entre eux allaient visiter la billetterie tous les jours, durant leur passage à Montréal.

 

« Ils demandent à nos agents quoi faire durant la journée. Et ils reviennent le lendemain. Il y en a même qui sont venu acheter des billets de spectacles et qui ont ensuite demandé à l’agent de leur conseiller un endroit où dormir. Ils étaient venus à La Vitrine avant même de se trouver un hôtel ! »

 

Changer ou pas de nom?

 

La Vitrine étant un nom strictement francophone, est-ce que l’organisme a déjà pensé trouver un nom plus « international » ?

 

« On est en train de regarder ce qu’on pourrait avoir comme autre nom, souligne Nadine Gelly. On a fait beaucoup de focus groups là-dessus, mais il n’y a rien qui est ressorti. On cherche à avoir un nom qui pourrait nous aider au niveau des touristes.

 

Par contre, si on prend l’exemple de Pepsi, au tout début, on ne savait pas ce que ça voulait dire. Aujourd’hui, même en japonais, c’est Pepsi. Un jour, les Japonais vont savoir c’est quoi, La Vitrine ! »

 

La Vitrine en chiffres

 

10 octobre 2007 : la toute première journée de La Vitrine

 

750 000 visiteurs annuellement au http://www.lavitrine.com

 

20 % des visiteurs sur le site proviennent de l’extérieur du Québec

 

2 millions $ remis à l’industrie de la culture grâce à la vente de billets

 

On estime que 10 % des ventes de billets des salles montréalaises sont reliées à La Vitrine

 

1 145 organismes culturels et 4 600 représentations sont répertoriés dans sa base de données

 

250 représentations sont répertoriées chaque jour

 

75 % de la clientèle de La Vitrine vient de Montréal

 

15 000 internautes suivent La Vitrine sur Facebook et Twitter.

 

2-22 : le déménagement de La Vitrine dans le bâtiment est prévu pour le début octobre

 

SOURCE : LA VITRINE CULTURELLE

 

Une technologie exportable

 

Au moment de notre entretien, Nadine Gelly s’apprêtait à s’envoler pour Édimbourg, en Écosse. La directrice générale de La Vitrine s’en allait présenter la plateforme technologique que son équipe a développée.

 

« Je vais aller pendant 10 jours au Festival Fringe, qui est très gros là-bas. Eux, ils n’ont même pas des outils aussi développés que les nôtres. Je m’en vais là-bas voir comment ils fonctionnent et essayer de leur proposer notre solution technologique. »

 

Cette plateforme technologique intéresse déjà plusieurs entreprises, car sa base de données est reliée à toutes les billetteries montréalaises.

 

« On est branché sur les bases de données de la Place des Arts, du réseau Admission, de la Société des musées québécois, etc., dit Nadine Gelly. Toutes les mises à jour se font automatiquement. »

 

Revenus supplémentaires

 

Certains sites Web, comme celui du Quartier des spectacles, utilisent la base de données de La Vitrine pour leurs calendriers culturels.

 

D’autres organismes, ailleurs en province, ont aussi démontré de l’intérêt pour la plateforme. « Le Saguenay-Lac- St-Jean va bientôt la mettre en ligne et aussi Lanaudière. »

 

Ces revenus supplémentaires sont essentiels pour que La Vitrine puisse continuer sa mission première de faire la promotion de la culture montréalaise.

 

« Vendre notre plateforme technologique est le nerf de la guerre, présentement », indique Nadine Gelly.

 

Croit-elle que la plateforme peut véritablement s’exporter? « Avec Édimbourg, c’est vraiment la première percée que nous tentons. C’est tout nouveau. »

 

Le plus évolué au monde

 

« J’ai déjà rencontré quelqu’un qui serait prêt à aller faire de la représentation à l’international. Mais ce n’est pas évident, c’est quelque chose de longue haleine et on veut surtout bien le faire. Nos outils sont faits pour ça. On a fait une analyse et on est l’organisme de promotion culturelle et de vente de billets le plus évolué technologiquement au monde. »

 

Nadine Gelly mentionne qu’à New York, par exemple, ils ont des comptoirs de vente de billets de dernière minute, comme à Toronto, Vancouver et d’autres grandes villes. « Mais ce sont souvent des comptoirs d’information. Ce n’est rien de transactionnel et il n’y a rien en ligne. Il faut vraiment se présenter au comptoir. »

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  • 1 mois plus tard...

http://www.journalmetro.com/linfo/article/986636--trois-univers-lumineux-pour-un-hiver-dans-le-quartier-des-spectacles

 

Du 15 décembre au 26 février, la place des Festivals, les abords du métro Saint-Laurent et la place Émilie-Gamelin s’illumineront grâce à des installations temporaires Les trois équipes gagnantes ont été dévoilées lundi

 

JENNIFER GUTHRIE

MÉTRO

Publié: 03 octobre 2011 16:41

 

Après le Champ de pixels et les Sphères polaires, la place des Festivals abritera cet hiver un Nuage de givre. La grande place du Quartier des spectacles ne sera pas la seule à accueillir une installation temporaire pendant la saison froide : la place Émilie-Gamelin et les abords du métro Saint-Laurent seront aussi de l’aventure.

 

La place des Festivals aura droit à la plus imposante installation. Fait de 7 777 fanions lumineux suspendus au-dessus de la place, le Nuage givré y projettera une lumière bleutée jusqu’au 31 décembre. Par la suite, le bleu cédera sa place au rouge. Les déplacements des curieux seront suivis par des caméras placées à l’intérieur des fanions et feront passer la lumière de la couleur au blanc.

 

«Si tout fonctionne comme prévu, si plusieurs personnes se trouvent en même temps sur la place des Festivals, l’effet devrait rappeler celui d’une aurore boréale», a indiqué Jean Beaudoin, qui a conçu le Nuage givré en compagnie d’Erick Villeneuve.

 

Les deux comparses, qui ont aussi créé le Champ des pixels, promettent une expérience enveloppante et saisissante, de jour comme de nuit. Fait à noter, le nombre de fanions utilisés pour créer le Nuage sera 20 fois plus important que le nombre de «pixels» utilisés en 2009.

 

La place Émilie-Gamelin aura aussi droit à un lifting grâce à l’installation Éclats de verre, imaginée par le groupe Atomic3. Fait d’un vitrail géant, décomposé et organisé en labyrinthe, Éclats de verre promet d’illuminer une place autrement minéralisée et froide.

 

«On a voulu créer un îlot de chaleur», expliquent les membres du groupe, Félix Dagenais, Louis-Xavier Gagnon-Lebrun et Éric Gautron.

 

Les passants pourront non seulement admirer les réflexions de la lumière dans les panneaux de verre, mais ils pourront aussi moduler le spectacle en manipulant les représentations miniatures de la Place Dupuis et de l’Hôtel des Gouverneurs, ce qui aura pour effet de modifier les images qui seront projetées sur les deux édifices le soir venu.

 

À quelques mètres de là, aux abords du métro Saint-Laurent, une forêt d’arbres lumineux permettra aux promeneurs de déambuler dans des sentiers balisés et d’écouter, l’oreille collée sur les arbres, le son de ce «coin de paysage onirique» imaginé par Amandine Guillard, Anik Poirier, Albane Guy et TagTeam Studio.

 

Les trois installations seront en place du 15 décembre au 26 février.

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