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Économie du Québec ​​


Normand Hamel

Messages recommendés

il y a 34 minutes, ToxiK a dit :

Pas juste l'immigration, il va falloir investir massivement dans l'automatisation et dans l'amélioration de la productivité.  Des tâches qui peuvent être automatisées devraient être faites par des machines, pas par des personnes.

yep

 

 

The fourth industrial revolution is here and no one wants to talk about it :  Andrew Yang (USA Presidential candidate )...and by far the best candidate 

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Invité monctezuma
Il y a 1 heure, ToxiK a dit :

Pas juste l'immigration, il va falloir investir massivement dans l'automatisation et dans l'amélioration de la productivité.  Des tâches qui peuvent être automatisées devraient être faites par des machines, pas par des personnes.

Les maisons seront pas chers pour nous, pauvres milleniaux 😁😁😁

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Il y a 2 heures, crosbyshow a dit :

Toutefois, comme j'expliquais hier, la chose qu,on oublie aussi trop souvent...: la démographie

Excellent point  --que je n'oubliais pas, mais dont je ne veux pas parler tous les jours pour ne pas me répéter.

Et bravo pour avoir expliqué comment la démographie a affecté la performance récente (notamment la baisse du taux de chômage) et le fera (mais d'une autre façon, moins drôle) dans les prochaines années.

Pour le Québec, le défi démographique est sérieux, mais je suis encouragé par la prise de conscience qui se répand dans plusieurs milieux.  Je ne saurais dire si le fait que le problème se manifeste à un degré beaucoup plus aigu dans certains autres pays est matière à consolation, mais  leur exemple devrait être instructif pour nous. Entretemps, le Québec dans le Canada a au moins l'avantage de participer à un système d'accueil et d'intégration des immigrants qui fait l'envie de beaucoup de pays européens.

La politique d'immigration est une composante incontournable de la solution, mais ça ne doit pas être la seule. (On pourra discuter des autres mesures d'adaptation dans un autre fil).

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  • 2 semaines plus tard...

L’économie du Québec encore «remarquable» en 2020, selon la Royale

PHOTO DAVID BOILY, ARCHIVES LA PRESSE

L’économie du Québec est « en bonne position pour poursuivre sa séquence victorieuse » en 2020, signalent les économistes de la Banque Royale/RBC dans la mise à jour de leurs « Perspectives provinciales ».

Publié le 13 décembre 2019 à 16h09

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201912/13/01-5253642-leconomie-du-quebec-encore-remarquable-en-2020-selon-la-royale.php

Martin Vallières
La Presse

« La croissance vigoureuse de l’économie québécoise donne peu de signes d’essoufflement et 2020 s’annonce comme une autre année remarquable, quoiqu’un peu plus tranquille », lit-on dans cette analyse distribuée vendredi parmi les clients-investisseurs de la plus grosse banque canadienne selon la valeur boursière.

« Nous nous attendons à ce que cette tendance et cet optimisme (des entreprises et des ménages québécois) se maintiennent en grande partie en 2020, et fassent en sorte que la croissance économique du Québec continue à dépasser la moyenne nationale pour une troisième année consécutive », anticipent les économistes de la Royale.

Néanmoins, ils s’attendent aussi à ce que « plus la phase de croissance avancera en cours d’année, plus la cadence de la progression commencera à ralentir. » Aussi, « la prévision d’un ralentissement de l’économie des États-Unis assombrit les perspectives pour les exportations de la province. »

Facteurs favorables

Entre temps, les économistes de la Royale signalent les « nombreux facteurs qui jouent en faveur » de la bonne tenue de l’économie québécoise pour la prochaine année :

- une main-d’œuvre très instruite et créative

- une base industrielle diversifiée qui connaît actuellement une croissance généralisée dans les principaux secteurs

- des entreprises et leurs dirigeants qui sont parmi les plus optimistes du pays

- des ménages familiaux qui sont relativement en bonne position financière, avec un niveau d’endettement inférieur à celui de l’Alberta, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique

- un coût de la vie, incluant le logement, est plus abordable que celui de nombreuses provinces du pays

Enfin, les économistes de la Royale signalent « l’impressionnant revirement de situation du côté du budget du gouvernement provincial, qui s’est traduit par des surplus inégalés l’an dernier et qui pave la voie à une politique budgétaire plus accommodante. Des hausses des dépenses et des réductions fiscales ciblées sont à prévoir. »

Consultez les « Perspectives provinciales 2020 » des économistes de la Banque Royale, avec leur analyse sur le Québec en page 7.

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Il y a 2 heures, acpnc a dit :

- des ménages familiaux qui sont relativement en bonne position financière, avec un niveau d’endettement inférieur à celui de l’Alberta, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique

Hehehehehehehehehehehee hahahahahahahahahahaha heheeeeeeeeeee aaaaaaaaaah ça fait drôlement du bien de lire ça!

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Extrait du rapport de la RBC

QUÉBEC – En bonne position pour poursuivre sa séquence victorieuse

Les ménages et les entreprises du Québec sont prêts à prendre l’année 2020 d’assaut. Rien ne pourra les y empêcher. La croissance vigoureuse de l’économie québécoise donne peu de signes d’essouement et 2020 s’annonce comme une autre année remarquable, quoiqu’un peu plus tranquille.

Bien entendu, le taux de croissance de 2 % que nous prévoyons pour le Québec n’aurait rien d’impressionnant si on ne le comparait pas à la faible conjoncture économique des autres provinces. Il représente néanmoins une baisse par rapport à la moyenne de 2,6 % enregistrée par la province au cours des trois dernières années et au taux révisé à la hausse de 2,5 % auquel l’on s’attend en 2019. Ce ralentissement témoigne largement du stade plus avancé de la croissance économique, qui se manifeste par la stabilisation des dépenses en immobilisations et le manque de main-d’œuvre qui freine les entreprises dans leur poursuite des occasions de croissance.

Il demeure que l’économie du Québec s’est finalement défaite de sa réputation initiale de perdant invétéré. De nombreux facteurs jouent en sa faveur. Elle compte une main-d’œuvre très instruite et créative. Sa base industrielle est diversifiée et connaît actuellement une croissance généralisée. De fait, les principaux secteurs industriels contribuent tous à la croissance, y compris ceux de la fabrication et des mines. Les entreprises québécoises sont parmi les plus optimistes du pays. Les ménages du Québec sont relativement en bonne position financière, leur niveau d’endettement étant inférieur à celui de l’Alberta, de l’Ontario et de la Colombie-Britannique. Le coût de la vie, incluant le logement, est plus abordable que celui de nombreuses provinces du pays. Par ailleurs, l’impressionnant revirement de situation du côté du budget du gouvernement provincial, qui s’est traduit par des surplus inégalés l’an dernier, a pavé la voie à une politique budgétaire plus accommodante. Des hausses des dépenses et des réductions fiscales ciblées sont à prévoir.

L’économie du Québec commencera ainsi l’année 2020 avec le vent dans les voiles. Les dernières estimations mensuelles du PIB indiquent un taux de croissance légèrement inférieur à 3 % pour les huit premiers mois de 2019. En dépit d’un recul inattendu de l’emploi en novembre, la demande de main-d’œuvre reste forte, le nombre net de nouveaux emplois créés au cours des 12 derniers mois (fin octobre) s’élevant à 45 000 et les postes vacants se trouvant à des sommets inégalés. La faiblesse du taux de chômage et la hausse des salaires sont autant de facteurs qui, non seulement dynamisent les ménages du Québec, mais qui attirent également de plus en plus les migrants et font en sorte que la croissance démographique est à son plus haut niveau en 30 ans. Le marché du logement de la province continue de fracasser des records, les ventes de maison atteignant des sommets inégalés et les prix augmentant de manière remarquable. Cette augmentation de la valeur des propriétés crée un sentiment de richesse chez les propriétaires de maisons existants.

Nous nous attendons à ce que cette tendance et cet optimisme se maintiennent en grande partie en 2020 et fassent en sorte que la croissance économique du Québec continue à dépasser la moyenne nationale pour une troisième année consécutive. Plus la phase de croissance avancera toutefois, plus la cadence de la progression commencera à ralentir. La prévision d’un ralentissement du marché des États-Unis assombrit les perspectives pour les exportations de la province. Nous nous attendons à une stabilisation des dépenses en immobilisations, attribuable en partie aux dépenses inchangées prévues dans le plan d’infrastructures sur 10 ans du gouvernement provincial et à l’intensification de l’incertitude économique à l’échelle mondiale. Les besoins de main-d’œuvre non comblés des entreprises nuiront également à leur potentiel de croissance. Nous nous attendons à ce que ces facteurs limitent davantage la croissance à 1,6 % en 2021.

Robert Hogue | Économiste principal | 416-974-6192 | robert.hogue@rbc.com

https://royal-bank-of-canada-2140.docs.contently.com/v/perspectives-provinciales-decembre-2019

 

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https://www.journaldemontreal.com/2019/12/13/les-americains-sarrachent-sa-technologie-novatrice

Les Américains s’arrachent sa technologie novatrice

Annexair de Drummondville fabrique des systèmes industriels de ventilation

Une usine ultramoderne de 40 millions $ sur le bord de l’autoroute 20, près de Drummondville, réutilisera 30 millions de bouteilles de plastique par an, dès son ouverture en juin 2020, pour produire du biocomposite qui remplacera l’acier.

« C’est une première mondiale », communique le président d’Annexair, François Lemieux.

L’entreprise de Drummondville utilisait des milliers de tonnes d’acier chaque année pour fabriquer les énormes caissons de ses systèmes de ventilation en haute efficacité énergétique HVAC, conçus sur mesure.

Préoccupée par l’avenir de la planète, Annexair a développé un nouveau produit, le biocomposite, pour remplacer l’acier traditionnel, qui est le plus grand générateur de gaz à effet de serre (GES) du secteur industriel.

« C’est un sujet de l’heure sur la planète présentement. On parle beaucoup des bouteilles de plastique. On a trouvé quoi faire avec ces bouteilles-là, mais de manière intelligente », fait-il valoir François Lemieux.

PHOTO COLLABORATION SPÉCIALE, CAROLINE LEPAGE

François Lemieux affiche fièrement sa mission sur une affiche dans l’usine.

Réduire les GES de 85 %

L’utilisation du biocomposite dans sa production manufacturière permettra de réduire l’émission de GES de 85 %.

Des brevets ont été déposés pour ce nouveau matériel isolant, 100 % composé de bouteilles de plastique recyclées et de peaux de fibre de verre.

L’évolution des travaux de recherche et développement, qui risquent de révolutionner le secteur de la construction, se tenait dans un lieu secret, à Drummondville.

« On appelait ça la forteresse. Il n’y avait pas d’enseigne. Il n’y avait rien. Pendant six ans, on était là, caché, barré à clé. À l’intérieur, il se faisait énormément d’innovation mondiale », relate le président.

Le lancement des caissons à base de biocomposite sera effectué en février 2020 lors de la plus importante foire de l’industrie HVAC, à Orlando, en Floride.

Annexair a investi 40 millions $ pour la construction de sa troisième usine de 300 000 pieds carrés, le long de l’autoroute 20, près de Drummondville.

Inspiration allemande

Inspirée d’installations allemandes, cette usine « zéro acier » sera à la fine pointe de la technologie, avec son automatisation prédominante, l’intégration de la réalité virtuelle avancée et la reconnaissance d’objets au sein de la production.

« On a pris le virage 4.0 et, sans prétention, on s’enligne pour être 5.0. Toutes les nouveautés industrielles, elles sont toutes bienvenues ici », expose le président.

Très propre, l’usine compte 60 000 pieds carrés de fenestration et 25 grands puits de lumière afin que tous les travailleurs, peu importe où ils se trouvent, puissent voir dehors. Une vaste cafétéria offrira des repas chauds aux travailleurs, au coût d’environ 2 $.

« On a fait une usine écoconcept, écoproduction, avec des biomatériaux », dit fièrement M. Lemieux.

SE LANCER EN AFFAIRES DANS LE GARAGE DE SA GRAND-MÈRE

François Lemieux a démarré Annexair, il y a 23 ans, dans le garage de sa grand-mère, en cherchant une solution pour améliorer la qualité de l’air et la récupération d’énergie dans les immeubles.

La famille de François Lemieux possédait plusieurs immeubles commerciaux à Drummondville. Lui-même évaluateur immobilier, il consacrait ses fins de semaine à développer un système de ventilation en efficacité énergétique plus performant que ce qui existait dans l’industrie.

« Mes parents m’ont donné la chance de partir cette entreprise en me prêtant des sous. Moi, j’ai décidé de faire le saut. Je me suis acheté un livre Comment partir son entreprise 101. À la page 1, c’était écrit : “faire un plan d’affaires”. J’ai commencé étape par étape, brique par brique, morceau par morceau, à apprendre ça. »

Retard technologique

Son analyse du marché lui a fait constater qu’en Amérique du Nord, l’industrie affichait du retard, du point de vue technologique.

« Il y avait une chaise vacante pour fabriquer du top qualité, du haut de gamme. Un produit bien fait, solide, peu énergivore. Personne n’occupait cette chaise-là. Moi, je l’ai vue et j’ai décidé que ça allait être ma chaise à moi », décrit le fondateur d’Annexair.

M. Lemieux s’est envolé vers l’Allemagne où il est allé se faire former par des compagnies spécialisées dans ce domaine, avec qui il a établi d’excellents contacts.

La qualité de ses premiers systèmes lui a valu de conclure des contrats d’approvisionnement avec les plus gros joueurs mondiaux HVAC, soit Carrier et Trane.

Ces partenariats ont propulsé la croissance d’Annexair qui est passée d’un chiffre d’affaires de 750 000 $, en 2000, à 31 millions $, en 2008. Cette année, les ventes totalisent 60 millions $ au sein de cette entreprise de 275 employés.

Avec le lancement des systèmes HVAC en biocomposite, le président estime que le chiffre d’affaires annuel pourrait atteindre 300 millions $, ce qui signifierait que l’entreprise recyclerait 60 millions de bouteilles de plastique par an.

GOOGLE ET FACEBOOK, LES PREMIERS CLIENTS

Google et Facebook veulent être les premiers clients à se procurer les systèmes HVAC en biocomposite qui seront produits sur les chaînes de montage de la future usine. 

En 2018-2019, l’entreprise de Drummondville a produit le système HVAC du siège social de Facebook, dans la Silicon Valley, en Californie, reconnue pour son image écolo et ses bâtiments verts.

« On vient de faire une tour de 45 étages. On est en train de faire la deuxième », illustre l’entrepreneur.

M. Lemieux raconte que des dirigeants du lucratif réseau social sont venus en jet privé pour visiter les installations d’Annexair à Drummondville. 

Annexair est également le principal fournisseur pour les nombreux Google Data Centers qui ont vu le jour aux États-Unis. À ce jour, Annexair a fabriqué 9000 unités et 99 % d’entre elles ont été livrées aux États-Unis. Parmi ses réalisations, Annexair compte l’Université Harvard, l’aéroport international de Miami et de Myrtle Beach, le Dallas Cowboys Stadium, les sièges sociaux de Coca Cola et de Tommy Hilfiger, les bases militaires américaines jusqu’en Corée et plusieurs autres.

 

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  • Administrateur
Le 2019-12-13 à 21:18, Faitlemou a dit :

Hehehehehehehehehehehee hahahahahahahahahahaha heheeeeeeeeeee aaaaaaaaaah ça fait drôlement du bien de lire ça!

Oui mais le patrimoine globale des gens dans ces provinces est beaucoup plus élevé. Il ne s’agit pas seulement de regarder les dettes. 

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il y a 41 minutes, mtlurb a dit :

Oui mais le patrimoine globale des gens dans ces provinces est beaucoup plus élevé. Il ne s’agit pas seulement de regarder les dettes. 

C'est incontestable.  

Mais il faut aller plus loin dans l'analyse pour "voir" comment ces deux réalités (patrimoine et endettement) affectent les perspectives de croissance économique, principalement la composante liée à la demande intérieure i.e. la consommation et l'investissement, (par opposition à la demande extérieure i.e. les exportations).

Clarifions d'abord un point: le patrimoine est la différence entre les avoirs et les dettes.  Pour la majorité des ménages canadiens (y compris québécois), c'est le bien immobilier (maison/condo) qui constitue l'élément principal des avoirs, tandis que l'hypothèque s'y rattachant est l'élément principal de la dette.  Dans un marché régional/provincial où le prix de l'immobilier résidentiel est plus élevé, la partie (des avoirs) attribuable à cet élément sera plus élevée, tandis que l'hypothèque sera aussi généralement plus élevée; le patrimoine immobilier (valeur marchande moins hypothèque résiduelle) est normalement plus élevé (en valeur absolue) dans les marchés plus chers.  Je soupçonne (sans avoir effectué de calculs détaillés) que cet élément explique pour une bonne part le fait que le patrimoine "total" des ménages dans certaines autres provinces canadiennes soit supérieur à celui des Québécois.

La dette est un élément du bilan.  L'endettement  n'est pas un simple synonyme de la dette.  Je suis plus intéressé à mesurer l'endettement en fonction du revenu disponible (après impôts et autres prélèvements obligatoires).  Il s'agit de voir dans quelle mesure le remboursement de la dette (paiements hypothécaires pour l'immobilier résidentiel) affecte le revenu disponible "restant" après ces paiements. C'est ce montant restant qui influence directement la capacité de dépenser (ou d'investir).  Un endettement moindre suggère une plus grande capacité à accroître ces dépenses  --d'où le potentiel de croissance supérieure de la demande intérieure.  (Evidemment, la croissance démographique conditionne aussi l'évolution de la demande intérieure, mais c'est un autre sujet). 

 

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Postes vacants: une autre hausse au Québec au 3e trimestre

Le nombre de postes vacants demeure un problème important au Québec.

Statistique Canada rapporte mardi qu’au troisième trimestre de l’année en cours, le nombre de postes vacants a augmenté dans trois provinces, le Québec, la Nouvelle-Écosse et Terre-Neuve-et-Labrador, de même que dans l’un des trois territoires, le Yukon. 

Au Québec, le nombre de postes vacants a progressé de 16,2 % comparativement au troisième trimestre de 2018, ou de 19 100. 

Près de la moitié de la hausse des postes vacants au Québec a été observée dans le commerce de détail, ainsi que dans les soins de santé et l’assistance sociale. Les augmentations du nombre de postes vacants ont été de plus de 30 % dans la région de Québec, d’un peu plus de 18 % en Montérégie et de 12,5 % dans la région de Montréal. 

Le taux de postes vacants au Québec atteint 3,6 %

À l’échelle du Canada, le nombre de postes vacants a atteint 562 900 au troisième trimestre, soit une hausse de 12 200, ou 2,2 % par rapport au troisième trimestre de 2018. En revanche, le nombre de postes vacants a été inférieur par rapport au second trimestre de 2019.

https://www.lapresse.ca/affaires/economie/201912/17/01-5254042-postes-vacants-une-autre-hausse-au-quebec-au-3e-trimestre.php

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