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Transports en commun - Discussion générale


mtlurb

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Evidemment jesseps je suppose que la distance que tu devais parcourir était importante mais sur une distance plus courte, je dois dire qu'on vit la même chose dans la ville-centre : ça me prend pratiquement moins de temps pour marcher jusqu'au métro Laurier que d'attendre l'autobus et pourtant j'habites à*10 minutes du métro.

Je déplore le manque de sérieux de l'AMT et des différentes société de transports publics : s'ils veulent offrir une alternative tentante, ils devraient s'y prendre beaucoup plus sérieusement.

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Mais justement, tu peux pas avoir le mot bus et sérieux dans la même phrase. C'est tout simplement pas efficace.

 

Eh bien, il faut s'arranger pour que ça le soit. En plein milieu de la journée, les autobus sur certaines lignes sont soit pratiquement vides soit à moitié vide. Si la STM possédait une flotte de mini-bus (moins cher, moins gourmand), la STM pourrait augmenter la cadence -quitte à remettre de gros bus si l'affluence augmentait.

Il y a des lignes (comme au centre-ville notamment) sur lesquelles il est pratiquement impossible d'assûrer la ponctualité des bus mais sur des lignes comme St-Joseph, Rosemont, Beaubien par exemple il n'y a jamais assez de circulation pour risquer de mettre en péril les horaires des bus.

Je donne souvent l'exemple de la ligne 27 parce que c'est celle que je connais le mieux : le problème n'est pas ponctualité. Tous les autobus sont à l'heure. C'est au niveau de la fréquence des passages que le bât blesse.

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Par contre le banlieusard qui travaille au centre-ville en voiture : c'est lui qu'il faut taxer!! Il pourrait tres bien prendre les TEC sans probleme!!

Alors s'il se permet le luxe de prendre sa voiture pour travailler dans le quartier le plus désservit en TEC, qu'il le paye!!

 

Et ceux qui doivent se rendre chez des clients à Laval, Anjou, Pointe-Claire ou Longueuil 4,5 ou 6 fois par semaine font quoi??

 

"excusez moi monsieur le client, je serai là dans environs 3 heures car je dois prendre le métro et 2 autobus!"

 

C'est inacceptable! Quand un client t'appelle et te dit qu'il aimerait te voir le plus rapidement possible, tu ne le fais pas attendre!

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Habsfan : sois honnête. C'est pas la majorité de ceux qui traversent en voitures pour venir à Montréal qui se déplacent à longueur de journée. Les stationnements sont plein de voitures qui ne quittent qu'à 17 heures.

Tous le monde n'est pas dans ton cas. Ceux qui comme toi utilisent leur voiture pour le travail (pas seulement pour se rendre au travail mais dans le cadre de leur travail) ont un compte de dépense ou un per diem !!

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Une «commission spéciale» sur les péages routiers

 

bilde?Site=CP&Date=20080605&Category=CPACTUALITES&ArtNo=80605136&Ref=AR&Profile=6488&MaxW=500

(Archives La Presse)

 

Bruno Bisson

 

La Presse

 

La Ville de Montréal tend la main aux municipalités de banlieues et propose d’étendre les péages routiers à l’ensemble de la métropole, pour financer la construction de nombreux grands projets de transports en commun d’envergure locale ou métropolitaine.

 

Lors d’une allocution prononcée devant plus de 500 personnes réunies dans un grand hôtel du centre-ville, le responsable des transports à la Ville de Montréal, M. André Lavallée, a annoncé la création d’une «commission spéciale» d’étude et de consultation publique afin d’ouvrir un dialogue avec les banlieues et les banlieusards, autour d’un projet de «péage régional», qui pourrait générer des recettes brutes de 500 millions$ par année. Cette commission pourrait débuter ces travaux dès l’automne prochain. M. Lavallée n’a pas précisé à quels endroits seraient prélevés ces péages régionaux, mais il a clairement laissé entendre qu’ils pourraient s’étendre à la fois aux ponts de Montréal et aux principales autoroutes qui donnent accès à la métropole.

 

Les fonds prélevés par ces péages routiers, que M. Lavallée a qualifiés de «tarification socialement responsable», serviraient exclusivement au financement des transports en commun, à Montréal et en banlieue. Il permettrait aussi la réalisation de grands projets d’envergure régionale, comme l’aménagement d’un train léger dans l’axe du pont Champlain entre Montréal et la Rive-Sud, ou la construction d’un deuxième prolongement du métro vers Laval.

 

Selon M. Lavallée, ce projet de péage routier métropolitain figurera au cœur des propositions présentées par l’administration du maire Gérald Tremblay pour financer la mise en œuvre du nouveau Plan de transport de Montréal, dont la version finale doit être approuvée par le conseil municipal dans deux semaines. Ce plan, en préparation depuis 2005, prévoit la réalisation de nombreux grands projets d’infrastructures (métro, tramway, trains de banlieue, etc.) et l’implantation d’une longue série d’autres mesures pour réduire les nuisances de la circulation automobile et augmenter l’utilisation des transports en commun, dans l’île de Montréal.

 

M. Lavallée, qui peut légitimement revendiquer le titre de parrain de cet ambitieux plan d’action, a longuement souligné qu’au cours des nombreuses consultations qui ont mené à la rédaction finale de ce document, la population et les élus ont largement adhéré aux objectifs de ce Plan et aux moyens privilégiés par la Ville pour les atteindre. Certaines mesures sont déjà en œuvre. Le réseau des pistes et de bandes cyclables de Montréal comptera 100 kilomètres de plus avant la fin de cette année. L’administration Tremblay a récemment obtenu un accord de principe de la ministre des Transports, Julie Boulet, pour la création d’une voie réservée aux autobus en site propre, sur le boulevard Pie-IX, dans l’est de Montréal, où l’achalandage pourrait s’élever à 60 000 usagers par jour. Dans les arrondissements, des campagnes de sécurisation des intersections sont en cours, pour améliorer la sécurité des traverses piétonnières, notamment près des écoles.

 

Il a toutefois rappelé que la réalisation des projets prévus au Plan entraînera des investissements additionnels d’environ 250 millions$ par année, pour la seule ville de Montréal. Or, malgré les versements fédéraux et provinciaux des programmes d’infrastructures, les subventions provenant du Fonds vert et les montants prévus dans la Politique québécoise de développement des transports collectifs, adoptée récemment par Québec, Montréal ne disposera pas des sommes nécessaires pour réaliser l’objectif principal du plan, qui est d’améliorer l’efficacité des déplacements, tout en protégeant la qualité de vie des Montréalais.

 

Les appels répétés de la métropole vers Ottawa et Québec étant restés sans réponse, jusqu’à présent, l’administration Tremblay n’a pas fait mystère depuis un an de son intérêt pour la mise en place d’un péage routier. Une telle mesure, estimait-on, permettrait à la fois de réduire sensiblement la circulation automobile, surtout durant les périodes de pointe du matin et du soir, tout en permettant d’offrir au public une alternative efficace et pratique à l’utilisation de l’automobile.

 

Depuis plusieurs mois, de nombreuses rumeurs ont circulé quant au type de péage privilégié par la Ville, pour le financement de son Plan de transport. L’hypothèse d’un péage de 1$ ou 2$ à l’entrée de chacun des 15 ponts qui ceinturent l’ile de Montréal a été le plus souvent évoquée. Depuis quelques semaines, des rumeurs persistantes circulaient en coulisses, dans les milieux professionnels, à l’effet que Montréal songeait plutôt à tarifer l’accès à son centre-ville, sur le modèle de Londres, en Angleterre.

 

Dans ce contexte, l’appel aux banlieues lancé aujourd’hui par M. Lavallée est inattendu. Le responsable des transports à l’exécutif de la Ville de Montréal reconnaît que dès l’an dernier, l’hypothèse d’un péage à l’entrée des ponts de l’île de Montréal a été plutôt mal reçue par les maires des banlieues. De même, la possibilité d’un tel péage, qui a fait l’objet de nombreuses spéculations dans les médias, a chaque fois soulevé l’indignation de nombreux banlieusards qui ont inondé les émissions de lignes ouvertes et rempli les journaux de lettres de protestation, au cours des derniers mois. La poussière étant un peu retombée, M. Lavallée estime qu’il est maintenant temps d’ouvrir un débat «d’une façon intelligente et sereine» sur le financement des transports en commun dans l’ensemble de la métropole.

 

«Je pense, a déclaré M. Lavallée, qu’il faut qu’il y ait une alliance entre Montréal, Laval, Longueuil et les autres municipalités de la banlieue, pour que les villes aient enfin les moyens d’investir massivement, avec les gouvernements, dans les transports collectifs et actifs».

 

http://www.cyberpresse.ca/article/20080605/CPACTUALITES/80605136/6488/CPACTUALITES

 

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Bon ils commencent à se réveiller à la Vile de Montréal, il faut vraiment que le plan du transport de masse soit pan-Montréalais et non pour le plaisir des chialeux du plateau.

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Bon ils commencent à se réveiller à la Vile de Montréal, il faut vraiment que le plan du transport de masse soit pan-Montréalais et non pour le plaisir des chialeux du plateau.

 

Le chialeux du plateau est un peu tanné des petites attaques du baveux de Laval;)

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