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Stade Olympique et site adjacent - Discussion générale


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En quoi un nouveau retard serait justifié ? Encore une fois, on voit l'inefficacité de la bureaucratique québécoise... Ok un seul consortium s'est manifesté, so what ? Si le projet est conforme, répond aux normes et demandes du gouvernement, et répond à l'enveloppe budgétaire de la RIO, alors il est où le problème ?

Do it, and stop wasting everyone money on stalling projects... 

Il va se passer quoi ? On va retourner à la table à dessins pour attendre d'autre soumissions d'un projet modifié ? Combien de mois et d'année on va encore attendre avant de voir le début des travaux. Le scope of work est clair depuis des décennies, un nouveau toit est nécessaire !

Just do it, et si la seule entreprise qui s'est manifestée ne répond pas aux demandes, alors il serait judicieux de savoir pourquoi aucunes ne s'est manifestées (est-ce que le processus était trop laborieux ? est-ce que les demandes de la RIO n'était juste pas réalistes ? Etc)

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  • 7 mois plus tard...
  • 3 semaines plus tard...

https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1774509/stade-olympique-montreal-toiture-opercule-soccer

Pas de toiture démontable pour le stade olympique de Montréal

Le gouvernement Legault, qui a des difficultés à convaincre des entreprises intéressées, renonce à l’idée de doter le prochain toit du stade olympique d’une partie démontable en raison de contraintes techniques, a appris Radio-Canada.

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Le remplacement de l'actuelle toiture du stade olympique de Montréal est attendu depuis plusieurs années.

PHOTO : RADIO-CANADA / IVANOH DEMERS

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CommentairesRomain Schué (accéder à la page de l'auteur)Romain Schué

Publié à 4 h 02

Le stade olympique de Montréal aura-t-il, un jour, une nouvelle toiture? A priori, la réponse est toujours oui. Quand et à quoi ressemblera-t-elle? Les doutes restent nombreux.

Seule certitude : cette prochaine toile, attendue depuis des années, ne sera finalement pas démontable. Concrètement, le toit ne s’ouvrira pas, contrairement aux intentions initiales de Roger Taillibert, l’architecte du bâtiment, très critique, jusqu’à son décès, de la gestion de cette toiture.

La possibilité d’ouvrir le toit du stade olympique avait été évoquée par le Parc olympique et le gouvernement du Québec dans le but d’accueillir certaines manifestations d’envergure, comme la Coupe du monde de soccer de 2026.

Cette option d’une démontabilité était même inscrite dans l’appel de qualification lancé en 2019 afin d’offrir un stade à ciel ouvert pour la tenue d’événements exceptionnels de très grande envergure qui requièrent cette configuration.

Alors que Québec a finalement retiré fin janvier son soutien financier à la candidature de Montréal pour accueillir le grand rendez-vous du soccer mondial, l’équipe de François Legault a aussi revu ses plans pour le stade olympique.

À la suite d’une recommandation du Parc olympique et d’experts en la matière, l’option d’une portion démontable du toit a été retirée de la portée du projet, confirme la ministre du Tourisme, Caroline Proulx, par l'entremise de sa porte-parole.

La priorité demeure d’avoir une toiture fonctionnelle et de qualité, à coût juste, afin de maximiser l’utilisation et le plein potentiel du stade olympique.

Caroline Proulx, ministre du Tourisme

Les déchirures dans la toile du stade olympique sont nombreuses. Après détection, elles sont réparées avec une rustine composée du même matériel que la toile.

PHOTO : RADIO-CANADA / MARTIN OUELLET-DIOTTE

Nombre record de déchirures

En 2019, selon les dernières données disponibles, 4728 nouvelles perforations de la toile ont été constatées et réparées, contre 3256 l’année précédente. Jamais le stade olympique de Montréal n’a dénombré autant de déchirures.

Au total, depuis 2007, près de 16 000 déchirures ont été répertoriées. Cet accroissement marqué ne fait que confirmer une fois de plus l’importance de procéder le plus tôt possible au remplacement de la toiture actuelle, écrivait d’ailleurs le Parc olympique dans son dernier rapport annuel, tout en précisant que la sécurité du toit demeure satisfaisante.

Un toit pour un demi-siècle avec une lumière naturelle

Le nombre d’opportunités est très faible sur la période de la toiture qu’on envisage, confirme Michel Labrecque, le président du Parc olympique, dans une entrevue accordée à Radio-Canada.

Le rapport coût, difficulté et bénéfice était donc trop risqué pour maintenir l’idée d’une opercule démontable, juge-t-il.

Ce dont on a surtout besoin, c’est d’une toiture fiable, qui résiste aux conditions climatiques de Montréal, hiver comme été.

Michel Labrecque, PDG du Parc olympique

Cette nouvelle toiture, explique Michel Labrecque, doit durer de 50 à 60 ans et devrait avoir un pourtour de l’anneau technique en verre translucide pour amener de la lumière.

Le budget n’a pas été dévoilé, mais le gouvernement prévoit, dans son dernier Plan québécois des infrastructures 2020-2030, une somme de 226 millions de dollars pour la reconstruction [de la] la toiture et la réfection [de la] tour du funiculaire. D’autres rénovations sont également prévues, notamment des équipements d’éclairage et de sonorisation dans le bâtiment.

Illustration du futur toit du stade olympique tirée de l'appel de qualification lancée par le Parc olympique en 2019.

PHOTO : CAPTURE D’ÉCRAN - APPEL DE QUALIFICATION DU PARC OLYMPIQUE

Un seul candidat pour remplacer la toiture

Les firmes intéressées par ce projet sont cependant rares.

L’an dernier, un seul groupe, Pomerleau-Canam, a rempli une candidature durant le processus d’appel de qualification mené par le Parc olympique, qui en espérait trois avant de lancer un appel de propositions.

C’est vrai que c’était décevant, reconnaît Michel Labrecque, qui admet qu’une réflexion se poursuit, notamment concernant l’option de recommencer ce processus. Une décision sera prise au cours des prochains mois.

Officiellement, le Parc olympique et le gouvernement du Québec répètent qu’aucun nouveau retard n’est, pour le moment, envisagé. En date d’aujourd’hui, la livraison de cette toiture est prévue pour 2024, soutient l’équipe de la ministre Proulx.

Ce calendrier paraît bien optimiste. Selon les plans initiaux, le dossier d’affaires aurait dû être remis au gouvernement, avec des précisions sur les coûts et travaux, au printemps 2020.

Ce rapport devait être la rampe de lancement du projet, avant le choix final du consortium et le début des travaux. Or, celui-ci n’a pas encore été réalisé.

Le toit du stade olympique est composé à la fois d'une toile intérieure et d'une toile extérieure qui a été installée en 1998.

PHOTO : RADIO-CANADA / MARTIN OUELLET-DIOTTE

De l’aveu de Michel Labrecque, un éventuel délai supplémentaire ne serait pas catastrophique. On n’est pas à six mois près, dit-il, en faisant référence à l’histoire de ce toit.

On n’a pas les moyens de se tromper. On est extrêmement précautionneux, admet-il. On a appris de la toiture actuelle que mettre une date butoir n’est pas adéquat.

Ce n’est pas quelques mois qui vont faire la différence. Ça fait 20 ans qu’on gère celui-là puis les trous.

Michel Labrecque, PDG du Parc olympique

L’unique groupe ayant fait part de son intérêt pour remplacer cette toiture a également indiqué à Radio-Canada être toujours dans le flou, près d’un an après le dévoilement de l’appel de qualification.

Nous avons été la seule équipe à nous qualifier pour pouvoir soumissionner, ce que nous n'avons pas encore fait, n'ayant pas eu encore les informations pour travailler à soumettre un prix, précise Marie-Noëlle Goulet, directrice des communications de l’entreprise québécoise Canam, qui s’est associée à Pomerleau pour réaliser ce projet.

Nous n'avons pas encore reçu les documents pour commencer notre estimation et ne savons pas si le projet se concrétisera ou non.

Marie-Noëlle Goulet, directrice des communications du Groupe Canam

Pomerleau-Canam pourrait-il réaliser ce projet d’ici 2024? Le consortium n’a pas voulu répondre à cette question. Nous sommes dans une relation commerciale et tout commentaire, positif et négatif, peut avoir un impact sur cette relation d'affaires, reprend Mme Goulet.

Toujours en lice pour la Coupe du monde 2026

Malgré le retrait financier du gouvernement Legault pour soutenir la candidature de Montréal afin d’accueillir une partie de la Coupe du monde de soccer de 2026, le Parc olympique confirme son engagement. À ce jour, le Stade olympique fait toujours partie des enceintes préselectionnées pour la tenue de trois à quatre matchs, selon un porte-parole du Parc olympique.

Michel Labrecque avoue néanmoins être en accord avec la décision de Québec, en parlant d’un cahier des charges énorme, mais il juge que cette organisation serait jouable. Ça aurait eu de la gueule, lance-t-il. On a les esplanades pour gérer la foule. Et le stade a de la gueule.

La candidature de Montréal a cependant du plomb dans l’aile, puisqu’Ottawa a récemment indiqué à Radio-Canada son refus de compenser, financièrement, le retrait de Québec. Le cabinet de la mairesse Valérie Plante devrait annoncer, très prochainement, ses intentions.

Le 18 janvier 1999, un effondrement de neige laisse un trou béant dans la toile du stade olympique de Montréal.

PHOTO : RADIO-CANADA

Une longue saga

Ce n’est pas la première fois qu’un retard serait à signaler pour le remplacement de cette toile. Après avoir donné le feu vert à ce projet en 2017, le gouvernement du Québec évoquait une fin du chantier en 2022, avant de revoir ses plans.

Installé par l’entreprise américaine Birdair en 1998, ce toit – le deuxième depuis la création du bâtiment – cause tracas et cauchemars depuis des années. En janvier 1999, un panneau de cette toiture s’était déchiré, sous le poids de la glace et de la neige, en pleine préparation du Salon international de l’auto de Montréal.

C’est vrai que c’est une saga, souligne Michel Labrecque, tout en se disant extrêmement positif. C’est vrai qu’on va être apaisé lorsqu’on va avoir passé deux, trois hivers sans s’énerver.

En raison des risques de déchirures, le Stade olympique doit désormais restreindre ses accès et fermer ses portes une bonne partie de l’hiver.

Un règlement y interdit tout rassemblement en cas d'accumulation de neige de 3 cm à moins de 24 heures de l'événement.

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B'ah, ici sur MTLURB, nous le savions tous déjà pas vrai?

Nous savons déjà qu'aucun stade sur cette planète ne possède un toit démontable ... Je ne sais pas qui a eu cette idée là, mais c'était mort en partant.

Damn ...

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Et si on avait un toit qui, sans être démontable du bout d'un doigt sur un bouton, pourrait au besoin être temporairement retiré avec, disons une semaine de travail. Puis être réinstallé une fois l'occasion passée. 
La question est relative à l'exigence du CIO d'avoir un amphithéâtre non-couvert pour les JO. 

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Il y a 2 heures, MontréalMartin a dit :

 

Et si on avait un toit qui, sans être démontable du bout d'un doigt sur un bouton, pourrait au besoin être temporairement retiré avec, disons une semaine de travail. Puis être réinstallé une fois l'occasion passée. 
La question est relative à l'exigence du CIO d'avoir un amphithéâtre non-couvert pour les JO. 

 

C’est ce qui était envisagé, mais qui est maintenant rejeté. Ça fait un moment déjà que l’idée d’un toit rétractable automatisé est écartée...

Il est clair que la RIO a fait une croix éternelle sur le toit initialement prévu par Taillibert (mais jamais réalisé, le premier toit de Socodec-Lavalin était une version considérablement modifiée). 

J’aurais bien aimé qu’ils explorent davantage l’option du toit proposé par François Delaney en 2009, ou à tout le moins qu’ils expliquent pourquoi ils le jugeaient irrecevable... mais la RIO semble obsédée depuis 30 ans par l’idée d’un toit fixe, donc ils n’ont même pas daigné l’étudier. 

Dans le contexte actuel et étant donné la perception globalement négative du public à l’endroit du stade et de son toit, ils cherchent une solution connue et éprouvée qui ne coûtera pas la peau des fesses, et qui n’attirera pas la critique pour son audacité ou son extravagance. Malheureusement, ça implique de faire une croix sur l’option d’un stade ouvert (solution trop expérimentale) et donc de limiter les événements de prestige qui peuvent s’y dérouler. 

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il y a 21 minutes, Internist a dit :

Malheureusement, ça implique de faire une croix sur l’option d’un stade ouvert (solution trop expérimentale) et donc de limiter les événements de prestige qui peuvent s’y dérouler. 

Il me semble que lesdits événements auraient été rarissimes de toutes façons.

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il y a 48 minutes, Né entre les rapides a dit :

Il me semble que lesdits événements auraient été rarissimes de toutes façons.

Effectivement, sur la base de leur fréquence, il peut apparaître superflu de prendre ce risque et possiblement d’assumer des coûts supplémentaires. Cependant, encore faut-il faire la démonstration que le coût est réellement beaucoup plus important. François Delaney avançait un coût inférieur à 200 millions en 2009; j’ai du mal à croire à ce chiffre bien honnêtement, mais je ne connais pas grand chose aux coûts de toits amovibles pour stades... 

L’autre facteur à considérer est que nous avons la chance de faire partie du club relativement sélect des villes qui possèdent ce genre d’infrastructures événementielles. On est d’accord que nous n’accueillerons pas d’événements nécessitant à tout prix ces installations à tous les ans, mais il ne faut pas minimiser le rayonnement international qu’apporte la tenue de ces événements, si ponctuels soient-ils. Après tout, les Olympiques n’ont duré que deux semaines, mais leur impact dans l’histoire de la ville est indéniable (quoique souvent cité pour les mauvaises raisons!).

Finalement, il est possible qu’un toit fixe soit la solution optimale, mais il faut reconnaître que cette décision nous disqualifiera d’emblée pour la tenue de plusieurs événements prestigieux, et ce n’est pas demain la veille que Montréal va rebâtir un nouveau stade de cette envergure!

Mon propos visait surtout à questionner le quasi-dogme selon lequel la seule solution qui mérite réellement d’être étudiée est celle d’un toit fixe. Si on m’explique pourquoi le toit Delaney est inconcevable, pourquoi le toit tel qu’originalement proposé par Taillibert est irrecevable (avec une justification qui va au-delà de l’argument du chat échaudé qui craint l’eau froide...), je serais déjà beaucoup plus enclin à faire le deuil d’un stade d’envergure internationale.

Malheureusement, depuis la proposition en 1993 d’un deuxième toit fixe en acier (abandonnée en 1995 à la faveur de l’élection du PQ, ce qui a finalement abouti au troisième toit de Birdair avec la suite que l’on connaît...), la RIO semble focaliser toute son attention sur un toit fixe. C’est peut-être la meilleure option, mais pourquoi est-ce que la gestion de ce dossier se doit d’être aussi opaque? 

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Malgré qu'un toit rétractable serait beaucoup plus désirable qu'un toit fixe, je me contenterai avec plaisir d'un toit fixe. Un toit rétractable est irréaliste à moins qu'on garde l'ancien design de toit rétractable.

Si on veut un nouveau design de toit rétractable mécanique on aura besoin  d'énormes supports en acier qui le renderait plus lourd que le toit présent et changerait la silouette du stade. Le risque que le toit coule sera encore présent. Plusieurs stades neufs ont des problèmes avec leur toit et très peu de stades ont "retrofit" un toit rétractable.

Le cout serait certainement plus élevé que 200 millions pour un nouveau toit rétractable. J'ai trouvé deux examples qui se rapprochent un peu du notre: le stade Santiago Bernabeu de Real Madrid commence des travaux de $650m USD. Ce qui inclut un toit rétractable, un nouveau revètement exterieur, des nouveaux écrans et d'autre gadgets. Ça donne une idée de l'ordre de magnitude. Sinon le BC Place à Vancouver à été muni d'un toit rétractable en 2010 de 100m par 85m en plus de rénovations mineures et de nouveaux écrans. Le prix initial était annoncé à environ $150m CAD pour finalement gonfler à $514m CAD. Le résultat est le plus grand toit rétractable soutenu par des cables au  monde (Même type qu'était notre stade). Dans les deux cas, il sagit de toit en toile flexible style PTFE semblable à celle qu'on a sur notre stade. Considérant que le toit du stade olympique mesure 175m par 100m, on comprend que la complexité est élevée.

Sinon, il y a le stade de tennis Arthur Ashe à NYC. En 2016, il a reçu un toit de 160m par 160m pour le prix de $150m USD. Mais seulement le centre de 60m par 53m est rétractable. C'est aussi un toit en toile, mais il est supporté par des poutres d'acier. Le nouveau toit faisait partie d'un projet de rénovation de $550m USD. 

Un autre example que j'ai trouvé est celui du Carrier Dome à Syracuse au USA. Ils sont à veille de finir des travaux de $118m USD (non final) pour remplacer leur toit en toile type dome pressurisé par un toit fixe avec toile suspendue. Ils ont également installé un nouvel écran et fait d'autres travaux mineurs. Syracuse reçoit plus de neige en hiver que Montréal. Ils avaient des problèmes avec la neige et avaient déjà remplacé la toile.  Ils devaient constament enlever la neige du toit pour empècher qu'il s'éffondre. Le toit de leur stade fait environ 173m par 150m. Il est juste un peu plus grand que le toit du stade olympique. 

Nos choix sont pas très nombreux. Le problème principale avec le nouveau toit c'est le poids. La réalité est qu'on va probablement se retrouver avec une toile type PTFE. Presque tous les toits de stades l'utilisent. Cette toile est vraiment solide pour son poids, surtout quand elle est sous tension. On a le choix de refaire le toit en toile suspendu comme avant rétractable ou non et cette fois on le fait comme il faut, sinon on ajoute des supports en acier qui auront peut-être besoin de renfort structurel pour les soutenirs à cause de leur poids. Un nouveau design de toit rétractable est difficilement envisageable.

Selon moi, le gouvernement semble s'être décidé sur un toit en toile semblable à l'ancien, mais non rétractable. En 2019 ils ont engagé une firme allemande, sdp, experte dans le domaine des toiles suspendues qui ont design le BC Place. On dirait que la difficulté est plutot à trouver des contracteurs pret à entreprendre le projet. Une seule entreprise à répondu à l'appel d'offre. Sans doute que les entreprises trouvent ça trop risqué et contraignant.

Peu importe ce qu'ils choisissent, j'espère qu'ils ajoutent de la transparence au nouveau toit, question d'avoir de la lumière naturelle.

Je pense que le principal problème avec le toit fixe est qu'il sera très difficile d'entretenir un terrain de gazon naturel qui est requis pour les mondiales de soccer. Je ne pense pas que c'est un problème majeur par contre, on pourrait installer du gazon pour un usage unique au court terme. Sinon, plusieurs stades ont un terrain démontable/rétractable qu'ils gardent à l'exterieur pour l'entretenir. 

Je ne pense pas que le toit fixe soit un problème majeur quant aux évènements internationals. Le nouveau stade SOFI à LA aura un toit fixe et sera choisi pour la céremonie de cloture des JO en plus de la finale de soccer. C'est vrai que la cérémonie d'ouverture sera dans un stade à ciel ouvert, mais j'ai regardé à travers les prérequis du IOC et du UEFA (soccer) et rien n'indique l'obligation d'avoir un stade à ciel ouvert. Je pense que c'est une ancienne contrainte. Le seul organisme qui n'autorise pas de stade interieur est la MLB à ma connaissance, mais même là c'est seulement si on aurait une équipe de baseball permanente. Quels autres évènements connaissez-vous qui requierent un stade extérieur???

Documents du IOC et de UEFA:

https://stillmed.olympic.org/media/Document Library/OlympicOrg/Documents/Host-City-Elections/XXXIII-Olympiad-2024/Host-City-Contract-2024-Operational-Requirements.pdf
 https://editorial.uefa.com/resources/01f9-0f842793b513-3ec14e88e0ef-1000/uefa_guide_to_quality_stadiums.pdf

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